SERENA COLETTI ► zhenya katava

ID CARD

Nom : Coletti, un nom à consonance italienne qui lui vient de ses arrières-grands-parents paternels, des expatriés toscans à la recherche d'une vie meilleure ◇ Prénom : Oriana et Camelia sont respectivement ses premier et troisième prénoms, mais elle utilise Serena comme prénom usuel; il lui vient de sa grand-mère paternelle et a donc en plus une valeur symbolique à ses yeux. ◇ Âge : 22 ans ◇ Date et lieu de naissance : 16.06.1995◇ Nationalité : britannique et américaine. Elle est née à l'époque où son père jouait pour Arsenal, puis a obtenu la double-nationalité américaine lorsqu'il est venu s'installer à Phoenix, Arizona, une fois sa carrière terminée. ◇ Orientation sexuelle : hétérosexuelle, mais elle a déjà eu une relation sexuelle avec une fille après une soirée trop arrosée. ◇ Statut amoureux : célibataire ◇ Statut social : aisé. ◇ Job étudiant : aucun ◇ Études majeures : Relations internationales ◇ Études mineures : Design de mode

Code:: O. Serena Coletti - 22 ans - Cinquième année - Relations internationales

Oriana Serena Coletti
feat zhenya katava

QUINCY HOUSE

Par divers aspects de sa personnalité, Serena a bien plus le coeur sur la main qu'on ne le pense au premier abord. Traitée comme une princesse, elle n'a jamais perdu de vue que tout le monde n'avait pas la même chance, et c'est en partie grâce à son appui que son père verse désormais des sommes honorables à des oeuvres de charité. Autre facteur : Serena vient d'un foyer heureux, mais homoparental. L'homosexualité, les préjugés des autres, elle en connait un rayon. De quoi faire d'elle un soutien sans faille pour les personnes sensibles traversant une phase douloureuse dans leur sexualité. Moins tragique mais tout aussi important, elle est toujours à l'écoute des autres; pas toujours de bons conseils (elle vous le dira elle-même), mais elle vous ouvrira toujours grands les bras, de jour comme de nuit, peu importe votre chagrin du moment.

CABOT HOUSE

Deux papas, ça ne signifie pas que l'un d'eux s'y connait en maquillage. Ca ne signifie pas non plus qu'ils comprennent mieux les problèmes de femmes. A la rigueur, ils peuvent aider pour les problèmes de garçons, mais est-ce vraiment un problème en soi ? Toute sa vie, Serena n'a compté que sur les copines. Des soeurs, pourtant, ce serait l'idéal. Il n'en faut pas beaucoup pour la lancer sur le sujet, d'ailleurs. Elle s'y sent déjà presque comme chez elle ; l'intégrer, de son avis, n'est presque plus qu'une formalité à remplir. Fille unique, la proximité féminine qui règne dans la maison Cabot n'est rien de moins que le rêve pour elle: se sentir entourée par des personnes qui la comprennent en tout point.

APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES
L'atmosphère qui planait sur le campus a davantage marqué Serena que les évènements en eux-mêmes. Tout juste débarquée sur le campus au début de l'année scolaire 2013, elle a du faire appel à tout son sang-froid pour ne pas quitter l'université comme ses papas s'évertuaient à lui conseiller. Afin de calmer ses autorités parentales, elle a décidé de s’inscrire à des cours afin d’apprendre quelques mouvements d'auto-défense dans une tentative assez dérisoire de pouvoir se défendre en cas de problème. Pour ce qui est de la prise d'otage, elle se trouvait à ce moment sur le campus, mais relativement loin de l'épicentre. La seule chose dont elle se souvienne, c'est de cette ambiance insupportable, de suspicion, d'angoisse, de terreur. Chaque bruit qui raisonne dans le silence. Chaque grincement qui fait sursauter comme jamais. Serena a eu la chance de s'en sortir indemne. Enfin. Indemne. C'est comme ça qu'ils disent.

APRÈS LE TREMBLEMENT DE TERRE AU CHILI
Spring break 2016, voyage au Chili.

Serena se trouvait dans le groupe qui crapahutait joyeusement dans les sentiers au moment des premières secousses; elle a dérapé et s'est entaillée le tibia sur toute la longueur et s’est foulée le poignet dans sa chute, mais elle n'en n'a pas véritablement souffert à proprement parler. Le choc de sentir la terre trembler sous ses pieds l'a faite bien plus s'inquiéter qu'une simple blessure à la jambe et un poignet foulé. Elle a malgré tout du recevoir des soins et quelques points de sutures; le sang qui dégoulinait copieusement le long de sa jambe et qui inondait copieusement son short a provoqué plus d'inquiétude que de douleur véritable.

TON ADMISSION À HARVARD

Grâce à son enfance privilégiée, Serena a toujours eu l'occasion de fréquenter des écoles privées, particulièrement en Angleterre, où leur réputation n'est plus à faire. Sérieuse et appliquée, elle a toujours su tirer partie de ses aptitudes pour pouvoir se vanter de carnets de notes sans tâche. C'est la première chose qui a permis de la rassurer lors de son entretien d'admission à Harvard; la seconde venait surtout de son patrimoine familial. C'est aussi lors de cet entretien que Serena a pu prendre conscience de ses qualités en période de stress. Elle est apparue calme et confiante, en dépit de la tempête de nervosité dans laquelle elle avait flotté pendant les semaines précédentes; ses réponses furent précises, détaillées, avec le zeste d'assurance qu'il fallait pour paraître maîtresse d'elle-même. Cela ne l'empêcha pas malgré tout de se dégonfler comme un ballon une fois sortie.

TELL US MORE

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle par aucun pseudo précis (oui oui j'aime bien changer ) et j'ai 21 ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à top-site. Vous êtes tous sexy alors j'ai décidé de m'inscrire OU Je suis déjà présent sur le forum sous les traits de pseudos de vos comptes actuels (+ maison). J'utilise Zhenya Katava comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Morrigan et tumblr. Je fais environ 450 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Je souhaite ▲
 adhérer un flood d'intégration (?)
 je veux être parrainé si oui, par pseudo du parrain (voir la liste des parrains)

Je recense mon avatar ▲
si personnage inventé:

Code:: [size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/u7697]►[/url] ► <span class="pris">ZHENYA KATAVA</span> “ O. Serena Coletti ”[/size]

~~si scénario:~~

Code:: [size=10][url=lienversvotreprofil]►[/url] [url=URL DU SCÉNARIO ICI]►[/url] <span class="pris">AVATAR</span> “ Pseudo ”[/size]

(Invité)

MORE OF YOUR OWN STORY

« A quoi ça ressemble, d’avoir deux papas ? ». Un quart de la vie de Serena se résumait à cette question. A six ans, elle répondit à la petite fille qui deviendrait sa meilleure amie d’enfance que sa maman lui manquait un peu. A douze ans, elle répondit à son meilleur ami que c’était pareil que les autres, mais un peu différent. A seize ans, elle répondit à son boyfriend que c’était mieux. Désormais, elle haussait les épaules. Rien n’avait changé. Elle était toujours aussi heureuse avec ses pères, toujours aussi fière. Elle ne ressentait simplement plus le besoin de se justifier, et c’était tant mieux. Une deuxième question pointait toujours le bout de son nez immédiatement après la première, de façon directe ou indirecte. « Alors t’as deux mamans aussi ? » s’était peu à peu mué en un « Et ta maman ? » pour finalement devenir, une fois rendue à l’âge pré-adulte, un silence gênant. « Je n’en ai pas. Enfin techniquement si, mais elle ne fait pas partie de ma vie », expliquait-elle alors avec désinvolture. Si elle éprouvait le besoin d’expliquer, c’était simplement parce qu’elle détestait mettre les gens mal-à-l’aise. Certainement pas pour avoir l’air de s’excuser de quoi que ce soit. Parfois, de très rares fois, elle expliquait ensuite qu’elle n’était pas née d’une mère porteuse, ou par quel qu’autre moyen barbare et scientifique ; non, elle était née d’une vraie personne, une vraie femme, qui avait été la vraie épouse de son père. Mais elle n’avait jamais été une mère, ça non. Faire ses bagages du jour au lendemain pour ne plus jamais manifester une preuve de son existence à sa fille de deux ans, ni même à son mari, ce n’était définitivement pas la définition qu’elle aurait donné d’une bonne mère. « Je suis fille unique », précisait-elle parfois. Ses pères avaient pensé un moment à adopter, et puis elle ne savait pas vraiment pourquoi, mais l’idée ne s’était pas concrétisée. Ce n’était ni un manque ni un besoin. Un acte manqué, mais qui n’avait pas d’incidence considérable sur son existence. « Ton père, son nom me dit quelque chose, je suis sûr(e) de le connaître », disaient parfois les gens. Serena haussait les épaules. « Tu l’as peut-être vu dans la presse financière » « Non, non, ailleurs » « Il était joueur de football à la fin des années 80 » Le passé sportif glorieux de son père éveillait chez elle une tendresse infinie. Son père faisait partie de ces gens qui avaient vécu leur passion jusqu’au bout, et qui la poussait à faire de même jour après jour. Elle lui était reconnaissante pour tout. L’amour, la situation (largement plus que) confortable dont elle bénéficiait, le soutien. Il n’avait jamais été méchant, cruel, ne l’avait jamais obligée à quoi que ce soit. Et elle ne l’en aimait que davantage, en comparaison de ses autres camarades d’Harvard qui n’avaient pas définitivement tous la même chance qu’elle. Elle connaissait tout du parcours de son père, depuis le divorce de ses parents qui l’avait poussé à s’installer en Europe avec sa mère, puis ensuite sa révélation sportive, ses divers changements de clubs parce que tout le monde se l’arrachait. Généralement, sa mère disparaissait de la chronologie familiale. Au fil du temps, d’autres questions étaient apparues dans le paysage. Bon nombre d’entre elles tournaient autour de son choix d’étude/projet de carrière, à savoir reprendre la vaste société de son père incluant la gestion des clubs sportifs ; elle s’évertuait à expliquer que c’était un choix qui lui convenait, et que son père ne l’avait jamais forcée. Quant au « Toutes mes condoléances pour ton deuxième papa, si tu as besoin de quelque chose, surtout n’hésites pas, d’accord ? », il lui avait fait plus de mal qu’elle n’aurait voulu le dire, et elle avait répondu à chacun avec un sourire crispé. Ceux qui la connaissaient n’avaient pas abordé le sujet plus d’une fois ; il n’était pas dans sa nature d’être glaciale, et plus tôt les gens le réalisaient, plus tôt ils pouvaient s’estimer ses amis.

(Invité)