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Nom : UNDERWOOD, presque la seule chose qu'il te reste de tes parents. T'en es sacrément fière. ◇ Prénom : DYLAN, prénom de cinq lettres qui peut créer des situations assez cocasses quand les gens s'attendent à voir un mec. ◇ Âge : 23 ANS, majeure et vaccinée. ◇ Date et lieu de naissance : Tu es née le 25 JUIN 1994 à Boston en poussant des cris disgracieux. À l'époque, t'étais déjà une casse couille. ◇ Nationalité : La bonne vieille nationalité Américaine. Rien d'exotique dans ta chevelure ébène ou tes yeux saphir. ◇ Orientation sexuelle : L'être humain indépendamment de son sexe. ◇ Statut amoureux : Encore et toujours célibataire. Tu fuis les relations sérieuses comme la peste. ◇ Statut social : En quête d'un sugar daddy. --> En gros, tu te débrouilles, mais c'est clair que ça pourrait être mieux. T'as beau souhaiter être riche comme crésus, t'es rêves ne sont pas encore devenus réalité. ◇ Job étudiant : Tu travailles comme serveuse au Black Dog. ◇ Études majeures : Droit ◇ Études mineures : Arts Visuels
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Dylan Underwood - 23 ans - Quatrième année - Droit et Arts Visuels - Serveuse au Black Dog.
Dylan Underwood
feat Scarlett Simoneit
feat Scarlett Simoneit
LOWELL
Pourquoi les Lowell, mh? La question ne se pose même pas. L’art, c’est ta bouée de sauvetage. L’art, c’est cette étincelle qui te donne envie d’te battre à chaque putain de jour. C’est ton échappatoire. Déjà toute petite, tes doigts étaient faits pour manier la pastelle et ton œil parfait pour créer les bonnes nuances. Au début, c’était un passe-temps. Puis, ta vie a basculé du jour au lendemain et, soudainement, c’est devenu une nécessité, un besoin aussi vital que celui de respirer. T’arrivais plus à respirer et ta gorge nouée t’empêchait de dire ce qui se tramait réellement à l’intérieur. Les couleurs, les formes et les ombres, les sentiments, les pleurs et la détresse… tu faisais d’une page blanche une représentation parfaite de ce que t’arrivais pas à exprimer tout haut. Aujourd’hui, c’est une passion. Que ce soit au crayon, au pinceau ou en photo, t’adores capturer l’instant présent selon ton point de vue. À travers l’art, tu t’exprimes, mais t’arrives aussi à capturer l’essence même de la vie. T’arrives à représenter toutes ces amalgames d’émotions incroyables et toutes ces couleurs que l’être humain peut revêtir dans toute sa complexité. L’art, c’est ça. Pourquoi les Lowell? Pour ÇA.
MATHER
Eliot House? Jamais. Non seulement ton statut socioéconomique ne te le permet pas, mais t’aimes pas particulièrement les gosses de riches non plus. Préjugé? Oui, certainement. Cabot House? Celle-ci aurait été un bon choix si t’étais toujours cette boule d’énergie qui n’a jamais eu à vivre le deuil de ses parents. Aujourd’hui, c’est différent. T’allais, immanquablement, faire de ton deuxième choix la Mather House. Pourquoi? Parce qu’au-delà de la fille qui s’exprime avec l’art se trouve une femme brisée, une orpheline, une casse-cou. La liberté est une chose qui n’a pas de prix. La preuve, à travers les générations, l’homme s’est battu pour atteindre ce but ultime. T’es cette fille qui n’aime pas particulièrement qu’on lui dise quoi faire et comment le faire. Ça t’amuses parfois de provoquer un peu les gens et de faire ressortir ton côté revendicatrice. Ton côté anti conformiste. En plus, le moins qu’on puisse dire c’est que tu es une sacrée fêtarde
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES
L’humain peut être stupide. L’humain peut être vil. L’humain est ce qu’il est. Il n’est pas parfait. Loin de là. Tu le savais. Ta route avait déjà, immanquablement, croisée celle d’un connard ou deux... Cependant, t’étais loin de t’imaginer que tu allais avoir la preuve irréfutable que l’homme est capable d’autant de mesquinerie et, par la même occasion, d’autant de stupidité. C’était ta deuxième année à l’université et tu étais en première année de droit. Tu pensais que t’étais forte. Tu te croyais invincible. Tu te foutais un doigt dans l’œil… Royalement. T'en es sortie écorchée et totalement abattue.
Tes hanches s’élancent au rythme de la musique. Souffle court. Ton cœur pulse à un rythme effréné dans sa cage. Tu te sens emmitouflée dans cette foule de gens. Tu te sens légère. En vie. Puis, soudainement, tout tourne autour de toi. C’est, le cœur sur les lèvres, que tu arrives à te frayer un chemin, les jambes molasses et l’esprit confus, vers les toilettes pour dames. L’alcool étant ce qu’il est, tu te rends compte maintenant qu’il est possible que tu aies abusé. Juste un peu. Puis, d’un coup, tu perds la vue. Quelques cris de surprises atteignent tes oreilles. Une panne d’électricité. Il ne manquait plus que ça. Ton euphorie disparaît lentement en laissant place à se mal de cœur qui te tord les entrailles. Tu t’enfermes rapidement dans une cabine et tu t’assoies en indien devant la toilette, un rictus sur les lèvres. «Y’a quelqu’un!?» Aucun son ne sort d’entre tes lèvres. Ta tête est posée sur tes avants bras apposés sur le bol de la cuvette. Sexy. T’es carrément à ton meilleur, là. T’aurais dû t’arrêter après les shooter de Tequila. Ton estomac se tort, mais t’arrives pas à vomir. Un mec arrive et dit à la meuf de ne pas avoir peur. Les choses dégénèrent très rapidement. Te voilà tétanisée devant le ton menaçant de l’homme. « Tu parles juste quand je t’en donne l’autorisation et tu ne me regardes pas dans les yeux c’est clair? Maintenant, déshabille-toi.» T’as du mal à respirer. Putain d’bordel de merde. « Tu peux crier autant que tu voudras, personne ne t’entend. » C’est faux. T’es là, toi. T’es là et tu fous rien. T’es là, le cœur sur les lèvres et l’adrénaline dans les veines. T’es conne ou quoi? Fais quelque chose. T’y arrives pas. Il lui fou des coups et t’entends un bruit sourd. Les larmes aux yeux, t’avales difficilement ta salive. Tu retiens un sanglot et tes mains tremblent. Il la viole. Il la viole et tu pleures silencieusement… Trop poule mouillée pour intervenir. Trop fragile. Trop stupide. Stupide. Stupide. Stupide. Viens ensuite la culpabilité. Une de celles qui ne te quittera jamais.
L’humain peut être stupide. L’humain peut être vil. L’humain est ce qu’il est. Il n’est pas parfait. Loin de là. Tu le savais. Ta route avait déjà, immanquablement, croisée celle d’un connard ou deux... Cependant, t’étais loin de t’imaginer que tu allais avoir la preuve irréfutable que l’homme est capable d’autant de mesquinerie et, par la même occasion, d’autant de stupidité. C’était ta deuxième année à l’université et tu étais en première année de droit. Tu pensais que t’étais forte. Tu te croyais invincible. Tu te foutais un doigt dans l’œil… Royalement. T'en es sortie écorchée et totalement abattue.
Tes hanches s’élancent au rythme de la musique. Souffle court. Ton cœur pulse à un rythme effréné dans sa cage. Tu te sens emmitouflée dans cette foule de gens. Tu te sens légère. En vie. Puis, soudainement, tout tourne autour de toi. C’est, le cœur sur les lèvres, que tu arrives à te frayer un chemin, les jambes molasses et l’esprit confus, vers les toilettes pour dames. L’alcool étant ce qu’il est, tu te rends compte maintenant qu’il est possible que tu aies abusé. Juste un peu. Puis, d’un coup, tu perds la vue. Quelques cris de surprises atteignent tes oreilles. Une panne d’électricité. Il ne manquait plus que ça. Ton euphorie disparaît lentement en laissant place à se mal de cœur qui te tord les entrailles. Tu t’enfermes rapidement dans une cabine et tu t’assoies en indien devant la toilette, un rictus sur les lèvres. «Y’a quelqu’un!?» Aucun son ne sort d’entre tes lèvres. Ta tête est posée sur tes avants bras apposés sur le bol de la cuvette. Sexy. T’es carrément à ton meilleur, là. T’aurais dû t’arrêter après les shooter de Tequila. Ton estomac se tort, mais t’arrives pas à vomir. Un mec arrive et dit à la meuf de ne pas avoir peur. Les choses dégénèrent très rapidement. Te voilà tétanisée devant le ton menaçant de l’homme. « Tu parles juste quand je t’en donne l’autorisation et tu ne me regardes pas dans les yeux c’est clair? Maintenant, déshabille-toi.» T’as du mal à respirer. Putain d’bordel de merde. « Tu peux crier autant que tu voudras, personne ne t’entend. » C’est faux. T’es là, toi. T’es là et tu fous rien. T’es là, le cœur sur les lèvres et l’adrénaline dans les veines. T’es conne ou quoi? Fais quelque chose. T’y arrives pas. Il lui fou des coups et t’entends un bruit sourd. Les larmes aux yeux, t’avales difficilement ta salive. Tu retiens un sanglot et tes mains tremblent. Il la viole. Il la viole et tu pleures silencieusement… Trop poule mouillée pour intervenir. Trop fragile. Trop stupide. Stupide. Stupide. Stupide. Viens ensuite la culpabilité. Une de celles qui ne te quittera jamais.
APRÈS LE TREMBLEMENT DE TERRE AU CHILI
Tes valises étaient prêtes. Tu étais bien déterminée à fêter le Spring Break comme il se doit. Puis, un coup de téléphone a tout changé. On t’a appris que ta grand-mère était gravement malade et il était hors de question pour toi de quitter le pays dans une situation pareille. Ta nana a toujours été là pour toi. Quand tes parents sont morts, elle a été ta bouée de sauvetage alors qu’elle faisait le deuil de son fils, ton père. T’es restée aux États-Unis pour elle et tu t’es rapidement rendue compte que tes cousines avaient fait pareil. Tu n’aurais manqué la chance de lui faire tes adieux pour rien au monde. Finalement, elle est morte à l’automne, mais tu n’as jamais regretté d’être restée.
Tes valises étaient prêtes. Tu étais bien déterminée à fêter le Spring Break comme il se doit. Puis, un coup de téléphone a tout changé. On t’a appris que ta grand-mère était gravement malade et il était hors de question pour toi de quitter le pays dans une situation pareille. Ta nana a toujours été là pour toi. Quand tes parents sont morts, elle a été ta bouée de sauvetage alors qu’elle faisait le deuil de son fils, ton père. T’es restée aux États-Unis pour elle et tu t’es rapidement rendue compte que tes cousines avaient fait pareil. Tu n’aurais manqué la chance de lui faire tes adieux pour rien au monde. Finalement, elle est morte à l’automne, mais tu n’as jamais regretté d’être restée.
TON ADMISSION À HARVARD
Ta voie était toute tracée. Tu as toujours su que tu voulais étudier à Harvard. Cette université, t’en rêvais depuis que tu étais toute petite. Suivre l’exemple de tes parents. Malheureusement, tu n’avais pas prévu que tout ton univers allait se retrouver sans dessus dessous. Qui prévoit perdre ses parents, mh? Personne. Ton admission a été périlleuse. T’avais pris une année sabbatique pour te remettre les idées en place et tes études n’ont pas été ta priorité lorsque tu étais en terminale. En gros, ton dossier d’admission aurait pu être meilleur, mais tu as cassé la barraque aux SATs. Tu as réussi, malgré tout, à être admise à Harvard. Ton ‘’essay’’ t’a valu de bons commentaires et tu es restée toi-même à l’entretien. Tu leur as fait comprendre que tu as ce qu’il faut : passionnée, travaillante et ambitieuse. Tu as été admise en Arts Visuels et, l’année d’après, tu as plutôt opté pour des études en droit. T’es cette fille têtue qui fait tout pour avoir ce qu’elle veut. Heureusement, avant leur mort, tes parents avaient déjà mis de l’argent de côté pour tes études.
Ta voie était toute tracée. Tu as toujours su que tu voulais étudier à Harvard. Cette université, t’en rêvais depuis que tu étais toute petite. Suivre l’exemple de tes parents. Malheureusement, tu n’avais pas prévu que tout ton univers allait se retrouver sans dessus dessous. Qui prévoit perdre ses parents, mh? Personne. Ton admission a été périlleuse. T’avais pris une année sabbatique pour te remettre les idées en place et tes études n’ont pas été ta priorité lorsque tu étais en terminale. En gros, ton dossier d’admission aurait pu être meilleur, mais tu as cassé la barraque aux SATs. Tu as réussi, malgré tout, à être admise à Harvard. Ton ‘’essay’’ t’a valu de bons commentaires et tu es restée toi-même à l’entretien. Tu leur as fait comprendre que tu as ce qu’il faut : passionnée, travaillante et ambitieuse. Tu as été admise en Arts Visuels et, l’année d’après, tu as plutôt opté pour des études en droit. T’es cette fille têtue qui fait tout pour avoir ce qu’elle veut. Heureusement, avant leur mort, tes parents avaient déjà mis de l’argent de côté pour tes études.
TELL US MORE
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Nomade et j'ai 19 ans. Je suis Québécoise et j'ai connu le forum grâce à Suzy et Lily. Ce forum a l'air super. J'espère m'y plaire. :) J'utilise Scarlett Simoneit comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Feu ardent et Kiri. Je fais environ 200 à 800 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.
Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
adhérer un flood d'intégration (?)
je veux être parrainé si oui, par pseudo du parrain (voir la liste des parrains)
Je recense mon avatar ▲
si personnage inventé:
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[size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/t79627-dylan-underwood-scarlett-simoneit#2842385]►[/url] ► <span class="pris">SCARLETT SIMONEIT</span> ♦ “Dylan Underwood”[/size]
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<span class="pris">AVATAR</span> ♦ “Dylan Underwood”[/size]
MORE OF YOUR OWN STORY
ECHO. (musique)
Mon regard glisse sur ses volets bleus et sa façade blanche. La noirceur absolue que je peux apercevoir à travers la fenêtre me donne la chair de poule. Cette maison… Elle renferme tellement de souvenir. J’arrive pas à comprendre comment j’arrive à avoir le cœur réparé et brisé à la fois en la voyant. Elle arrive à mettre un baume sur mes blessures, mais elle représente aussi tout ce que j’ai perdu. Bordel. J’y arriverai pas. Un frisson me parcourt l’échine et j’ai du mal à respirer. Putain. Mes poumons se compriment dans ma poitrine et mon cœur se serre comme si quelqu’un l’écrasait dans sa paume. « Je peux y aller pour toi, si tu veux, ma puce. » Je serre tellement la mâchoire que j’en ai mal. J’hoche négativement la tête. Un dernier regard vers tante Mary et mon pied foule l’entrée. J’ouvre la lumière et referme la porte derrière moi. Il fait froid. La poussière recouvre les photos de familles et ce silence… ce silence est insupportable. Les larmes obstruent ma vision et je sanglote. Qu’est-ce que j’ai fait pour mériter ça ? QU’EST-CE QUE J’AI FAIT ? Putain… j’en peux plus. J’y arrive pas. J’y arrive pas. Jsuis supposée faire quoi, mh? Passer à autre chose? Oublier que toute ma saloperie de vie est devenue un chao considérable? Oublier que mes parents sont morts? Je pleure. Pour la première fois depuis que j’me suis réveillée dans cet hôpital de merde. Depuis que j’ai appris la nouvelle. J’pleure. La main tremblante j’essuie mes larmes intarissables et ma respiration saccadée fait écho dans les couloirs vides de vie. J’y arrive plus. J’arrive plus à garder le contrôle. J’envoie balancer les portraits de famille contre les murs. Leur vitre gisant au sol. Mes jambes se dérobent sous mon poids et je me laisse tomber au sol. Des bras rassurants s’enroulent autour de moi et je les repousse. Ils sont morts. Putain ils sont morts...
❖❖❖
● Née à Boston et y a vécu toute sa vie. ● Dy’ est fille unique, mais avec un nombre incalculable de cousins et cousines. ● Enfance typique avec une famille aimante. ● Ses parents sont morts dans un accident d’auto lorsqu’elle avait 16 ans. Un mec les a percutés. Il était en capacités affaiblies. ● Elle est la seule survivante. ● La fille qu’elle était jadis est morte dans cet accident. ● À sa sortie de l’hôpital, elle a été recueillie chez sa tante Mary. ● Une nouvelle Dylan est née : provocatrice, brisée, rebelle. Elle s’est éloignée de plusieurs de ses amis pour de mauvaises fréquentations. ● Le mec qui a tué ses parents c’en est sorti grâce à l’argent de ses parents. ● Elle a fait une dépression. ● Elle a tenté de se suicider le jour de son dix-septième anniversaire, ce qui lui a valu un séjour à l’hosto. ● Dylan a peur de s’attacher aux gens. Peur de les perdre… de revivre le calvaire qu’a été sa vie après la mort de ses parents. ● Elle a pris une année sabbatique lorsqu’elle a enfin terminé le lycée. ● Au cours de cette année, elle a voyagé à travers les USA. ● Elle s’automutile. ● La famille c’est sacré. ● La musique et l’art sont ses havres de paix. ● Au départ, elle c’était inscrite à Harvard en majeur d’Art Visuels, mais elle est entrée en Droit l’année d’après pour prendre l’art en mineur au bout du compte. ● Elle est hyperlaxe. C’que ça veut dire ? Elle est très très souple. Malheureusement, cela veut aussi dire qu’elle a des articulations de merde. ● Gauchère et ça ne s’applique pas qu’à sa main d’écriture… elle est maladroite. ● Dépendante à l’adrénaline. ● Elle travaille au Black Dog comme serveuse. ● Elle a été témoin d’un des viols faits lors de l’année 2014-2015. ● Sa grand-mère est morte en Octobre 2016 et ça lui a brisé le cœur. ● Pour toucher l’héritage de sa nana, elle doit réaliser son dernier souhait la concernant : Pardonner. Pardonner qui ? Se parler à elle-même d’avoir survécu. Se pardonner ses putains de conneries. Faire son deuil… Être heureuse. Autant dire que sa grand-mère lui demande de décrocher la lune. En fait, non, même ça c’est plus facile à faire. ● Elle vit ses émotions très intensément. Surtout la tristesse. ● L’alcool lui fait perdre ses inhibitions. Elle redevient soudainement la fille qu’elle était avant… Celle qu’elle cache sous une crasse de sarcasme, de fierté.
❖❖❖
✧ Dy, c’est la fille si compliquée mais si simple à la fois. Dy est un mystère. Elle parle peu d’elle-même. Celle qui a l’air revêche, mais qui cache une fille fragile. ✧ Fêtarde ✧ Spontanée ✧ Joueuse ✧ Bornée ✧ Directe ✧ Impulsive ✧ Passionnée ✧ L’air blasée mais ne l’est pas réellement. ✧ Créative ✧ Intelligente ✧ Persévérante ✧ Perfectionniste ✧ Orgueilleuse ✧ Cochonne ✧ Le sarcasme est sa marque de commerce. ✧ Rancunière ✧ Généreuse ✧ Amusante ✧ Attentionnée ✧ Anticonformiste ✧ Vulgaire ✧ Provocatrice ✧ Dure avec les gens qu'elle aime. C'est sa façon de se protéger. ✧ Protectrice ✧
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