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Fragile and composed (dana)

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La rentrée. Déjà. Je n'étais pas particulièrement enchanté de croisé cette fameuse date, j'en étais presque malade, pourtant, on y était enfin. J'allais devoir de nouveau m'attacher aux études, et suivre la même année que la précédente en n'ayant la tête seulement qu'entre les livres. Ce que j'avais commencé à faire jusqu'à ce que ma très chère soeur, Georgia, m'appelle pour que je vienne, à la Cabot House, encore pour une histoire stupide mais pour laquelle j'étais obligé de venir. Une fois la-bas, la jeune femme m'avait présenté sa voiture m'indiquant qu'elle ne voulait plus démarrer. Après plusieurs minutes à chercher d'où venait la panne, j'avais finalement compris que la cabot avait laissé certainement ses feux allumés, grillant brillamment son moteur avec. J'en pouvais plus de ses femmes avec leurs manies à oublier tout, et surtout à tout moment. On avait finalement appelé une dépanneuse et j'en étais sortie sans trop de salissure. Juste quelques traces noirs que je comptais bien essuyer dès que l’occasion s'en présenterait. Pour une fois, mes compétences m'avaient finalement servi, cette matière que je prenais pour une perte de temps, plus que pour un passe temps. Quittant la rose, j'entreprenais une marche jusqu'à mon véhicule jusqu'à ce qu'une jolie brune me coupe devant, ne prêtant guère attention à qui je pouvais bien être. Dana. Un sourire se dessine sur mon visage progressivement, et l'idée de me venger me traverse l'esprit. Cette petite garce. J'étais toujours autant énervé quand je l'a voyais, se balader avec fierté, alors qu'elle avait eu l'audace de ce foutre de moi. Je me dirigeais vers elle, posant mes doigts gluants et sombres sur ses joues pour les étaler jusqu'à ses oreilles ainsi que ses cheveux. « Comme c'est beau de te revoir. » dis-je soudainement, fier de mon action, je pouvais à présent me barrer tout en douceur, j'avais remplis une bonne action aujourd'hui. Je m'étais essuyé et avait dans une même temps rendu la véritable apparence à cette Cabot. Elle n'était que noirceur.

@Dana Elkaïm
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Le regard perdu dans le salon de la demeure des Cabot, tu écoutais les autres bizuts plus ou moins se plaindre de leur bizutrice et des défis qu’on leur donnait. Si toi, tes défis ne te gênaient pas plus que ça, il était plus question de qui te les donnait. Cecilia. Ou Cecile comme tu aimais l’appeler. Quand on t’avait annoncé qu’elle serait ta marraine à la Cabot, t’avais manqué de t’étouffais. T’avais rien montré mais à l’intérieur, t’avais été partagé entre le rire et le dégoût. Votre rencontre datait du Summer Camp et dès le premier regard, tu ne l’avais pas porté dans ton cœur. Tu revoyais son regard aguicheur et sa manie de toujours devoir se montrer et ça te donnait presque envie de vomir. Surtout quand tu savais qu’elle s’était attaquée à un mec en particulier. La voix cristalline d’une de tes sœurs te sortit de tes pensées alors qu’elle te demandait ce que tu avais dû faire. « J’ai dû saccager la chambre de quelques Winthrop. » dis-tu naturellement, comme si tu demandais une baguette au boulanger avant de sourire malicieusement rien que de repenser à tes actions. Tu t’étais attaquée à la chambre de deux mecs que tu ne connaissais ni d’Eve, ni d’Adam, Royce et Adam et aussi celle de Ragnar. Ah, Ragnar. T’y avais pris un réel plaisir pour ce dernier. Au bout d’une demi-heure à supporter les discussions typiques de nana, tu te levas en annonçant ton départ, racontant un bobard pour te tirer de là et pris la porte sans attendre. L’air frais te faisait un bien fou tant t’avais eu l’impression d’étouffer là-dedans. Tu reprenais ta marche normalement, réfléchissant à où aller, mais deux mains se posèrent sur tes joues, te stoppant net dans ton élan. Une odeur de suie parvenait à tes narines en même temps que la personne te caressait les joues et les cheveux. Yeux fermés, tu ne savais de qui il s’agissait jusqu’à ce que ce con ne parle. Ragnar. Quand il eut fini de s’amuser à te pourrir le visage de sa merde, tu ouvris les paupières et le vit se casser. Ah non j’crois pas non. Tu le rattrapas bien vite et choppas son poignet pour le forcer à se tourner vers toi et à s’arrêter. Une fois face à lui, tu te mis sur la pointe des pieds et approchas ton visage du sien pour y coller vos joues et te frotter contre lui, déposant la suie sur sa peau à ton tour. « Mon Ragnaaaar, tu m’avais manquéééé. » dis-tu tout en étalant la crasse sur ses joues, ironique. Tu savais pas s’il t’avait manqué en fait. Vous aviez bien du mal à savoir, l’un comme l’autre, si vous vous appréciez vraiment. Mais ce qui était sûr, c’est que le faire chier t’avait bel et bien manqué.
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J'étais assez content de l'oeuvre d'art que j'avais pu peindre sur son visage aussi répugnante que sa propre personnalité. Et elle devait être d'ailleurs assez honorer qu'un prince puisse poser ses mains sur une roturière dans son genre, une fabrication de ma télévision, de la télé-poubelle à laquelle j'avais accepté de participer sans connaître les véritables visages. Mon action accomplis que je considérais comme participant à la rehausse de la dignité humaine, je commençais à rebrousser chemin n'ayant pas que ça à faire. Les bouquins m'attendaient déjà et la connaissance à l'intérieur s'y trouvant en abondance n'attendait plus que moi pour une extase sans pareille. Mais, la jeune femme, n'étant pas dupe et dans un accès de vengeance, me retenait, appuyant son visage tout crasseux contre le mien. Me citant en appuyant bien le mot manqué. Quel connasse. Les sourcils froncés, l'esprit s'échauffant, n'aimant pas être provoqué, je reculais son visage poisseux du miens pour dégager une expression d'agacement. « Me touche pas. Tu vas me contaminer avec ta connerie. » répliquais-je en essuyant comme je pouvais la marque invisible à mes yeux sur ma joue. « T'es vraiment une emmerdeuse, tu ne perds rien pour attendre. » dis-je en fronçant les sourcils, voulant subitement lui faire manger l'herbe rien que pour me venger.
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