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The language of friendship is not words but meanings • Ashrin

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La rentrée arrivait à grand pas alors le summer avait touché à sa fin. Et si pendant deux mois Boston avait été assez vide selon toi, sans plus des trois quarts de tes amis, il était évident que c'était plus le cas. Ils étaient tous revenus, dont Marin qui c'était caché de te le dire. Pour se 'rattraper' il avait trouvé rien de mieux que de te brosser dans le sens du poil en t'invitant chez lui. Enfin. Parce que pendant l'année pas une seule fois il t'avait invité le coco. Pas besoin de te le dire deux fois. Tu te fis pas prier et tu partis chez lui directement. Ne te la jouant pas à spider man, ni à un jamakasi, comme lui la dernière fois chez toi, tu utilises l'ascenseur et frappe pour signaler ta présence tout en rentrant. Comme si c'était chez toi. Range ton petit kiki Marin, je suis là que tu préviens, criant pour bien faire porter ta voix et te la jouant relou comme lui, comme quand il était venu avant le début du summer camp, boire l'apéro au loft, demandant à Denys de se rhabiller au cas où vous étiez en train de coucher ensemble. T'as refait que le nez t'es sûr ? que tu t'amuses à lui dire en le voyant se pointer. Ben quoi ? Non seulement ça a toujours été comme ça entre vous, mais en plus, il le mérite pour avoir été un pote indigne tout l'été. Voilà. T'annonces déjà la couleur un peu. Et continuant de faire comme chez toi, tu commences la visite de chez lui, sans attendre qu'il fasse le guide, te débrouillant par toi même, t'imposant clairement. Ca va, c'est pas trop moche par ici. Il a du goût ce petit quand même, mais on voit bien que y a une touche féminine aussi, car si t'es jamais venue, tu sais au moins qu'il est en coloc avec une Anastasia. Bien que tu ignores qu'elle est partie y a quelques temps et qu'elle revient actuellement...

@Marin N. Perol The language of friendship is not words but meanings • Ashrin 2511619667
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A peine de retour des vacances que tout le monde semblait en ébullition, du moins je n'avais pas été vraiment surpris, après tout, j'étais tout de même un élément important dans ce vaste université. Mais l'invitation à dîner de mon père, celle-ci avait eu l'effet escompté puisque j'étais perturbé, je me posais pas mal de question. Certes, je savais qu'il avait une idée dernière la tête concernant Elbeth et notre mariage mais nous inviter à manger, d'un coup, ça me paraissait louche. Tellement, que j'en arrivais à apprécier la présence d'Elbeth, qui semblait réconfortante. Dans la canapé, avachit, je regardais la télévision, seul, hors présence de ma toute nouvelle colocataire, Reese. Notre emménagement c'était plutôt bien passé, hormis ma manière de lui souhaiter la bienvenue avec une partie de ses vêtements cachés et l'autre sur moi. Mais je me devais de la mettre directement dans le bain, qu'elle sache que vivre en ma compagnie ne serait pas de tout repos. Elle devait en avoir déjà marre puisqu'elle n'était pas présente, encore. Baillant, j'entendais bientôt quelques bruits répétés ainsi qu'une voix claire et nette que je reconnaîtrais parmi tous. Ashleigh avait daigné enfin ramener son cul dans ma nouvelle demeure. Je déplace Ambroise dormant paisiblement, à présent mon chat couleur ébène pour l’accueillir. « Je sais que tu aurais aimé me trouver nu, mais il fait frisqué aujourd'hui. » répondis-je en fermant la porte derrière elle. « Ouais, il est refait et magnifique. Je sens ta jalousie devant une telle oeuvre mais je ne t'en tiendrai pas rigueur, je suis un chic type. » Le sourire jusqu'aux oreilles, je n'avais pas revu la jeune femme depuis mon départ au summer camp, depuis que je savais que sa mort n'avait été qu'une stupide erreur d'une infirmière que j'aurai bien viré si j'avais eu l'envie. Curieuse, la mather s'engouffrait dans la maison en inspectant le mobilier. « J'ai du goût pauvre moche. » répliquais-je en lui montrant mon majeur d'un peu plus près. « Bon quoi de neuf ? T'as soif ? » demandais-je en me dirigeant vers la cuisine, prêt à dégainer les verres.
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Digne de toi, digne de ta relation avec le français, tu rentrais chez lui en le charriant, sur son sexe et sa longueur. Tu lui rendais la balle qu'il avait lancé avant de partir au summer camp. Et bien sûr, tu t'attendais à une réplique digne de lui, ce qu'il fit en beauté, prétextant que j'aurais aimé le voir à poils. Tu te mis à rire ironiquement. Je veux pas voir d'horreur, ni perdre mes yeux. Puis Denys n'approuverait pas tellement et il l'avait déjà exprimé l'autre fois, quand vous aviez fait soirée ensemble, que ça avait parlé plage de nudiste, Marin à poil, toi qui avait parlé de son sexe qui l'empêcherait de pécho des meufs et lui qui avait dit que tu ne dirais pas ça si tu le voyais. Moment où Den' était intervenu pour dire que ceci n'aurait pas lieu, marquant bien son territoire, chose que t'avais laissé couler à l'époque, ne t'attardant pas trop sur cette possessivité. Tu continues à l'embêter en parlant de son nez refait qu'il a évoqué, mais tu vas toujours plus loin, sous entendant qu'il a refait toute la tronche. Faut rattraper les deux mois d'été, lui au Laos, toi à Boston. Tellement jalouse que je ne vais pas te demander le numéro de ton chirurgien. Ce genre de pratique c'est très peu pour toi. Façon t'as besoin de ne rien refaire, t'as tout ce qu'il faut là où il faut. Une belle poitrine, un bon petit cul, un ventre plat, un visage parfait. Vraiment rien à changer. Rien. Puis tu regardes son appart, faisant la visite par toi même, commentant celui ci, qui n'est pas trop mal. Forcément, il se défend avoir bon goût, son majeur en gros plan devant tes yeux. Etant donné qu'on a jamais couché ensemble, je peux me permettre de dire que t'as pas de bons goûts et toc. Ouais t'allais pas te clasher non plus. Et monsieur offre à boire. Tu siffles, faisant la nana impressionnée, épatée. C'est qu'il sait recevoir ses invités en plus. Une bière si t'as. La question à ne pas poser. Sur ce point là il est comme toi, il a toujours des bières. C'est un mather dans l'âme, un futur mather en devenir une fois son bizutage validé. Enfin ce que tu crois mais qu'il va te la jouer à l'envers. Ben écoute, je suis bien contente que vous rentrez tous, revoir du monde autre que Den' ça va être cool, bien que ça va être bizarre de repartager le loft avec nos deux autres colocs alors qu'on était que nous pendant deux bons mois. Ouais ça allait être ça le plus dur. Ne pas pouvoir faire des cochonneries comme bon vous semble. Quoique, ça vous avez pas empêché de le faire sur le canapé, la porte d'entrée pas fermée à clé, et vos colocs pas encore partis au summer camp. Et toi ? T'as enfin pécho ou pas ?
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La jolie blonde avait enfin daigné sortir de chez elle pour mon entre. Forcément, même après de longs mois de séparation, nous retrouvions nos habitudes et accessoirement nos répliques à deux balles. Et on les enchaînait, pas de place pour la gentillesse entre nous, et ce depuis notre rencontre, où du moins, on la faisait passer d'une autre manière. « Mais ferme-la. Si tu étais quelqu'un de lambda, y'a longtemps que t'aurais succomber à mon charme. Mais comme t'es pas humaine et plus une alien, je le comprends, tant fait pas. » Elle était impossible, toujours à vanner sur la moindre chose. Je souriais avant de froncer tout à coup les sourcils. « Denys ? Qu'est-ce qu'il a avoir la dedans ? » J'avais l'intime conviction d'avoir certainement encore loupé quelque chose d'important, mais sans savoir exactement quoi. Mais mon petit doigt me disait que le voile de ses incertitudes allaient rapidement se dissiper. La conversation dérive facilement jusqu'à mon la beauté prestigieuse de mon nez. « De toute manière, je ne te l'aurai pas donner, trop de boulot sur ta face. » répliquais-je tout sourire en la pointant de mon index long et fin. L'appartement silencieux auparavant revivait rapidement, je regrettais Ana, malheureusement, je ne pouvais pas tout avoir. Et si, j'aimais passionnément l'embêter quand elle se mettait du vernis à ongle, sa présence avait été importante à la longue, une fleur dans la tanière d'un ours. Une passionnée mais aussi, une maîtresse dans l'art de choisir avec précaution les œuvres ou objets qui avaient décoré notre appartement pendant une année entière. « J'ai toujours bon goût, t'es juste pas dans cette catégorie. » Et bim, une pique de plus, encore et toujours pour la déstabiliser, peut être avouerait-elle un jour que je suis le meilleur dans cet art ? J'en étais presque sûr. Arrivant dans ma cuisine aménagée, je me dirigeais vers les verres jusqu'à ce qu'elle demande une bière. Un passage par le frigo plus tard, j'en sortais une Despe pour la posé sur l'îlot central. Je continuais pour ma part, en sortant une Skroll bien fraîche. « Je me prépare pour rentrer à la Mather House. » J'allais enfin être un vert. Un parfait cocktail de réussite se profilait à l'horizon. Je sentais déjà un vent de fraîcheur et une nouvelle année sous le signe d'Ashrin. « Que veux-tu, je savais que tu nous adorait, même Denys te suffit plus. » Un sourire. Denys lui devait être aux anges, Ashleigh seulement pour lui sans tous les vautours qu'on lui connaissait tant. « Oui et non à la fois. Je suis plus rentrée bourré qu'autre chose pendant ses deux mois. » J'en avais presque des renvoies de Vodka, d'ailleurs je ne pouvais même plus boire une seule goutte de cet alcool tellement j'en avais été écœuré.
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A peine réunis, il ne fallait pas plus de deux minutes pour que les vannes commencent. C'était toujours comme ça entre vous, votre façon de communiquer, de vous aimer, et ça vous allait très bien, plutôt très d'accord sur ce dégoût de sentiments, de naïveté, de niaiseries, que les autres humains peuvent faire preuves. Et c'était si facile entre vous, de vous charrier sur tout et rien. Ouais ben dans ce cas tu peux te retourner la chose Marin, personne ne résiste à ce corps, et y a longtemps tu aurais succombé si on était pas devenus potes. T'en mettais ta main à couper. Les deux gros séducteurs et incapable de se poser, se stabiliser, aimant bien le sexe, avaient tout pour finir ensemble dans un lit, mais le destin avait choisi l'amitié pour vous. Une très bonne chose car l'image de lui et toi au pieu, ça te donnait envie de vomir. Il était plus comme un frère qu'autre chose. Impensable. Et t'es pas au courant ? que tu dis concernant la question sur Denys. Sourcil haussé, tu le dévisage un instant. Si tu te coupais pas du monde tu vois tu serais au courant et tu fais durer le suspense, l'entendant déjà demander 'au courant de quoi ?'. Denys et moi... tu t'amuses de la situation, puis aussi car tu sens déjà les vannes arriver et t'en meurs pas d'envie. On est ensemble... Bombe larguée, il te reste plus qu'à te planquer. Quant à son nez, là encore trop tentant pour ne pas le taquiner. Tu sous entends qu'il aurait dû refaire tout et non juste son pif. Même qu'il l'a loupé et ne souhaitant pas avoir le numéro de celui ci, ayant un visage parfait, lui il contredit. Pique attendu, prévisible, tu souris. Ouais, ouais, ouais que tu réponds en levant les yeux au ciel, ton index aussi et faisant tourner celui ci en rond, bien pour montrer ton 'je m'en foutisme' de ses paroles. Et la déco, t'imposant ta propre visite guidée, tu reconnaissais que ça allait. Tu te serais attendue à pire en vrai. Occasion parfaite pour le winthrop de faire genre en se la cranant un peu. Ou t'as embauché une décoratrice d'intérieure, bien plus son genre. Tu ne dis quand même pas non à son offre de boire et c'est une bière que tu demandes. Une Despe fut déposée pour toi et tu en prenais aussitôt une gorgée. Fraîche et que tu sentais bien passer dans ta gorge. Un délice. Tandis qu'il appuyait son entrée prochaine à la MH, votre réunion là bas. Et toi, tu appuyais le point que tu avais hâte de revoir du monde, après deux mois coupé de tous, seule à Boston avec Denys. Oh t'inquiète qu'il me suffit que tu réponds, profitant de cette opportunité pour lui laisser sous entendre des choses sexuelles et des images hantées son esprit. Ah ce que tu adores le torturer de la sorte et désormais en couple officiel avec le mécano, Marin va en avoir beaaaaaaucoup à supporter (a). Tu étais donc incapable de faire lever quoique ce soit, donc impuissant ? Tu rigoles, lui fait un clin d'oeil et reprend une gorgée de ta bière. Tu sais que je vais te demander comme bizut ? que tu préviens, histoire qu'il commence déjà a flipper un peu.
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Moi ? succomber à son charme ? Un rire rauque ne pouvait être retenu après un tel affront, je n'arrivais pas à croire qu'après autant de temps, je pouvais toujours entendre de telle connerie sortir encore de sa bouche. Je n'arrivais surtout pas à comprendre cette certitude, à croire que ça tombait sous le sens. J'hausse un sourcil, déformant mon visage pour celui d'un profond dégoût. « C'est beau de rêver. Et ne reprend pas mes vannes, je sais que pour toi c'est compliqué puisque je suis ton héro, ton idole, mais calme toi, je suis déjà sympas de t’accueillir. Pousse pas le bouchon, Maurice. » répliquais-je sur une pointe d'humour bien française venant d'une pub avec un poisson rouge. Je me demandais d'ailleurs si grâce à cette pub, la vente des poissons avaient décollé, très bonne question. Existentielle même. D'ailleurs en parlant de poisson, un autre bien plus gros avait fait le mort durant tout l'été, mon bon vieux Denys. « Je suis pas au courant ? » Mes doutes s'étaient bel et bien révélés être réels, quelque chose c'était bel et bien passé ? J'espérai sincèrement qu'il ne soit pas retourné en prison, avec lui, tout était possible, le meilleur comme le pire. « Je me coupe pas du monde.. J'ai eu quelques problèmes dernièrement. » répondis-je en faisant référence à la mort de mon oncle, et de tout ce qui allait en découler, et dont je n'osais absolument pas lui en parler. Fidèle à elle même, elle faisait durée le suspense, poireautant pour connaître enfin la nouvelle. Et la sentence tombe. Je reste un peu sur le cul, tenant un peu plus ma bière pour ne pas la lâcher. « C'est une blague ? » demandais-je en souriant, avant d'ouvrir ma bière brutalement pour la secouer et envoyer le contenue sur la jeune femme. « Félicitations. Putain, depuis le temps.. » J'attendais cette union depuis la nuit des temps, essayant part tous les moyens qu'un rapprochement se produise, et là, je pouvais enfin déclaré que j'étais le meilleur. Je n'avais pas assez de force pour produire une émotion plus d'un soupire de contentement, cependant, j'étais vraiment content pour eux. Esquivant mes belles paroles, la jeune femme, préférait dévier le sujet sur la décoration. « Certainement. Aussi. Y'a des chances. » Finissais-je par avouer en ne sachant absolument pas qui avait bien pu faire la décoration. Ce genre de chose était un peu la crème dans un plat de bolognaise pour moi, inutile. Esquivant son propos sur Denys la satisfaisant parfaitement, je préférais répondre sur ma soit-disant impuissance. « Qui a parlé de ça ? » Demandais-je, tout allait plutôt bien en bas aux dernières nouvelles. Tinder avait fait son petit travail et j'en étais parfaitement ravi. « Et si je te veux pas comme bizutrice ? » demandais-je en souriant, oui, parce que j'avais peut être ce droit de refuser, non ?
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