Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilitySmall relationship problem no ?
Le Deal du moment : -38%
Ecran PC gaming 23,8″ – ACER KG241Y P3bip ...
Voir le deal
99.99 €


Small relationship problem no ?

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Souffle court, souffle rapide, souffle impossible à trouver, tu t'arrêtes devant la porte qui te sert de confrérie depuis deux ans. Cette confrérie qui t'avait accueillie le jour où Gabriella s'était tiré sans aucune raison. Juste pour vivre sa vie, tu l'avais encore sur le coeur mais tu allais mieux non ? Enfin oui, légèrement mieux. Tu passas ta main dans tes cheveux, en soufflant alors que tu avanças dans cette bâtisse qui te servait de dortoir, un jour sur deux, vu que l'autre jour Tessy était dans ton lit. Tu marchas d'un pas certain vers la cuisine pour prendre une bouteille d'eau. Le besoin d'eau se fait ressentir sur toi, surtout que depuis ce foutu jogging d'une heure, tu étais claquée. Le silence de la confrérie se faisait sentir ici mais ce n'était qu'un détail. Tu n'avais pas besoin de bruit pour vivre, juste de toi, d'une bouteille de whisky et de glaçons aussi. Une gorgée puis deux, tu déposas la bouteille sur le plan de travail, commençant à t'étirer. Tu ne pensais pas que tu aurais résisté aussi longtemps ce matin, mais tu avais l'habitude de courir avec ton père pendant plus longtemps et puis, tu lui avais promis de t"inscrire à cette équipe de basket alors il fallait que tu sois en forme aussi. Soufflant une nouvelle fois pour essayer de retrouver un rythme cardiaque correct. Toute en pleine action d'étirage, tu ne vis pas réellement la jeune femme qui rentra dans la pièce avant de tourner la tête. Athénaëlle. Tu souris en coin avant de regarder ta tenue. Bah tant pis, tu n'allais pas te changer maintenant, hors de question. Faut dire que courir simplement en short, c'était parfait. T'es une lève tôt dis donc Wildingham non ? dis-tu avant t'approcher d'elle pour croiser tes bras doucement contre ton torse, bah quoi, vous parliez juste non ?

@ATHÉNAËLLE A. WILDINGHAM
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Il était tôt ; mais tu ne pouvais plus dormir, la rentrée t’avait survoltée et tu ne comptais pas rester à ne rien faire dans tes draps de soie, matière confortable pour dormir. Tu te lever pour te préparer, un short en jean et un tee shirt court plus tard te voilà habiller prête pour te rendre tu ne sais où. Car oui vus l’heure tout le monde dormais encore. Alors autant passé prendre un petit déjeuner dans la cuisine, au moins la bah tu ne réveillerais personne. Tu te faufile dans les couloirs, te dirigeant vers la pièce les mille saveurs et odeur. Tu penses être seule, avoir la paix, après tout tu ne dors pas souvent à la Eliot House, tu avais acheté ta propre villa. Tu franchi le pas de la porte et lorsque ton regard se pose dans la salle, tu te retrouves nez à nez avec Noah ! Tu fronce les sourcils, que pouvait-il bien faire ici lui ?! Il n’avait qu’un short, et rien d’autre. Tu es gênée même si tu n’aies visiblement pas bien plus habillé que lui vus que tu ne portes qu’un t-shirt cour qui se termine au-dessus de ton nombril. Tu soupire, toi qui voulais de la tranquillité, c’était loupé. « Je ne suis pas la seule visiblement. » lui répondais tu avec un ton désinvolte, faisant mine de ne pas le calculer tu t’approches de la table et prend soin de prendre la bouteille de jus d’orange pour t’en servir un verre. « Les bonne manières ne semble pas être dans tes domaines de compétences ! » balançais tu envers lui pas même un bonjour rien, tu n’apprécié pas, tu aimais être respecté. « Cela dis bonjour quand même. » aboyais tu froidement avant de venir vers lui et de lui balançais un torchon à la figure. Tu lui lance un regard glacial, et puis tu fini par t’attendrir un peu, après tout il ne t’avait encore rien fais tu pouvais bien être plus douce avec lui. « Aller essuie toi que tu dégouline, et viens me faire la bise. » demandais tu avant de l’observer faire.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Tremper. C'était le mot a utilisé puisque effectivement tu l'étais, dans tous les sens du terme. Tu ne t'étais jamais senti aussi bien qu'après un de ses tours de Boston. Il faut dire que tu en avais passé du temps. Tu pinças tes lèvres en découvrant la jeune femme qui était en face de toi. T'étirer faisait partit de la chose après tout, mais voilà qu'elle te lance une remarque. Ca commence. Serait-elle irritée ? Je suis toujours un lève tôt moi Et pour cause, t'es toujours partit très tôt des lits de jeunes femmes que tu croises. Mais, tu décides de t'approcher d'elle avant de te recevoir ce fameux torchon. Tu fronças les sourcils légèrement, t'approchant d'elle pour t'essuyer le visage rapidement avec le tissu. Mais si, clairement, cela ne suffirait pas à enlever toute la sueur que tu pouvais avoir sur toi. Mauvaise humeur à ce que je vois, qu'est qu'il t'arrive ? Ton copain ne t'a pas assez satisfait cette nuit ? demandes-tu avant de lui embrasser la joue une première fois doucement Bonjour Athénaelle Wildingham. ajoutes-tu alors que tu partis vers la machine café afin de prendre un long café avec deux sucres. T'es heureuse maintenant que je t'ai salué ? dis-tu alors que tu portas ta tasse à tes lèvres pour y boire le contenu bien chaud

@Athénaëlle A. Wildingham
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Tu fronce les sourcils, tu n’aimes pas que Noah parle de ta relation avec Amaël, tu ne supportes pas le simple fait que se gougea puisse dire quoi que ce soit sur cette belle relation que tu entretiens avec ton chéri. Tu poses ton regard sur lui et lui annonce avec malice « Bien au contraire, tu ne m’as pas entendue crier ? Pourtant tu aurais dus. » Voilà qui était dit ! Tu n’avais pas l’intention de le rendre jaloux, mais si seulement il pouvait fermer son claper ça t’arrangerais ! Tu avais pris soin de l’esquiver depuis la rentrée, et maintenant que tu ne pouvais plus échapper à une tête à tête, tu te montrais froide avec lui et sa frimousse de petit pervers sournois. Tu souris après avoir laissé un soupire sortir de ta bouche. Tu t’approches de lui et fait exprès de presque te collé à lui pour prendre un café à ton tour, puis tu t’éloignes, prenant place à table. « Oui, maintenant ça devrais aller. Passe-moi le sucre tu veux bien ? Ce café est toujours aussi immonde ici, il faudrait renouveler la machine. » Dis-tu histoire de lancer un sujet de conversation un peu au hasard. Et soudain c’est un tout autre sujet qui te vient à l’esprit, celui du bizutage. Tu te questionne, et comme toujours tu as aussi envie de faire la belle. « Dis-moi Noah, qui est ton Bizuteur ? » Alors que tu lui laisser tout juste le temps de commencer une phrase tu lui coupe la parole comme si tu été une princesse à qui l’on doit obéir. « De toute façon cela n’as pas d’importance, pour la bonne et simple raison que mon bizuteur, c’est le meilleur ! Il fait des vêtements, porte un nom très classe, et en plus de cela il est gentil, je le connais depuis un moment, et il est bien plus charmant que toi. Et puis en plus il est parfait, lui au moins il ne parle pas pour dire de la merde. » Oups voilà que tu venais de faire l’éloge de ton bizuteur tout en y glissant une pointe de sarcasme ! Tu lance un regard amusé à Noah. « Bon aller viens on va dans ta chambre, tu vas prendre une douche, tu chlingue, et puis après on ira faire les boutiques, j’au besoin d’un avis masculin pour choisir un robe, je suis invité à un gala de charité pour la société de mon père. » Tu finissais ton café et lui lançais un regard attendant sa réponse. Tu été directive, ne laissant pas réellement le choix, allait-il fuir ?
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Elle veut jouer la maligne et là voilà à te faire remarquer, tu fronces les sourcils avant de hocher négativement la tête. Ah non j'ai rien entendu, il a pas du te faire sauter au plafond, merde. Tu dois pas être assez où il doit en avoir une toute petite pour ne rien avoir entendu. Dommage pour toi, je suis désolé que tu ne puisses pas prendre ton pied parfaitement avec un mec. dis-tu alors que tu prends ton café pour l'écouter une nouvelle fois. Tu en bois une gorgée alors que bien sur, elle fait tout pour te chercher et tu en souffles légèrement. Et bien, tu te lèves Athenaelle, tu sais, ça te fera du bien de faire un peu de sport et d'enlever toute la petite graisse que tu as en trop sur tes cuisses tu la taquines bien sur alors que tu lui lances deux sucres directement. La flemme de bouger, surtout avec ton café en main que tu bois une nouvelle fois. Mais voilà, elle engage la conversation sur son bizuteur. J'ai fini mon bizutage depuis pas mal de temps moi malheureusement pour toi. Je suis là depuis 2015 donc bon, ça remonte un peu cette année de délires et de connerie. Mais heureux de voir que tu es beaucoup amoureuse de ton bizuteur que de ton petit ami, ça craint pour Armel ton copain. lâches-tu avant de prendre une gorgée, dernière en passant, de ton café. Tu fronces les sourcils doucement pour pincer tes lèvres et lever les yeux au ciel. Tu t'approches d'elle pour bien la coincer contre le mur. Ecoute moi bien, je vais pas le dire deux fois, je suis pas du genre à être méchant mais tu me chauffes depuis tout à l'heure avec tes remarques sarcastiques et des ordres. Tout le monde n'est pas à tes pieds princesse, encore moins moi. Tu aimes peut-être les petits soumis comme ton mec, mais je suis loin d'être comme lui. Je "chlingues" peut-être parce qu'on appelle ça du sport. Je ne suis peut-être pas dans la meilleure tenue du monde, mais je suis à l'aise. Et je ne dis pas de la merde, vu que j'arrive à comprendre parfaitement les gens et à leur donner des conseils. Maintenant ton défilé de petits princesses ne m'intéressent, invite donc ton mec, à moins que son avis ne compte pas, et que ton amour pour lui n'est pas aussi parfait que tu comptes le prouver. Maintenant, si tu veux vraiment aller dans ma chambre, avec moi, ça sera pas pour discuter de ma garde de robe et encore moins de la tienne. déposes-tu délicatement avant de sourire. Tu embrassas sa joue lentement pour te reculer avant de marcher jusqu'à ta chambre, les mains dans les poches de ton short, bien heureux de ce réveil. Maintenant à la douche
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Alors que tout semblais bien ce passé, tu avais décidée d’être une peste avec Noah. Pourquoi avais-tu eu cette envie, tu te le demandé encore, alors que vous auriez pu être gentiment posé à discuter, voilà que vous vous preniez tout bonnement la tête, enfin non tu lui prenais la tête pour des détails, des choses sans importance. Alors que tu pensais que tout irais bien et qu’il accepterait ta proposition assez fermer de t’accompagner, il fait tout autre chose. Il s’approche de toi, et tu recule, jusqu’à ce que le mur t’empêche de fuir plus loin. Tu te retrouves bloquais, avec Noah qui te sort son grand discourt. Tu es rancunière et parler de ta relation comme il l’avait fait ne te plaisait pas, et cette fois c’était trop pour toi, tu fais une mine de dégout lorsqu’il dépose un bisou sur ta joue et instinctivement tu le gifle ! Pas une gifle de petite fille amouraché, non une gifle dans la quelle tu es met toute ta rancune, toute ta haine et ta colère envers ses mots. Tu n’avais pas réfléchis à ce geste, il était venu naturellement, car premièrement il n’avait pas à te parler de ta relation, et tu n’aimais pas être bloqué depuis ce viol que tu avais subit en décembre dernier. Agression sexuelle dont personne n’ai au courant. Tu poses ta mains sur ta bouche, et ton visage ce décompose. Tu avais eu peur et des flashes de cette agression étaient remontés à la surface. Tu avais même des larmes qui avaient coulées le long de tes joues, un air choqué se dessine sur ton visage. « Noah je suis tellement désolée, je ne voulais pas mais … » tu t’arrêtes en prononçant pas un mot de plus, tu venais de te rendre compte que tu risquais de lui avouer que la baffe était arrivée sur sa joue à cause d’une agression de l’an dernier, alors tu te ravisais, il ne devait rien savoir, personne ne devais rien savoir. « Non laisse, tu ne comprendrais pas … » ce que tu voulais dire c’est que si tu lui expliquer, il ne comprendrait pas pourquoi toi Athénaëlle Wildingham tu avais laissé un homme te faire du chantage, si tu avouée le viol, il avoué le suicide dont tu été la cause toi et tes deux camarades. Alors non tu ne devais surtout rien dire. « Pardonne-moi Noah. » lançais-tu avant de t’engager dans le couloir, fuyant à grande hâte vers ta chambre.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Franchement, c'était pire que tout. Tu n'avais jamais reçu ce genre de geste, encore moins, eu ce genre de problème. Mais elle venait de t'en mettre une. A toi. Elle venait de te gifler comme si de rien était. Sérieusement, tu baissas la tête au choc, pour regarder le sol alors que ta main se déposa sur ta joue, mine de rien, elle avait été violente, mais tu serres les dents. Woah .. Je savais pas qu'une sainte nichoute pouvait avoir de la force toujours autant de sarcasme, tu relèves la tête pour la regarder. Elle venait de te frapper, tu n'allais avoir aucune pitié pour elle, ça non. Aucune, zéro, nada, que dalle, niette. Ton regard venait de s'assombrir alors qu'elle te commença à rire à son pardon Tu m'as vraiment cru pour un bouche trou sérieux. Tes pauvres excuses de gamine blessée ne m'intéresse pas non. Tu viens de me gifler, personne ne m'a encore giflé, je suis pas prêt d'oublier ça, crois moi ! lâches-tu alors qu'elle commence à parler pour savoir Effectivement je comprends pas pourquoi tu viens de me gifler et franchement.. Je m'en contre fou royalement. Je crois que j'ai été assez sympa avec toi pour au moins mérité un peu de respect et d'humanité non ? Mais t'en as décidé autrement donc tant pis pour toi ! déposes-tu une nouvelle fois sur elle. Mais elle t'avait giflé, même ta soeur ou ton père n'avait jamais levé la main sur toi, ça non. Et après le temps, tu avais appris à te défendre correctement après tout. Donc personne ne te giflait. Mais voilà qu'elle rejoue encore une fois la comédie et tes yeux se lèvent vers le ciel Epargnes moi les détails de ton pardon sérieux ! tu viens de me frapper alors que je t'ai rien fait alors dégage ! mais la voilà déjà partie et tu ne peux que souffler une nouvelle fois avant de déposer ta main sur ta joue. Elle allait te le payer celle là mon dieu, comment, tu n'en sais rien encore mais tu allais lui faire regretter son geste.
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)