Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility(Flashback) Can I get a cup of Chamomile Tea Please? ALEX&COOPER
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(Flashback) Can I get a cup of Chamomile Tea Please? ALEX&COOPER

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Septembre 2010, Piteå, Suède.


Ce matin là, Alexianne ne voulait pas du tout se lever. Elle avait fait la fête, chez un pote la veille, mélangeant alcool et danse lascives tout en oubliant qu'elle travaillait. Il était 7h34 quand son cadran vint lui buzzer dans les oreilles. Jurant intérieurement et cognant dessus, elle soupira. Il fallait bien qu'elle y aille, Jùlia était malade et Alexander était à l’extérieur de la ville. Elle était la seule qui n'avait rien à faire d'important et une gueule de bois n'allais surtout pas l'aidé à s'en sauvé.

Pour bien se réveiller, elle s'était permise une bonne douche froide, même s'il faisait un froid de canard, elle n'aura qu'à mettre un bonnet et des gants. Ramassant ses cheveux en un semblant de chignon, elle ne prit pas la peine de mettre ses verres de contact, préférant le confort de ses lunettes de vues et elle enfila enfin une culotte boxer, pas qu'elle n'aimait pas les culottes conventionnelle ou les string, mais c'était plus confortable pour travailler et elle enfila l'un de ses soutien gorge préféré avant de mettre sa chemise noir et son pantalon qui s’agenceais bien avec. Une ligne d'eyeliner sous les yeux plus tard et un croissant à demi chaud qu'elle engloutis comme un morfale et elle était en route vers le café où elle travaillait depuis 2 semaines.

Consciente qu'elle ne pouvait pas vraiment traîné dans les rues toute la fin de semaine et si elle voulait se payer ses cigarettes et les albums de ses groupes Suédois préféré, la jeune fille avait décidé de travailler afin de se ramasser un peu d'argent, au départ, habituer à sa vie de débauche dans différentes fêtes chez différents potes, elle avait finalement pu s'habituer à tout ce boucan, à ces clients furieux qu'ont leurs ait envoyer une mauvaise commande ou qui se plaignait que leurs café était rendu trop froid, elle avait apprit à sourire, découvrant qu'à la minute où elle était assez loin de sa mère et de ses soucis, qu'elle était plus heureuse.

Il était près de midi quand ce garçon mystérieux à l'air bohème avait fait irruption dans le petit café, se dirigeant droit vers elle qui prenait les commande des clients derrière son petit comptoir, son coeur fit au moins douze bonds dans sa cage toracique. « Hej, hur kan jag hjälpa dig? ». Tout en lui demandant ce qu'il allait prendre, elle se surprit à le détailler du regard, le coeur gros de papillon. Il avait de joli yeux brun, tirant sur le jaune et sa mâchoire carrée portait diablement bien sa barbe de quelques jours. Il était vraiment grand, enfin... C'était surement elle qui était trop petite... Une guitare pendais dans son dos et elle sourit plus grandement. Comme il était sexy...

Sentant le flux sanguin de son corps augmenté sur ses joues, elle fuya son regard, attendant patiemment et nerveusement sa commande.
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ROCK & COFFEE


C’est dans le cadre du festival Rock organisé par l’Abbaye de Piteå que j’étais de passage. Enfin de passage, j’étais en ville depuis plusieurs mois maintenant. Profitant d’un temps clément et aux températures plutôt douces, l’organisateur du festival avait profité pour que les concerts se déroulent en plein air, dans les magnifiques jardins de l’Abbaye en début de soirée. La soirée d’hier avait été des plus mémorables, couchés à 4h du matin nous avions après notre représentation assistés à la performance des autres groupes pour ensuite aller finir la nuit en s’enfilant quelques verres.
Ce sont près de 3500 personnes qui se trouvent dans la cour intérieure de l’Abbaye aux alentours de 21h. Alors que les nuages se teintent le chanteur de notre groupe, Sven Macdonald fait son entrée sur la scène adossé aux falaises. Jouant sur une guitare folk nous l’accompagnions d’un trio guitare-basse-batterie et d’un clavier. Le sourire aux lèvres, le voyage commence. Le moins que l’on puisse dire c’est que je savais déjà apprivoiser les foules. Je tenais à bien faire les choses. Nous étions visiblement très en forme, redoublant de signes envers le public et d’encouragements. Un peu transcendé, un peu perdu aussi, la pression de l’évènement devant un nombre de spectateurs record pour le festival. Ainsi nous avons vogué entre les titres de notre nouvel album et certains opus inédits. La magie avait opéré. Vite et bien.
Profitant d’une acoustique et d’un son des plus agréables, la foule était conquise, appréciant la qualité et le timbre de cette jolie voix. L’envol commence. Aiguillé par des notes de piano, les guitares raisonnent, en harmonie et avec des rires cristallins. Chaque chanson est ponctuée par une anecdote, un retour sur l’écriture de certaines chansons, le tout en plaisir. En une petite heure et quart, nous avions donné le meilleur de nous-même, jouant la quasi-totalité de nos compositions sous les encouragements de la foule. Et le public d’en redemander encore et encore, de vibrer à l’unisson, tapant dans leurs mains sans même que le groupe ne le réclame. Et les applaudissements durent et durent encore, pendant la totalité d’une chanson plutôt que le premier refrain. La brise du soir nous guide et nous emporte, entre chien et loup, les ombres s’étendent mais la foule allume briquets et portables, comme des dizaines de merci pour cette soirée tout en charme et en douceur.
En quittant la scène nous avions laissé nos admirateurs quelque peu médusés devant une fin aussi précipitée, encore un peu hagard du bonheur procuré. Qu’importe, la beauté de l’instant était bien là, et tandis que la nuit commence à bercer l’Abbaye et les remparts de Piteå, les mélomanes se dispersent doucement, profitant encore de cette ambiance si délicieuse.
Autant dire que le levé fut des plus difficiles pour moi. Quant aux autres il devait l’être tout autant. En ce jour je n’avais rien de prévu, juste notre répétition l’après-midi. Après une bonne douche qui dura de longue et interminables minutes je m’habillais d’un haut en lin fendu du col jusqu’entre les deux pectoraux, laissant ceux-ci à peine sortir et d’un jean taille basse puis de chaussures de ville assez simples. J’errais ainsi dans la ville sans trop savoir quoi faire, je voulais juste me réveiller et laisser derrière moi les effets de l’alcool. Je n’avais pas faim mais un café, un endroit pour me poser et finir de cômater me ravirait tant ! Au détour d’une ruelle j’aperçu un endroit que je n’avais jamais croisé auparavant. Après tout pourquoi pas ça me changerait des lieux habituels. Tout en me rapprochant je fouillais dans ma poche pour en sortir le peu de pièces qu’il me restait. Pas de quoi sauter au plafond. Regardant la carte, j’avais juste de quoi me payer un café, un truc dans le genre. J’entrais donc, marqué par la fatigue. Je cherchais une table où me poser et scrutais la salle pour trouver mes repères. Puis je la vis elle….debout au milieu des clients, pleine de charme. Je la contemplais donc avant de tourner le visage lorsqu’elle me remarqua. Elle semblait seule à servir alors je me dirigeais à ses côtés d’un pas lent et nonchalant. Elle s’adressa à moi, sa voix me combla de plaisir de par sa douceur.

”Hej, jag tar en latte”

J’allais m’asseoir et je ne la quittais pas du regard au risque de paraître insistant. Je posais ma gratte sur le canapé en face de moi, patienant avant d’être servi. Je pris le journal puis me mis à lire l’article sur le festival de la veille.
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Sa voix, suave, la fit fondre encore un peu. wow. Comment un coeur pouvait il tourné à tout allure à ce point. S'activant à préparer son latte, elle en oublia presque les autres clients qui attendait. Jamais il n'y avait eu autant de gens dans le petit café, avant midi du moins. C'était comme si tout les gens de la ville s'étaient dit: oh bien tien, pourquoi ne pas aller au café juste pour y boire un bon ptit coup. Elle se surprit à sourire. non, les gens étaient plutôt du genre à faire ceci mais dans les pubs du coin. Non. c'était probablement à cause de la température automnale qui commençait à jeter un froid cru sur le petit village du Nord de la Finlande.

Demandant à Maggie, l'autre serveuse qui travaillais ce jour là, de s'occuper des clients, elle se permit un regard vers l'étranger qui ne l'avais pas lacher des yeux. Il était beau, il semblait avoir une aura d'assurance et un petit quelque chose qu'elle ne saurait dire. Ses beaux cheveux blonds en bataille présageait qu'il ne venait que de se lever et le soleil semblait lui conféré une auréole de chérubin. Elle secoua la tête, non. Ce devais être son imagination. Attrappant la petite tasse en grès remplis du latté chaud, puis décida à la dernière minute de prendre une assiette et d'y glisser un cookie au noix de macadam. Puis elle regretta, était il allergique? Trop tard, elle venait d'y toucher.

Zigzaguant avec aise entre les tables, elle approcha de la sienne, tout sourire; « Voilà monsieur, un latte pour vous ». Sa voix était chancelante, avec un peu moins d'assurance et elle allait très probablement aller voir si un petit diablotin ne se serais pas amuser à grimper le chauffage, mais elle sourit tout de même, déposant l'assiette sur la table basse « J'ai pris le loisir de vous offrir un cookie, spécialité de la maison, c'est gratuit aujourd'hui! ». Évidement que ce ne l'était pas. Évidement qu'elle se retrouverais dans le pétrin pour ça, mais ce n'était pas un simple Euro trente qui allait l'arrêter. Enfin, elle ferait passé sa pour une fringale qu'elle aurait eu, elle qui ne mangeait que très peu et au pire, elle paierait.

De plus près, il avait l'air terriblement plus vieux qu'elle ne le pensait, enfin... peux être quelques années de plus qu'elle, elle qui n'avait que 17 ans, mais elle avait déjà flirté avec les plus vieux, ce n'était pas un problème. « N'hésitez pas si vous avez besoin d'un truc, je serais tout près. » elle entendait déjà sa petite voix intérieur lui intimé de le laisser tranquille, de retourner à ses clients, que Maggie ne pouvait gerer pendant qu'elle tentait de flirté avec un total inconnu. Puis elle s'y résout, soudainement dégoûté de travailler.
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Beaucoup de clients étaient encore en attente d’être servis voir de passer commande, pourtant je fus servi rapidement, très rapidement, trop ? Aurais-je bénéficié d’un traitement de faveur ? Je n’osais y croire, pourquoi moi plutôt qu’un autre après tout ? Vu ma gueule ce matin-là il n’y avait aucune raison que j’attire son attention. Je devais me faire un parfait petit film dans ma tête encore loin d’être en éveil. La présentation était soignée, trop presque. J’en souris légèrement, touché par l’attention. Je regardais amplement le plateau dont les effluves du latte s’échappaient, ondulant vers moi avant de disparaître totalement. Le petit cookie était jonché en bordure de l’assiette avec une serviette en papier à côté ainsi qu’une cuillère et un sachet de sucre. Je la regardais lorsqu’elle m’annonça que c’était offert aujourd’hui puis je lui répondis en souriant, un air faussement déçu…

« Zut, et moi qui croyait que j’étais un privilégié…vous me fendez le cœur ! »

Le monde affluait de plus en plus, j’aurais aimé qu’elle reste un peu plus avec moi à discuter mais le travail ne manquait pas, chose qu’elle remarqua assez vite. Elle détacha son regard du mien pour me proposer ses services en cas de besoin puis retourna prendre les commandes. Je la suivais inlassablement du regard. Je croquais dans le cookie à pleine dent, puis pris ma tasse pour boire une gorgée. Un nuage de crème se dessina sur ma lèvre supérieure avant que je passe ma langue dessus pour faire ma petite toilette, tel un petit chaton incapable de s’abreuver sans s’en mettre partout. Je finissais tranquillement mon déjeuner mais il fallait que je trouve un moyen de lui parler à nouveau, peu importe la raison. Après réflexion je n’avais pas les moyens de me payer autre chose à boire ou manger alors j’us l’idée la plus stupide qui soit. Je fis signe à la serveuse, espérant que ce soit elle qui vienne et non sa collègue de boulot. Elle approcha, son visage portait les stigmates de bouffées de chaleur, pourtant il ne faisait pas très chaud ce jour, c’était même le contraire. Faut dire que son travail n’était pas de tout repos.

« Mademoiselle, pourrais-je avoir une autre….serviette svp ? Vous voyez je ne peux pas me passer de vous décidément.

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