Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityIl faut parfois accepter d'entendre la véritée
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Il faut parfois accepter d'entendre la véritée

Anonymous

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Qui aurait cru un jour que je revienne ici a Boston pour y m'installer professionnellement? Pas moi en tout cas ... enfin si peut être car toute ma famille est a Boston et vivre loin d'eux devenait vraiment très difficile. Il y a deux ans de ça j'ai eu la possibilité de venir m'y installer pour diriger une grosse boite de journalisme. Je dirige "Le Boston Globe" avec une petite équipe dynamique et compétente. On s'entend tous très bien et c'est toujours une victoire lorsqu'une sortie fait un tabac ! Dans notre dernier numéro nous parlons du Spring Break des étudiant d'Harvard mais aussi plus particulièrement d'une de ses élèves "Danneel" ...petite princesse qui deviendra grande ....enfin presque. Ne pensez pas que j'ai été méchant envers elle car c'est faux.
Il est 21h et je suis assis a mon bureau. Mon assistante me signale qu'une jeune femme prénommé Danneel me demande. Je soupire bruyamment. faites la entrer et .... vous pouvez rentrer il est tard
Je prend en main la souris de mon ordinateur puis affiche le dernier numéro. Puis je me lève de ma chaise et me dirige vers mon petit frigo qui renferme de la boisson.
Danneel est derrière la porte elle n'a pas le temps de frapper que je l'invite a entrer Entrez .... jeune héritière au trône de Suede J'ouvre le frigo et en sort deux bières. Je referme la porte de mon frigo puis me dirige vers mon bureau et y dépose les boissons préalablement décapsulées.
A la tienne Je prend ma bière et m'installe de nouveau sur mon siège de bureau levant les yeux vers la jeune femme en buvant une gorgée de ma bière.

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J’étais au plus mal c’est dernier temps, mon ex, venais de mourir, et sa me touchais au plus profond de moi, ma mère était gravement malade, mourante pour tout vous dire, et Cambridge Secret’s avais révélé au grand jour l’un des secret que j’aurais aimé enterrer dans ma tombe, ce secret qui n’en est plus un ? Je suis une jeune femme bisexuelle qui a eu une relation avec Julian, une jeune femme charmante que j’avais blésée. Alors bien entendue quand je vois que le Boston Globe publie un article sur moi, je sens la pression monter en moi ! Je monte dans ma limousine même si il est tard, mon chauffeur et garde du corps, me conduit rapidement au siège sociale de ce torchon dont j’avais un exemplaire dans mon sac. Une fois dans le bâtiment je m’adresse froidement à une jeune femme. « Je voudrais voir monsieur Sorenson immédiatement. » Alors que la jeune femme commence à demander mon identité je fronce les sourcils, Berlioz, mon garde du corps se tenais à mes côté. « Qui je suis ? Mais je rêve, vous écrivez un article sur moi, et vous n’êtes pas fichue de me reconnaitre ! Je suis Danneel de Suède. » Une fois que l’homme à donner son accord je me dirige vers la porte, regardant la jeune femme prendre ses affaires et s’en aller. Le journaliste m’invite à entrer. « Berlioz, attendais moi derrière la porte, je ne souhaite voir entrer personne dans ce bureau. » Lorsque j’entre enfin dans le bureau en fermant la porte derrière moi, l’homme assez baraqué ce met dos à la porte et observe les couloirs, personne ne pourrait franchir cette porte. Je jette alors le journal qui était dans mon sac à main sur le bureau du journaliste. « Bonsoir ! Vous pouvez m’expliquer pourquoi certain de mes secrets se retrouve dans votre une ? » Lorsque je croise soudain son regard, je me sens étrange, comme si je ne pouvais absolument pas lui en vouloir, il avait comme un charme qui me rendais soudainement timide. « Enfin je veux dire … vous comprenez … Ce n’ai pas évident de voir sa vie déballée au grand jour. » Et me voilà à perdre mes mots face à lui. Confuse et honteuse de ne pas savoir lui gueuler dessus, je prends la bière qu’il m’avait gentiment offerte et j’en bois une gorgée. « Monsieur Sorenson, puis-je savoir qu’elle a été la raison qui vous a poussé à publier cela ? » Je voulais comprendre pourquoi.
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une fois installé confortablement dans mon siège avec ma boisson j’observe cette jeune femme que je connais assez bien enfin, son histoire, sa famille …. Normale allez vous me dire j’ai les meme origine qu’elle et puis on va dire qu’il sont assez connu nan?!!!
Je souris non pas par moquerie mais par incompréhensions. Je n’ai pourtant pas était méchant, je ne lui pas manqué de respect et heureusement car mon journal est pas un magasine … un torchon quoi j’en déduit alors qu’elle n’ a peut être pas apprécié que je parle de sa mère qui est souffrante
Danneel ….!!! On se connaît assez pour que je puisse parler de toi et ta famille sans pour autant dévoilé vos secrets…. Je n’ai rien dit de mal comparais à ceci. je dépose devant elle un magasine qui parle de la perte du bébé de la jeune femme et de la mort de son ex petit ami. tu sais très bien que je respect assez ta famille pour vous manquer de respect et puis Boston globe n’est pas un tissus de mensonges. Ta famille te confirmeront que je travail dur pour publier des choses fondé et vrai comparé à certains je connaît assez sa famille pour affirmé ceci. Dans le passé jai entretenu de bonne relation avec sa famille mais connaît moins bien la jeune femme ici présente.
Tres vite la jeune femme change de ton comme si quelque chose l'empêchait de dire ce qu’elle pense ou ce qu’elle a sur le cœur
il faut être quelqu'un d’important pour être affiché dans le globe c’est une bonne explication ? je lui sourit puis lui tend ma bouteille que j’ai en main afin de trinquer et lui montrer que je ne suis pas du mauvais côté. Puis je bois une gorgée de ma boisson et pose ma bière sur mon bureau. Danneel… pas de monsieur et de vous entre nous … Mike fera l’affaire j’ai horreur d’entendre cela je trouve que ça me rend encore plus vieux que ce que je suis déjà. Meme avec mes élèves il n’y a pas de vouvoiement.
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Je restais coléreuse face au jeune homme. Je n’en démordais pas, je voulais des explications et vite ! Après avoir entendu le jeune homme me dire qu’il ne se permettrait pas de dévoilé nos secret, je soupire. Il n’avait pas tort, rien de bien méchant été divulgué dans son journal. Je reprenais les paroles avec plus de douceur sans pour autant prêter attention au magazine que je n’avais pas encore vue.

« Très bien Mika, je vais t’expliquer pourquoi j’ai mal réagis. Ma mère m’as élevé loin de son père, elle avait fuis la royauté dès sa majorité, elle à changer de nom, et mon grand-père le Roi de Suède n’as jamais réussi à la retrouver. Elle voulait que mon frère et moi puissions vivre notre vie normalement, alors elle ne nous a jamais parlé de tout cela. C’est moi un jour qui a recontacté mon grand-père. Elle ne veut pas être associé à lui ou son image, ni même à sa fortune. Mon grand-père m’a tout de suite restitué mon titre et j’ai dus changer de nom. Mais bref … »

Soudain alors que je me perdais dans mes explications, je baisser le regard sur le bureau, voyant enfin le magazine ! Je me levé subitement de ma chaise et tournée le dos immédiatement au bureau. C’était trop dur pour moi de voir ça, beaucoup trop dure. J’avais dus dès mon retour à Boston passé à la morgue pour identifier le corps de William, et ça, ce moment où il découvre son corps du voile qui le cache, je m’en souviens encore. Les larmes commencent à couler abondamment sur mes joues. Je me mise à sangloter, cachant mon visage dans mes mains. Nous venions tout juste de nous réconcilié lorsque j’avais dus partir en urgence en Suède voir ma mère à l’hôpital. J’avais enfin retrouvé mon meilleur ami d’enfance, et l’homme dont j’avais été enceinte. J’essayer de chasser mes larmes avec mes mains, mais il y en avait encore et toujours qui coulé.

« S’il te plait range-le. »

Demandais-je vis-à-vis du magazine. J’avais envie de hurler mais je ne le faisais pas. En effet maintenant je comprenais que le journal de Mika était bien plus respectueux que ses magazines people scandaleux !

« Je n’ai pas sus le lui dire, mais je l’aimais … et cet enfant, je suis terriblement triste de l’avoir perdu. »

Je me tournais face à Mika, les yeux encore plein de larme.
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