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willow م senza una donna.

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voilà. le moment fatidique était arrivé. j'étais finalement debout, devant la villa familiale et j'hésitais encore à entrer comme si je n'en étais jamais parti. willow ne savait pas que j'étais enfin revenu du Laos, en miettes et avec des bleus à l'âme. pour moi, il était simplement hors de question que je lui parle de cet accident qui m'avait à nouveau ébranlé. sinon, elle allait encore me faire une crise et me tuer d'avance.. j'étais vraiment dans un état second, et encore j'avais attendu quelques jours avant de faire mon grand retour auprès d'elle. j'avais aussi attendu que le médecin m'autorise enfin à retirer le bandage que j'avais sur les yeux. il ne fallait pas que je le retire avant soit disant pour protéger mes yeux encore fragiles. j'étais tellement agacé par tout ça. je pris alors mon courage à deux mains, franchissant le pas de la porte avec une assurance que je sortais dont ne sait où puis, je remarquais que ma soeur n'était pas dans le coin. feignant une certaine déception, je me dirigeais vers la cuisine avant de me servir un verre de jus d'orange bien frais. puis, je retournais dans le salon où je me contentais de m'asseoir sur le canapé, les jambes allongées pour que mes pieds puissent venir s'appuyer sur la petite table avant de dégainer mon portable pour commencer à pianoter dessus. quelques messages envoyés et quelques parties plus tard, un bruit sourd se fit entendre. je ne bougeais pas, tournant simplement la tête pour sentir que ma frangine venait fraîchement apparue dans la pièce. je lui souriais de tout mon long, sentant les effluves de son parfum délicat alors que je la gratifiais d'un « je suis rentré de vacances wiwi » d'une voix presque enfantine alors que j'espérais au fond que cela cacherait mon désarroi. je n'attendais plus qu'une seule chose, qu'elle vienne s'asseoir près de moi et qu'elle me parle un peu de tout ce qu'elle avait fait pendant le summer camp. si elle s'était amusée, si elle avait profité et si au fond, mon absence n'avait pas été trop pesante pour elle...
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Voilà que le Summer Camp semblait terminé pour certaines personnes, pour ma part je suis rentrée à Boston depuis quelques semaines car je ne pouvais pas rester les bras croisés au Laos alors que mes créations n'attendaient que moi. Je n'étais malheureusement pas dans la villa au moment où je vous parle, seulement dans la voiture où mon chauffeur décide de me déposer devant la villa familiale. Depuis notre dernière conversation entre moi et Lisandro, je crois que nous avions quelques comptes à régler, surtout avec ce qui se passait avec notre père. Posant mes lunettes sur le bout de mon nez, je descend donc de la voiture, à la main plusieurs sacs. Montant les marches, le valet venait à me dire que mon cher frère se trouvait lui aussi en ces lieux et soudain, je perdais mon sourire. Alors voilà ce qui se passe quand j'ai le dos tourné, il arrivait la bouche en coeur comme si de rien n'était. Poussant la porte, je dépose les sacs et sans prendre la peine de refermer la porte sur mon chemin, je le retrouve dans le salon. Fronçant le regard, je retire mes lunettes. « C'est c'que je vois. Tu viens juste de penser que t'as une soeur. » Je lui en voulais amèrement. Je sais que Lisandro attendait que je lui saute dans les bras sauf que ce n'était pas le cas. Je n'allais certainement pas faire comme s'il ne m'avait jamais laissée seule, surtout pas après la mort de mon père, de notre père. « Alors t'as bien profité de ton Summer Camp ? À ce que je vois, c'est le cas parce que tu ne m'as même pas donné de nouvelles pendant deux foutus mois !. » Ça y est mon caractère de merde sortait et je n'y pouvais rien. Je me sentais trahie par ma propre famille.

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ma soeur semblait ne vouloir me donner aucun répit. à peine était-elle entrée dans le salon que déjà, elle me signalait que je venais juste de me souvenir que j'avais une soeur. je soupirais lentement en laissant mon sourire s'effacer doucement. au fond de moi, j'avais envie de lui répondre qu'elle était aussi dans ce cas, qu'elle ne m'avait pas calculé de l'été mais ... je ne pouvais pas. elle était ma petite princesse, celle que je devais protéger de tout et même de cet accident, quitte à passer pour le gros bâtard de service. il était hors de question qu'elle apprenne que j'avais passé un mois à l'hosto au Laos. c'était mort. enfin j'allais aussi mourir si elle l'apprenait. je me contentais donc de hausser les épaules en lui répondant « arrête de dire ça, tu sais très bien que t'es ma petite soeur, la meilleure. jamais je pourrais t'oublier » d'une voix franche et sincère alors que je tentais de me relever douloureusement. j'essayais aussi d'adopter une position un peu moins « à la cool » tandis que je sentais que j'allais passer un sale quart d'heure. willow était partie, ça y est. elle allait m'enchaîner vivant et je n'allais rien dire, comme à chaque fois. parce que c'était elle. parce que j'étais moi. je ne savais pas faire autrement que de répondre à ses envies et à ses caprices. quitte à m'oublier un peu aussi. et ce fut le cas. elle me reprochait de ne pas lui avoir donné de nouvelles pendant deux mois. fort de ma fierté, je me raclais la gorge pour lui répondre « je pensais que t'allais le passer avec un mec, je voulais pas faire tâche » d'une voix amusée alors que je prenais conscience que j'allais peut-être un peu trop loin, que cette fois-ci elle allait m'en vouloir. alors je continuais en lui avouant « j'ai eu quelques... contretemps. j'ai pas trop profité du summer camp pour tout te dire » d'une voix calme alors que je finissais de boire le verre de jus d'orange que je m'étais servi quelques minutes auparavant, comme pour apaiser la douleur de mon corps encore meurtri..
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J'en voulais à Lisandro, de m'avoir laissée seule alors que j'avais besoin de mon grand frère. Comment allais-je en ce moment ? Le boulot était vraiment pressant, surtout pour la nouvelle collection que je voulais sortir pour l'Automne sauf que j'en avais marre que le jeune homme ne puisse faire comme si je n'existais pas. Lisandro restait assis sur le canapé, sans vraiment trop réagir à ce que je venais de lui dire puisque mon caractère de merde venait à faire surface et que je ne pouvais pas m'en passer. Croisant mes bras contre ma poitrine, je fronce le regard tout en le laissant parler. « Alors quoi, maintenant je ne dis que des conneries ? Pendant tout le Summer Camp, tu n'as même pas osé me parler alors que moi j'avais besoin de toi. » Si notre père avait été encore en vie, j'aurais passé mes journées au téléphone avec lui, de pouvoir lui dire ce qui se passait en ce moment et il pourrait régler tous mes tracas. Sauf qu'avec ce que mon frère me sortait, au sujet d'un homme, je baisse le regard vers le sol avant de laisser échapper un rire. Non parce que je ne voulais plus m'attacher à personne, c'est fini. « Figures-toi que je ne passe pas tout mon Summer Camp à coucher à droite et à gauche. » Si c'était l'image qu'il se faisait de moi, alors c'est son problème. Je sentais que quelque chose n'allait pas bien avec Lisandro, qu'est-ce qui s'est passé ? Sauf qu'au moment où il m'avouait ne pas avoir profité du Summer Camp, je fronce le regard. Je détestais lorsqu'il ne me disait pas tout et malgré ça, j'arrivais toujours à mes fins. « Craches le morceau Lisandro, je déteste quand tu fais ça. » 

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elle ne comprenait pas. elle m'agaçait même. pourtant je restais calme. son petit air commençait à me rendre dingue et même si je savais que j'étais en tort, j'avais du mal à avaler son comportement aujourd'hui. je m'excusais, je faisais mon mea culpa et finalement, j'avais droit à ça. je me taisais. je gamin capricieux que j'étais avait finalement préféré fermer sa bouche plutôt que de prendre le risque de voir sa soeur sortir de ses gonds. pourtant, je sentais ma colère monter en moi, doucement, de manière lancinante et j'étais toujours aussi incapable de me retenir. alors oui, je me permets. oui, pour la première fois depuis longtemps, je m'énerve contre ma soeur et je l'assume. j'ajoutais donc « écoute, je suis pas venu pour m'embrouiller avec toi. je pense que t'as aussi ta part de responsabilités, tu m'as pas non plus appelé donc j'aimerais bien que tu baisses d'un ton. je pense que tes caprices ont pas lieu d'être aujourd'hui » d'une voix dure alors que mon attitude tranche avec celle de d'habitude. quelque chose ne va pas, oui. je suis dans un état de tristesse lamentable depuis le SC et ? j'avais pas besoin que ma soeur en rajoute un couche. si elle voulait que je m'énerve, ça allait bien finir par arriver. j'avais pourtant l'impression qu'elle ne me comprenait pas, qu'elle parlait d'autre chose que de ce que je lui disais. je levais les yeux au ciel, priant la madre avant d'ajouter « willow, j'ai pas dit ça. je pensais que t'avais un mec, rien de plus » d'un ton excédé alors que je posais mon verre sur la table. j'avais à moitié commencé par dire la vérité. elle me poussait à en révéler davantage et je ne savais pas si j'étais mentalement prêt à le lui dire. je sentais mon coeur s'étreindre sous le poids des souvenirs, une boule se constituait dans ma gorge et pourtant, je lui révélais « j'ai eu un accident. au Laos.. avec une voiture.. je l'ai pas vue arriver.. » d'une voix frèle alors que je tentais tant bien que mal de contenir ma faiblesse. mais c'était tellement difficile pour moi...
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En fait, je voulais lui montrer que je ne comprenais pas pourquoi Lisandro ne m'avait pas donné de nouvelles pendant le Summer Camp entier. Il était pourtant mon frère sauf que voilà, il n'en faisait qu'à sa tête et j'en avais marre de passer en deuxième. Pourtant, ce n'est pas compliqué de prendre son téléphone et de me donner une nouvelle, de montrer qu'il n'était pas lui aussi mort et enterrer comme mon paternel. Je n'avais pas envie de me prendre la tête avec lui sauf que c'est ce qui était en train de se passer sans que je ne puisse le prévoir. Fronçant le regard, je tentais de ne pas perdre patience avec lui. « Mes caprices ? Je te ferai remarquer que ce n'est pas toi qui a payer cette immense villa pour le Summer Camp. De toute manière, si ça avait été que de moi jamais je n'aurais été au Laos. Je serais restée à Boston pour bosser un peu. » J'avais beaucoup de trucs à faire pendant ces vacances et pourtant, j'ai préférer passer un bon moment avec ma famille sauf que je n'avais pas vu Nathanael de tout l'été ni même Lisandro. Faut croire que je n'étais pas née dans la bonne famille. Sauf qu'il avait touché une corde sensible en me parlant d'homme, je n'avais plus vraiment envie de l'écouter me raconter des conneries sur mes 'plans cul'. « Alors j'ai pas envie d'en parler. » Non parce que les détails de mes relations ne le regarde pas et je n'ai pas envie qu'il puisse agir en étant le parfait grand frère protecteur qu'il était. Sauf que je savais qu'il y avait quelque chose qu'il ne m'avait pas encore dit. Prenant place sur le canapé, près de lui, cette facette de petite fille gâtée venait à disparaître quand il m'avouait ce qui s'est passé. « Un accident ? Mais merde Lisandro pourquoi tu ne m'en a pas parlé ! Tu vas bien, qu'est-ce qui s'est passé. » Trop de questions venaient à apparaitre, avait-il encore fait un truc de con ? Je tentais de voir sur lui s'il n'y avait pas de traces de cet accident sauf qu'à l'intérieur de moi je bouillais, pourquoi il ne m'avait rien dit. « T'avais peur que je prenne mal le fait que t'as eu un accident ou quoi. »

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je commence à perdre patience, je me dis que ma soeur commence à aller trop loin pourtant, je ne pouvais m'en prendre qu'à moi-même. c'était triste à dire mais je ne lui avais jamais dit que j'avais eu un accident, désertant ainsi la villa qu'elle avait louée au Laos. je n'étais même pas allée à sa soirée.. j'avais déconné. je savais que j'étais qu'un sale con. je savais qu'elle avait besoin de moi, je savais qu'elle ne méritait pas ça mais voilà, j'étais incapable de me sortir de cette torpeur maladive et ce depuis plusieurs semaines. je n'aurais jamais du aller au Laos. je n'aurais sûrement pas autant souffert. elle ne savait pas, elle ne savait pas. ne t'énerves pas. ne perds pas ta patience parce que tu risques de le regretter. pourtant, je ne peux pas. je continue mon insolence, celle du gamin capricieux que j'avais toujours été, lui assénant un « écoute, si c'est que le fric qui te dérange, je te rembourserai chaque centime de ta location, c'est bon. j'ai plus envie de parler de ça... » d'une voix lasse alors que j'étais en train de me dire que moi aussi, j'aurais préféré rester à Boston finalement. que moi aussi j'avais fait le mauvais choix finalement. je soupirais. j'essayais de la détendre, de lui parler d'autre chose mais tout ce que je lui disais tombait dans l'oreille d'une sourde. elle se braquait même lorsque je parlais de mec, elle qui avait toujours l'habitude de me raconter ses conquêtes ... j'étais déçu. je le montrais d'ailleurs en l'affublant d'un « très bien, fais comme tu veux » d'une voix faible alors que je tentais de reprendre une certaine contenance. oui parce qu'après ça, elle tentait de me tirer les vers du nez afin de savoir de quel accident je parlais. j'avais du mal... je sentais que ma gorge se nouait. le sujet était encore délicat pour moi. alors je lui glissais simplement « je marchais, j'ai voulu traverser et ... j'ai pas vu venir la voiture, c'est tout » d'une voix faible alors que je continuais en lui avouant « mais avec mon handicap, ils avaient peur que ça s'aggrave du coup, ils m'ont gardé en observation un moment » d'une voix lasse alors qu'elle le savait, je détestais parler de ça avec elle. me braquant légèrement, je tentais de calmer le jeu pourtant, c'était peine perdue. alors, je lui répondis « j'avais pas envie que tu subisses ça ! t'as déjà assez souffert y'a dix ans, je voulais pas remettre ça sur le tapis. en plus avec papa.. » alors que ma voix se brisait sous l'émotion, montrant pour la première fois, une faiblesse chez moi, une faiblesse que je tentais de masquer trop souvent..
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Je tentais de montrer à mon cher frère que c'étais moi qui engageait toutes les personnes qui travaillaient dans la villa ou même qui payait pour lui. Pourquoi devrais-je avoir un énorme coeur tandis que Lisandro n'osait même pas me donner de nouvelles, savoir si j'allais bien ou l'inverse. En l'espace de quelques secondes, c'était comme si je ne reconnaissais plus mon grand frère. Abigaelle aurait sans doute été heureuse de me voir dans un tel désastre familial. Poussant un énorme soupir, je glisse l'une de mes mains dans mes cheveux en tentant de me calmer du mieux que je le pouvais. « C'étais seulement pour te prouver à quel point j'étais généreuse avec toi sauf que t'as pas l'air à t'en rendre compte. » J'en avais marre des conflits, comme si c'est quelque chose qui passait le clair de son temps en moi. Bref, voilà que Lisandro ne voulait plus entendre parler de ça et c'est la même chose pour moi. De parler d'hommes, je ne voulais plus rien savoir puisque la gente masculine m'avait fait assez de tords comme ça, surtout depuis la publication de Cambridge's Secret sur ma relation avec Maxime. Sauf que ce que Le Brun venait à me dire, avait eu l'effet d'une bombe. Non mais qu'est-ce qui se passait dans cette famille ? Fronçant le regard, je voulais tout savoir sur ce qui s'est passé au Laos avec lui. La bouche entre-ouverte, pas un mot ne sortait. J'étais presque sous le choc, me faisant plusieurs images dans ma tête. « Non mais tu sais que j'aurais pût te perdre ! . » Mes mains venaient direct à trembler, j'avais perdu mon père il y a quelques mois de cela alors hors de question que je perde mon frère aussi... Voyant qu'il était dans tous ses états, je m'approche de lui avant de le prendre dans mes bras et fermer les yeux. « Ça va aller Lisandro... J'suis là et j'ai pas l'intention de recommencer mes bêtises non plus. »

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le cours de la discussion me rendait malade. d'abord parce que je détestais me prendre la tête avec ma soeur et ensuite parce que j'avais pas besoin de ça. mon moral était déjà assez bas pour en plus devoir supporter les caprices de princesse de ma merveilleuse soeur. elle me répondait que tout ça, c'était pour me prouver à quel point elle pouvait être généreuse et je ne sus que répondre. je savais que ma soeur était toujours comme ça avec moi et elle savait que je reconnaissais toujours son implication au sein de la famille. là, c'était juste la journée de trop peut-être. je soupirais lentement avant de lui répondre « je sais ce que tu fais pour moi willow, t'inquiète pas pour ça » d'une voix douce alors que oui, je me rendais compte qu'avec mon handicap, j'étais parfois surprotégé par ma petite soeur. je ne voulais cependant plus que cela se passe comme ça. le sujet de son mec fut rapidement éludé vu qu'elle ne voulait plus en parler et honnêtement, ça m'évitait aussi de ressortir ma panoplie du grand frère chiant et protecteur, c'était pas plus mal. surtout que j'me connaissais, j'étais mature jusqu'à ce que je vois du papier bulle alors quand on parlait sérieusement, j'avais toujours du mal. en revanche, lorsque j'évoquais mon accident au Laos, je la sentis plus fébrile, plus touchée aussi. elle me signalait qu'elle aurait pu me perdre et je me rendais compte que j'avais peut-être un peu trop surestimé mes capacités. je me rendais compte aussi que cette opération devrait aussi être rapidement programmée. baissant le regard, je lui répondis « je suis désolé ... » d'une voix peinée alors que je sentais ses bras se refermer sur moi. instinctivement, je laissais mes bras entourer sa taille d'un geste doux et tendre alors qu'elle me disait que ça allait passer, que tout irait bien et qu'elle ne recommencerait plus ses bêtises. un sourire aux lèvres, je me contentais de lui répondre « on risque de s'ennuyer sans tes bêtises, tu sais » d'un air taquin alors que je me rendais compte que j'avais finalement fait plus de mal que de bien...
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