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Les vacances improvisées au Laos, c’était quelque chose d’inattendu, surtout les rencontres que j’ai pu y faire. J’avais pour habitude de rester dans mes cercles, là où je pouvais garder le contrôle, mais de toute façon avec cette année à Harvard, il fallait bien que je m’habitue doucement à fragiliser mon univers.
L’été touchait à sa fin, on pouvait déjà entendre les autres parler de la rentrée, des courses, des professeurs, des fraternités, encore tout un tas de chose qui me resteraient étrangères jusqu’en septembre. Pour l’heure je préférais profiter des jours de vacances qu’il me restait pour me dorer la pilule une dernière fois.
Mais il y avait beaucoup trop de monde sur les plages à mon gout, j’avais décidé que pour ma dernière fois je serais mieux de rester à l’hôtel, en petit comité autour de la piscine. Loin de la plèbe du Laos, ici on restait entre gens civilisés, et tout ce luxe commençait déjà à me manquer. J’avais enfilé un joli bikini blanc nacré pour faire ressortir au mieux se bronzage naissant que je perfectionnais en me retournant sur mon transat autour de la piscine.
Le soleil brulait doucement ma peau, s’en était tellement appréciable que j’aurais pu rugir sur ma chaise, les yeux mi-clos je me délectais d’un cocktail improvisé, une spécialité de l’hôtel. Je faisais le vide autour, j’étais bien, tellement bien jusqu’à ce que j’entende ce rire que je n’avais plus entendu depuis des années. Ça ne pouvait pas être possible, et pourtant je m’étouffais avec une gorgée de mon cocktail.
- Jolene ?
Ouvrant mes yeux plus grands, je cherchais la jolie blonde d’un œil curieux et excité. Je ne saurais pas vraiment comment expliqué pourquoi je m’étais autant attaché à elle pendant son séjour en Allemagne, c’était surement sa façon d’être à la fois si souriante et naturelle qui m’affectait encore. Ça m’avait tellement manqué de ne plus là voir, pourtant j’étais trop fière pour le lui avoir montré, c’était surement pour ça que depuis un an je lui avais seulement envoyé un message pour son anniversaire.
Avec un signe de la main et un sourire non dissimulé, je venais de clamer son prénom pour qu’elle se retourne vers moi. Elle n’avait pas tellement changé, pas assez pour que j’oublie son sourire toujours bercé d’une innocence que je trouvais trop pure pour la lui voler. J’attendais qu’elle me remarque pour lui faire une place assise à côté de moi sur mon transat.
L’été touchait à sa fin, on pouvait déjà entendre les autres parler de la rentrée, des courses, des professeurs, des fraternités, encore tout un tas de chose qui me resteraient étrangères jusqu’en septembre. Pour l’heure je préférais profiter des jours de vacances qu’il me restait pour me dorer la pilule une dernière fois.
Mais il y avait beaucoup trop de monde sur les plages à mon gout, j’avais décidé que pour ma dernière fois je serais mieux de rester à l’hôtel, en petit comité autour de la piscine. Loin de la plèbe du Laos, ici on restait entre gens civilisés, et tout ce luxe commençait déjà à me manquer. J’avais enfilé un joli bikini blanc nacré pour faire ressortir au mieux se bronzage naissant que je perfectionnais en me retournant sur mon transat autour de la piscine.
Le soleil brulait doucement ma peau, s’en était tellement appréciable que j’aurais pu rugir sur ma chaise, les yeux mi-clos je me délectais d’un cocktail improvisé, une spécialité de l’hôtel. Je faisais le vide autour, j’étais bien, tellement bien jusqu’à ce que j’entende ce rire que je n’avais plus entendu depuis des années. Ça ne pouvait pas être possible, et pourtant je m’étouffais avec une gorgée de mon cocktail.
- Jolene ?
Ouvrant mes yeux plus grands, je cherchais la jolie blonde d’un œil curieux et excité. Je ne saurais pas vraiment comment expliqué pourquoi je m’étais autant attaché à elle pendant son séjour en Allemagne, c’était surement sa façon d’être à la fois si souriante et naturelle qui m’affectait encore. Ça m’avait tellement manqué de ne plus là voir, pourtant j’étais trop fière pour le lui avoir montré, c’était surement pour ça que depuis un an je lui avais seulement envoyé un message pour son anniversaire.
Avec un signe de la main et un sourire non dissimulé, je venais de clamer son prénom pour qu’elle se retourne vers moi. Elle n’avait pas tellement changé, pas assez pour que j’oublie son sourire toujours bercé d’une innocence que je trouvais trop pure pour la lui voler. J’attendais qu’elle me remarque pour lui faire une place assise à côté de moi sur mon transat.
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