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Anonymous

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Malicia était allongé sur son lit. Ce n’était pas vraiment comme ça qu’elle avait imaginé le mois d’Aout, mais au final c’était peut-être mieux ainsi. Depuis sa tentative de suicide, Malicia avait beaucoup de temps pour réfléchir à ses actes, à ce qu’elle était et à qui elle voulait être. Son médecin lui avait expliqué qu’elle avait sombré en dépression ou plus précisément qu’elle avait fait une dépression post natale. Ce genre de dépression touche seulement les mamans ou futur maman et est causé souvent quand on subit un grand stress lors de la grossesse. Malicia, mère porteuse, avait passé son temps à mentir sur sa grossesse, à tout le monde, pour ne pas se faire viré des Eliots et ainsi perdre l’argent que lui versé son père qui ne juré que par la confrérie d’élitiste. Ce n’était donc pas étonnant que sa santé mentale est défaillit, encore plus quand on sait qu’elle avait perdu le bébé et avait du subir l’accouchement d’un enfant mort… La mère de Malicia s’était suicidée quand elle était enfant et elle n’avait jamais compris son geste, s’en sentant presque responsable dans un sens. Elle avait toujours ressentit de la colère au fond d’elle et elle n’avait jamais pardonné à sa mère son acte. Aujourd’hui… elle la comprenait un peu mieux et elle se sentait prête à lui pardonner, à évoluer à devenir quelqu’un d’autre. Elle était rentrée à Harvard pour des études de médecine, convaincu qu’être médecin lui accorderait une sécurité financière qui l’empêcherait de ressemblait à sa mère, de devenir sa mère. Elle était effrayé de lui ressembler, de rater sa vie, de comme elle n’être qu’une simple serveuse. Aujourd’hui elle n’avait plus peur. Aujourd’hui elle prenait conscience qu’elle était une adulte avec ses propres décision et son propre avenir. Elle n’avait pas envie d’être médecin. Cole l’avait surnommé Lara Croft le jour de leur rencontre et c’était un surnom qu’elle affectionnait énormément car il lui ressemblait, au plus profond de son âme. Malicia aimait l’adrénaline, les voyages, l’imprévu, l’aventure. Le Docteur Philip lui avait dit que son états s’amélioré de jour en jour et qu’il pourrait sans doute la faire sortir fin Aout, juste à temps pour reprendre les cours à Harvard. Seulement plus Malicia y réfléchissait et plus elle aspirait à autre chose. Elle voulait retrouver sa liberté, bien loin des confréries et d’une vie routinière. Elle voulait tout voir, tout apprendre tout découvrir. Elle voulait se coucher le soir sans savoir où elle serait le lendemain. Elle voulait se laisser porter par la vie et la vivre pleinement, qu’importe si elle ne gagnait par 3000 dollars par mois. Elle pouvait bien être serveuse, plongeuse, nounou ou autre, l’important pour elle c’était de voyager telle une aventurière, telle la Lara Croft qu’elle était. Elle aspirait à redevenir cette danseuse pleine de joie et d’énergie qu’elle était à son arrivé à Harvard bien avant, les mensonges, les manigances, les tromperies, les obligations et les Eliot… Allongé sur son lit, celui qu’elle occupé à l’hôpital psychiatrique, elle réfléchissait à ce qu’elle pourrait écrire à Brent, la seule personne qui aurait pût la convaincre de rester au final. Elle n’avait pas le droit aux visites, mais elle avait le droit aux lettres alors elle commença à en écrire à tout ceux qui comptait pour elle… Brent mais aussi Clary, Jonathan, Cole, Blueberry et les autres…


«  Cher Brent,

Je ne sais pas ce qu’on t’a dit, ce que tu sais et ce que tu ne sais pas mais il y des choses que j’aimerai te dire. En premier lieu j’aimerai que tu me pardonne de ne pas avoir toujours était celle qui a conquis ton cœur et d’avoir changé. Je veux que tu me pardonne pour ne pas toujours m’être ouverte à toi et de ne pas être digne de ton amour. J’aimerai que tu ne garde aucune rancœur à mon égard…
Ensuite, je voudrais que tu te pardonne à toi-même pour le déroulement de notre histoire. Il faut être deux pour former un couple, si ça n’a pas fonctionné je pense sincèrement que nous y somme tout les deux pour quelque chose…

Autre chose que j’aimerai te dire c’est : merci. Merci d’être ce garçon génial qui a toujours tenté de m’aider et d’être là pour moi. Merci de m’avoir aimé et de m’avoir fait rire. J’aimerai te dire merci pour tous ces merveilleux souvenirs qui sont dans ma tête grâce à toi. Les statues de l’île de pâque. Le patin à roulette. Le saut à l’élastique. Ton premier je t’aime. Le tag qui j’ai fait pour toi. Notre première fois. Tant de chose que je n’oublierais jamais… Merci pour tout ça…

Sache que je n’étais juste pas prête pour toi. Pour nous… J’ai grandit sans modèle d’amour et je sais aujourd’hui que j’ai peur d’aimer, peur d’être en couple car pour moi tout ça ne rime pas avec bonheur… J’ai pris la décision de quitter Boston pour de bon, de reprendre ma liberté, d’apprendre à me connaitre et à savoir si je suis. Je veux découvrir le monde et cela m’apportera sans doute le bonheur et m’apprendra qui je suis. Au fond de moi, même si je ne suis pas encore prête à notre amour, je sais que je passerai ma vie à t’aimer. Ne m’attend pas. Vie ta vie, fait des rencontres, oublie moi… Mais si dans dix ans, ta vie ne convient pas, si les flèches de cupidon ne t’ont toujours pas transpercé en plein cœur… Sache que je serais à l’ïle de paques, devant les statues qu’on a vandalisées. Je te donne rendez vous dans 10 ans à la date anniversaire de ta rencontre avec «  Cléo » ce jour où mon cœur à commencé à battre pour toi…
Si tu le permet j’aimerai t’aimerai t’envoyé des cartes postales de temps en temps, en tant qu’amis juste pour que tu sache que je vais bien et que tu te sente libre de vivre aussi.

Je t’aime, ta Maya. »
(Invité)