Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility(Paris) And then there's you | ft. Louve
-50%
Le deal à ne pas rater :
[Adhérents Fnac] -50% Casque Pro Gaming HyperX Cloud Alpha Noire et ...
49.99 € 99.99 €
Voir le deal


(Paris) And then there's you | ft. Louve

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
You put a spell on me
basile & louve
18 août, 23h. Même à des milliers de kilomètres, elle arrive se jouer de lui. Alors qu'il était sérieux dans leurs échanges, affirmant qu'elle lui manquait et surtout, qu'il aurait dû la prendre dans cette ruelle aux Laos quelques jours plus tôt s'il avait su qu'elle se ferait rapatrier en urgence en France, Louve n'a rien trouvé de mieux à dire qu'il a loupé la meilleur nuit de sa vie. Autant dire que sa frustration s'est retrouvée à son paroxysme. Et si, en temps normal, il aurait rétorqué quelque chose de cinglant, affirmant que c'est elle qui a loupé une nuit de rêve, il n'a rien fait Basile. A son tour, il a usé d'un silence radio pour la rendre dingue. Sauf qu'une idée un peu folle lui a traversé l'esprit durant la nuit, à force de relire encore et encore ce dernier SMS. Idée germant petit à petit. Idée qui finalement, s'est concrétisée...

Et le voilà qui débarque à Paris, dès le lendemain. Son idée ? Lui faire une surprise. Il n'aura pas réfléchi longtemps avant d'agir le brun, prenant le premier avion pour la capitale, se tapant ainsi onze heures de vol. Tout ça sur l'impulsion du moment. Il n'y a bien qu'elle qui arrive lui faire faire des choses aussi folles...  Arrivé dans l'après-midi sur un coup de tête, il en a profité pour aller rendre visite à sa famille, se doucher et se changer surtout, et voir quelques amis. Et maintenant ? La nuit est tombée, la deuxième partie de soirée entamée et il se trouve devant le manoir Perol, hésitant. Et s'il avait fait une erreur en venant ? Et si sa surprise tombait à l'eau du fait que Louve ne soit pas là ? Et si, pire que tout, elle se trouvait avec un autre gars ? Basile chasse bien vite cette dernière réflexion de son esprit, avant d'enfin appuyer sur la sonnette, sachant parfaitement que ce n'est pas Louve qui ouvrira. Ou tout autre membre de la famille Perol. Comme chez la famille Drahi, ils possèdent plusieurs domestiques. Il ne faut pas longtemps avant que l'une d'entre elles ne viennent ouvrir. Le reconnaissant, elle lui adresse un sourire chaleureux avant de le laisser entrer. Et après un bref échange, Basile apprend qu'elle est seule, le père ayant à faire ailleurs pour le travail et sa mère partie on ne sait-où. Remerciant la domestique, Basile monte les marches quatre à quatre, sachant pertinemment où se diriger. Et une fois devant la porte de chambre close, il ne peut s'empêcher de sourire en percevant la musique qui s'en échappe : du classique. Appuyant ses mains contre le bois, il écoute quelques instants, yeux clos, imaginant Louve danser. Et au bout de quelques secondes, il se décide à ouvrir délicatement la porte, faisant le moins de bruit possible, avant de s'appuyer dans l'encadrement. Louve ne l'a pas remarqué, alors il en profite pour l'observer un moment, un sourire niais sur le visage.

« Alors, comme ça, j'ai raté la meilleure nuit de ma vie ? » qu'il lance pour s'annoncer, bras croisés et sourire en coin, toujours appuyé dans l'embrasure de la porte. Il aurait bien voulu la prendre par surprise en l'enlaçant tendrement. Mais connaissant l’imprévisibilité de Louve, Basile a préféré la jouer 'safe ' plutôt que de prendre le risque de se faire casser le nez d'un geste brusque.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
you put a spell on me
basile & louve
Ton père a donné l’ordre à vos domestiques de te garder à l’œil et de veiller à ce que tu sortes peu. Mais t’as toujours réussi à négocier avec elles. Alors t’as passé ta journée dehors. Tu t’es levée vers treize heure, tu t’es préparée et t’as filé à la conquête de ta ville natale. T’as eu besoin de voir du monde, des gens que t’avais perdu de vue après trois années passées à Boston à rentrer trop rarement sur Paris. T’as passé ta journée à faire les boutiques, à boire des verres en terrasse et à bouffer beaucoup trop pour ta carrure. Ca t’a fait du bien de revoir ces gens, ceux avec qui t’as fait toutes tes conneries, avec qui t’as fugué quand t’étais qu’une ado. Parce que déjà à cette époque, tu donnais du fil à retordre à toute la famille. C’est sûrement ce qui te vaut un comportement pareil de la part de ton père. Parce qu’il sait que personne te tient en laisse et que t’en as toujours fait qu’à ta tête. Peut-être qu’il se dit que ça changera si tu restes ici, comme la petite fille sage dont il a toujours rêvé. Comme une seconde Fauve. Sauf que toi, tu sais que ce sera pas le cas. Et rester enfermée ici ne fera que te faire vriller encore plus.

T’as fini par rentrer sur les coups de vingt-deux heures trente, une bonne dizaine de sachets au bout des bras, à presque plus pouvoir tenir tous ces kilos de marchandise bien trop chère. Et pour marquer le coup de ton divorce à venir, t’as pris soin d’acheter un beau cadeau à Denys, parce qu’après tout, avec la nouvelle, t’as l’impression que ton père en a perdu sa mauvaise idée de mariage arrangé. Tant mieux, même si ça t’a valu d’écourter ton séjour au Laos et de quitter Basile. T’avais les nerfs, d’ailleurs, de l’avoir laissé là-bas. Parce que c’est pile au moment où les choses devenaient enfin intéressantes que t’as dû filer à l’anglaise, sans un mot. Et même si tu cherchais à garder le contact avec lui par téléphone, depuis la veille, t’avais plus eu de nouvelles. Ca t’agaçait, quelque part, parce que tu t’imaginais tout un tas de trucs. Tu te faisais des films, à te dire qu’il devait être repartis en sens inverse, dans les bras d’une énième conquête. Alors que toi, t’étais restée sur ta faim. Ta faim de lui, de ce qui te faisait de l’œil depuis que t’étais gamine. Dire que quinze ans en arrière, tu te promettais de lui dire Oui. Et cette promesse, quelque part, elle est restée en toi, malgré que de son côté il t’ait longtemps ignorée. Parce que t’étais la petite sœur de Marin, de quatre ans sa cadette, une gamine parmi tant d’autres. Mais tu l’as eue ta revanche. Ou presque. Tu comptes la prendre pleinement, et tu l’auras, Basile. Il sera à toi.

A peine les pieds dans ta chambre, les sacs balancés de toute part, t’as filé dans ta douche. Pour te faire belle pour ton lit. Et t’as pas mis bien longtemps à en ressortir, les cheveux attachés en un chignon sur le sommet de ton crâne, avec de simples sous-vêtements sur le dos jusqu’à ce que tu décides enfin à te glisser sous tes draps. T’as balancé ton téléphone sur ton lit en ressortant de la salle de bain et tu t’es jetée sur la télécommande de ta chaîne hifi pour te laisser aller à quelques pas de danse classique. Ca t’aère l’esprit, de virevolter comme si ta vie en dépendait. Sauf que, bien vite, t’es sortie de ta bulle. Cette voix que tu reconnaîtrais parmi mille te fait louper un battement de cœur alors que tu sursautes. Dans un geste vif, tu te retournes face à l’intrus en camouflant par réflexe ta poitrine et tes parties intimes comme si tes sous-vêtements n’existaient pas, et tu te poses mille questions. Les sourcils froncés, tu restes bloquée sur le personnage qui te fait face, les bras croisés, sourire aux lèvres. « Je suis en train de dormir ? J’ai pas souvenir de m’être couchée pourtant… » que tu marmonnes en remontant ta main vers ta bouche, ton index posé sur tes lèvres. Alors, comme pour te persuader que tu t’es endormie sans t’en rendre compte, t’en viens à te pincer le bras. Si fort que ça t’arrache un cri de douleur. Tu rêves pas. Et t’es même pas sûre de comment réagir. Après quelques secondes qui ont permis à l’information de monter à ton cerveau, ton visage s’illumine et te voilà qui t’élances finalement vers lui pour lui sauter dans les bras. Il t’a manqué. Beaucoup trop. Depuis votre petite soirée dans cette ruelle, t’as l’impression que tes sentiments se sont décuplés. Et tu peux pas les refouler comme tu l’as toujours fait. T’as ce sourire satisfait sur les lèvres, alors que tu viens déposer un baiser sur sa joue. « Alors t’as quitté tes potes pour moi finalement ? Comment t’es entré ? » T’as pas réellement fait attention à ce qu’il a dit plus tôt, concernant cette fameuse nuit qu’il a loupée. T’as pas pu noter tant t’étais à fond dans ton délire et surprise que quelqu’un se soit pris le droit de s’immiscer dans ta vie privée.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
You put a spell on me
basile & louve
Il ne s'annonce pas tout de suite, préférant observer Louve en silence, l'espace d'un instant. Et il ne peut s'empêcher de sourire Basile, lorsqu'il voit la passion qui anime la belle alors qu'elle bouge avec une grâce sans pareille. Il est tellement captivé, fasciné par ce qu'il a sous les yeux, qu'il ne réalise même pas qu'elle est uniquement vêtue de ses sous-vêtements... ce n'est que lorsqu'il l'interpelle et qu’elle fait mine de se cacher, faussement pudique, qu'il réalise enfin. Et il en reste bouche bée le brun, face à cette révélation. Parce que putain, et même s'il le savait déjà, Louve est diablement bien foutue. Sourire illuminant ses traits, il ne peut s'empêcher de rigoler à gorge déployée en voyant la réaction de la blonde, qui se pince pour s'assurer qu'elle n'est pas en train de rêver. Tellement mignonne... Pour toute réponse, Basile secoue négativement la tête. Non elle n'hallucine pas, oui il est bien là. Pour elle, à défaut d'avoir décroché la lune, il a traversé l'océan. Mais il n'a pas le temps de dire quoique ce soit le brun, ou d'esquisser un geste dans sa direction que déjà, la jeune femme se rue sur lui. L'attrapant au vol, Basile la serre dans ses bras, enfouissant son visage dans son cou, s’imprégnant de son odeur en fermant les yeux. Humant son parfum qui lui fait tourner la tête. Quelques jours à peine de séparation, et c'est comme si des mois s'étaient écoulés.

Basile finit par la relâcher, l'observant un court instant. Il en rougirait presque de la voir si peu vêtue. Le fait est qu'il ne s'attendait pas à une telle vision en débarquant comme ça. Mais il ne s'en plaint pas, loin de là. Louve est diablement sexy. « J'ai plus d'un tour dans mon sac » qu'il donne en guise de réponse à la jolie blonde, agrémentant ses paroles d'un clin d’œil malicieux. Et finalement, il s'avance au centre de la pièce, tourne un coup sur lui même tout en scrutant les lieux, comme s'il cherchait quelque chose. Au bout de quelque secondes, il finit par se diriger vers le lit et regarder en dessous d'un geste vif, comme pour surprendre un éventuel rôdeur qui n'aurait pas trouvé mieux comme cachette. « Pas de mec planqué quelque part ? » qu'il demande en fausse question, avant de se diriger vers la penderie et répéter le même processus. Et il ne peut pas nier Basile, nier son apaisement de savoir que non, aucun mec ne traîne dans la chambre de la belle. Que Louve est en sous-vêtements sans aucune raison autre que celle d'être à l'aise et non pas parce qu'elle allait se faire sauter ou s'est fait sauter par un bobo parisien. Jaloux Drahi ? Assurément. Milles et une versions de cette scène, de ces retrouvailles, se sont jouées dans sa tête lorsqu'il a pris l'avion. Et plus encore lorsqu'il s'est retrouvé devant le manoir Perol... Soupirant de soulagement en constatant qu'il a encore imaginé n'importe quoi, Basile se tourne vers Louve, s'approche d'elle d'un pas décidé avant de lui attraper le visage et l'embrasser passionnément.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
you put a spell on me
basile & louve
De le voir en face de toi, ça te fait tout drôle. Tu comprends pas au début, tu penses que t’es en train de rêver parce que y a à peine un peu plus de vingt-quatre heures en arrière, il était encore en Laos, dans sa chambre d’hôtel. Ou c’est ce qu’il t’a fait croire, t’en sais trop rien au final. Mais t’es contente. Tu te dis qu’il a fait tout ce chemin pour toi, à moins qu’il ait eu un souci d’ordre familial et qu’il en ait profité par la même occasion pour venir te voir ? « Ta famille va bien ? Je veux dire, c’est pour eux que t’es venu à Paris ? » que tu le questionnes encore tout juste après qu’il t’ait reposée à terre. Parce que t’aurais l’air conne de te faire tout un film, d’être heureuse comme jamais auparavant, si au final c’était pas uniquement pour toi qu’il était revenu ici. T’aurais mille et une autres questions à lui poser, mais quand tu le vois qui regarde brusquement sous ton lit et qui te demande si y a pas de mec planqué quelque part dans ta piaule, tu peux pas t’empêcher de rire. Tu te dis qu’il est mignon, à se faire du souci pour sa place. Bien sûr qu’il y a personne. Surtout pas après votre petite soirée. « Peut-être bien qu’il y en a, peut-être bien que non. Peut-être qu’il s’est même déjà sauvé, avant même que tu mettes tes pieds dans ma chambre sans autorisation. » T’as ce sourire en coin, tu veux voir sa réaction. Voir s’il va continuer à ses faire des films ou si regarder sous ton lit et dans ta penderie lui suffit à avoir le cœur net. « T’es vraiment con quand tu t’y mets, tu le sais ? » Il t’attendrit, malgré toutes vos engueulades. Malgré son caractère de chiotte, t’arrives encore à le trouver mignon quand d’autres auraient déjà passé le flambeau à la prochaine. Mais toi, tu persistes, sachant pertinemment qu’au fond c’est loin d’être un mauvais type. Au contraire même, il vaut peut-être plus encore que ce que tu penses, et ça, seul l’avenir te le dira. Et au moment où Basile se tourne vers toi, tu peux pas t’empêcher de l’admirer. T’as l’impression que ça fait deux ans que tu l’as pas vu. Sûrement lié à la distance qui vous séparait jusqu’ici. Sauf que maintenant, il est là, et t’es bien décidée à en profiter pleinement. Encore plus en te disant que peut-être il repartirait seul à Boston. Et qu’il serait encore une fois trop loin de toi. Parce que même si t’es déterminée à négocier ton retour à Harvard avec ton père, t’es pas certaine qu’il cèdera. Tu le connais, c’est un homme de caractère qui justement, n’a pas pour habitude de céder.

Tes yeux détaillent chaque parcelle du corps de Basile, tu te l’imagines déjà dévêtu, comme t’aurais dû le voir y a une semaine exactement, dans cette ruelle. Si t’étais encore la gamine de treize ans qu’il a connue, t’aurais sans doute un filet de bave au coin de la bouche à force de trop d’admirer. Cette habitude de n’avoir d’yeux que pour lui malgré ce que tu veux lui faire croire, elle te perdra. Et quand il vient t’attraper le visage pour t’embrasser, ton rythme cardiaque s’accélère alors que tu viens lier ta langue à la sienne avec passion. T’en as connu, des hommes, dans ta vie. Mais des hommes qui te procurent cette sensation, ce degré d’envie, jamais. Ca te fait bizarre, t’es forcée de te l’avouer, tu te sens vulnérable face à lui, comme si ton esprit et ton corps ne pouvaient rien refuser de ce qu’il te réclamait. Tu profites de ce baiser pour glisser tes mains sous son haut, qui viennent alors parcourir ce torse sculpté que trop de femmes ont déjà touché à ton goût. Puis tu décides de décoller tes lèvres des siennes, un large sourire aux lèvres, à le regarder droit dans les yeux comme si t’observais la première merveille du monde. « Tu m’as manqué. Atrocement. » que tu déclares en déposant un second baiser sur sa joue, avant de te retourner pour claquer la porte de ta chambre. Tu peux pas t’empêcher de lui lancer un regard provocateur alors que tu verrouilles cette même porte de peur d’être dérangés. Parce que tu te dis que tes parents pourraient rentrer à tout moment, et t’as aucune envie qu’ils te retrouvent avec Basile. Encore, ta mère poserait pas de souci, elle a toujours été comme ça, de votre côté à tous. Ton père, c’est un autre problème. T’as dû lui promettre en revenant ici que tu te tiendrais à carreaux et, trois jours après seulement, te voilà déjà dans ta chambre avec un type qui n’est même pas celui qui t’a passé une bague Reine des Neiges au doigt devant le maire. « Je vois que mon message t’a perturbé pour que tu fasses tant de kilomètres dès le lendemain. » T’accompagnes ces quelques mots d’un clin d’œil en la direction du brun alors que t’attrapes la télécommande de ta chaîne hifi pour changer de musique et augmenter légèrement le son, de manière à ce que tu sois sûre qu’aucun bruit ne soit perceptible hors de cette pièce.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
You put a spell on me
basile & louve
L'attrapant au vol, Basile la serre fort dans ses bras. Et quand il la relâche alors qu'elle lui demande s'il est venu voir sa famille, il ne peut, une nouvelle fois, pas s'empêcher de rigoler, avant de secouer négativement la tête. Et pour toute réponse, il l'embrasse furtivement sur les lèvres. Même s'il en a profité pour les voir, et voir sa famille, ce n'est pas pour eux qu'il a pris le premier avion. Ce n'est pas pour eux qu'il a traversé l'océan en se tapant plus de dix heures de vol. Ce ne serait pas pour n'importe qui qu'il prendrait ce genre d’initiative le brun. Oui mais voilà, Louve est loin, très loin d'être n'importe qui. Même s'il ne l'avouera pas.


Il a confiance Basile, et en même temps, il ne peut pourtant pas s'empêcher d'avoir le doute. Surtout maintenant qu'il réalise que Louve est uniquement vêtue de sous-vêtements. Ça ne devrait pas le surprendre pourtant, la belle a toujours eu ce genre d'initiative un brin décalée. Malgré tout, il va fouiner sous le lit et dans le placard pour voir s'il n'y a pas un type planqué. Et les mots de la belle lui font grincer des dents même s'il sait qu'elle ne fait que s'amuser de ses réactions. Même s'il sait qu'elle dit uniquement ça pour voir ce qu'il va faire. Sauf qu'elle pourrait tellement lui rendre la monnaie de sa pièce. Combien de fois l'a-t-elle surpris avec une autre fille ? Certes, ils n'ont jamais été ensembles, et n'ont jamais rien entrepris l'un envers l'autre, jusqu'à cette soirée aux Laos. Mais ce serait mentir que de dire que l'attirance n'était pas là. Qu'ils n'était pas irrémédiablement poussés l'un vers l'autre tels deux aimants, tension palpable jusque dans l'atmosphère. Tension présente actuellement. Visage fermé, regard sérieux, Basile se dirige rapidement vers la blonde pour venir l'embrasser avec force. Puis, détachant ses lèvres en même temps qu'elle, gardant son visage entre ses mains, il plonge son regard dans le sien avant d'ajouter d'un ton ferme qui ne laisse pas de place au doute ni à la discussion : « T'es à moi. »

Sourire en coin, il la regarde faire lorsqu'elle verrouille la porte et augmente le volume de la chaîne hi-fi tout en mettant une musique plus bruyante. Pas de place au doute quant aux intentions de Louve. Et ça lui plaît putain. S'approchant d'elle d'un pas lent, prédateur tentant de charmer sa proie avant de la dévorer, Basile la surplombe de toute sa hauteur, l'obligeant ainsi à reculer jusqu'à ce que son dos rencontre la porte, appuyant un bras juste au dessus d'elle, comme pour l'empêcher de fuir. Quant à sa presque question, Basile se contente de sourire en coin, avant, de son autre main, passer délicatement ses doigts sur sa clavicule.... « J'ai pas cessé de penser à toi... » qu'il avoue d'une voix douce, alors qu'il plonge une nouvelle fois ses yeux dans les yeux, sans cesser de caresser sa peau de velours. « A nous. A ce moment. » qu'il poursuit, alors que ses doigts continuent leur exploration jusqu'à la naissance de ses seins. Puis le brun approche son visage comme s'il voulait l'embrasser, avant de dévier sa trajectoire au dernier moment. « Si tu savais c'que j'ai en tête » qu'il murmure au creux de son oreille, avant de venir l'embrasser dans le cou.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)