Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityZAKHALYTE + Une odeur de nostalgie.
-25%
Le deal à ne pas rater :
PC Portable Gamer 16,1” HP Victus 16 – 16 Go /512 Go
749.99 € 999.99 €
Voir le deal


ZAKHALYTE + Une odeur de nostalgie.

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Ma grossesse enfin avouée, à moitié, à demi parce que la vérité je préfère le garder au fond d'un coffre dans un coin de ma tête. Parce que la vérité serait trop dur à accepter, elle ferait plus de mal que de bien et j'ai pas envie d'être celle qui fait souffrir la seule personne qui me fait vraiment du bien. Alors je tais la vérité mais même silencieuse, malgré l'énergie que je met à y croire, elle me ronge. Elle me dévore de l'intérieur et le sommeil a prit la fuite. Les signes de fatigue présents et creusent les traits de mon visage, quand le soir arrive, les questions m'attaquent. Je ne suis pas prête, putain ! Pas prête pour ça. Et je ne serais jamais une bonne mère, ni une bonne personne parce que je m'interdis d'éprouver quoi que ce soit. Ou du moins jamais entièrement. Je ressens qu'à moitié, que par fragments. Après avoir passé des heures devant mon miroir, tentant de me cacher derrière une dose de maquillage. Assez pour retrouver un visage lumineux, assez pour ne pas avoir l'air d'un zombie ambulant et je sortais de chez Ayma. Prête à rejoindre ma voiture, quand en refermant le portail je tombe nez à nez avec une ancienne brève histoire. Zakhar. Et je reste plantée là, muette et la bouche entrouverte en découvrant sa transformation intégrale. Son retour imminent qui me déboussole à peine, presque pas mais assez pour mettre du temps à faire sonner le son de ma voix. - Que vois-je, un fantôme.. Je plaçais mon sac sous le bras, m'armant de mon plus beau sourire ironique. - Quelques mois loin de nous, un mariage à la con et tu ressembles déjà à un mather. Un timbre de voix tranchant, un pas en avant en descendant la marche du trottoir qui me mène jusqu'à lui pour venir lui faire face.




(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Personne n'était au courant de mon retour à Cambridge, c'était un peu ma marque de fabrique, partir et revenir à l'image d'un cauchemar récurrent. Mon avion avait atterri deux heures auparavant, je n'ai même pas encore eu le temps de déposer mon sac qui me servait de valise, pour une fois je voyageais léger. Ce n'était pas encore l'heure de me détendre dans les bras de ma femme, il fallait à tout prix que je vois une vieille connaissance d'Harvard : Aaric. Ce mec était un virtuose du clavier d'ordinateur, un hacher hors paire.. j'avais besoin de ses services, je sortais justement de chez lui. Cette visite était pour moi une façon d'annoncer à mon ami mon retour à Cambridge durant quelque temps ainsi que mon envie de "travailler avec lui". J'avançais d'un pas plutôt affirmé en direction de ma voiture, je connaissais parfaitement le quartiers, j'habitais non loin d'ici avec Alexys. C'est au détour d'un paté de maison, face à un immense portail, que je tombais nez à nez avec un visage plus que familier. Je me stoppais net, je n'avais certainement pas prévu de croiser mon ex petite amie alors que je venais tout juste de poser les pieds sur le sol américain. Si Alexys apprenait que j'avais vu Hippolyte avant elle, j'étais prêt pour une petite scène de ménage. Quoique je pouvais jouer sur le fait que c'était totalement par hasard, ce qui était vrai finalement. Je passais une main dans mes cheveux suite à ses propos, le fait qu'elle me compare à un mather à cause de mon look un peu affirmé qu'auparavant avait le don de me faire sourire, ironiquement. « Premièrement, mon mariage avec Alexys n'est certainement pas un mariage à la con. » je croisais mes bras en la toisant du regard. « Deuxièmement, ça me déçois que tu sois encore à croire qu'un homme tatoué est forcément assimilé à quelque chose de mal honnête. » pour le coup, mes propos étaient plutôt inappropriés, j'étais clairement en train de me foutre de la gueule de Hippolyte, cependant elle n'était au courant de rien.. Il fallait qu'elle reste convaincu que j'étais encore à la tête de l'entreprise familiale en Russie. Ses tatouages n'étaient pas le fruit de ma nouvelle lubie professionnelle, j'ai toujours aimé ce genre d'art, cependant il est vrai qu'en ce moment je me sentais plus libre de mes actes. Je regardais alors Hippolyte de haut en bas, elle se respirait certainement pas la joie, je n'étais pas assez stupide pour ne pas m'apercevoir qu'elle avait caché de jolis cernes sous son maquillage. « Visiblement, ses quelques mois n'ont pas été très revitalisant pour toi. Tu ressembles trait pour trait à une Mather en fin de carrière aujourd'hui Hippolyte. » Elle m'avait cherché.. Hippo me connaissait un minimum pour savoir que je n'étais pas du genre à me laisser faire, encore moins en ce moment. Même si nous étions en bon terme la plupart du temps, ils nous arrivaient souvent de nous lancer des piques bien placés.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Je quittais le toit d'Aymalyne pour me rendre chez moi. Cole venait de m'inviter pour une escapade en tête à tête en France, sur la côte d'Azur et le départ était quasi imminent. Demain. Et je n'avais rien de prêt, les valises de mon retour à Boston qui régnait encore probablement sur le pas de la porte ayant bêtement donné quelques jours de repos à Maria. Et j'avais envie de me focaliser sur ce genre de futilité pour ne pas penser aux choses importantes. Aux détails de ce voyage avec ce qu'il reste de mon meilleur ami. Ce qu'il reste.. Parce que clairement, depuis quelques jours, depuis que je sais que je enceinte je ne cesse de retourner notre relation dans tous les sens. Et si notre amitié n'était que le côté superficiel, que le côté dans lequel on aime bien se réfugier parce que nous deux.. On est pas fait pour ça. Lui, s'entête à aimer sans vraiment goûter à l'amour, se plaisant dans ce doux mensonge de bonheur trop parfait. Et moi, fuyant quelconque attachement. N'essayant même pas. Cette grossesse m'embrouille, mettant mes convictions sans dessus dessous, semant le doute que des sentiments dont j'étais certaine il y a encore un mois de ça. Et me voilà qui commence à éprouver de la jalousie, un surplus de possessivité, et une attirance hors du commun pour Cole. Je déteste ça, me sentir si vulnérable. Je déteste ce que je ressens, ce truc trop fort qui nous bousille de l'intérieur. Ce voyage, n'était qu'une tentation de plus à laquelle je n'ai pas eu le courage de pas céder. La tête ailleurs, le corps qui se heurte contre quelque chose de dur. Quelque chose que je connais bien, une anatomie qui n'a pas de secret pour moi. Que j'ai pu côtoyer pendant quelques semaines .. Je lève les yeux au ciel en entendant la naïveté de Zakhar, défendant son union tel un chien qui défend son os. Et ça m'arrache un sourire. Nerveux. Parce que je n'aime pas l'idée qu'il ai pu finir avec cette pauvre fille qu'est Alexys. J'arque un sourcil, un pas de plus qui me mène à franchir la ligne de l'intimité. Ou presque. - Ah bon ? On aurait dit pourtant au bal de cette année, quand elle a passée la soirée à embrasser toutes les bouches présentes. Je suis sur que c'est plaisant de savoir à quel point ta femme n'a aucun respect pour toi. - Alors c'est ça le mariage ? L'amour ? Que je demande sur un air faussement naïf. Pendant le bal, Alexys a complètement oubliée l'alliance qui prône sur son annulaire. - C'est vrai, autant pour moi.. Je t'ai peut être jugé trop vite. Et ma main vient se perdre dans la barbe claire de mon ex. - Ça te va plutôt bien, c'est presque excitant Mordachov. Que je lance en découpant les mots lentement, tirant légèrement sur ses poils avant de les relâcher. Aïe. Il marque un point, il n'a pas tort et ça me fait serrer les dents. Le regard qui fuit, une inspiration électrique avant d'hausser les épaules. - Même comme ça, je n'ai rien d'une Mather, ne t'avise plus de m'insulter. Dis-je en relevant les yeux vers lui pour accrocher son regard. - A moins ce que ce soit un compliment de ta part ?.. Les mathers c'est ton péché mignon, non ? Sourire qui étire mes lèvres, regard presque indécent.




(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Ma chère ex petite amie aimait piquer la où sa faisait mal, elle aimait particulièrement déraper sur ma relation avec Alexys, elle n'avait jamais été pour.. loin de la. On en venait toujours à se disputer, à croire que c'était plus fort qu'elle. Je ne pouvais pas vraiment lui en vouloir puisqu'elle était Eliot, que sa ligne de conduite était à ma connaissance irréprochable. Cependant, je préférais croire que Hippolyte était au final jalouse. Elle illustrait cette jalousie en me crachant au visage que ma femme avait plus que dérapé au bal de fin d'année, bal à laquelle je n'avais pas assisté puisque j'étais occupé à assumer mon rôle de PDG en Russie. Info ou intox? Je serrais néanmoins les dents.. Hippolyte était capable du pire pour me déstabiliser, encore plus quand il s'agissait de ma femme. Je gardais mon calme, ce sang-froid qui régnait en moi n'était qu'une façade.. j'étais un peu comme une bombe à retardement, il ne fallait pas trop que mon ex petite-amie me titille sur le sujet. Je fronçais les yeux, la toisant du regard. « On a tous une vision différente de ce qu'est un couple Hippo. C'est peut-être pour ça que ça n'a pas collé entre nous. » Ce n'était qu'une pirouette, une façon de détourner le sujet, je ne voulais pas avoir cette discussion avec Hippolyte. Si Alexys avait quelque chose a se reprocher, je suis sûr qu'elle me le dirait à mon arrivée. Je regardais mon ex petite-amie s'approcher de moi, quelques secondes plus tard je sentais sa main se glisser sur ma barbe. Ses propos arrivaient à me détendre légèrement.. « Ravi que ça te plaise. » je sentais ses doigts agripper mes poils de barbe. Je reconnaissais bien l'assurance de mon ex petite-amie. Je piquais son égo, je connaissait assez Hippolyte pour savoir à quel point il était important pour elle d'être toujours au top.. le fait que je remarque son laissé aller était je le savais bien dur à entendre. Je ne pouvais m'empêcher de sourire, davantage quand elle venait à me menacer. Hippolyte s'empressait de me faire remarquer que j'avais un don certain pour les filles Mather.. ce qui était à moitié vrai puisque Alexys était la seule Mather à avoir atterri dans mon lit. « Je suis plutôt ouvert d'esprit à ce niveau. » dis-je en baladant mon regard sur le décolleté de mon ex petite-amie, je n'étais jamais le dernier quand il s'agissait de provoquer Hippolyte. Je replantais mon regard dans celui de la jeune femme.
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)