Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityALEKHAR + il y a l'amour ... et puis il y a la vie, son ennemie. - Page 2
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ALEKHAR + il y a l'amour ... et puis il y a la vie, son ennemie.

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Je ne pouvais pas nier le fait que ça me faisais un bien fou de revenir à la maison, je me sentais vraiment apaisé ici.. si bien que d'y rester en permanence avait le don de me faire peur, comme ci j'avais peur de me lasser de cette vie. Le fait que Alexys se trouve ici y jouer beaucoup il fallait bien l'admettre. La vie dans cette ville saurait certainement pas le même goût si ma petite Mather préférée n'était pas là. Depuis que j'avais posé les pieds dans cette villa, je n'avais de yeux que pour ma femme, elle était toujours aussi belle.. sa nuisette me donnait des idées assez bestiales. Alexys avait le don de me rendre fou, elle savait en jouer.. le fait qu'elle me questionne sur mes intentions du moment me faisais beaucoup sourire, ma femme savait parfaitement ce que voulait dire ce visage là. Je n'avais plus besoin de lui faire un dessin, Alexys lisait en moi presque comme dans un livre ouvert, à quelques exceptions près. Je me mordais rapidement la lèvre inférieur en découvrant le petit air innocent de ma femme, elle avait le don de me faire vriller.. dans le bon sens pour le coup. J'étais plutôt fier de moi, cette affaire de photo était finalement comme une lettre à la poste, bien que je savais au fond de moi qu'elle n'allait pas me lâcher.. demain j'y avais le droit. « Je vais te laisser deviner, c'est bien plus marrant. » elle savait pertinemment de quoi je parlais, Alexys avait pas mal de défauts mais pas celui d'être stupide. Mon regard dans le sien, je ne manquais pas de lui demander à mon tour si elle avait été sage en mon absence.. ce n'était pas vraiment une question de formalité, je voulait démonter les propos de Hippolyte à l'égard de ma femme. Finalement cette histoire de photo avait permit au moins d'amorcer la chose, je m'assurais en même temps que mon ex petite amie mentait.. Alexys me rassurait rapidement, ce qui me faisais sourire de plus belle, d'une façon plus mignonne pour le coup. « Ça tombe plutôt bien, j'ai horreur des filles trop sage. » Je connaissais le passif de Alexys, c'était une ancienne fêtarde tout de même, qui dit fête dit Alcool, garçon en chaleur, drogues.. le Summer Camp se déroulant actuellement, elle aurait très bien pu déraper. Pour le coup, j'étais rassuré, apaisé.. je prenais alors le risque de la croire, j'aimerais bien qu'elle fasse pareille pour l'histoire des photos. Je ne quittais plus le regard de ma femme, comme hypnotisé. « De toute façon si je chope le mec qui ose te toucher, je le brise.. on est d'accord?! » dis-je d'une façon plutôt déterminé, le ton était donné : je ne plaisantais pas. Ces quelques mois en Russie m'avait davantage endurci, mes propos pouvaient le témoigner. J'attrapais les hanches de ma femme, pour la faire tomber sur le lit qui se trouvait derrière nous. Je m'allongeais rapidement près d'elle afin de pouvoir l'embrasser comme au premier jour. Je remontais alors sa nuisette doucement le long de sa cuisse, ma respiration s'accélérait, signe que cette sensation m'avait terriblement manquée. Je descendais rapidement mes baisers dans son cou brulant, mordillant sa peau de temps à autre. Elle me rendait fou, ça se voyait clairement à ce moment.
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Je laisse les histoires de côté. Pas trop longtemps mais, ce soir au moins. Parce que j'aimerais qu'on ait des retrouvailles correctes. Comme tous les couples après plusieurs semaines de séparation. J'ai envie de lui montrer à quel point il m'a manqué. J'ai envie de lui faire comprendre que je déteste lorsqu'il me laisse trop longtemps ici, toute seule. Et puis, je veux lui prouver que cette villa, elle est vraiment vide sans lui, sans âme du moins, il manque quelque chose. Encore plus sachant que Marta se trouve être en vacances avec sa famille. J'ai le droit à son regard de prédateur et sa lèvre pincée. J'ai qu'une envie, c'est me jeter dessus. Qu'est-ce que j'aime le voir comme ça. C'est beaucoup plus intéressant que ses sourcils froncés et son regard sombre. Je souris de plus bel en réduisant davantage la distance qui nous sépare. " Je préfère que tu me montres ! " Parce qu'évidemment, j'ai toujours deviné où il voulait en venir. Je le connais par coeur. Sans doute parce que d'une certaine façon, on réagit pareil tous les deux. Et puis, c'est pas comme si je le connaissais depuis quelques semaines, ça fait des années qu'on se supporte mutuellement. Il me demande si j'ai été sage, si je n'ai pas dérapé durant son absence et je lui réponds le plus sincèrement du monde tout en lui expliquant que ce soir, les choses vont certainement changer. Sa remarque me fait rire parce qu'il est vrai que je suis loin d'être une petite fille modèle qui rentre dans les rangs. " C'est sans doute pour cette raison que t'as épousé une Mather. Très bon choix monsieur Mordachov ! " Surtout que c'est le Summer Camp. Tout le monde sait que ça rime avec soirée, alcool, sexe, musique, danse, boîte de nuit, retour à l'hôtel et tout le blabla qui s'en suit. A préciser, je me suis rapprochée de Zakhar lorsque j'étais au Summer Camp. C'est peut-être pour ça qu'il me pose la question. Parce qu'il a peur que je fasse n'importe quoi. Tout le monde s'éclate au SC et ce soir, c'est à mon tour. J'écarquillais les yeux suite à ses dires, légèrement moins sérieuse que lui pour le coup. " Wahou, t'es violent comme mec ! " Ouais, je fais la meuf étonnée mais, je sais pertinemment qu'il est sérieux. D'ailleurs, je me racle la gorge en passant mes bras autour de sa nuque pour rajouter à mon tour : " Moi, si jamais je croise cette connasse, collègue, cliente ou je ne sais quoi, peu importe, je lui rase la tête et je lui fais bouffer ses cheveux jusqu'à ce qu'elle rende son dernier souffle. J'espère que c'est clair. " Je cligne des yeux en esquivant un léger sourire. Moi ? Méchante ? Cinglée ? Jalouse ? Rien de tout ça, voyons. Je suis une jeune femme tout à fait normale. Je dépose un baiser sur ses lèvres avant de le rassurer davantage parce que je sens qu'il en a besoin. " Ça va, t'inquiètes pas. T'auras à briser la nuque d'aucun mec mon amour. " Et je pense que ça lui suffit parce que je me retrouve assez rapidement sur le lit, Zakhar à mes côtés en train de dévorer mon cou après s'être attaqué à mes lèvres. Mes mains posées sur mon corps, son souffle contre ma peau et sa respiration qui s'accélère au même rythme que la mienne, toutes ces petites choses auxquelles on finit par ne plus prêter attention me montrent clairement à quel point j'ai besoin et envie de lui dans ma vie. Le point positif dans ce mode de vie, c'est qu'à chaque fois qu'il revienne, je me prends conscience de ces choses-là. Ou, Zakhar m'est indispensable, qu'il soit ici ou là-bas, je ne veux pas d'un autre homme dans ma vie. Mes mains se frayent un chemin en dessous de son t-shirt que je retire assez rapidement pour admirer ses tatouages. Je tente de repérer les nouveaux, ceux que je n'ai pas encore vu. J'essaie de comprendre leur signification en dessinant leurs contours du bout du doigt, me mordant la lèvre à chaque fois que ses dents effleuraient ma peau.
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