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JULIAN B. DAVIS & DANNEEL DE SUÈDE-S.
JULNEEL
Je n’avais pas la tête à beaucoup de choses en ce moment. Je venais tout juste d’apprendre que ma mère était terriblement malade, que la société de mon frère était à la main d’un directeur provisoire en attendant que je rentre du Laos, mais qu’il ne savait rien foutre de ses dix doigts. Roman avait pris la poudre d’escampette, j’avais mis des distance avec Tate, je ne voyais presque plus Elyas, ni Sloan mes deux bébés de meilleurs amis. Non en effet en ce moment rien n’allait comme il le faudrait, et pour couronner le tout, je n’avais pas réussi à trouver d’avions pour retourner à Boston avant trois jours, et le Jet familiale était indisponible pour le moment. Je soupire et ouvre les yeux, allongée sur mon lit, seule, un soupire s’échappe de ma bouche. Il fallait que je me bouge, mais pour le moment je n’y arriverais pas. J’attrape mon portable, et envois quelques sms par ci par là. Rien ne pouvais me motiver à me lever. Je fumer donc une cigarette allongée dans le lit. Une fois que j’eu terminé de consumer le tube mortel, je prends mon courage à deux mains et envois un sms à Julian. Putain cette fille, je l’ai aimé comme je n’ai jamais aimé personne, mais sa je ne pouvais pas me résoudre à l’admettre, c’était trop pour moi de devoir admettre que j’étais bisexuelle. Je fini par aller prendre une douche, histoire d’être propre tout de même. Le service de nettoyage était passé pendant ma douche. La chambre n’était jamais en désordre, donc le ménage allée vite dans ma suite. Une fois habillé en robe courte et confortable, je demande à Julian de venir. « Putain Danneel mais pourquoi tu as fait ça ?! » marmonnais-je contre moi-même.
J’avais décidé de traverser ma suite, enfin c’était plus un loft de grand standing vus que j’avais demandé le plus spacieux et autonome. Il y avait deux chambres, un salon avec écran plat et système audio de dernière pointe, un balcon avec une vue à couper le souffle, une cuisine. Enfin un logement de riche en gros. Je prenais un vert d’eau bien fraiche tout en allant sur le balcon. Mes mains posées sur la balustrade, j’observe le monde en bas. Les gens vue d’ici ressemble à des fourmis travailleuses. Un léger sourire narquois ce dessine sur mes lèvres. Je penser à la façon dont j’allais bien pouvoir m’en prendre à certain membre de la Eliot House à la rentrée. Et commencer par devenir présidente de la Lowell House me semblais bien. Cette garce d’Hippolyte ne l’emporterait pas au paradis. Alors que mes pensées se perdaient, je pris mon portable, passant un appel. « Berlioz, j’ai besoin que vous meniez une enquête pour moi. Apprenez en le plus possible sur les sœur Dunford. Merci. » BR était mon privé, un très bon détective. Alors que je terminais mon appel j’entendais toquais à la porte. Je prends une grande inspiration pour me donner du courage, et je pars ouvrir. Elle était là, face à moi, et à peine mes yeux se posais sur elle, que je ne savais déjà plus comment réagir. J’essaye de me calme, non pas que je sois en colère, mais Julian à toujours ce petit effet sur moi que je n’arrive pas à contrôler.
« Entre je t’en prie. On sera seule, mon chef d’équipe est absent depuis un petit moment. » Lui précisais-je en désignant du regard la seconde chambre un peu en désordre de ce cher Abel. Un léger sourire coller au visage, je lui montre le canapé du salon, après tout nous n’allions pas parler debout comme des potiches. Julian m’avais connue plus simple, lorsque je n’étais que Danneel Sullivan, et pas Danneel de Suède-Sullivan. J’avais retrouvé mon grand-père après notre rupture. Donc j’avais pas mal de choses à lui expliquer. Mais pour le moment je voulais qu’elle se sente à l’aise, car nous ne nous étions pas revue depuis notre rupture très mouvementée. « Tu veux boire quelque chose ? J’ai eu de la limonade, de la citronnade, du bourbon ou de la Vodka ? » Pas très diversifié tout cela, après c’était les réserve de l’hôtel, et je n’avais pas particulièrement remplis le frigo de boisson, mais plus de nourriture. Je me dirige vers le bar, afin de sortir deux verres. Anxieuse ? Non pas du tout, enfin si peut-être un peu d’accord je vous le concède ! Mais après tout, cela fessait un moment que je n’avais plus vue Julian, et être là face à elle, avec les souvenirs et la tension palpable entre nous, c’était assez dure à supporter, mais je devais y arrivé.
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