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LISA-ROSE WERTHEIMER ► elsa hosk

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Lisa-Rose
Wertheimer
feat Elsa Hosk
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Nom ; Wertheimer. petite fille du défunt co-propriétaire de la maison Chanel. Prénom ; Lisa-Rose âge ; vingt trois ans. orientation sexuelle ; hétérosexuelle. statut social ; tu pues le fric. (possède 25% des parts de Chanel SA et sera, à la fin de ses études, à la tête de Chanel France) date et lieu de naissance ; née le 15/09/1993 à New-York, Manhattan. nationalité ; franco-américaine. statut amoureux ; célibataire, obsédée par son Roi. études majeures ; droit des affaires et économie. études mineures ; astronomie. groupe #1 ; Eliot House groupe #2 ; Dunster House crédits ; wicked games et louisa


ELIOT HOUSE.
la eliot house est une des raisons premières pour laquelle tu as voulu rentrer à harvard quand t'as entamé tes études supérieures, maison que tu as intégré et que tu voudrais naturellement réintégrer maintenant que tu es de retour. tu te souviens encore des histoires de ton grand père à propos de ton ancienne maison et de combien tu rêvais d'y mettre les pieds à ton tour. au fil des années, la réputation de la eliot house a été quelque peu entachée mais tu tiens à coeur d'en sauver l'honneur. cette maison est devenue rapidement ta nouvelle famille, ton cercle d'amis proches n'est presque composé que d'eliots et tu as tout de la parfaite eliot : un compte en banque qui frôle l'indécence, une réputation sous contrôle, du savoir vivre et des manières, de l'arrogance, de l'ambition et une haine viscérale pour les membres de la mather house. tes jouets préférés. ça t'emmerde un peu d'être bizut pour la troisième fois mais tu ne te vois pas ailleurs qu'à la eliot house. et s'il faut recommencer en bas de l'échelle, c'est un bien petit prix à payer pour retrouver ta seconde famille.

DUNSTER HOUSE.
si autre fois tu te voyais intégrer la cabot house comme second choix, ce n'est plus le cas aujourd'hui. merci l'expérience désastreuse d'après les incendies. si la réputation de la eliot house en a pris un coup, celle de la cabot house est aussi à plaindre... s’allier avec des camés, franchement. non clairement, la cabot house ne mérite pas de t'avoir dans ses rangs. après mûre réflexion, si tu ne pourrais pas intégrer la eliot house (et franchement y'a pas plus parfaite eliot que toi) alors la dunster house te semble être une roue de secours convenable. tu possèdes les qualités requises pour en faire partie et te prétends représenter l'élite de demain. t'as toujours eu des dossiers parfaits, une certaine curiosité et une facilité à contrôler ta vie scolaire et sociale. mais clairement, tu préférerais ne pas t'y retrouver. tu préférerais revenir dans un endroit familier.
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
parce que ça ne suffisait pas avec la bombe un an plus tôt, ta quatrième année aura aussi été marqué par de terribles événements. durant des mois une atmosphère morbide prends place sur le campus. il ne passe pas une semaine sans que des choses étranges se trament et que des filles se fassent agresser alors qu'elles avaient toutes les raisons de se sentir en sécurité. pour les fêtes de fin d'années, tu décides de rentrer à paris et tu fais part des événements à ta famille. qui te convainc de rester sur la capitale le temps que les choses se calment, que le/les suspects soient arrêtés et que les étudiantes retrouvent leur tranquillité. les choses dégénèrent avec la prise d'otages. sauf que peu de temps après, ta ville de coeur se fait attaquer. les maisons ferment et tu rentres à harvard. il faut de long mois avant que les étudiants retrouvent leur sérénité, le sujet en devient même presque tabou, il est rare d'en entendre parler aujourd'hui. mais ce souvenir reste et vous colle tous à la peau, d'une manière ou d'une autre.
APRÈS LE TREMBLEMENT DE TERRE AU CHILI.
une catastrophe naturelle qui a lieu durant ton année sabbatique et que tu n'a pas vécu. pour la première fois depuis que tu as mis les pieds à l'université, tu n'a pas participé au célèbre spring break annuel. tu étais dans une autre toute région à ce moment là, sans accès à aucune technologie et tu as eu connaissance des événements que quelques jours plus tard. tu t'es pas mal inquiétée sur le moment mais heureusement aucun de tes amis qui participaient n'a eu a souffrir de gros dommages physiques ou est mort lors du tremblement.
TON ADMISSION A HARVARD
harvard a toujours été ton choix numéro un. depuis gamine, tu rêves d'y rentrer et de faire partie de l'Eliot House. comme ton grand père avant toi. ton modèle. et c'est ce que t'as fais après le lycée, mettant toutes les chances de ton côté avec ton dossier parfait, t'as intégré cette célèbre université dont tu rêvais depuis presque toujours. cette confrérie dont ton grand père te parlait à chaque fois que tu te rendais à NY. mais les aléas de la vie ont fait que tu es partie à deux reprises. la première fois après ton baccalauréat en droit et économie, ainsi que celui d'administration des affaires. t'as ressenti le besoin de souffler, de prendre un peu de recul et t'es partie faire le tour du monde. t'es partie voir ce que le monde avait à t'offrir. et puis c'est naturellement que tu es revenue à harvard, lors de la rentrée 2016. seulement cette année là n'aura pas été de tout repos et quand ton grand père est tombé malade, tu t'es faite transférer à Columbia. pour être plus proche de lui. il a finit par vous quitter et malgré le chagrin, malgré toutes les autres merdes qui sont intervenues dans ta vie, t'as terminé ton année là bas. et c'est sans aucune surprise aujourd'hui, que tu demandes à réintégrer harvard. cela risque de faire beaucoup de bruits autour de toi mais ta place est ici et pas ailleurs. et puis c'était aussi le souhait de ton grand père, que tu finisses ta scolarité ici.

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Dory ou XVII.X.VI et j'ai vingt cinq ans. Je suis française et j'ai connu le forum depuis son ouverture.  J'y suis déjà mais j'ai demandé un changement complet. J'utilise Elsa Hosk comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par wicked games et louisa. Je fais environ 500/1500 mots et mon personnage est un personnage inventé.

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je veux être parrainé
je participe au summer camp en tant que vacancière

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[size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/u7612]►[/url] ► <span class="pris">ELSA HOSK</span> ♦ “ Lisa-Rose Wertheimer ”[/size]


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Tout ce que je ressentais, c'était la faim. Une faim terrible, que j'aurais pu appeler manque, besoin, impuissance, frustration, vide... et qui m'obsédait, me rongeait, m'engloutirait bientôt. C'était comme une fièvre, une mauvaise défonce, de la coke coincée entre les narines, une crise de manque, cette faim impossible à assouvir dont j'étais possédée. Je détestais ma vie. Bubble gum - Lolita Pille.

✝ COLOR MY LIFE WITH THE CHAOS OF TROUBLE.

Née à New York, t'es pas restée là bas bien longtemps. Ton père aimait pas assez ta mère pour garder sa queue dans son caleçon, il fallait qu'il saute sur tout ce qui bouge. Pathétique caricature du riche qui trompe sa femme avec la secrétaire, la femme de ménage et tout ce qui lui passe sous la main. Elle l'a pas supporté bien longtemps. Non, ça lui allait pas du tout le rôle de la conne qui reste à la maison, en attendant que monsieur veuille bien daigner rappliquer à ce qui ressemble à un foyer heureux. Elle était pas faite pour cette vie là ta mère. Trop belle, trop lumineuse pour gaspiller son temps dans une relation qui ne lui apportait rien. Elle s'est barrée, quand t'avais trois ans. Elle s'est barrée et elle t'as prise avec toi. Loin de cet homme qui n'en finirait jamais de vous décevoir. Loin de cette homme qui ne t'as jamais réellement aimé. T'as vite compris que ton père, tu pouvais pas compter dessus. Qu'il se foutait totalement de ta gueule et t'as décidé de l'emmerder, profondément. De lui rendre l'appareil, de ne jamais lui accorder l'importance qu'il ne méritait pas. T'as décidé que t'avais plus de père assez rapidement. T'façon, c'était un vrai fantôme. Même quand tu te déplaçais sur New York, pour lui rendre visite, il était jamais là. Au final, tu te retrouvais toujours chez tes grands parents. Et ton grand père est peu à peu devenu ta figure paternel. Le temps des vacances, le temps de quelque jours où tu devenais la princesse à son grand père. La jolie poupée qu'il couvrait de présents, qu'il présentait au monde comme sa plus grande fierté. Comme un père, un vrai. Pourtant, ça t'as pas empêché de t'être sentie illégitime durant toute ces années. Durant toute son enfance avec ce nom qui ne voulait pas dire grand chose à Paris, avec ce nom auquel on te reliait jamais aux Wertheimer, les puissants de l'industrie du luxe. T'étais juste un homonyme, on faisait pas attention à ton nom. Oh tu côtoyais bien des gens de la haute avec ta mère, tout le temps. Mais c'était pas pareil. A leurs yeux, t'étais juste Lisa-Rose, la gamine insolente de ta mère. Toi, tu voulais être la petite fille Wertheimer aux yeux du monde entier, pas seulement aux yeux de ton grand père. Tu voulais qu'on sache qui tu sois, dès que tu rentres dans la pièce, dès que t'y foutais les pieds. A cause de son nom qui voulait tout et ne rien dire à la fois. T'aurai presque fini par le détester ce nom.

Depuis gamine, t'en fais qu'à tête. Depuis gamine, t'emmerde le monde qui t'entoure et tu le vomis. Il te dégoûte ce monde. Et rien ne semble trop bien pour toi, jamais. Lisa-Rose l'éternelle insatisfaite. Lisa-Rose qui en veut toujours plus, encore et encore. Lisa-Rose qui a faim tout le temps et qui cherche un moyen de se nourrir. Mais t'es contente que quand t'emmerde les autres, t'es contente que quand tu brises les illusions des autres, que quand tu les aide à voir le monde de tes propres yeux, tel qu'il est réellement : pourri et pervers. Et ça t'amuse tellement de jouer avec les mots, de faire de ces gens tes jouets avec lesquels tu t'amuses quelques temps, avant de te lasser. Et de t'en trouver un nouveau. Jusqu'au prochain. Depuis toujours, tu fuis ce sentiment qu'ils appellent tous l'amour. C'est un sentiment pour les faibles ça. C'est admettre qu'on peut dépendre de quelqu'un d'autre que soi même. C'est fermer les yeux et sauter à pieds-joints dans le vide. Une perte de contrôle que tu peux pas te permettre. Alors les hommes, ils vont, ils viennent mais aucun ne reste bien longtemps. Tu les fuis, tous, autant qu'ils sont. T'façon, ils te comprennent pas et c'est mieux ainsi. Tu laisses personne t'approcher. Tu vis dans ton monde, complètement imperméable aux autres. Ils sont rares ceux qui ont réussi à rentrer dans ton cercle, ils sont rares les gens qui comptent réellement à tes yeux. Ils se comptent sur les doigts des mains et encore.

T'as du attendre tes dix sept ans, avant qu'on te présente au monde, à ce foutu bal des débutantes. T'étais enfin présentée au monde telle que la petite fille des Wertheimer, celle qui un jour posséderait un putain de pourcentage du PIB mondial. De l'argent, toujours plus. Y'en a jamais assez t'façon. T'es enfin introduite au monde et putain, ce que t'es soulagée. T'es plus le vilain petit canard, la petite fille illégitime. T'existes réellement et ils sont pas prêts de te voir disparaître de la surface de ce monde. Tu veux en tenir les rênes, tu veux en tenir les ficelles. Et puis t'es rentrée à Harvard, pour devenir celle que tu voulais toujours être. T'y as passé quatre ans, t'as fais claquer tes talons dans la maison de l'Eliot House toutes ces années avant de t'échapper, le temps d'une année. Le temps de souffler un peu, le temps de quitter ce monde pourri qui te rongeait un peu plus chaque jour. T'as fais le tour du monde, pour voir autre chose, pour trouver de la beauté dans cette merde. T'es allée partout et tu t'en sentie seule, un peu beaucoup. Mais la solitude, c'est le prix à payer pour se préserver. C'est le prix à payer, pour pas succomber à ce monde de merde et en rester la reine. Tu veux manger le monde et pas l'inverse.

✝ WHEN WE WERE TOGETHER, I FELT INVINCIBLE

Tu viens de passer la meilleure et la pire année de ta vie. T'es revenue à Harvard, t'as retrouvée Noah et les de Belgique. T'as vite réintégrée la Eliot House et a achevé ton second bizutage de la façon la plus parfaite pour toi : en malmenant un naïf Mather House. Mais des tas de tuiles te sont tombés dessus. Ça a commencé avec les incendies et le départ d'Holden. Holden cet ami d'enfance pour qui tu pensais avoir des sentiments. Pourtant il t'a pas fallu longtemps pour l'oublier. Il t'a juste suffit de recroiser la route d'Hadès, de te retrouver à ses côtés, sur ce fameux canapé de la Cabot House. Tu n'allais pas bien. Tu venais de subir l'une des expériences les plus traumatisantes de ta vie et même si le pire t'avais été épargné, tu n'arrêtais pas de penser à ce soir. Ce fameux savoir où tu t'es retrouvée coincée entre ta portière de voiture et un inconnu qui ne pensait qu'à te prendre sans consentement. Tu n'en dormais plus la nuit. Mais Hadès, sans le savoir, il t'a aidé à surmonter ça. Par sa simple présence. Par sa façon d'être lui. Sa façon de te laisser être toi, sans aucune mesure. Rapidement, vous ne vous quittez plus. Tu ne comprends pas ce qu'il t'arrive. T'évites même d'y penser, tu te laisses porter par le moment présent. Et du jour au lendemain, vous voilà parti pour Rio, en période de Thanksgiving. Quand t'y repenses, tu te sens nostalgique. Tu voudrais presque revenir à ce moment parfait. Ce moment où tout te semblait possible. Le seul moment où il t'as vraiment appartenu. Mais le retour à la réalité est brutal. Quelques jours à Cambridge et t'apprends qu'il a été fiancé. Et il a même pas ressenti le besoin de t'en parler, de te demander de l'aider à se sortir de ces fiançailles arrangées. Tu lui en veux. Tu te sens conne. Tu voudrais effacer le souvenir de Rio mais t'arrives pas à le sortir de ta tête. T'arrives pas à faire taire les émotions qu'il te fait ressentir. Tu voudrais les lui envoyer en pleine figure, tu voudrais le laisser tout seul comme un con. Mais tu restes, dans l'ombre. Tu ne supportes pas cette place. Tu ne supportes pas ne pas être celle à son bras mais tu ne peux te résoudre à partir. Tu lui en veux, tu t'en veux. Tu lui en fais voir de toutes les couleurs et vous commencez à jouer à un jeu dangereux. Entre coups bas et moments de complicité, entre séparations et retrouvailles. Personne n'est au courant de votre relation, ou presque. Pas même vos plus proches amis. Il parait que pour vivre heureux, il faut vivre caché. Mais tu n'es pas certaine d'avoir été heureuse à chaque moment. De toute façon, c'est quoi le bonheur hein ? Parfois tu sembles y goûter, parfois tu sembles en reconnaître les saveurs mais il y a toujours quelque chose pour te rappeler à l'ordre. Toujours quelque chose pour venir troubler votre bulle. Pour venir renverser la reine, mettre en échec le roi. Et ce jeu, tu commences à t'en lasser. Tu te lasses de toujours devoir te taire, de toujours te voir te cacher. C'est indigne de toi. Tu ne vois plus la fin de la partie. Tu ne sais même plus pourquoi tu y joues. Est ce que ces quelques moments de bonheur volés valent toutes ses disputes et ces moments de doutes ?

Les fiançailles sont toujours là après Noël et quand ton grand père tombe malade, vous sautez sur l'occasion pour vous séparer un petit moment. T'as besoin de réfléchir à tout ça, t'as besoin d'être au près de ta famille. T'as pas besoin de lui, que t'essayes de te convaincre. Tu vas vite l'oublier, c'est ce que tu te dis. Mais même toi tu n'y crois pas, alors que tu montes dans l'avion. Tu sais très bien que tu ne retrouvera jamais quelqu'un comme Hadès. Une telle relation ça se vit une fois dans sa vie et tu viens d'y tourner le dos. T'aimerais redescendre de l'avion mais ta fierté t'en empêche. Et pour la première fois de ta vie, tu peux sentir ton coeur se briser. Tu penses lui dire adieu mais il vous faut à peine quelques semaines pour vous retrouver. Il suffit du décès de ton grand père pour que votre bulle se reforme. Mais elle éclate aussi vite qu'elle s'est reformée et vos vieux démons reviennent sur le tapis. Une énième dispute, un énième au revoir. Toujours cette jalousie, ces reproches. La même rengaine. Il s'en va. Tu le laisses partir et ton coeur se brise à nouveau. Mais tu ne sera jamais sienne tant que les fiançailles planeront sur votre ombre et tu ne seras jamais un second choix. Tu lui en veux de pas faire plus pour les annuler et décide de faire quelque chose pour lui ouvrir les yeux. Mais le jeu t'échappera. Tu perdras le contrôle et Hadès par la même occasion. T'aurai jamais du approcher son cousin, t'aurai jamais du organiser ce week end d'anniversaire monégasque et ramener Théodore. Tu ne peux t'en prendre qu'à toi même. Il ne le sait pas encore, mais tu viens de vous tuer. T'as commis l'irréparable. La seule chose qui pourrait vous tuer à tout jamais. Alors tu t'en vas. Tu fuis une nouvelle fois. Tu t'envoles pour Paris sans craquer. Sans lui avouer que tu venais de le trahir de la pire manière qu'il soit : en couchant avec ce cousin qu'il détestait. Tu lui mens, t'essayes de lui faire croire que tu t'en fous de lui mais tu sais bien qu'il est pas dupe. Mais il te laisse partir, une nouvelle fois. Et tu peux sentir ton coeur se briser encore une fois. Il se passera cette fois ci moins de temps entre vos retrouvailles, avant qu'il vienne te chercher à Paris pour le bal de fin d'année. Tu cèdes vite. Et tu t'en veux, tu sais pas lui résister. Tu t'en veux parce que tu continues à lui mentir et que tu sais très bien que cette histoire va vite te retomber dessus. Mais Hadès est là, à nouveau près de toi et tu n'arrives pas à lui dire non. Il vient au bal au bras d'une autre et toi d'un autre. Tu voudrais la tuer, comme toutes celles avec qui il flirte cette nuit là pour te faire vriller. Parce que vous ne savez faire que ça, jouer l'un avec l'autre. C'est vos préliminaires. Le début d'une soirée qui s'annoncera aussi merveilleuse que tragique. Tu termines la nuit dans ses bras. Tu te sens sienne pendant quelques heures. La bulle est là, à nouveau et tu voudrais arrêter le temps. Vous parlez d'un avenir qui te semble impossible et pourtant, vous finissez par en venir à la même conclusion : il vous faut vous enfuir et vous marier. Parce que s'il t'appartient, il ne peut se marier avec une autre non ? Il met un genou à terre et tu te sens heureuse comme tu ne l'as jamais été auparavant. Tu comprends mieux tout ces cons qui sont tombés amoureux avant toi. Pourtant le moment ne durera pas. Il suffira d'un message, d'une vidéo pour qu'Hadès te rejette à nouveau. C'est terminé, il sait. Tu n'as plus rien à cacher. Vous connaissez la plus grosse des disputes. De celle qui blesse et qui creuse des fossés tellement énormes qu'il est impossible de revenir en arrière et une fois encore, tu t'enfuis. Pas parce qu'il te l'a demandé, pas parce qu'il t'a répudié de Boston mais parce que tu sais que ce que t'as fais avec Théodore, ça ferait éclater la bulle pour de bon. Cette fois, c'est terminé. T'as perdu la partie. Tu peux ranger tes pions, il n'y a plus rien à gagner. C'est terminé.
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le retour de ma futur belle-soeur ohohohohoh

LISA-ROSE WERTHEIMER ► elsa hosk 2109348208 LISA-ROSE WERTHEIMER ► elsa hosk 2109348208
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@Agathe A. De Belgique-S oups :devilish:

keur keur keur :heaart:
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(re)bienvenue au final LISA-ROSE WERTHEIMER ► elsa hosk 3850463188 (et j'ai quand même hâte de continuer à te faire peur avec plein de comptes sur la cb LISA-ROSE WERTHEIMER ► elsa hosk 166564858)
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@Pacôme Jiménez MDRRRRRR j'avais perdu l'habitude faut dire LISA-ROSE WERTHEIMER ► elsa hosk 166564858
merci ma belle LISA-ROSE WERTHEIMER ► elsa hosk 1629572796
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j'suis vraiment bien entourée entre toi et Ayma, j'te jure face 

love u :heaart:
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@Agathe A. De Belgique-S tu veux qu'on parle de ton mec ou ça se passe comment ? LISA-ROSE WERTHEIMER ► elsa hosk 166564858 (RIP Aria btw, jotem, tu me manques :heaart:)

(ça suffit la niaiserie LISA-ROSE WERTHEIMER ► elsa hosk 1629572796)
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j'vois pas de quoi tu parles, pour l'instant j'en ai pas, I'M FREEEE ( j'sais que t'essaies d'me dragouiller mais tu me rends mal à l'aise euké )

( aw, jotem aussi, tu me manques :heaart: )

( oui, stop la niaiserie c'est gênant Vic ) BYE dans ce cas :dtalk:
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MDRRRRRR bon tes fréquentations si tu préfères (emo) (je sais que t'en rêve jour et nuit mais ça n'arrivera jamais, les meufs c'est ton truc, pas le mien LISA-ROSE WERTHEIMER ► elsa hosk 550846730)

allez adieu :dtalk:
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