Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilitysorrypourlepavéaussi - Absolem + Alan - Un manque à combler - Page 2
-37%
Le deal à ne pas rater :
Promo : radiateur électrique d’appoint 1200W à 76€ sur Amazon
76.99 € 121.34 €
Voir le deal


Absolem + Alan - Un manque à combler

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


" Content de vous revoir Mr. et Mme. Altman, j’espère que vous allez bien "

Si la maman d'Absolem m'adresse un sourire, son père est quant à lui beaucoup moins expressif, mais heureusement, ma meilleure-amie me sort vite de là pour nous asseoir dans le fond de l'audience présente aujourd'hui. Un tant soit peu moqueur, je lui demandais : " Tu l'as déjà vu sourire ton père ? ". Les premières notes de La Marche Nuptiale de Felix Mendelssohn se font entendre et Abso' ne pourra donc pas me répondre alors que la mariée fait son entrée suivis de son futur mari quelques secondes plus tard. C'est sûrement la partie du mariage que je préfère, les deux mariés s'avançant vers un futur incertains, mais où ils seront unis pour la vie. Le sermon du prêtre par contre, va me faire dormir aux cotés d'une Absolem qui ne semble pas beaucoup plus intéressé que moi. Elle me sort néanmoins de ma léthargie avec une question des plus compliquée.

Me marier un jour ? J'avoue ne jamais y avoir vraiment pensé... Peut-être, parce que je n'ai jamais eu de petite-amie sûrement. Penchant ma tête vers son oreille pour essayer d'être le plus discret possible, je lui répondais d'une voix basse et hésitante : " Si je trouve la personne idéale, je pourrai l'envisager oui. Je trouve que c'est une belle preuve d'amour. ", avant d'ajouter sur un ton plus humoristique : " Et puis si ma mère savait que j'avais une petite-amie, crois moi qu'elle me soûlerait avec le mariage. ". Un rire m'échappa, ce qui ne manqua pas de se faire retourner une vieille dame pour nous dire de faire moins de bruit comme on pourrait le faire au cinéma.

Oh Absolem ! Que vil esprit tu as ! Tu joues sur mes faiblesses pour que je te suive dans tes 400 coups. Je montre un peu de retenue quand elle me tire le bras pour que je la suive, mais cela ne dure pas bien longtemps, cédant une nouvelle fois à son sourire ravageur. Nous entrâmes dans la salle où se dérouleras le repas et c'est vrai que le buffet conséquent aura sûrement raison de moi lors de cette soirée. Finalement, cette dernière sera peut-être moins ennuyeuse que prévus. Posant nos yeux sur les différents mets installés sur une longue rangée de table, je saisis un petit four que j'ingurgite très vite. Absolem me regarde avec un air à la fois surpris et ironique, me signalant que j'allais me faire sûrement gronder, mais avant qu'elle ne puisse terminer sa tirade, je lui fourre un petit four dans le gosier avant de lui annonçais:

" Et oui Abso', si je tombe, tu tombes avec moi ! "

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Étrangement, Alan ne t'avait pas choqué en te signalant pouvoir envisager le mariage un jour. Il paraissait bien souvent congelé d'un point de vue sentimental mais non moins traditionnel et sensible... Un sourire timide s'immisça sur ton visage après cette confession, il était adorable, le gendre parfait. Ainsi, même si ton père jouait souvent au parfait couillon en sa compagnie c'était uniquement pour te foutre les nerfs. En réalité, il appréciait grandement Alan, au point de te prêter une relation cachée avec lui car à chaque fois qu'il t'appelait, le beau gosse au regard d'acier n'était jamais bien loin.
Alors que ton ami poursuivait sur ton interrogation à propos du mariage, ce dernier finit par éclater de rire dans un moment silencieux, ce qui fit retourner la moitié du banc de devant au point de te faire rire à ton tour. " Qu'est-ce que t'es bête, j'en peux plus de toi, je... j'arrive plus à m'arrêter maintenant, t'as voix à déraillé à la fin en plus " avais-tu essayé de dire en gloussant tandis que Tata Myriam te fusillait du regard pour que tu arrêtes tes jaccassements.

Rapidement après avoir célébré les mariés à leur sortie de l'Église, tu avais emporté Alan à la salle des fêtes d'en face, découvrant en avant première le buffet. Tu savais que cela plairait forcément à l'étudiant, c'était un éternel gourmand qui ne prenait jamais un pet de gras, quelle chance ! Les yeux pétillants de le voir en fascination devant la longue table recouverte de petits fours, tu ne t'attendais pas à ce qu'il en pioche un si vite pour le fourrer dans sa bouche. Explosant de rire avant de le sermonner, ce dernier en profita pour t'enfoncer une bouchée dans le gosier afin te rendre aussi coupable que lui " Alan Landrum ! " gueulas-tu la bouche pleine et les yeux exorbités, un spectacle probablement digne d'un film d'horreur. " On dirait que t'as retrouvé ta joie de vivre, je savais que la bouffe pouvait tout réparer " glissas-tu en progressant un peu plus dans la salle à travers les dizaines et dizaines de tables joliment décorées. Après quelques minutes à serpenter entre ces dernières, tu aperçus ton nom ainsi qu'un carton comportant la mention "invité d'Absolem". Ils avaient vraiment vu les choses en grand et surtout tout prévu. " Regarde on est là, avec les gosses " dis-tu en tournant autour de la table et en lisant les prénoms des gamins de la famille. " On ne va pas s'ennuyer au moins " rajoutas-tu en haussant les épaules, jetant un coup d'oeil aux personnes qui commençaient à entrer au loin. " Tu comptes aller voir ta mère au fait ? Enfin, tu as gagné suffisamment d'oseille sur cette croisière pour t'y rendre ? " demandas-tu en t'installant à ta place le temps que la suite des événements démarre.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


Je connais Absolem depuis environ deux ans maintenant, mais notre relation sonne comme si l'on s'était rencontré il y a une éternité. Cela arrive encore de m'étonner à quel point le hasard avait bien fait les choses quand il a décidé de me mettre sur le chemin de ma meilleure-amie. Nous sommes complémentaires en tout point, je suis son yin et elle est mon yang, je suis son corps et elle est mon esprit, je suis son expiration et elle est mon inspiration. L'un ne va pas sans l'autre et notre séparation n'a fait que mettre encore plus en avant cette évidence. Mais je me doute que ce que vous désirez savoir, c'est plutôt la suite des événements de ce fameux mariage plutôt que mes pensées volatiles.

Comme Abso' l'avait souligné, ce petit aparté culinaire et, soyons honnête,un brin puéril, était parvenus à me faire oublier mon envie de filer en douce de ce mariage. Je ne l'aurais pas fait ! Je n'aurais pas laissé ma complice toute seule, mais je ne vous cacherais pas que l'idée m'a traversé l'esprit. Nous étions donc assigner à la table des enfant et au vu de nos gamineries un peu plus tôt, on ne peut pas leur en vouloir de penser que ça nous correspondait plutôt bien. Posant mes fesses sur la place qui m'était assigné, une petite fille à la mine boudeuse vint s’asseoir à la place voisine. Posant mes yeux sur elle, elle tira la langue en ma direction. J'en fis de même et cela eu pour résultat de la faire rire. J'adore les enfants, ils n'ont aucun filtre, seront honnêtes avec vous quoiqu'il pense et dans notre société actuelle, cela fait du bien.

Absolem me demanda si j'avais assez d'argent pour rendre visite à ma mère et cette seule pensée me replongeait l'espace d'une seconde dans des pensées pas forcément très joviales, mais je lui répondais quelques secondes plus tard: " Comme j'ai quitté la croisière plus tôt, je n'ai était payé que pour les heures que j'ai effectuées et donc il me manque encore beaucoup pour pouvoir rendre visite à ma mère ", lui annonçais-je en essayant de cacher au mieux que cela me mine le moral, mais n'y parvenant pas vraiment. Tout le monde était désormais installé, il ne manquait plus que les deux stars de la journée. La musique commença à se faire entendre et les mariés firent leur entrée.


(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Désormais assise à la table des enfants, tu avais tendrement souris lorsqu'une petite fille avait tiré la langue à Alan. Ce dernier l'avait alors imité, ce qui immobilisa nettement l'enfant. Le voir aussi décontracté avec les gamins t'attendrissait encore plus. Mais, Absolem avait toujours eu le don de se focaliser sur les éléments plutôt triste de la vie. Ainsi, tu avais demandé des nouvelles du voyage prévu par ton ami pour aller rendre visite à sa mère souffrante. La réponse n'était pas positive et la moue d'Alan s'était aussitôt refermée comme une huitre, bravo Altman. Posant ta main sur son poignet, tu lui dégainas une expression compatissante, cherchant en vain à l'aider. Tu ne pouvais pas t'imaginer la douleur qu'il devait éprouver. Se retrouver loin des siens et plus particulièrement de celle qui nous a mis au monde devait être infernal. " Mais... tu ne vas pas bientôt devenir interne ou un truc du genre ? On est pas rémunéré en médecine ? " t'hasardas-tu à demander alors que les mariés firent leur entrée tout sourire. Tu te levas par respect mais ta tête était bien ailleurs, occupée par les préoccupations de ton meilleur ami à tes côtés. Tu applaudissais ainsi par réflexe mais tu te sentais quelque peu déconnectée de l'effervescence des autres invités. Lorsque l'agitation de la foule se tassa enfin, tu t'étais rassis aux côtés du blond, prête à le distraire de ces pensées que tu venais de lui raviver.

[...]

Après avoir déguster les différents mets proposés tout au long du repas, la fête avait enfin réellement commencé. La plupart des gosses hurlaient et se chamaillaient près de la scène, fonçant dans des tas de ballons, complètement déchaînés. Quant à toi, tu terminais sagement le dessert, engloutissant le champagne comme de l'eau. C'était sans aucun doute ton alcool préféré malgré son prix exorbitant. Puis, la salle s'était petit à petit plongée dans une obscurité intimiste, laissant la piste de danse ouverte aux plus téméraires. " Tu m'accorderais une danse Alan ? " demandas-tu à ton compère en te relevant maladroitement. Il fallait l'avouer, tu avais pas mal bu tout au long du repas ce qui te rendait légèrement pompette mais toujours consciente. Tendant ta main au jeune homme, tu restas un instant plantée comme une idiote, le temps qu'Alan pèse sûrement le pour et le contre. Mais tu avais finalement réussi à le traîner près du DJ qui diffusait une chanson née bien avant ta propre naissance mais que tu avais tant entendu depuis toute petite. Les projecteurs avaient soudainement changé d'ambiance, les jeux de lumière s'étaient ralentis, te plongeant dans un moment plutôt... romantique. Enroulant tes bras autour de la nuque d'Alan, tu redécouvris son regard profond et si ténébreux. Te balançant légèrement de droite à gauche avec celui qui te complétait depuis maintenant deux ans, tu baissas les yeux quelques secondes, tentant de calmer ton coeur qui s'emballait sans raison... ou presque. L'amitié qui s'était forgée entre vous t'avait paru plus énigmatique depuis que tu étais partie au bout du monde. Être loin de lui avait provoqué une importante remise en question ces derniers jours.
Les jambes tremblotantes, tu relevas ton visage innocent, hésitant à te jeter à l'eau. Et si ce que tu t'apprêtais à faire ruinait votre complicité à tout jamais ? Et puis merde, tu n'avais qu'une vie comme te le répétait si souvent ta génitrice. Approchant tes lèvres de celles qui appartenaient jusque là à ton meilleur ami, tu écrasas tendrement ta bouche contre la sienne tout en fermant les yeux. Ses lèvres d'un rose vif étaienit tendres, douces et fascinantes. La sensation de cette union te procurait des papillons plein le ventre. Rompant rapidement ce baiser volé, tu cherchas aussitôt par la suite une réaction quelconque de ton ami. Était-il sur la même longueur d'onde ou pas du tout ?  

#sorrypourlepavé
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


" En effet, à partir de la rentrée, je serais rémunéré en tant qu'interne et ça m'aidera à financer les voyages en Californie pour rendre visite à ma mère. "

Mais ce soir-là, l'heure était à la fête et pas question de la gâcher avec des pensées négatives. Essayant d'oublier mes inquiétudes remontées à la surface, je me joignais à Absolem pour applaudir les mariés. La soirée a suivi son cours, très traditionnelle, mais néanmoins très plaisante avec notamment un repas de très bonne qualité que j'ai engloutis sans difficultés sous les yeux de ma meilleure-amie toujours aussi sidérée que je puisse manger autant sans grossir. Mais la partie croustillante de l'histoire s'est déroulé une fois les étoiles apparentes dans l'obscurité nocturne et la soirée bien avancée.

L'ambiance revenant au calme, les musiques rythmées laissant place aux ballades, Absolem me proposais une danse. Je ne vais pas vous mentir, la danse est loin d'être mon fort, mais comme je l'ai souligné un peu plus tôt, il m'est difficile de lui refuser grand chose. Hésitant néanmoins quelque peu, je reçus un coup dans l'épaule de la part de ma petite voisine pour m'inciter à offrir à la demoiselle ce qu'elle demandait. Ne pouvant plus vraiment refuser, j'accompagnais ma complice sur la piste tandis que Spandau Ballet entonnait sa chanson True, mais je voyais bien que quelque chose tracassait Abso' sans vraiment savoir quoi. Pendus à mon cou et nous balançant lentement de droite à gauche, son regard était fuyant alors que j'essayais d'y déceler des indices, mais la réponse vint plus vite que prévue. Après un léger soupir, elle releva la tête et ses prunelles exprimées tout autre chose. Avant même de comprendre, elle vint poser ses lèvres sur les miennes. Si dans un premier temps, je fus surpris par une telle initiative, ma plus grosse surprise résidais surtout du fait que cela me paraissait naturel, comme si cela avait toujours était ainsi depuis notre première rencontre. Nos lèvres s'unissant et révélant ce qui était finalement sous nos yeux depuis tout ce temps. Concluant ce moment de tendresse, Absolem me fixait tendrement d'un regard coupable de ce baiser volé, mais cet acte n'avait rien de répréhensible à mes yeux. Je lui adressais un sourire pour lui faire comprendre que j'étais heureux qu'elle ait tenté une chose pareille et m'approchant de son oreille, je lui chuchotais : " Si tu ne l'avais pas fait, je pense que j'aurais tenté ma chance moi-même. ", avant de devenir à mon tour un voleur en arrachant un nouveau baiser à la belle. Absolem est un peu pompette, mais j'ai bon espoir que ce n'est pas l'alcool qui l'a forcé à tenter ce geste d'affection. Toujours est-il que je devrais une fière chandelle à cette gamine qui m'a forcé à aller sur la piste de danse.


#sorrypourlepavéaussi
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Finalement tu n'étais pas si perchée que ça, Alan allait embrassé officiellement la carrière de futur médecin dès la rentrée, tout en commençant à être rémunéré. Tu étais soulagée pour lui qu'il puisse enfin toucher un peu d'argent de part sa vocation professionnelle, si seulement ça pouvait suffire à le rapprocher de sa mère... " Je suis vraiment contente pour toi, j'espère que je pourrais t'accompagner à un de tes voyages... " proposas-tu avec un fin sourire.

[...]

La soirée s'était ensuite agréablement poursuivie, sur des sujets en tout cas plus légers. Après un repas fort délicieux, tu avais réussi à tirer ton cavalier jusqu'à la piste de danse sous les yeux de ta famille bien curieuse. Finissant par les ignorer, tu te balanças tendrement avec le blondinet, hypnotisée par son regard glacial. Le slow était riche en émotions, ton coeur était à la limite de l'infarctus car depuis que tu en avais parlé à ton amie Lily, tu t'étais longuement imaginée la façon dont tu allais te décider à lui montrer ton amour. Finalement, c'était pour maintenant. Après t'être battue avec la petite voix apeurée de ta conscience, tu avais dérobé un baiser à ton meilleur ami, paniquée après avoir détaché tes lèvres des siennes. Ainsi, lorsque le visage fermé d'Alan s'ouvrit enfin par à un sourire ravi, tu expulsas l'air emprisonné dans tes poumons en signe de soulagement. Le jeune homme avait lui aussi apparemment eu les mêmes désirs, tu ne pouvais pas être plus heureuse. Alors que tu allais lui répondre sur le ton de la plaisanterie, le futur Mather t'arracha un baiser à son tour. C'était inattendu, merveilleux, digne d'un conte de fée. " Alan... Je ne sais pas où on va mais je veux vraiment qu'on y aille " confias-tu en te rapprochant de lui pour le serrer fort dans tes bras. La tête plaquée contre son torse, tu inspiras profondément son parfum tout en fermant les yeux. Après cette explosion de bonheur, tu avais tout à coup envie de chialer, c'était trop beau pour t'arriver. Absolem n'avait jamais été heureuse, c'était une nouvelle sensation à apprivoiser et surtout à accepter. Tandis que la balade sur laquelle vous dansiez cessa, tu sentis quelqu'un te pincer au niveau des hanches. Tata Myriam et sa béquille était là, ricanant comme une gamine. " Ton père en était sûr, il ne va pas arrêter de te charrier maintenant. " avait-elle glissé à ton oreille avant de disparaître en te jetant un clin d'oeil forcé. Pouffant de rire nerveusement, tu déployas de nouveau ton attention sur Alan, complètement gênée. " Elle est pas bien celle-là " puis tu avais attrapé la main de ton meilleur ami, l'embarquant loin de toute ta famille moqueuse. Arrivant dans le hall du bâtiment, tu n'entendais plus qu'un écho du brouhaha de la fête. Ce silence et cet isolement te rendait toute chose. Après tout ce temps passé aux côtés d'Alan sans avoir franchi les limites d'une relation amoureuse, tu ne savais plus comment agir. " Tu ne m'en veux pas trop de t'avoir embarqué ici ? Parce qu'on peut y aller maintenant si tu veux... Boston doit être plus tranquille à cette heure-ci... On pourrait se promener près du fleuve " proposas-tu à demi mot, essayant de signaler à Alan ton envie d'évasion. Te barrer d'ici sans prévenir ferait probablement jaser tes proches mais tu t'en moquais un peu, le reste de l'année chacun vivait sa vie sans t'adresser grandement la parole.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


" Tu sais Abso', ce sont rarement des voyages joyeux quand je rends visite à ma mère et je ne suis pas du tout sous mon meilleur jour. ". Non pas que je ne veuille pas qu'elle m'accompagne, ma mère adorerait sans aucun doute la rencontrer, mais en ce qui me concerne, je suis toujours à cran et mon caractère est changeant, je pourrais être désagréable et infliger cela à Absolem ne m'enchante guère. Mais de toute façon, la demoiselle est têtue, si elle a décidé de m'accompagner, j'aurais beaucoup de mal à l'en empêcher.

[...]

Digne des plus grandes scènes de films, de ces moments où tout ce qui t'entoure s'efface pour ne laisser que ce qui compte le plus. Absolem et moi, une aventure démarrée par un baiser de la belle, un voyage vers l'inconnu, vers un futur incertain et pourtant ardemment désiré par mon palpitant. La serrant contre moi, nous étions seuls au monde, deux êtres comptant énormément l'un pour l'autre, deux âmes-sœurs enfin réunis pour ne faire plus qu'un. Du moins, c'est ce que je pensais jusqu'à ce que la vieille bique boiteuse vint nous déranger, faisant resurgir le monde qui nous entoure dont nous étions parvenus à faire abstraction. Ainsi, son père avait deviné... Je n'osais pas croiser le regard du paternel. Dans le genre déclaration gênante, force est de reconnaître que la Tata d'Absolem savait y faire. Cela n'échappa pas à la Dunster qui m'extirpa vers la sortie tandis que j'adressais un clin d’œil à la petite fille qui m'avais forcé à aller danser.

La pression redescendit une fois que nous avions réussi à nous échapper de tous les regards indiscrets des invités du mariage. " T'en vouloir ? Ce mariage est sûrement la meilleure chose qui me soit arrivé depuis une éternité vu ce que j'y ai gagné ", répondais-je à Absolem avant de continuer sur un ton plus léger : " Si je comprends bien, tu veux que je te kidnappe au nez et à la barbe de ta famille ? ". Affichant une moue me faisant comprendre que c'est bien ce qu'elle souhaitait, je jetais une dernière fois un regard par-dessus mon épaule en direction de la salle puis attrapais la main de ma petite-amie pour rejoindre au pas de course la voiture.

Nous promenant main dans la main le long de Charles River après avoir fui la cérémonie, on pouvait admirer la lune et les étoiles se reflétaient dans l'eau du fleuve séparant Boston et Cambridge. M’arrêtant un instant pour m'allonger dans la pelouse légèrement humide et scruter ce qu'avait à nous offrir la nuit étoilée, j'annonçais ironiquement à Abso': " Tes parents vont sûrement t'en vouloir d'être partis sans rien dire. Ils m'en voudront aussi par la même occasion. On est des fugitifs désormais. ", alors que je lui fis signe de venir s'installer à mes côtés.

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Cette soirée s'était tout à coup transformée en rêve éveillé. Avec un courage immense, tu t'étais retrouvée pendue aux lèvres du blondinet dans une atmosphère romantique, propice à ce genre d'épanchement. C'était incroyable, tu n'en revenais pas encore qu'Alan ne t'ait pas repoussé. Tu te laissais à présent transporter par tes pulsions, emportant ainsi l'élu de ton coeur dans un lieu plus intime, à l'abri des regards curieux. " Je suis si heureuse que l'on soit sur la même longueur d'onde " confias-tu avant de pouffer de rire sur ta proposition de kidnapping. " C'est ça, de toute façon tu as déjà volé mon coeur " lanças-tu au blond en lui adressant un clin d'oeil complice.

[...]

Alan n'avait pas attendu trente six mille ans pour satisfaire tes désirs. C'était typiquement le genre d'homme que tu souhaitais, un fonceur, quelqu'un qui te surprendrait tout en ayant la tête sur les épaules. Marchant désormais sur une des rives de Charles River, les doigts enlacés à ceux de l'américain, tu regardais tendrement les étoiles, le coeur léger même si l'émotion de vos baisers n'était pas totalement retombée. Soudainement, la main d'Alan avait lâché la tienne. Le blond s'était aventuré sur la pelouse proche du fleuve pour s'y 'allonger, te faisant signe de le rejoindre. Retirant tes escarpins avant de pénétrer sur le gazon, tu t'étais échoué aux côtés d'Alan en riant à sa dernière phrase. " Ça me plaît de jouer à Bonnie & Clyde. Mais ils ne nous en voudront pas, mes parents veulent mon bonheur et si je leur dis que c'est toi qui me rend heureuse, ils seront comblés " confessas-tu en t'allongeant à ton tour sur la pelouse humide. Te collant au jeune homme, tu restas un instant silencieuse avant de te tourner vers lui, de profil. Timidement, tu posas ta main sur sa poitrine pour sentir son coeur sous ta paume. " Je peux t'appeler mon petit ami maintenant ? " demandas-tu en contemplant son visage pâle et son regard perçant. Obsédée par sa fameuse fossette, tu déposas tes lèvres à cet endroit avant d'embrasser délicatement sa bouche. Joueuse et encore un peu enivrée, tu roulas sur le jeune homme pour te retrouver à califourchon sur lui. Le dominant de part cette position suggestive, tu passas sauvagement ta main dans ses cheveux avant de te courber un peu plus pour te réfugier contre lui. Plaqué contre ton meilleur ami, tu embrassas son cou avant d'y nicher ton nez congelé par la température qui se rafraichissait à vue d'oeil.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


" La pauvre Bonnie est à la ramasse face à toi ! Tu es bien plus mignonne. "

Je n'ai pourtant aucune idée si Bonnie était une jolie femme ou pas. Il m'est souvent arrivé de faire de tels compliments à Absolem par le passé, en toute amitié, en tout bien tout honneur. Du moins, c'est ce que je pensais... Je me demande dorénavant si ces éloges en apparence innocente n'étaient pas une manifestation de mes sentiments amoureux non avoués pour la belle. C'est fort possible et si une chose est certaine ce soir, c'est que ces mots sont désormais adressé à cœur ouvert. Nous fixions la voûte céleste tandis que j'essayais de comprendre pourquoi nous avions mis aussi longtemps avant de nous décider à vivre cela. Se tournant vers moi, elle me demandait si elle pouvait maintenant me considérer comme son petit-ami. Plongé dans son regard à la teinte azurée, ma réaction ne fut guère longue à se faire entendre.

" Seulement si je peux en faire de même te concernant. "

J'eus le droit à un baiser en guise de réponse. Un baiser passionné, d'une passion qui nous anime depuis près de deux ans sans être assouvis. Elle l'est désormais. Roulant pour finalement se retrouver sur moi, je dégageais sa chevelure dorée de son visage puis glissais ma main sur le haut de sa nuque. Nos lèvres se délièrent tandis qu'Absolem vint poser sa tête près de mon cou. Ma main faisant des allers-retours partant du haut de son dos jusqu'à son épaule puis son bras, je sentis un frisson traversait le corps de ma dulcinée.

" Tu n'as pas froid au moins ? Tu veux que te ramènes chez toi ? "

La chaleur encore ardente de ces nouveaux sentiments réchauffait nos cœurs, mais nos corps étaient eux à la merci de la fraîcheur nocturne qui avait remplacé la température élevée de cette journée. Deux jeunes gens allongés au milieu d'une pelouse en pleine nuit et arborant des tenues de soirée. Mais de quoi avions nous l'air, je vous le demande ! Cependant, peu nous importait les regards extérieurs puisque que cet événement ne se déroulait qu'entre quatre yeux.



Spoiler:
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Réguler ta situation sur les réseaux sociaux n'était pas ta priorité. Non, tu voulais juste savoir si tu pouvais le considérer comme ton petit ami pour toi, histoire de savoir ce que tu pouvais éventuellement divulguer aux plus curieux. La réaction du blondinet à ta question te fit sourire, car c'était exactement ce que tu attendais. " Je suis officiellement la tienne Alan Landrum " répliquas-tu avant de dérober un nouveau baiser à ton amant. Roulant sur Alan en prenant soin de ne pas écraser son précieux paquet, tu fus surprise de sentir la main de ton ami se faufiler dans ta nuque. Ce type de geste n'avait jamais fait partie de votre quotidien depuis que vous vous connaissiez, c'était tout frais et surprenant. Tandis qu'Alan se montrait plus entreprenant, s'aventurant sur ton corps, ses gestes t'avaient procuré une nouvelle vague de frissons. Ce qui n'était pas passé inaperçu pour l'américain étant donné le spasme que tu avais eu.  " Oui, j'aimerais bien rentrer me réchauffer un peu, on est loin du climat laotien " confias-tu en roulant de nouveau sur le côté pour te retrouver allongée sur l'herbe, tes cheveux dorés éparpillés sur le tapis végétal.

[...]

Grâce à la Chevrolet d'Alan, tu avais regagné la silencieuse Dunster House, te faufilant à l'intérieur en y tirant ton cher et tendre. L'effet de l'alcool s'était quelque peu tassé sur le trajet, tu étais désormais en pleine possession de tes moyens mais toujours autant exaltée. Te dirigeant vers ta chambre, tu y entras brusquement en jetant tes chaussures sur le parquet. Désormais pieds nus, tu revivais enfin sans ces pompes diaboliques. Qu'est-ce que cela faisait du bien d'être chez soi. " Tu dors ici ? " finis-tu par proposer à l'étudiant en faisant volte-face, une moue suppliante sur ton visage d'ange. Tu avais ensuite pénétré dans la salle de bain que tu avais allumé au passage, tentant de retirer ta robe en gesticulant dans tous les sens. Après une bonne minute à lutter, tu avais fini par abandonner en râlant. Légèrement en colère, tu étais réapparus dans l'encadrement de la porte, tapant du pied en pleurnichant pour attirer l'attention d'Alan. " Tu peux m'aider à enlever cette fichue robe, la fermeture éclair est inatteignable " te plaignas-tu en te retournant tout en tentant de la chopper pour lui montrer ton incapacité. Bon, effectivement, la demande n'était pas sans arrières pensées, elle était plutôt déstabilisante même. Te dévêtir sous les yeux du jeune homme te foutait une sacrée pression mais tu avais confiance en lui, plus que n'importe qui d'autre.
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)