Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityUn premier amour ne s'oublie jamais ☼ Jeffophée
Le deal à ne pas rater :
LEGO Icons 10331 – Le martin-pêcheur
35 €
Voir le deal


Un premier amour ne s'oublie jamais ☼ Jeffophée

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Ces vacances à Laos sont juste époustouflants. Je découvre tellement de choses à travers ce pays magnifique, que de découvertes extraordinaires. Je suis venue avec mon petit ami et on a passer l'après-midi à la plage. Seulement, ce soir il a décider de me laisser de nouveau de côté pour passer la soirée avec ses amis, c'es tellement plus important que de la passer avec moi... Me sentant mise à l'écart et ayant besoin de m'échapper de ce quotidien infernal, j'appelle une amie pour lui donner rendez-vous en boîte afin de passer une agréable soirée. Me préparant, mon petit ami étant déjà partit, je commence à boire seule un verre de rouge en attendant l'heure, mais finalement je pars au Nang Mon. Je me dirige au bar et commande une téquila, buvant un shot toute seule, ma copine me rejoins enfin. Je lui fait la bise et on s'envoie un shot toutes les deux. Le barman nous offre une autre tournée. Je commence à avoir la tête qui tourne mais tout va bien, je gère. J'ai peut-être un peu trop bu parce que j'ai comme une hallucination. Qui vois-je? Jefferson???!! Mon premier amour de Los Angeles. Comment est-ce possible qu'il soit là. Je ferme et rouvre les yeux mais il est encore là. Mon amie s'inquiète pour moi alors je la rassure puis je décide finalement d'aller le voir.     « Jefferson?! Qu'est-ce que tu fais ici? » Question bête, mais après tout, très étonnant comme situation.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Tu étais toujours le premier à être partant pour aller la fête. Et ça Colin l’avait bien compris puisque ce dernier t’avait proposé d’aller à la boite de nuit du coin. Ni une, ni deux, tu acceptes de faire la fête jusqu’au matin puisque rien ne te retenait. Tu portais des baskets en guise de chaussures, une chemise noire et un jean. Un peu de gel pour coiffer des cheveux noirs en bataille et hop le tour est joué. Payant l’entré puisque tu es un homme, tu entres dans la boîte où la musique était déjà forte en plus des personnes qui dansaient sur la piste. Avec ton meilleur ami, tu te diriges directement vers le bar où tu commandes un whisky-coca et le bois doucement. Tu voulais y aller calmement et non comme un taré sur l’alcool même si ce que tu fais en cas de crise. À peine avait eu le temps de boire une gorgée que ton pote te laisse tout seul comme une plante verte après qu’une fille l’ait invité à danser. C’était lui tout craché. Amenant le verre à tes lèvres voilà qu’on t’appelle. Sa voix, tu l’aurais reconnue entre mille personnes. Tu ne voulais laisser rien apparaître, mais tu étais content. Avalant d’un geste lent ta gorgée, tu sens l’alcool passée dans ta gorge qui brûlait avant de tourner la tête ainsi que ton corps en direction de Cléophée. Cette dernière n’avait pas changé, étant toujours aussi jolie que dans tes souvenirs qui remontent à très loin, si ce n’est qu’elle avait l’air plus ouverte à la vie, aux autres, plus souriante aussi. « Cléo…. Cléophée ?? Je suis en voyage organisé grâce à l’université d’Harvard pour le Summer Camp. » Tu étais surpris, mais dans le bon sens. Posant tes yeux bleus sur la brunette, cette dernière semblait être bourrée, du moins dans un état second. « Tu es sûr que ça va ?? » Dit-tu en te levant du tabouret où tu avais posé tes fesses depuis le début de la soirée pour lui proposer de s'asseoir au cas où si dans sa tête ainsi son corps tanguaient. Tu étais peut-être réservé concernant les sentiments, mais toujours gentleman envers les femmes surtout celles qui ont été dans ta vie comme l'a été Mademoiselle Wheeler qui s'avère être ton premier amour quand tu étais adolescent.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Les fêtes c'est mon truc, surtout depuis que je suis libre, indépendante de mes faits et gestes. Je n'ai pas connu ça depuis dix huit ans, j'étais toujours enfermer à cause de cette secte dont mes parents sont encore. Ceci dit, je n'avais jamais bu autant, je pense que c'est surtout par rapport à ma situation amoureuse. Je l'aime, mais il ne me montre pas que c'est réciproque, me délaissant complètement pour ses amis. Je pourrais et devrais le quitter, comme le dirait Tobias, mais je n'y arrive pas, c'est comme si il m'avait ensorceler. J'ai pourtant l'habitude, seulement ce soir, je le ressens encore pire. Malgré la présence de mon amie, je me bourre la gueule et sans pour autant que ça m'aide. Au contraire, lorsque je vois Jefferson, tous mes souvenirs reviennent. Mon premier amour, c'était l'adolescence. Un premier amour ne s'oublie jamais... Surtout qu'il est différent des autres gars, ses mots apaisants, ce doux sourire, ses yeux d'un bleuté océan. Mon cœur s’accélère, pas parce que j'ai bu, mais parce que j'ai encore des sentiments pour lui, c'est sûr. A ma grande surprise, il me fait part de sa venue ici et j'arque un sourcil. « Vraiment?! Je ne t'avais jamais vu à Harvard auparavant... Depuis combien de temps y étudies-tu? » Bon sang le monde est petit. Je n'aurais jamais cru le recroiser un jour ou l'autre et en plus de ça il étudie dans la même université que moi. Cependant, mon état devait se voir puisqu'il demande si ça va, se levant même de son tabouret pour que je m'y assois. Secouant la tête de gauche à droite, je lui réponds. « Non ça va. Je vais même très bien, merci. Je ne veux pas te déranger plus longtemps... » Parce que j'ai l'impression qu'il est accompagné et si il l'est par une fille, ça me ferait du mal de le voir avec quelqu'un d'autre. Je préfère ne même pas voir ça, ou plutôt elle... Je me pose des tas de questions et je me demande comment aurait était notre vie si on serait restés en couple.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Pour toi faire la fête est un moyen de faire de se détendre après une dure semaine, d'être entouré de tes amis. C'était surtout un bon moyen de faire de nouvelles rencontres inattendues comme c'est le cas avec Cléophée. Cette dernière semblait bourrée même elle ne voulait pas le reconnaître, mais tu espérais que la brunette n'allait pas reprendre le volant après les doses d'alcool avalées. Car boire, c'est jouer avec sa vie. Tu espérais tout de même, que sa copine allait la ramener sinon tu le ferais toi-même si tu as bu quelques verres toi aussi. Ça ne te dérangerait pas de le faire. « C'est parce que je suis aussi silencieux et discret qu'un fantôme, ça fait quatre ans déjà que j'étudie à Harvard et toi ?? » Tu ne t'attendais sûrement pas à la revoir ici au Laos et tu ne pouvais que confirmer que le monde est cruellement petit. Revoir celle qui a été ton premier amour, ton premier baiser, ta première relation amoureuse te faisait bizarre, mais c'était agréable. En entendant que non que tout allait bien pour elle, tu fonces doucement les sourcilles d'un air douteux. Se foutait t-elle de ta gueule ? Clairement. Néanmoins, tu restes debout pour lui laisser la place au cas où si elle commence à se sentir mal. « Comme tu veux, c'est tellement bête de penser que tu me déranges. Si c'était vraiment le cas, ça ferait un moment que je t'aurais repoussé, tu ne crois pas ? » Plongeant tes yeux dans ceux de l'Américaine, ne la lâchant pas du regard, mais pas pour longtemps. Par-dessus l'épaule de la femme de vingt-sept ans, tu vois alors le blondinet qui était en charmante compagnie. Inutile de le déranger, puisque tu l'es aussi. « Je me trompe peut-être, mais tu as l'air plus libre, moins renfermée sur toi-même qu'il y a dix-sept ans en arrière. » Ce n'était pas un reproche, mais juste une remarque, quelque chose que tu avais remarqué.  
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Dix ans...Dix ans sont passés sans avoir pu revoir Jefferson, couper les ponts totalement et l'effet de le voir n'a pas disparu, cet effet là que je ressentais lorsque je le voyais à l'époque et lorsque je l'ai connu, ces petits papillons qu'on a dans le ventre pour ressentir notre amour pour une personne. Il a tout changer dans ma vie, j'ai quitter la secte et dorénavant je me sens libre. Dire que finalement il étai tout près de moi depuis tout ce temps et je l'ignorais.. « Je vois ça... Depuis mes dix huit ans. Je n'arrive pas à croire que depuis tout ce temps on ne s'est pas croiser. » Il fallait le Summer Camp du 2017 pour se revoir. Maintenant en vue de ma situation spéciale, étant en couple, je me sens idiote. J'suis saoule en plus de ça et il ne m'avait jamais vu comme ça, c'est d'ailleurs pour ça qu'il me propose de m’asseoir, mais je refusais. J'avait pas envie de le déranger et pourtant il me dit le contraire, j'esquisse un petit sourire.  « Peut-être bien.. Tu as raison, en tout cas ça fait plaisir de te revoir. » Bien plus que ça, si mon petit ami m'aurait accompagner il serait jaloux, en revanche il en a rien à faire de ce que je fais alors  je ne me préoccupe pas de lui et les rumeurs qui pourrait se propager. Ceci dit je venais de voir mon amie danser sur la piste avec un gars, elle s'amuse bien elle. Je me retourne vers Jeff qui me fit une remarque.  « Oui, c'est derrière moi tout ça maintenant... Je veux profiter de chaque jour comme si c'était le dernier. Comme si je n'avais jamais eu cette occasion auparavant.. Je t'offre un verre pour fêter ça ! » Je lui adresse un clin d'oeil charmeur, appelant le barman pour commander sa boisson.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Tu ne savais pas si Cléophée croyait au hasard ou encore au destin, mais avec cette rencontre inattendue, de retrouver ton premier amour dix ans après la fin de la relation, tu commençais à y croire. Et dire qu'on était dans la même université depuis tout ce temps et que nous n'avons pas eu l'ocassion de se croiser hormis ce soir, c'est assez fort. « J'avoue que j'ai du mal à le croire aussi en même temps, l'université est tellement grande qu'on a dû se croiser sans qu'on le remarque. » Tu ne savais pas qu'elle était en couple et surtout pas du tout heureuse avec ce gars qui la laisser sur le carreau pour tout et rien. Cela te faisait très bizarre de la voir bourrée même si la brunette ose dire le contraire. Tu étais le premier à faire ça. C'est-à-dire boire quand tu avais des soucis. « Moi aussi ça me fait plaisir de te revoir après toutes ses années » Tu lui sors ton plus beau sourire avant de lancer un regard en direction de ton meilleur ami qui dansait avec une fille. Sûrement l'amie de Mademoiselle Wheeler. Contrairement à ton premier amour, tu n'avais perdu dans ta vie ayant un caractère trop dur et puis c'était ton choix. Même si cajoler une fille te manquer cruellement en plus de vouloir partager une vie de couple. En revanche, tu te contentais des aventures d'un soir. Tu étais agréablement surpris lorsque tu entends que Cléophée avait quitté son ancien mode de vie. « Oh je vois, je suis content pour toi que tu aies pu te défaire de cette secte. Trinquons à la nouvelle femme libre que tu es devenue. » Tu t'en rappellerais toujours de ce visage fermé, ce petit bout de femme qui ne parlait à personne, tu t'étonnais encore de lui avoir pu faire découvrir des plaisirs simples de la vie en plus de lui avoir fait découvrir le sentiment amoureux. Le barman vous sert alors les boissons, le buvant d'un trait, tu poses ton regard alors sur la brunette. Cette dernière semblait dans un état second à cause de l'alcool. Tu avais la nette impression qu'elle avait la tête qui tournait. Tu pouvais le découvrir, car elle n'était plus très stable sur ses jambes. « Je crois que tu as assez bu pour ce soir. » Dis-tu d'un ton tout à fait calme et doux à la fois. Sans lui demander son accord, tu lui enlèves doucement le verre de ses doigts. Glissant ton bras autour de sa taille et son épaule pour qu'elle puisse s'appuyer dessus, tu la diriges doucement vers l'arrière de la boîte pour qu'elle puisse respirer l'air frais. Tu l'as fait s'asseoir sur un banc, tu te poses à ses côtés. « C'est la première fois que je te vois dans cet état et je dois t'avouer que ça me fait beaucoup rire bien que ça soit bizarre. » Tu rigoles doucement, t'attendant à recevoir un coup de sa part.
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)