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Alice G. Grimaldi ► Alexandra Park

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Alice Gabriella
Grimaldi
feat Alexandra Park
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Nom ; Grimaldi  un nom de famille symbolique et réputé, de par le statut royale de ton père, tu l'affectionne, attirant honneur et reconnaissance. Un nom aimé de tous ? Certainement, pour la plupart des gens c'est un fait. Tout le poids d’une vie de contrainte, tout le protocole rassemblé en ces huit lettres. Ce nom tu le hait, tout autant que tu le chéri. Tu l'aime avec autant de force, que tu le déteste. Le monde entier connaît ce patronyme et malheureusement tout le monde se restreint à penser que tu ne te résume qu'à ça. Prénom ;Alice prénom de ton ancêtre, prénom d'une grande reine, pour qui la couronne n’a jamais été un poids mais un don. Tu aimerais lui ressembler, tu aimerais pouvoir être aussi forte. Gabriella ton second prénom, c'est ton frère qui l'a choisi, cela veut dire beaucoup à tes yeux. Rosa choix de ton père, il t'appelle bien souvent "ma rose", plutôt que de ton prénom en entier. Quant au dernier, mais pas des moindres, Chloé prénom original, qui te vient de ta chère mère. Une fleur aussi belle qu’épineuse, aussi douce que mystérieuse, un symbole éternel à l’instar de sa chère princesse. âge ; Non seulement, on t'a taquinée, sur ton jour de naissance, mais en plus de cela, il faut rajouter une couche, sur ton âge! En effet, tu viens de souffler tes vingt-deux bougies, et tout le monde te fait la remarque. Mais, tu t'en fiches, dans le fond. Tu a la tête remplie d'évasion, de voyages, de désirs. Ton passé et tes mots sanglants font de toi une adulte. orientation sexuelle ; hétérosexuelle, pour le plus grand plaisir des hommes. statut social ; Issue d'une famille aisée, oui, tu pourrais jouer de tes relations, seulement, tu t'affères, tout particulièrement, à les renier. Sûrement liées aux origines. Au tempérament, de cet homme, impartiale et colérique, qui est le roi de Monaco. date et lieu de naissance ; Vingt-deux années rythmées par les bassesses de la vie et tout cela depuis le premier avril. Humour noir du destin ? Personne ne le saura jamais. Ou ça ? Monaco, palais royale. un cri, un unique cri puis plus rien d'autre à part le battement incessant de la pluie contre les vitres de la chambre de ta mère. Un orage qui éclate pour accueillir cette tornade à la crinière brunâtre. Et enfin l’émoi, l’émotion suivant la naissance de la princesse. nationalité ; Monégasque. Des générations en générations, qui s'inscrivent dans l'immense arbre généalogique, mais tu est fière de porter les couleurs de la France. statut amoureux ; L'amour dis-tu ? Tout le monde en rêvent et pourtant si peu de personnes arrivent à être combler. Cœur meurtri. Le prince charmant, tu n'y croyais point. C'est ce que tu laissais entendre, en tout cas... Secrètement, tu nourrissais des sentiments contre nature, à l'égard de ton meilleur ami d'enfance. Il était, d'ailleurs, le seul avec qui, tu pouvais voir s'accomplir. Se réaliser, le joli conte de fées. Mais le bonheur, s'arrêtent un jour ou l'autre, tu ne comprends toujours pas les raisons de cette rupture. Ton âme était brisée, esseulée. Il s'était fissuré en mille et un éclat. Tu demeurais dans le silence, le plus totale. Le plus complet. L'amour est-il vraiment pour toi ? Aujourd'hui, fiancé à Louis, mais ce n'est aucun cas une idylle heureuse, de part sa réputation, de par son argent, de par bien des manières, il y a beaucoup trop de monde qui te poussent dans ce sens, trop de choses qui te force à ne croire en rien. Il n'y a qu'un seul homme dans ton esprit et encore dans ton cœur, Romeo, c'était lui et personne d'autre, l'homme que tu n'arrivera jamais à oublier. études majeures ; Arts Visuels études mineures ; Danse groupe #1 ; Lowell house  groupe #2 ; Eliot House crédits ; @tumblr


Lowell House.
 C'est un choix évident, non ? Un sens inouïe pour l'art, c'est donc sans surprise que tu décide d'intégrer la lowell house, une touche à tout qui s'émerveille dans absolument tout. Un brin danseuse, photographe, peintre, une jeune fille à la conquête du monde. Tu a ce goût prononcé pour toutes les formes d'arts. Il n'y a pas de doute, cette confrérie ne peut se passer de ton talent.

  Eliot House.
 Point de vue caractère, on aurait pu dire que la eliot House aurait pu te convenir, mais tu n'a pas envie de faire comme tout le monde. C'est un privilège d'intégrer la eliot, une puissance exemplaire où tu pourrais t'épanouir aux côtés de ton cher frère. Brune incendiaire, prête à tout pour obtenir ce que tu désire, telle une fusée, une comète que rien ne pourra stopper.
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
 Tu n'étais pas présenté, mais ça pas été facile pour autant. Lorsqu'il se produit des événements de cette ampleur, tout le monde se sent un peu concerné. Les agresseurs ont pris certaines personnes en otage et fort heureusement elle n'en faisait pas partie. Mais tu était inquiète pour Andy, ton tout, ta moitié, tout portait à croire que ce drame allait changer certaines personnes. Ton côté princesse et défenderesse s'est encore plus amplifier, espérant et voulant un monde meilleure. !
APRÈS LE TREMBLEMENT DE TERRE AU CHILI.
Tu adore voyager, mais le chili n'a jamais fait parti de tes choix. Tu en a entendue parler, comme des centaines de personnes, la presse adore les gros titres. Ton père a été très choqué et très heureux que ces propres enfants suivent ces directives. Peut-être plus pour Andréa, prince héritier, qui était beaucoup plus important qu'autre chose. Et, quand, le roi de Monaco dit quelque chose, on se doit d'écouter et de boire ces paroles. !
TON ADMISSION A HARVARD
Malgré ton côté borderline, tu a toujours été un brin serveuse dans tes cours et les résultats était de mise : 4300 aux SATs. Une grande intelligence, que tu préfère ne montrer qu'à certaines personnes, on t'a même durant ta jeunesse traiter de surdoué, ce qui était vrai. L'art a toujours été ton moteur, c'est ce qui t'a pousser à postuler pour Harvard, histoire en plus de rejoindre ton grand frère. Et, il y a toutes ces œuvres humanitaires : tu a deux facettes que tu montre au monde, celle de la princesse parfaite, petite poupée du peuple, presque inaccessible qui déchire tout sur son passage. Mais l'autre côté ; personne ne le sait, même pas Andy, il ne saura peut-être jamais ce que son départ t'a fait, ce que Roméo a laissé dans ton cœur. L'entretien a été facile, non pas parce que c'est une princesse, mais surtout à son assurance légendaire. Blague à part, tu fait peur mine de rien, princesse mais pas stupide. Princesse mais pas sans cœur, après ça dépend de certaines personnes. Intégrer Harvard t'aidera à entamer ta nouvelle recherche, qui est la recherche contre les maladies cardiaques, un cadeau que tu veux à tout prix gagner pour Andy.

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Wonderwoman et j'ai 21 ans. Je suis Belge/espagnole   et j'ai connu le forum grâce à top-site.  Il est super et j'adore le forum dans son entité  alors j'ai décidé de m'inscrire sur le forum sous les traits de Alice G. Grimaldi. J'utilise Alexandra Park comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par @tumblr. Je fais environ Peu importe, je m'adapte à tout et mon personnage est un personnage scénario crée par Andrea L. Grimaldi du scénario si ç'en ai un.

Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
adhérer un flood d'intégration (?)
je veux être parrainé si oui, par K. Hayden Bushnell (voir la liste des parrains)
je participe au summer camp  si oui, équipe ou vacancier ? (voir l'explicatif du summer camp)

Je recense mon avatar
si personnage inventé:  
Code:
[size=10][url=lienversvotreprofil]►[/url] ► <span class="pris">AVATAR</span> ♦ “ Pseudo ”[/size]
si scénario:
Code:
[size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/u7604]►[/url] [url=http://www.i-love-harvard.com/t72673-f-m-grimaldi-de-medicis-squad-4-5-de-libres]►[/url] <span class="pris">ALEXANDRA PARK </span> ♦ “ Alice G. Grimaldi ”[/size]


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CHAPTER ONE: PROLOGUE  
Un vent de torpeur avait fait frissonner toute la nation Française. On avait faillit assister à la fin d’un monde, une pluie renversante, telle un purgatoire ensanglanté. Dans les grandes lignes cela paraissait un plan parfait, mais comme bien souvent, rien ne se passa comme on avait pu l’envisager. Les vautours de journalistes ne comptaient certainement pas lâcher la famille royale. Et surtout pas avec ce qu’il s’apprêtait à arriver… Une naissance, une princesse. Et ce fut au commencement d’avril, que les cris de la nouvelle princesse vinrent emplir les couloirs du palais. Il y avait bien longtemps que le soleil n’avait pas brillé avec tant d’éclat. C'est ainsi que tu naquit, pour la joie de ta famille. Princesse mais pas l'héritière au trône. Princesse mais petite sœur. Ton grand frère, le prince héritier, le futur roi. Toi, Alice, princesse de Monaco tu entra dans un nouveau monde.

CHAPTER II : LE PRINCE AUX BISOUS MAGIQUES
Assise sur les marches du grand escalier, tu jouais, sagement, aux barbies. A côté de la maison parfaite, que tu leurs à faite, un dossier avec inscrit, tout simplement "Papa". Dans ce dossier des dessins, tous assemblés là, depuis trois ans, représentant toute la petite famille que vous étiez... Petite ? Tel n'est point le mot qui conviendrait, c'est juste que tu ne te rends guère compte, de l'ampleur que tout cela a. Tu te mis à sourire, telle une idiote balafrée - un doux et mignon petit rictus, qui s'agrandit, quand tu vis, enfin, arriver ce que tu  attends depuis ce matin... « PAPA! » Ton petit rire d'enfant, emplie le palais. Tout le monde se tourne vers toi, tandis que tu essaies de courir vers lui, et ce malgré le volume formé, par toutes les couches de robes et de jupons, que tu as sur ta frêle silhouette. Tes petits cheveux, aussi noir que du charbon, retombant tout le long de ton dos, en cascade. Il te serre contre lui, avant de te murmurer une phrase que tu entends, continuellement. « Ma Rose, pas maintenant... » Cette phrase que tu détestes, que tu entends tout le temps, et auquel tu ne vois jamais d'issue. Tu regardes ton père, les yeux embués de larmes, et laisse tomber par terre tes dessins, avant même, de courir en pleurant, dans ta chambre. Ton grand frère te regarde pleurer, seule, sur ton lit. Toi, la petite enfant, qui n'avait rien demandé à personne... Alors, que tu étais toujours allongée sur ta petite couchette, bien douillette, ton frère  arriva doucement, et s'allongea à côté de toi, te caressant les cheveux, dans une tendresse, une douceur infinie. C'est un rituel que vous aviez entre vous deux. Quand tu étais, encore toute petite, tu n'arrivais, point, à t'endormir, sans qu'il vienne à tes côtés, te caressant la joue, délicatement, en prononçant le nom des couleurs. Et là, alors que tu te sentais mal, que les larmes coulaient à flots, sur tes joues nacrées, celui-ci faisait la même chose - il faisait la seule chose, qu'il savait faire te calmer. Il sait combien il est dur pour toi, de ne pas partager autant de temps que tu le voudrais, avec votre père, mais ce que tu ne comprenais pas, dans ton jeune âge, c'est qu'il avait bien d'autres choses à faire, à penser. « Ne t'en fais pas. Un jour, ça s'arrangera, al. Je te le promets. » Avoua Andrea, en continuant de te caresser les cheveux. Tu t'endormis, alors, dans ses bras, espérant qu'il aurait raison. Que vous auriez, enfin, l'occasion de profiter de votre paternel.

Le parc était, sans nul doute, le plus bel endroit du monde. Des journées entières, durant, tu flânais entre les allées boisées, courant derrière les écureuils en riant, saluant les passants souriants. Tu adorais cet endroit. Cette contrée verdoyante. Entouré certes, par des gardes du corps, des personnes qui ne savaient pas rigoler comme tout le monde. Bien que ton père n'avait point, énormément, de temps à te consacrer, certains jours, cependant, tu venais te promener avec lui, main dans la main, aux côtés de ton grand frère. Votre paternel te laisser jouer en toute liberté, en ces lieux. Tant que tu ne t'éloignais, guère trop... Parfois, tu t'autorisais à t'asseoir sur un banc et regarder les autres enfants jouer, ensemble. Glisser sur les toboggans colorés, se balancer jusqu'à toucher le soleil, et caresser les nuages duveteux, sur les balançoires. Une fois, tu avais voulu tester. Etre comme tous ces enfants, insouciants et innocents, et tu ne t'étais fait prier plus longtemps, pour venir t'installer, confortablement, sur une des balançoires. Voulant t'envoler vers les cieux, bougeant rapidement les jambes, pour aller toujours plus haut. T'es cheveux noirs, comme du charbon, voletaient, furibond, derrière ton tracé, et cette vision accaparait l'attention d'un petit garçon, qui se trouvait au loin. Peut-être, était-ce pourquoi, lorsque, tu chutais lourdement, sur le sol, il avait accouru, sortant un carré de tissu de sa poche, pour venir l'appliquer sur ton genou, d'où perlait l'essence écarlate, à l'amer odeur de rouille. Tu laissais s'échapper larmes de douleur, de tes orbes caramélisées, et il s'enquit de ton état. Cependant, la douleur n'arrivait à passer... Tu vis, alors, le petit bonhomme se pinçait les lèvres de frustration, et soudain, une idée - il se pencha légèrement, et aussi doucement que possible, posant ainsi sa bouche, contre ta plaie encore saignante, pour y déposer un furtif baiser, qui vraisemblablement, faisait disparaître toute douleur, instantanément. Tu séchais rapidement tes larmes de crocodiles, en lui exprimant ta gratitude, dans un mignon petit rictus. « C'est ce que ma tata fait, quand je me fais mal. Un bisou magique et hop, on se sent beaucoup mieux! » Tu l'observais, désormais, avec un regard intrigué. Voir, comme si tu venais de croiser un revenant, cependant que vous vous releviez, doucement. Un bisou magique ? Voilà bien une chose, qui ne t'était guère familière. Tu ne te fis prier plus longtemps, pour le lui montrer, par ailleurs, mais, le jeune garçon te rassura, immédiatement, en t'expliquant que sa tante le lui avait fait connaître, assez tôt. « Ah... Je suis Alice la princesse .... » - « Bien évidemment que tu est une princesse, Moi, c'est Roméo. » Se moqua-il, gentiment, à l'entente de ton statut, tu lui tirais la langue, dans une moue adorable et naïve de petite fille, et croiser les bras sur ta poitrine, dans un semblant d'air contrarié. Il se serait presque excusé de t'avoir offensée, si tu n'avais pas ajoutée, aussitôt. « Mon père durait que ce n'est pas une façon de parler à une princesse. Et puis... Tu t'es pris pour un chevalier, en me secourant, comme ça! » Vos rires éclatèrent et résonnèrent alors, à l'unisson, dans le parc. « Et bien, si tu veux, tu seras ma petite princesse. Et moi, je... Je serais ton prince, comme ça. » Te confia-t'il, dans un murmure sérieux, se penchant, alors, sur ton oreille. Tu te mis dont, à rougir, tel un pivoine, et t'approchais de lui, te hissant sur tes pieds, pour atteindre sa joue, où tu y déposais tes lèvres, doucement. Roméo, surpris, se recula légèrement, cependant qu'un sourire idiot tirait les coins de sa bouche. « Pourquoi ce bisou magique ? » - « Bah, au cas-où tu aurais mal quelque part! » On dit qu'il existe des coups de foudre en amour. Mais, ce jour-là, vous aviez connu plus beau, plus fort et plus intense encore que cela : un coup de foudre amical.


CHAPTER III : Et, JE VOUDRAIS QUE TU TE RAPPELLE DE NOTRE AMOUR ÉTERNEL  
Tu laissais retentir ton souffle, au téléphone, et lâcher un soupir la, qui frémissait contre tes lèvres, tu était bien avec lui. Tu t'allongeais de nouveau sur le côté. En position du fœtus, et prenait ton visage entre tes mains. Fermant les paupières, sur tes orbes ténébreuses, pour évacuer le trop plein de pensées embrouillées, qui se percutaient dans ton esprit. Tu ne voulais lui répondre. L'embêtait avec ta pathétique histoire. Ton frère, l'amour de ta vie était malade, un foutu cancer. Tu ne comprenais pas, tout était abstrait dans ton esprit. Andy te pousse dans les bras de Roméo, parce qu'il est bienveillant et bon pour toi. Tu te doutais, pertinemment, qu'il devait se poser des tas de questions. Pourquoi tu était toujours triste, mais tu ne pouvais pas...Tu ne te sentais de taille à tout lui révéler. Ta poitrine était encore plaie béante, qui te consumait un peu plus chaque jour, de l'intérieur. Tu avais perdu l'appétit. Le goût à la vie. Tu étais là, dans ta couche, depuis de nombreux jours, et tu ne faisais plus le moindre mouvement. Prendre la place de ton frère, c'est tout ce que tu souhaitais... Tu voulais uniquement que ça s'arrête. Tu ne voulais plus ressentir cette douleur lancinante, qui te transperçait de ses piques de glaces, à longueur de temps. Qui te perforait le cœur, un peu plus encore, alors que les secondes s'égrenaient, à travers ce sablier, qui marque son apogée. Son temps... Tu te laissais sombrer, dans un sommeil sans rêve, lorsque soudainement, tu entendais frapper du poing, contre ta porte d'entrée. Tu te levais difficilement, ne prenant la peine de remettre tes mèches rebelles, derrière l'une de tes oreilles, et dévoilée, avec une certaine surprise et une pointe d'embarrassement, l'entrée à Roméo, qui était là, haletant. Cherchant son souffle perdu. Il ne te fallut pas plus de difficultés pour saisir, que ce dernier avait dû courir, à en perdre haleine, pour venir te rejoindre... Sur le coup, tu remarquais son visage rayonnant de bonheur - bonheur qui s'évapora, pourtant sitôt, qu'il aperçut tes prunelles rougies par les larmes, et ton teint blême et fatigué... Le beau brun ne demanda guère à entrer, passait le pas de la porte, sans y avoir été invité, cependant que, tu refermais, délicatement, derrière son étroit passage. Derrière son tortueux tracé. « Mon dieu, c'est quoi cette tête ? » Demanda-t'il, en te toisant avec frustration, sourcils froncés au-dessus de ses grands yeux opaques. « Je... C'est rien. C'est juste, que... Je ne suis pas en forme, c'est tout. » Tu le vis, alors, croisés les bras, sur sa poitrine, secouant son visage de gauche à droite - il te connaissait bien, et il savait que ton nez s'allongeait, comme Pinocchio. « Pourquoi ? Qu'est-ce qui se passe, Ali ? Je t'ai jamais vu aussi mal! » L'inquiétude s'engouffrait, doucement, en lui, faisant accélérer son rythme cardiaque, sensiblement. Sentant son pouls accélérer, considérablement. Son pied se mit à tapoter le sol, avec nervosité. « J'ai pas envie de raconter tout ça. » - « Raconter quoi ? Je ne comprends pas. » Tu le vis, dont, se rapprocher, dans une ultime tentative de savoir - tu t'écartais, pourtant. Fuyant son regard, fuyant son contact. « Mon frère est très mal, Roméo..., il est malade ... et je veux pas le perdre. » Ta voix se brisa dans l'air, laissant ces mots en suspend, dans la pièce, où ils flottaient d'un air menaçant.


Tu t'étais, toi-même, surprise, de lui avouer la vérité, après ce court et léger laps de temps, parce que, tu ne pouvais supporter l'idée de croiser son doux regard, emprunt d'une certaine mélancolie. D'une pitié, qui le rongeait, le consumer. Le hanter, dans le fond. Alors, que vous aviez toujours promis de tout vous dire. De ne rien vous cacher. Quand bien même, cela pouvait vous blesser. Vous froisser, sur l'instant présent... Tes yeux s'embuèrent de larmes, cependant que ton petit prince perdait son souffle, ne sachant que dire. Tu lui tournais, alors, le dos, ne voulant lui montrer ton état de faiblesse. « Tu ferais mieux de part... » Tu ne pus guère terminer, qu'en une fraction de seconde, ton meilleur ami fut, de nouveau, face à toi, entourant ta frêle silhouette de ses bras, et posant ses lèvres contre ton front - Tu te laissais glisser dans son étreinte, laissant tes larmes rouler sur ses douces joues nacrées, mourir sur son cou. « Ca va aller, je suis là, ma princesse. » Dans le fond, il savait ce que tu ressentais. Il se doutait parfaitement, que tu avais besoin d'aide, pour passer au travers de tes pleurs, étouffer ta douleur. Toute la soirée durant, ainsi que, chaque nuit qui suivirent, il essuyait tes larmes, caresser tes cheveux. Tomber en amour, c'était quelque chose inouïe, une marque indélébile. Et, après de nombreuses nuits passées ensembles, Roméo prend une place encore plus vitale dans ton cœur. Au début, ce n'était qu'un jeux entre vous, puis vient le moment du vrai bisous. Provocante, sauvage, domination, c'était au menu du jour et jusqu'au lendemain matin. Une fois. Deux fois. Trois fois. Quatre fois. Cinq fois. Et, de la, un semblant de relation s'installe, mais a l'abri des regards, c'était presque indispensable. Tu t'abandonne dans ses bras, oubliant tout le reste, seul ton frère, ton amour était au courant. Grâce à Roméo, tu réussis à trouver ta place, à te retrouver toi-même. Il t'a convaincu de poursuive tes rêves, les études d'arts, accomplir ce que tu te doit d'accomplir. Mais l’amour peut parfois rendre véritablement heureux. L’amour n’est pas que trahison et mensonge, l’amour est parfois fragile mais sincère. L’amour c’est un cri dans la nuit noire lorsque le silence est d’or. Tu est amoureuse, et il t'aime également, mais beaucoup trop fiers pour se l'avouer, préférant continuer à goutter à ce bonheur. Ton amour pour lui, c'était juste tout ton être, chaque parcelle de ton corps, qui frissonnait à chaque nouvelle caresse.


CHAPTER IV : OMBRE & POUSSIERE
La vie était calme, douce et aimante à ses côtés ,mais une chose planait au dessus de ce bonheur. Cette relation, c'était le ciment de ta vie, mais quelque chose se fane. Tu avait de si beaux projets, des projets communs, un avenir qui pouvait voir le jour. Tout semblait parfait, puis il a osé dire qu'il voulait tout arrêter, comme si c'était possible. Ton cœur se brisa en réalisant l’horreur de la situation. Il t'a menti, te regardant dans les yeux et prétendu qu'il ne t'aimait pas.  « Qu'est-ce qu'il se passe ? » tu insistais pour savoir ce qui avait changer, alors que tout portait à croire que c'était l'amour fou. Il était tombé amoureux d’elle. Et il aurait voulu la garder avec lui pour toujours. Mais il refusait de sacrifier son bonheur pour le sien. Il n’était pas aussi égoïste. Il savait qu’il allait souffrir de cette séparation, mais c’était pour le mieux. « On doit arrêter Alice. » , souffla-t-il en sentant son muscle cardiaque se fendre à ces simples mots. Il ne pouvait même pas te faire face. Il te sentit se raidir dans son dos, mais il n'arrivait pas à se tourner vers toi. « QUOI ?!!! Mais qu'est-ce que tu me raconte ! » visiblement contrariée, après un long moment de silence. Il ferma les yeux et soupira. Il n’avait pas envie de devoir se répéter. Il n’avait pas envie de faire ça non plus. Mais il devait le faire. C’était comme arracher un pansement. « Nous deux... c'est fini. » ajouta-t-il, pour enfoncer le clou. Tu recule d'un pas lourd. Il en profita pour s'éloigner de toi. Il avait besoin de se changer les idées. De faire autre chose pour s’empêcher de penser. Sinon, il allait changer d’avis et faire machine arrière, tout lui dire pour essayer de te garder. Il n’avait pas besoin de le regarder pour se rendre compte que tu était mal. Cela s'entendait à tes mots. Il savait que tu te la jouais super forte, mais la réalité est toute autre. Malgré leurs disputes, il n’y avait rien qui pouvait signer la fin de leur couple. Rien à part son père. Et ça, il n'osera jamais lui dire. Il aurait tout faire pour sa princesse, mais au lieu de cela, il était obligé de prétendre qu’il ne t'aimait pas et c'était l'enfer. « Je ne suis pas amoureux de toi, j'en aime une autre. » Roméo mentait à sa belle, de la plus moche des manières. « Tu est un menteur  ! » hurla-t-elle de ta voix brisée, lui déchirant un peu plus son muscle cardiaque. Tu n'avais pas tort. Il te mentait pour te protéger. Mais hors de question d'avouer. Il ne voulais pas briser ta famille, ton cœur non plus, mais Roméo n'avait pas le choix. Pour ne jamais découvrir que son propre père, le rock de la famille, le roi de Monaco jouait parfois le manipulateur, refusant que sa chère princesse vivant une relation avec un homme ordinaire. Incapable de supporter ce qu’il était en train de faire. Il lui faisait du mal. Il allait la détruire c’était certain. Puis, tu plongea ton regard dans celui de ton prince, il pouvait voir que tes prunelles lui lançaient des éclairs. « Regarde-moi dans les yeux et dis-moi que tu ne m’aimes pas ! » il se sentait pris au piège, c'était ce qu'il avait craint. Parce qu’il ne voulait pas avoir à lui dire cela. Alice était trop importante à ses yeux, devenue au départ sa meilleure amie, puis par la suite tombant amoureux, ne savait même plus se passer de toi. « Je ne t'aime pas....tu crois quoi ?! Je voulais juste côtoyer une princesse...j'ai eu exactement ce que je voulais. » une claque, voilà tout ce que tu a pu lui faire.


Cela faisait un moment, déjà, que tu patientais, dans le plus grand silence. Tu regardais le sol d'un air vide, totalement absent. Les secondes semblaient durer des heures... Ton pied tapotait nerveusement le carrelage, qui était d'un blanc immaculé. Quelques fois, tu t'autorisais à porter ton attention, sur cette horloge, qui était sagement accolée au mur. Comme si cela allait faire quelque chose... Tu laissais s'échapper de tes lèvres rosées, un soupir, aussi léger qu'une brise, cependant que, tu sentais le regard de ton frère, braquer sur toi. Tu restais des jours et des jours dans ta chambre, Andy venait y déposer ton repas presque tous les jours, et ça sans jamais rien demander en retour. Tu étais réellement touchée, par son geste, même si, en cet instant, tu ne voulais plus rien espérer pour la vie. « Est-ce que... Je peux faire quelque chose ? Tu veux que je reste près de toi ? » te demande avec sa voix habituelle de grand frère protecteur. Restant sagement assis, à tes côtés. Tu te raclais la gorge, afin de te faire entendre, et croiser son doux regard envoûtant, pénétrant « Merci. J'apprécie ce que tu fais pour moi. Vraiment. Probablement que, je ne pourrais jamais, assez, exprimer ma gratitude, mais... Tu en a déjà assez fait, pour moi. Je... Je ne voudrais surtout pas t'importuner. » Après tout, il était libre de partir, si ce dernier le voulait... Rien n'était sa faute. Absolument rien. Ou, disons, que c'était plutôt toi, qui te sentait coupable. Coupable d'avoir été sincère avec lui, coupable d'avoir cru à l'amour. «  Mais, tais-toi un peu tu veux ! Tu est ma sœur, la seule personne à me comprendre, c'est toi. Je t'aime. » Te rétorquai-t'il, d'une voix délicieusement mélodieuse, suave. Essayant, certainement, de détendre l'atmosphère, qui plus est... T'adressant, ainsi, un mignon petit rictus. Tu le lui rendis, alors, toujours aussi mal... Tu te sentais ridicule. Affreusement ridicule... Il était là, à attendre, une quelconque réaction de ta part, avec son regard d'ange, son sourire à faire fondre sur place. Son doux visage pénétrant. S'en était presque déstabilisant... Durant quelques instants durant, tu t'attardais sur ses fins traits de visage. Tu ne voyais que lui. Tu n'entendais, ne prêter plus la moindre attention à ce qui t'entourait. Cela te semblait abstrait, indigne de ton intérêt. Seul lui t'importait, désormais. Tu tentais de retenir tes larmes. En vain... Tu peinais à reprendre ton souffle hacher. Tu tentais de t'asseoir. De faire un mouvement, mais rien n'y faisait. Tu étais bloquée, paralysée. Tu sentais tes jambes devenir coton, et c'est sans crier gare, que tu t'effondrais, sous les regards attristés de Andy. Tu voulais bouger. Te débattre. Dire a ton frère que tu pouvais te débrouiller, toute seule, mais tu te sentais aussi inerte, vider qu'un poisson. Tu refusais de sortir, on pouvait te vouloir du mal. Te torturer, que ça ne serait rien, en comparaison de ce que tu ressentais. Tu venais de perdre Roméo. Le seul être avec qui tu voulais être. Ton frère aurait pu partir, mais impossible pour lui de te laisser comme ça. Il sentait que tu n'en étais, point, capable. Sans nul doute, avait-il peur que, tu commets une bêtise. Un acte tout aussi délibéré, qu'il en deviendrait stupide et barbant, sur le moment présent. Alors, il s'occupa de toi, toute la nuit. Ainsi, que chaque jour, durant. Parce qu'il savait que tu aurais besoin d'aide. Passer au travers de tes pleurs, de ta douleur. Mais surtout, il reste ton ange gardien.

CHAPTER V : SEXE, DROGUE & LIASONS DANGEREUSES   
Deux ans. Tout juste deux longues années, ton frère Andrea est parti à la conquête du monde. Deux ans de silence, c'était beaucoup trop long. Puis, vient ce moment où tu a décider de sourire, au moins tu le fais pour lui. Et, essayer d'oublier cette douleur, qui te rongeait de l'intérieur. Alors, tu te drogue, au commencement ce n'était que pour faire disparaître sa trace. Roméo est encore présent dans ton cœur. Tabac, sexe, rails de neige, joints et cristaux. Toutes les addictions faisaient partie de toi, mais pourquoi succomber à tes démons ? Peut-être pour ne plus ressentir cette douleur, une douleur qui tape dans ta poitrine encore et encore. Personne ne remarquait rien, tout cela parce que faire semblant d'aller bien était très facile. C'était ta punition. Une destruction puissante. Tu enchaîna les erreurs dans ta vie, couchant à gauche à droite, refusant d'obéir, d'écouter ton cœur. Mais en apparence, tu est une femme lisse, parfaite et qui adore aider les autres. Tout le monde compte sur toi, oui, ton frère ne vivra certainement pas longtemps, le trône sera ta responsabilité. Mais a tu vraiment le choix ? Rien ne se passait comme tu le voulait, le soir, tu t'empresse d'aller en boîte de nuit, danser, coucher, te droguer, te détruire en somme. Ton corps souffrait. Ton corps avait envie de mourir. Mais tu devais être là, présente, pour apprendre aux côtés de ton père, il te formait à être la prochaine reine de Monaco. Cela suffisait d'être loin de ton frère, raison en plus, en septembre 2016 tu a été admise à l'université d'Harvard. Et voilà, tu as été admise à Harvard. Pourquoi tu as décidé d'aller là bas ? Parce que ça suffit d'être loin de ton frère. Tu as aussi envie de profiter de lui. De profiter de lui avant qu'il ne soit plus là du tout. Tu ne parles jamais de ça d'ailleurs parce que tu veux que ta relation avec lui soit parfaitement normale et non pas régit par ce cœur qui refuse de te le laisser. Parfois tu lui en veux, tu lui reproches que bientôt il va t'abandonner. C'est malgré toi, parce que tu as de la peine. Parce que tu pleures un départ qui arrivera bientôt. Alors oui, tu es collante, au point de rejoindre la même université que lui. Et puis, pour tes études en arts, Harvard est parfait. Tu es loin du rocher royal, loin de tes responsabilités et loin de ce mariage arrangé dont ta mère et ton père parlent si souvent. Tu es loin de tout ça et tu essaies d'avoir une vie un peu normale avant qu'elle ne devienne le scénario de Sissi L'impératrice. Parce que tu sais ce qui t'attend. Tu sais que la couronne est sur le point de se poser sur ton crâne. Enfin, tu le pensais jusqu'à ce que ton père fasse une annonce publique en disant qu'il avait un fils caché. Tu t'en serais bien passée de ça. Et même si ça te libérerait de bien des choses, au fond de toi tu ne veux pas que ce bâtard prenne la tête de la famille. Peut être parce que tu en veux cruellement à cet homme que tu as toujours admiré et qui a la place de père dans ta vie et que ce garçon, qui est censé être ton grand frère n'est rien d'autre qu'un étranger qui ne connaît rien au peuple et à ses besoins. Alors, tu veux bien te sacrifier, accepter ce mariage arrangé qu'on te propose pour obtenir la couronne et le trône. Et surtout, évincer Tate de ce qui est ta famille.

Tes pas martelaient le sol, suivant ton tracé. Tu laissais s'échapper un léger soupir, cependant que tu te rendais dans une des salles de l'amphithéâtre, pour aller suivre ton cours de dessin. Tout était calme. Trop calme à ton goût. Comme ta pitoyable petite vie... Et, puis voilà, Cela faisait des jours, des semaines entières, que tu n'avais fait que l'éviter. Un homme, que ton père avait fait en sorte que tu rencontre. C'était une obligation de l'approuver, mais cet homme faisait parti des professeurs d'Harvard. Qui plus est, cela ne présageait jamais rien de bon. Alors, à quoi bon prendre des risques, si c'est pour se brûler les ailes, automatiquement ? Si c'est pour avoir le coeur brisé ? Tu pensais, sans nul doute, que tu avais déjà assez souffert, par le passé. Et, tu n'avais, point, un goût spécialement prononcer, pour réduire tous tes efforts, en état de cendres. Ca serait trop, pour toi... Tu t'aventurais, sur un sentier étroit, de graviers. Contemplant le sol d'un air vide, absent. Essayant de chasser le trop plein de pensées embrouillées, qui se percutaient dans ton esprit. Lorsque soudainement, tu sentais une pression se faire, au niveau de ton bras, qui t'entraînait. T'emportait dans le sens inverse. Tout s'enchaîner si rapidement, que tu n'eus le temps de te débattre. De mettre un nom sur le visage de cette personne, qui tentait de te tenir à l'écart. Ta vue se brouiller pratiquement, que tu ne pus que voir la couleur de cheveux de ton voisin. Et, encore... Tu n'étais guère certaine de ce que tu avançais, mais il te semblait qu'ils étaient bruns, voir corbeau. Cependant, tu n'eus guère, davantage, de temps pour te poser plus de questions, que votre voyage s'arrêta dans une pièce sombre. Seules les vitres lancées des reflets argentés. Projetés des ombres fantomatiques, donnant l'allure inquiétante d'une salle de classe, laissée à l'abandon. Tu tentais de calmer les battements de ton coeur, qui ne cessait de cogner dans ta poitrine. Cherchant ton souffle perdue, ainsi que ton équilibre. Tu t'apprêtais à sermonner celui qui avait osé te faire une telle frayeur, sans raison particulière, te retournant brusquement. La pièce avait beau être plongée dans l'obscurité, il ne fallut, cependant, pas plus de difficultés, pour tes yeux, à s'habituer à l'étrange pénombre, qui se dressait devant toi. C'est alors que, tu croyais reconnaitre la silhouette, qui se trouvait un peu plus loin. Tes prunelles s'écarquillées, se changeant presque en secoupes, néanmoins, que les mots restés coincés dans ta trachée. Etais-tu entrain de rêver ? Tu aurais voulu te pincer, sur l'instant. Et, puis... Pourquoi diable vous laissait-il, ainsi ? Il n'y avait, dont, pas d'interrupteur ? Ca serait trop demander de discuter, le bout de gras, en pleine lumière du jour ? Tu sentais les frissons t'envahir, te parcourir l'échine, à mesure que, tu restais ici, dans le noir. Tu étais pratiquement à deux petits doigts de prendre tes jambes à ton cou. De partir en hurlant, les bras en l'air, telle une possédée. Voilà ce que c'est, quand on se regarde trop de films... Tu avançais, avec une certaine appréhension. Indécise de ce que tu comptais faire. Tu n'étais guère rassurée, et si tu faisais bel et bien face, à Louis, il ne t'aidait point, en agissant de la sorte. Cela frôlait le ridicule, même. Mais, après plusieurs minutes de silence, tu le vis se rapprochait, systématiquement, vers toi, laissant découvrir son doux regard envoûtant, pénétrant, qui était bercé par la blancheur irréelle de la lumière, à travers les fenêtres tintées. Tu voulais lui demander ce qui se passait. Pourquoi il te retenait prisonnière, mais, avant même, que, tu n'eus le temps de faire quoi que ce soit, ce dernier plaqua ses mains sur tes joues. En coupe, et t'embrassa. Dans un premier temps, ce fut tendre, langoureux. Puis, son baiser devint plus intense. Sauvage. Tu sentais tes jambes devenir coton. Tu te sentais défaillir. Ton coeur palpitant, tambouriner, inlassablement, dans ta poitrine. Tu n'aurais voulu que cela, ne s'arrête. Le temps semblait se figer. S'arrêter, cependant que tu étais à ses côtés. Ton monde retrouvait de sa saveur. De sa splendeur, de son éclat. Tu te sentais tout simplement revivre. Tu glissais tes mains sur son torse, prolongeant son baiser. Bien que le bel homme recula légèrement son visage du tiens, afin de reprendre son souffle haletant, qui se mêlait au tiens, après plusieurs minutes, durant. « Tu es là... » Ajouta-t'il aussitôt, d'un ton doux et mélodieux. Presque dans un murmure, en te caressant la joue, avec délicatesse. Un mignon petit rictus tiraient les coins de ta bouche, cependant que tu frissonnais, une fois de plus. Cette phrase... C'était celle qu'il t'avait révélée, une fois que, vous vous étiez retrouvés, tous les deux, dans son appartement. Cet événement dramatique, qui vous avait rapprochés, plus que l'anormal. Juste le temps de cette soirée... « Je suis là. » Lui retournais-tu, en prenant sa main, avec douceur. Tu posais ton regard sur le sien, cependant que tu jouais fébrilement avec ses doigts. Les entrelaçant, parfois. Bien que les siens te quittèrent, après quelques longues minutes, glissant doucement sur tes hanches. Son visage se rapprochait de nouveau. Il s'apprêtait à te voler, une seconde fois, un baiser, mais... Tout à coup, tu l'arrêtais en plein débat, te rappelant douloureusement, que, vous ne pouviez vous  permettre cela. Que tu ne pouvais point te laisser aller ainsi, une fois de plus. Tu en avais envie, bien sûr, mais tu ne pouvais guère, tout gâcher, pour ça. A cause de toi. A cause de la supercherie de tes sentiments inavoués. Tu reculais dont, à ton plus grand désespoir, cependant que tu vis la mine stupéfaite du beau brun. Tu remarquais ses lèvres s'ouvrirent. Sûrement pour placer quelques paroles censées, mais tu le devançais. « Je suis navrée, mais... On... Je ne peux me permettre ce genre de choses. » - « Pourquoi cela ? » Te retourna-t'il, directement. Bien que, Louis restait très calme, cependant, en te sondant de son regard bienveillant. Tu levais les yeux au ciel, te demandant si, sur le coup, il ne le faisait point exprès. « Je crois que, tu connais déjà la raison... » C'est vrai, après tout! Tu étais son élève. Tu étais, un tant soit peu, trop jeune pour lui. Tout ça, c'était des choses qui ne faisaient pas bon ménage, tu pouvais le lui certifier. Et puis, il y avait tellement mieux que toi. Il méritait de trouver la perle rare. Vraiment, c'est ce que tu souhaitais, de tout coeur, pour ce dernier. Seulement, il n'avait l'air de l'entendre de cette oreille... Tu l'entendais, dont, soupirer, doucement, à mesure, que, tu croisais les bras. Te sentant, quelque peu, dans l'embarras. Fuir, c'est ce que tu aurais voulu faire, tellement tu appréhendais sa réaction. Il restait là, aussi raide qu'un piquet. Qu'une planche de bois, et pour toi, ce n'était pas bon. Pas bon du tout. « Je comprends... tu n'a pas envie que tout le monde sache, mais pour ta gouverne, le roi de Monaco m'aime bien. N'est-ce pas une raison suffisante ? » Il n'eut le temps de terminer, que tu le coupais net dans son élan, en ricanant nerveusement. Ainsi dont, ton père en était la première cause. Tu aimais beaucoup Louis. Mais, il y avait des limites à ne pas franchir. Et, il le savait. Il se doutait pertinemment, depuis le tout premier jour, où vous vous êtes rencontrés, que ce genre de choses, n'aboutirait à rien. Vous en seriez tous les deux peiné, dans le cas contraire. Et, tu savais de quoi tu parlais. « Donc quoi ! Tu est avec moi pour la couronne ? J'en ai assez de cette vie !!! » Tu le vis, dont, se rapprocher, dans une ultime tentative de raisonnement - tu t'écartais pourtant, fuyant son regard. Fuyant son contact. « Tel est ton destin princesse, c'est pas moi qui fixe les règles ...je me permet juste de les respecter ...fais-en autant. » Lança-t'il, l'air de rien, d'un ton indubitable. Guettant, alors, ta réaction. Ton regard se posa sur ses opales, au tintement chocolatées. Caramélisées, alors, que tu grinçais des dents, dans un semblant d'amertume. Tu n'en revenais guère... S'était-il, seulement, entendu ? Tu sentais tes poings se serrer, se contracter, alors que tu tentais de retrouver un semblant de raison. De quoi te raccrocher. Tu essayais de te calmer, de faire redescendre la pression, mais en vain... Tu ne savais, ce qui te retenait, de te jeter sur lui, pour le ruer de coups. « T'entends-tu, seulement, parler ? Tu plaisantes, j'espère ? Tu vas me dire que tu serais capable de faire tout cela, parce que... » - « Parce que tu est l'héritière au trône, j'ai une image à garder ... et toi aussi ma chère, donc sourit et sois une très bonne princesse. » Non, c'était trop... Il allait trop loin, cette fois. Il fallait qu'il part. Que vous arrêtiez de vous fréquenter, avant qu'il ne soit trop tard. « Egoïste. T'es qu'un... » Tu le vis, alors, sortir de ces gonds, ce coup-ci. Le bel apollon laissa même échapper de ses lèvres, un rire sarcastique. « Egoïste, moi ? C'est qui la putain qui baise à gauche à droite, qui se drogue, qui fait des choses méprisables ? C'est moi peut-être ? Et oui ! Je sais tout ma chère, alors, tu va obéir où sinon tes méfaits vont être révéler publiquement, ça sera une honte pour ta famille. » Cria-t'il, d'un ton brusquement amer. Tu détournais le regard, quelque peu, dégoûtée. Déroutée de la situation.


CHAPTER VI : LA PROPOSITION  
Tu saisis, nerveusement, la poignée de porte, et l'ouvrais, finalement. Tu inspirais une grande goulée d'air frais, qui te libérée, aussitôt, de cette douce ambiance chaleureuse, que tu trouvais, un tant soit peu, animée, étouffante. Trop agitée, oppressante. Festive, écrasante, et dont le chauffage te monter aux tempes. Réunissant famille royale, ton frère était la, pour te soutenir auprès de ta famille. Tu avais voulu te démêler, de cette foule insensée. De cette fête, pleine de cotillons, de chandeliers et de décoration colorée et luxuriante, sur la table posée, dont tu ne te sentais à ta place constante. Tu avais fait en sorte de faire plaisir à Louis, en invitant toute sa grande famille. Tu faisais semblant d'être heureuse, mais aux yeux de ton frère, il connaît la vérité. Mais, rien n'y faisait... Tu luttais avec toi-même, avec la supercherie de tes sentiments inavoués. Tu souffrais en silence, de ce vide immense. Intense, et déambuler. Errait, telle une âme égarée et attristée. Tu tentais, néanmoins, de chasser, ce trop plein de pensées embrouillées, de ton esprit esseulé, torturé. Faisant l'effort incommensurable, de mettre toutes ces histoires. Ces mésaventures. Tes peurs de côté, et de trouver, absolument. L'air bien décider, à rencontrer. Mais le pire est à venir, Louis, aussi sadique que manipulateur a invité Roméo, ton meilleur ami, ton premier amour. Confronter cet homme, que tu avais toujours considéré comme ton meilleur ami d'enfance. Tu fermais, délicatement, la porte d'entrée. Ne voulant laisser entrer l'air glacé, à l'intérieur, qui tirerait, dès lors, quelques railleries. Brailleries de tes convives, et t'engouffrais, dans cette vaste contrée verdoyante. Cet espace, qui donnait sur un grand et majestueux jardin, dont tout le monde jalouserait, sans précédent. Tu t'emmitouflais dans ta grande veste grisâtre, bien que la température, ne te gêner guère plus que cela, et te dirigeais, tranquillement, sur le chemin de gravier, qui t'acceuillait à bras ouvert. Te menant vers un escalier de bois, d'un blanc immaculé. Tu découvrais, alors, le jeune garçon, que tu recherchais, activement. S'accoudant, se tenant sur la rampe, de ce gazebo, où tu avais pris pour habitude de prendre le thé, en compagnie de ta moitié, durant les beaux jours. Tu fermais, dont, les paupières sur tes orbes ténébreuses, prenant, une fois de plus, une grande bouffée d'air frais. Une respiration lente et régulière, que tu voulais contrôler. Absolument maitrisée, et te décidais, finalement, à les rouvrir, avant même, de monter les quelques marches, de ta démarche gracieusement dansante, alors, que dans le fond, tu semblais indécise. Alors, que tu te savais parfaitement, que te retrouver à ses côtés, était à tes risques et périls. Tu fus tellement discrète, que le beau brun n'eut l'air de remarquer ta présence... Tu avalais ta salive, avec une certaine difficulté. Alors, qu'elle peinait à descendre, dans le fin fond de ta trachée, à mesure que, tu redoutais l'instant présent. Mieux aurait fallu que tu fasse demi-tour. Que tu rebrousse chemin. Néanmoins, tu te surpris à vouloir jouer l'indifférente, face à la déférence qui t'imcombe, et, te raclais la gorge, pour que Roméo cesse de te tourner le dos, et croise, enfin, ton doux visage. « Ali... tu devrais pas être la...Qu'est-ce que tu veux ? » Te questionna-t'il, cependant qu'un sourire idiot tirait les coins de sa bouche. Visiblement heureux de te voir, néanmoins que tu remarquais, qu'il tenait, du bout de ses doigts calleux, un mégot de cigarette - remarque qui signifiait, en général, que le bel apollon se trouver nerveux ou stressé, dans ces moments précis. Il constatait, d'ailleurs, que tu l'avais aperçu. N'aimant point l'odeur ou même le goût de ce poison mortel et néfaste, ton petit prince avait toujours eu la délicate attention de les jeter à terre. De les écraser, à même le sol. Quand bien même, tu n'avais pu l'empêcher d'en tirer quelques bouffées. De lui faire arrêter, celui-ci avait pris grand soin, de ne jamais te froisser, sur ce sujet sensible. De ne point te repousser, alors que vous partagiez, à vous seuls. Goûter. Toucher du revers de vos mains, ce bonheur éphémère. Un geste qui t'avais toujours touchée, à bien des égards. « Rien, ...Je voulais simplement t'informer, que le dessert va bientôt être servi, et qu'on attends plus que toi. » Lui avouais-tu, d'une voix calme, sereine. Haussant, dont, les épaules, à mesure que tu voyais le jeune homme piétiner le le restant de sa cigarette, comme de coutume. Faisant attention, de ne point laisser de drainée de poudre noir, sur le parquet, de couleur chair, claire. « C'est gentil. Et, dans ce cas, je te suis. » Tu acquiesçais, dont, d'un léger signe de tête, pour approuver. Lui faire savoir, que tu venais de saisir son message, à l'instar, que tu tournais les talons. Te préparant à redescendre du gazebo. A retourner à l'intérieur, dans l'atmosphère lourde, chaude et pesante, suivi de ton ex amour meilleur ami, qui, pourtant, ne t'emboîter, guère le pas. Restant aussi droit qu'un piquet. Aussi raide qu'une simple planche de bois. « Au fait, je voulais te remercier... De m'avoir invité. » Te retourna-t'il, gentiment. Vraisemblablement, sincère et toucher de l'intention, à mesure que tu laissais échapper un soupir las, aussi léger qu'une brise. N'étant d'humeur à vouloir t'éterniser, de sa présence. A échanger quelques politesses futiles et délicates. Tu te retournais, dont, et lui adresser un petit rictus, sans joie. Prête à dégainée, à lui montrer le fin fond de ta pensée. « C'est plutôt envers Louis, que tu devrais exprimer ta gratitude. » A ces mots, qui se vouait acerbes, amers, le beau brun fronçais les sourcils, au-dessus de ses grands yeux opaques. Ne comprenant guère, quelle mouche te piquer, soudainement. Pourtant, tu n'avais nul doute, concernant ta médisance, à son grand étonnement. Tu ne savais plus ignorer la connivence, que tu avais, désormais, à son égard. Il avait rompu, brisé le lien que vous aviez. Votre belle et longue relation. Votre amour, avait cessée de grandir, de briller, dans le firmament. Il l'avait fissuré, dans une fine poudre de diamant. Il t'avais quitté de la pire des manières. Tu le détestais, pour cela. D'avoir tout détruit, tout envoyer valser, d'un simple geste. D'un simple revers de main, d'un simple regard. Tu le détestais, parce qu'il y a plusieurs années de cela, vous vous êtes faites une promesse, pour lui, pour toi, tout aurait dû être respecter.

Tu avais voulu soigner le mal par le mal. Et voilà qu'aujourd'hui, le ciel te tomber sur la tête. Voilà que les rôles s'inverser, alors que tu avais passé. Dépassé le palier du bonheur, pour atterrir sur un doux nuage duveteux. Et, sa présence te contrarier, désormais, car tu doutais de la force, à l'amadouer. Tu doutais de la force de tes émotions, tes sentiments inavoués. De ne pas réussir à lui résister. Voilà pourquoi, tu avais tant redouté ce moment. De le confronter. Rentrer, dans ce débat. Ce lourd et dur combat. Il t'avait mise dans une situation étroite. Déroutante, délicate, et ce dernier ne semblait le constater, le voir. Ou, peut-être, s'amusait-il, finalement, à tes dépends, qui sait... Dans tous les cas, tu voulais lui faire comprendre l'affront, qu'il avait causé. Lui faire payer son détournement, sa fourberie. La trahison du serpent. Le faire tomber avec toi, alors que tu avais, dors et déjà, précéder à ta chute déferlante. Que tu avais glissé, dans ce trou noir et béant, sous ton regard médusé, impuissant. Alors que le sol s'écrouler, derrière ton tracé, sous tes pas. Bien au devant, de ton trépas. Alors que tu te questionnais, que tu demandais pourquoi ? Pourquoi t'avait-il lâché, abandonné ? « Il pensait me faire plaisir. » - « Et... J'imagine, que ce n'est pas le cas ? » A cette question, que tu trouvais futile. Stupide, tu t'étonnais, à laisser échapper de tes lèvres rouges écarlates, cramoisies, un léger rire sarcastique. Badin, moqueur, de surcroît. Tu trouvais fort déplacer qu'il est répondu à l'invitation, alors, que dans le fond, tu n'avais voulu le revoir. En particulier, en cette période de fête. Mais, tu avais omis de divulguer ce qui s'était passé, envers ton bien aimé. Tu avais, malgré tout, garder le secret. Quand bien même, cela te pesait sur la conscience... Tu devais faire preuve, malgré tout, de bien aisance, et tu étais bien décidé, à ne point le laisser tout chambouler, tout éclater. Tu ne vivais point un conte de fées, mais c'était ta destiné. « Oh, si... Bien sûr, que je suis ravie, que tu sois là! Mais, je ne pouvais me montrer égoïste, tu vois ? T'avoir à moi, toute seule... Alors, j'ai décidé d'inviter ton ex. Depuis le temps qu'elle voulait te revoir... » Lui révéla-tu, sans le moindre état d'âme. Avec une certaine vivacité. Levant les bras en l'air. Pointant, de ton petit doigt délicat, la demeure dans laquelle tu y logeais, pour désigner la jeune demoiselle, tant appréciée, qui se trouvait gentiment, dedans. Imitant, hardiment. Montrant de ta belle prestation. Adoptant la posture d'un certain personnage de contes pour enfant : Rumpelstiltskin, que tu trouvais amusant et envoûtant. Tu croyais, sans nul doute, que le bel apollon, à la carrure magnifiquement dessinée, sculptée, allait se sentir vexer à son tour. Froisser, qui plus est. Hélas...Il n'en fut rien... Roméo restait de marbre, oui. Mais, semblait se moquer de cela. Une ébauche de sourire vint peindre ses douces lèvres, pulpeuses à souhaits, à mesure, que tu restais ébahis, étonnée de sa réaction. « Oh, c'est très généreux de ta part, dis-moi. Mais... Tu sais très bien, que la seule personne, avec qui je veux être, c'est toi. » Te révéla-t'il, d'un timbre, qui se voulait plus doux. Plus mélodieux. D'autant plus charmeur, alors qu'il s'approchait, dangereusement, de toi. Alors, que tu sentais, soudainement, ton cœur tambouriner, inlassablement, dans ta poitrine... Ton souffle haché, saccadé, lui laisser croire, que tu étais intimidé. Cependant, que tu reculais de quelques pas, t'accoudant, dont, à la rambarde en bois. Tu avais peur que le beau brun ne commette une autre bourde. L'irréparable. Qu'il entoure de ses bras, ta frêle silhouette, et te vole dans la foulée. Ce qui semblait l'amuser. Pensant, certainement, que tu allais craquer. Un regard de triomphe, le changer. Pourtant, tu devais à tout prix y résister. « Pas moi. Je suis avec Louis. Je suis parfaitement heureuse, et je l'aime. C'est très bien, comme ça... » Tentais-tu, de lui faire savoir, d'une voix ferme. Implacable, alors que dans le fond, tu tremblais comme une feuille. N'aimant point l'idée de causer une quelconque peine, un grand désarroi, envers tes proches. En particulier, envers ton ex meilleur ami. Même s'il était la cause. Le symbole même, de la duperie. De cet épineux problème, qui ne semblait sombrer dans l'oubli. Néanmoins, ce dernier ne semblait guère convaincu par tes propos. Il voyait, bel et bien, que tu n'étais indifférente à ses charmes. A sa personnalité troublante, déconcertante. Enivrante, envoûtante. Et, tu voyais, sous tes iris bleutées, éberluées, que son doux visage pénétrant, n'était plus qu'à quelques centimètres du tiens. Et, tu avais beau tout faire, tu ne pouvais réchapper à ses griffes qui te lacéraient, bien longtemps. T'emprisonnant davantage. Sachant que, tu ne pourrais, éternellement, résister. Tôt ou tard, tu perdrais tous tes moyens... « Tu préfères donc choisir la facilité. Le choisir, lui, cet abruti, alors que nous savons, tous les deux, que tu as, également, des sentiments pour moi ? » Tu perdais, désormais, ton sang froid. Tu sentais tes poings se resserraient. Tu serrais les dents, d'amertume. Tu aurais bien voulu lui flanquer une bonne raclée, le gifler. Le punir de son impudence. De son intolérance, mais rien n'y faisait... La voix de la sagesse. De la conscience, te poussait à rester sur tes gardes. A ne pas te jeter sur lui, pour le ruer de coups.  « Occupe-toi de tes affaires, Kaplan, avant de critiquer. Parce que, tu as bien plus à te faire reprocher, crois-moi. C'est toi qui m'a quitté !!!! Alors, oui... Je choisis la facilité. Oui, je choisis mon abruti de petit ami, comme tu dis. Mais, au moins, je suis bien avec lui. Il ne me fait pas souffrir, au moins. » Sifflais-tu, entre tes dents, cependant, que tu le mettais en garde. Alors, que tu pensais, que celui-ci allait abandonner la partie. Déclarer forfait. Tu le vis, néanmoins, ouvrir la bouche. Sûrement pour placer quelques mots censés. Te contrecarrer, mais tu lui coupais, déjà, l'herbe sous le pied. « Dans tous les cas, quoi que tu fasses, rien ne marchera. Je ne céderais pas, Roméo. » Achevais-tu, finalement. Bien décider à ce que la conversation se termine ici. Pour toi, le sujet était clos, tout était dit. Tu voulais jeter ces cendres, dans les méandres de l'oubli. Tu lui coupais court à ses paroles, désormais évanouis. Le repoussant, une fois encore. Le bousculant, le percutant de tes maigres forces, pour redescendre les quelques marches. Tu étais prête à fuir au demeurant. Ne te souciant guère, alors, si le jeune homme allait te suivre ou non. De toute manière, cela te laissais parfaitement indifférente. Libre à lui, s'il voulait partir de la fête. Fuir, sur-le-champs. « Même si, je te demandais de m'épouser ? » Criais-t'il, légèrement, et aussi distinctement que possible, pour que tu puisse saisir l'essence même, de sa question. De sa proposition, alors que tu avais voulu t'éloigner. Disparaître à sa vue, de son champs de vision. Le temps de quelques instants durant, tu t'arrêtais sur le chemin de gravier et te retourner. Tu contemplais son doux visage pénétrant, qui attendait. Patienter, sagement, ta décision. Guettant ta réaction. Sur le moment, tu t'imaginais, sans nul doute, qu'il se moquait de toi. Jouer à tes dépends. Tu croyais que tout ceci, n'était que le simple fruit, de la plaisanterie. Qu'il s'esclafferait, à gorge déployée, sous ton regard noir, meurtrier. Mais, rien n'y faisait... Ton souffle saccadé, se couper, alors. Les mots te manquaient. Ils restaient coincés, dans le fin fond de ta trachée. « Hey, qu'est-ce que vous faites ? On commence à s'inquiéter, de ne plus vous voir revenir! » Tu fus, dont, sauver par le gong. Sauvée de justesse, par une de tes invités : Lucy. Tu tournais, une fois de plus, les talons, visiblement choquée. Sonnée, à mesure que, cette dernière te toiser, l'air angoissé. « Tout va bien ? » Demandait-t'elle, néanmoins que Roméo te rejoignais, bien rapidement. Arrivant, en moins de temps qu'il n'en fut, à ta hauteur. Posant, délicatement, de sa main rugueuse, calleuse, sur ton épaule, pour conserver, un tant soit peu, les apparences. « Oui, tout va bien. Je suis navré, c'est de ma faute... Je l'ai retenu un peu trop, en la complimentant sur la soirée. Pour ainsi dire, je n'ai pas vu le temps passé! » Justifia-t'il, en laissant s'échapper un léger rire cristallin et nerveux, alors que la jeune femme lui retournait un petit rictus, rassurant. Mordant, visiblement, à l'hameçon. Ne se doutant, point, de la situation. N'ayant, guère, la moindre suspicion, le moindre petit soupçon. Tu tentais, à ton tour, de te montrer heureuse, joyeuse. De conserver une belle image, de toi-même, voulant à tout prix, mettre ces nouveaux soucis, de côté. Tu les rangeais, soigneusement, dans un tiroir, de ton esprit torturé, esseulé. Te jurant, que tu prendrais du recul. Que tu réfléchirais, à tout cela, un peu plus tard, dans la soirée. Ou dès que tu aurais un moment de liberté. Tu suivais, machinalement, Lucy, tel un robot sans vie, suivi de ton ex meilleur ami, qui avait, alors, enlever sa main, de ton emprise. Vous arriviez, enfin, devant la porte, que la jeune demoiselle, ouvrit, alors que tu tournais la tête, en direction de Roméo , qui te retint la porte. Tu remarquais, un doux et mignon petit rictus, se dessiner sur ses lèvres. Feignant de jouer les bons acteurs. Faire comme si rien ne s'était produit, cependant que te tournais ton attention, sur les cris enjoués de tes convives, qui vous avaient, bel et bien, attendus, au demeurant. Tu fis mine d'être agréablement surprise, alors qu'un sourire idiot tiraient les coins de ta bouche, et reprit place, aux côtés de ta moitié, qui fut, tout autant heureux, de te retrouver. Il te déposait un furtif baiser, sur ta joue nacrée, sous le regard sombre, bien que discret, de ton ex petit prince. Alors, que tu t'assistais sur ta chaise attribuer, à mesure, que tu voyais Louis, se diriger vers la bûche glacée, que tu avais préparée, un peu plus tôt. S'affairant, s'apprêtant, à la découper, soigneusement, de sa lame effilée, aiguisée. Son menaçant couteau. Et, c'est à ce moment précis, Louis, se leva de sa chaise, prend ta main et te demanda de te lever pour le suivre. Il sortit une bague de sa poche gauche, posa un pied à terre, c'était ce fameux moment fatidique.  « Alice Gabrielle Rosa Chloé Grimaldi, me ferait tu l'honneur de devenir ma femme ? » il attendait ta réponse, tu regarde Roméo de loin, ton frère, tes parents qui acquiesce de tête, toute l'assemblé attendaient une réponse.  Tu n'arrivais pas à dire oui, alors, tu hoche la tête positivement, sous le regard triste de Roméo, qui est parti aussi vite qu'il est arrivé, toute ta famille applaudissaient. Tout portait à croire à un nouveau départ, Louis, montait en grade, ne travaillait plus à l'université et s'était créé sa propre entreprise. Poursuivant tes études d'arts, loin de la famille royale, loin de tes responsabilités et loin de ce futur mariage. Tout ça pour ne pas porter cette couronne, mais c'était ton intention, avant que ton chère père, le roi annonça une nouvelle foudroyante. Un autre fils caché. Tu le hais déjà, même si tu est pas prête à être reine ...impossible pour toi que ça soit ce batard qui pique le trône. Tu fais ça pour ton frère, il ne peut pas tacher la famille de cette façon. Peut-être parce que ton père octroie plus d'espoir à son égard, peut être parce qu'il le croit plus apte à monter sur le trône. Tu prend une radicale décision et décide tout accepter, d'être une bonne épouse et de te plier aux règles de la couronne. Tu deviendra une garce sanguinaire et fera alliance avec ton frère, avec louis, pour supprimer Tate de cette famille.
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Bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche Alice G. Grimaldi  ► Alexandra Park 3850463188
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Je suis pas sous le bon compte mais merrrrci de tenter ma petite Alice Alice G. Grimaldi  ► Alexandra Park 4205929361 avec Park en plus, je surkiff log Alice G. Grimaldi  ► Alexandra Park 1656269883

Tu sais où me trouver si tu as besoin de quoi que ce soit Alice G. Grimaldi  ► Alexandra Park 3850463188
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Alexandra Alice G. Grimaldi  ► Alexandra Park 467273629
Bienvenue Alice G. Grimaldi  ► Alexandra Park 3850463188
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Alexandra est un super choix Alice G. Grimaldi  ► Alexandra Park 4205929361
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bienvenue parmi nous Alice G. Grimaldi  ► Alexandra Park 3997999705
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Bienvenue amuse toi bien sûr le forum Alice G. Grimaldi  ► Alexandra Park 2511619667
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Aelxandra ! :bave

Superbe choix ! Alice G. Grimaldi  ► Alexandra Park 3850463188

Bienvenue ici ;)
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