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the sound of silence. (eline)

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Maxine était toute contente aujourd'hui. Elle s'éclatait et elle allait faire de nouveau une activité nautique. Qu'est ce qu'elle aimait l'eau. Elle aurait du se mettre à la natation sérieusement. Toute enjouée, Maxine se préparait dans sa chambre. Elle mit son bikini et son paréo, sans oublier ses fidèles lunettes de soleil. Elle attacha ses cheveux pour se faire une queue de cheval pour être plus à l'aise. La brune détestait nager avec ses cheveux dans le visage, c'était chiant comme elle aimait si bien le dire. Enfin prête, Maxine sortit de sa chambre pour se rendre au lac. Elle allait passer la journée là bas à s'éclater dans l'eau. Elle se sentait de bonne humeur aujourd'hui, bien qu'elle pensait toujours à ses deux meilleurs amis décédés. Elle commençait à aller doucement de l'avant. Elle prenait son temps, elle y allait petit à petit, sans se presser. Elle recommençait à revoir le monde en couleurs. Ce monde lui semblait fade, sans lumière, sans couleurs sans Lennox et Azraël. Il le sera toujours fade sans eux. Ils étaient son monde. Mais elle commençait à avancer dans un monde sans eux physiquement. Ils seraient toujours là pour elle, dans son coeur. Elle ne les oubliera jamais. Elle ne pouvait pas s'empêcher de sourire en regardant le ciel, en pensant à eux. Il ne se passait pas un jour sans qu'elle pense à eux. Arrivant finalement au lac, Maxine se dirigea vers le local dédié pour les activités du lac. Il n'y avait personne. La plupart des gens préféraient s'occuper autrement. Enfin, ce n'était pas pour lui déplaire. Elle pensait à ça trop vite. À peine a-t-elle eu le temps de commencer à chercher ce qu'il lui fallait qu'une autre personne entra dans le local. Elle haussa les sourcils, surprise de le voir. Après tout, ça faisait environ un mois, si ce n'est plus qu'ils ne se sont pas parlés. Elle ne dit pas un mot, pensant qu'il l'enverra bouler et se dirigea vers la sortie. Manque de bol, il a du se passer quelque chose parce que la porte ne s'ouvre pas. Les retrouvailles promettent d'être électriques.

@Elias Caldeira
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Il n'y avait pas de plage au Laos, non. Et ça c'était bien triste. Elias avait quand même dû dévaler toute une ville en tuk tuk puis voler un bateau avec des membres de son équipe pour se rendre au Vietnam, là où il y avait la plage. Et une vraie. Sauf que ça, il ne pouvait pas le faire tous les jours, sinon il allait finir par se retrouver en prison et ça, ce serait carrément dommage. Ça fouterait en l'air sa carrière et son avenir donc bon, on allait éviter hein. Pour se baigner, il y avait la superbe piscine de l'hôtel et puis... le lac aussi. Le fameux lac. Aujourd'hui, c'était d'ailleurs là-bas qu'il se rendait avec des amis mais pas pour faire bronzette. Il n'en avait pas besoin lui puisqu'il était déjà bronzé naturellement.  N'a pas la classe qui veut. Enfin bref, activité nautique, du paddle précisément et comme monsieur avait eu la chance de tirer à la courte paille, on l'avait chargé de ramener le gilet et les palmes de tout le monde. Bien sûr, Elias Caldeira pour vous servir. Lâchant un soupir, mécontent, il s’engouffra dans le cabanon sans trop faire attention à la porte qui se refermait derrière lui. Il y avait une brune avec lui, elle avait pas l'air dégueulasse de dos bien qu'il ne s'y attarda pas plus d'une demi-seconde, son regard étant plutôt attiré par l'étagère où se trouvait les palmes de différentes tailles. Difficile de savoir lesquelles choisir donc le brésilien préféra s'emparer des plus grandes, tant qu'à faire. Puis il s'avança vers la sortie devant laquelle se trouvait la demoiselle. Elle semblait d'ailleurs avoir du mal à ouvrir la porte, ce qui le fit légèrement sourire. "Un problème ?" demanda-t-il en posant les palmes sur le côté avant de s’approcher et.... là, gros bug. C'était... Maxine juste devant lui. Ouais, c'était bien Maxine, mais en brune. Ok, il en avait loupé des choses en un mois et demi ou quoi ? Elias ne savait pas pourquoi mais soudainement, toute bonne humeur l'avait quittée. La voir là, devant lui et aussi proche le surprenait mais surtout, l'agaçait. Yep, ça l'énervait parce qu'elle avait l'air de s'en battre les boobs de leur dispute, pour ne même pas venir le voir en six semaines. Non, au lieu de ça madame préférait se refaire une beauté chez le coiffeur. Bah cette couleur ne lui allait pas du tout, voilà. Il n'avait même pas l'impression d'avoir la vraie Maxine en face de lui mais plutôt une pale copie, beaucoup moins bien évidemment. "Tu sais plus ouvrir une porte maintenant ? Peut-être que tes cheveux y sont pour quelque chose." ajouta-t-il froidement avant de légèrement la pousser pour tenter d'ouvrir la porte à son tour. En vain. Wtf, c'était vraiment pas le moment là. Quelqu'un voulait leur mort ou quoi ? Parce qu'ils risquaient clairement de s'entre-tuer, c'est sûr. "Bon, ça s'ouvre pas. C'est toi qui as fait la blague c'est ça ? Agathe est derrière la porte ?" Non parce qu'il n'avait absolument pas envie de rire là. Toujours autant vexé au fond de lui, petit bébé qu'il était.
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Maxine déglutit. Elle forçait sur la poignée de la porte. Il se passait quoi, là ? La porte ne s'ouvrait pas. Et en plus, Elias était là. Super. Ça promettait tout ça. Lorsqu'il s'approcha, lui demandant s'il y avait un problème, son coeur rata un battement. Il l'avait surprise, elle ne l'avait même pas entendu à la base. Elle ne savait pas quoi lui dire, il allait la reconnaitre en plus. La dernière fois qu'ils s'étaient vus, elle était blonde. Elle était brune maintenant. Maxine se tourna vers lui, et vu sa tête, il s'était rendu compte que c'était elle. Elle savait comment Elias allait se comporter. Elle l'avait déjà vu énervé, vexé. Elle savait comment il était. Évidemment qu'elle allait avoir le droit à une réplique cinglante ! Maxine retira sa main de la poignée, après avoir essayé plusieurs fois d'ouvrir la porte. Voilà la réplique cinglante qu'elle attendait tant ! Elle fut suivie d'un Elias qui poussa Maxine pour ouvrir la porte. Genre, elle ne savait pas ouvrir une porte. Elle ne put s'empêcher de se vexer à ses paroles. "Elle est fermée, donc non je ne peux pas l'ouvrir et mes cheveux n'y sont pour rien" lui dit-elle en roulant des yeux. Maxine croisa les bras, son index droit tapotant sur son bras, elle s'impatientait. Il n'arrivait pas à ouvrir la porte. Évidemment. Elle se garda de lui faire une réplique aussi cinglante que la sienne, elle savait que ça n'allait rien arranger. Calme toi, Maxine. Zen. Allez, patience légendaire, c'est le moment de revenir là. "Je n'ai clairement ni le temps ni l'envie de faire une blague pareille. Et tu me connais suffisamment pour savoir que si je t'avais fait une blague, elle aurait été plus drôle." dit-elle en soupirant, reculant dans le cabanon pour trouver un outil afin d'ouvrir la porte. "Je suis seule, Agathe n'est pas venue avec moi de toute façon." se sentit-elle de préciser en haussant les épaules. Elle n'avait pas l'intention de rester ici, bien que Monsieur vexé lui avait manqué. "Est-ce-que tu pourrais m'aider à trouver un objet pour ouvrir la porte s'il te plait ?" lui demanda-t-elle en fouillant les étagères. Elle ne savait pas comment aborder le sujet de leur dispute, elle avait envie de s'excuser mais elle n'était pas sûre qu'Elias lui laisse le temps de parler ou qu'il accepte ses excuses.
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Autant par moments, Elias se considérait comme le mec le plus beau chanceux du monde, autant d'autres fois, il se demandait vraiment pourquoi le sort s'acharnait toujours contre lui. Était-ce trop demandé qu'on le laisse vivre sa vie tranquillement, pendant ces deux mois que durait le summer camp ? Il fallait croire que oui, vu la situation dans laquelle il se trouvait à l'heure actuelle. Enfermé dans un cabanon avec pour seule compagnie celle des araignées et de Maxine. Autrefois, cela l'aurait fait sourire puisqu'il aurait sans doute trouvé l'occasion parfaite pour se rapprocher de la jeune femme et lui faire des avances... Mais ça, c'était avant, comme on dit. Désormais, tout désir, attirance ou quoi que ce soit d'autre avait laissé place à de la haine ou du moins, c'est ce dont monsieur la drama queen tentait de se convaincre. Chose plutôt facile puisque Elias lui parlait mal, comme à chaque fois qu'il était en colère et vexé. Et là, c'était le cas. La porte ne s'ouvrait pas et bien sûr que non, ses cheveux n'y étaient pour rien. C'était juste une manière pour le winthrop de lui faire comprendre qu'il n'aimait pas ce changement et qu'il était toujours remonté contre elle. Bref, Elias tout craché. Lui au moins, n'avait changé sur aucun point, c'était certain. "Ouais bah elle était pas fermée quand je suis entré." Logique me direz-vous, sinon comment se trouverait-il ici ? Ahah. Il ne parvenait pas non plus à l'ouvrir, cette fichue porte. À croire que quelqu'un l'avait cadenassée de l'extérieur. Ce serait la meilleure tiens. OU bien, Maxine lui faisait une blague, étrange façon de renouer le contact tout de même. Et pas des plus efficaces... "Plus drôle ?" répéta-t-il d'un ton sarcastique avant de tourner la tête vers la jeune femme. "Si tu le dis..." C'est vrai que ça aurait été plus son genre à lui de faire une connerie pareille mais bon, la Thomspers n'était pas non plus au top niveau humour hein. Pas du tout même. La preuve, Elias se faisait plus rire seul, sans l'aide de personne donc pour le coup, il n'était pas convaincu, non. Et il ne se retenait pas de le montrer, bien entendu. Leur ancienne colocataire - la junkie tarée, pas Nora - n'était pas là et tant mieux. Parce qu'il n'avait pas envie de voir sa gueule, elle l'avait déjà assez saoulé par sms. Toujours à se mêler de ce qui ne la regarde pas, celle-là. "Ouais bah quand tu la verras, tu lui diras d'arrêter de s'occuper des affaires des autres. Ou mieux, ne lui parle pas de moi." Ça aussi, il l'avait encore en travers de la gorge. C'était incroyable comme les filles se racontaient vraiment tout, sans exception. Chiantes jusqu'au bout. "Est-ce que j'ai le choix de toute façon ?" Lui aussi voulait sortir de là le plus vite possible doooonc, forcément qu'il devait lui apporter son aide. Elias aurait volontiers défoncer la porte mais de un, il ne voulait pas risquer de se ridiculiser s'il ne réussissait pas et de deux, on allait sûrement lui demander de réparer les dégâts et ça, c'était hors de question. Lâchant un soupir, il se mit à chercher à son tour, entre les palmes et les pagaies, faisant de son mieux pour se tenir éloigné de Maxine. Sauf que c'était impossible ça, vu la taille de la cabane.
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Maxine se retenait tellement de soupirer. Elle était arrivée à un niveau où elle se fichait qu'Elias l'insulte d'une manière ou d'une autre. C'est ce qu'elle aimait faire croire. Parce que chaque parole contre elle lui faisait mal. Un peu plus à chaque fois. Comme s'il la poignardait et il enfonçait son couteau plus profondément dans son coeur. C'était ce qu'elle ressentait vraiment. Mais elle se gardait bien de le dire, voire même de le reconnaitre. Dès qu'il ne la regarde plus, elle baissait les yeux. Elle s'autorisait à être triste dans son dos. Elle soupirait, elle croisait les bras. Elle le laissa s'agiter pour tenter d'ouvrir la porte. Elle était dans ses pensées, elle pensait à lui. Elle n'entendait même pas ce qu'il lui disait. Maxine ne releva la tête vers lui que lorsqu'il montrait qu'il doutait de son sens de l'humour. Elle croisa son regard avant de baisser ses yeux de nouveau. Un nouveau soupir s'échappa de ses lèvres, elle haussa les épaules. "Ce n'est pas mon genre d'humour, si tu préfères." Il était encore plus impitoyable avec elle. D'habitude, il l'aurait taquiné. Mais là, il ne la ménageait pas, il se laissait aller. Il se fichait de la blesser parce qu'elle l'avait vexé, elle l'avait blessé. Maxine ne savait pas ce qu'avait dit Agathe, mais apparemment cela n'avait pas plu à Elias. Elle ne savait pas quoi en penser. Elle soupira une nouvelle fois, ses bras toujours croisés. "Je lui parlerais de toi, si j'en ai envie, Elias. Tu devrais pourtant être flatté. Je.." Elle s'interrompit, ses mots restant coincés dans sa gorge. Elle n'arrivait pas à lui dire que leur situation actuelle la dérangeait, qu'elle en souffrait. Il lui dirait sûrement qu'elle l'avait mérité. Et ça, elle ne le supporterait pas, parce qu'elle savait qu'il aurait raison s'il le disait. Maxine ne répondit pas non plus quand il lui demandait s'il avait le choix. Évidemment qu'il ne l'avait pas, c'était le premier à vouloir sortir d'ici. Les recherches de Maxine étaient infructueuses et à cause de la chaleur, de l'atmosphère, elle eut un léger vertige. Alors, elle s'assit, près de l'étagère où elle cherchait un outil. Elle ne bougea pas quelques instants, inspirant et expirant longuement. "Tu as trouvé quelque chose ?" demanda-t-elle alors qu'elle se relevait doucement. Elle s'éloigna de lui pour se poster devant la porte. Elle toqua pour savoir si elle pouvait être défoncée ou non, elle ressaya même de l'ouvrir. Sans succès. Quelle tocarde aussi celle ci ! Elle restait toujours face à la porte, dos à Elias, elle avait peur de voir son visage quand elle finirait de parler. "Si j'ai parlé de toi, de ce que je t'ai dis, à Agathe c'était parce que j'avais besoin de conseils. J'avais besoin de savoir si j'étais en tord, ou si j'avais raison. Bien sûr que j'étais en tord. J'avais tellement mal, tellement mal ces jours là. Mais ça ne justifiait rien. Je n'aurais pas dû te dire ça, et j'en suis désolée. Je suis désolée de ce que je t'ai dit. J'y pense tout le temps. Et j'y repense à chaque fois que je relis notre conversation. Je suis désolée.." Sa voix semblait très calme, mais quelques larmes avaient coulé sur ses yeux. Maxine les essuya rapidement. Elle avait toujours autant mal, elle était toujours aussi triste, mais elle commençait à aller de l'avant. Et aller de l'avant sans Elias qui l'avait soutenu après la mort de Lennox, qui voulait la soutenir après la mort d'Azraël, ce n'était pas possible.
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Évidemment que ce n'était pas Maxine qui les avait enfermés là-dedans, ça Elias le savait bien. Mais puisqu'il était en colère contre la jeune femme et qu'il lui en voulait, alors il ne se gênait pas pour rejeter la faute sur elle et l'accuser à tort. C'était sa manière à lui de lui montrer à quel point il avait la haine contre elle là, même si elle devait déjà s'en douter. Mais c'était tellement facile, d'être désagréable, de lui lancer des piques, de lui en mettre plein la gueule qu'il ne cherchait même pas à faire autrement. Elias, il était tout sauf du genre à réfléchir avant de parler, bien trop impulsif pour ça. Et Maxine le savait. Depuis le temps qu'elle le connaissait, elle était habituée. Ce n'était pas la première fois qu'ils se prenaient pas la tête et ne se parlaient plus pendant des semaines. Mais sérieusement, comment en étaient-ils arrivés là ? Se disputer pour des broutilles qui finissaient par prendre des proportions qui n'avaient pas lieu d'être... Susceptible, le winthrop l'était aussi. Et fier, encore plus. Alors se résoudre à faire le premier pas vers la Thomspers et s'excuser ? Même pas en rêve. Elias, c'était Elias quoi. Personne ne le changerait jamais. Pas s'il n'en avait pas envie. Pas si l'effort n'en valait pas la chandelle à ses yeux. Pas tant qu'il n'aurait pas compris ce qu'il voulait réellement. Et malheureusement, ce jour n'étais pas prêt d'arriver. "Flatté ? Tu m'expliques en quoi de je devrais être flatté de me faire harceler et de m'en prendre plein la gueule par ta pote ? Est-ce que je vais pleurer auprès d'Eliot ou Philip dès qu'on s'engueule ? J'crois pas non." Il pouvait comprendre qu'elle veuille parler de lui à ses amies, après tout tout le monde n'avait pas la chance d'avoir un colocataire et ami - enfin si c'était encore le cas ? - aussi canon que lui mais là non, ce n'était pas possible quoi. Pas Agathe. Peut-être qu'il n'était pas le mec le plus responsable du monde mais Elias n'avait absolument pas besoin qu'une meuf qu'il ne pouvait pas blairer ne vienne lui reprocher ses torts et lui dire ce qu'il devait faire. Et si madame s'était montrée un peu plus intelligente sur ce coup là, elle l'aurait deviné elle-même. "Non, que dalle." répondit-il en balançant l'objet qu'il tenait dans ses mains au sol, agacé. Hors de question qu'ils ne passent la nuit ici, c'était mort, il n'allait pas tenir. Et en plus, Maxine n'avait pas l'air de vouloir se bouger le cul pour l'aider à trouver une solution puisque plantée devant la porte, à attendre peut-être qu'un miracle ne se produise. C'est ça oui. Lâchant un soupir, le brésilien s'empara d'une boîte, prêt à tout retourner ce qui se trouvait dedans lorsque la jeune femme reprit la parole. Des conseils. Elle avait mal. Était désolée. Y repensait tout le temps. Ok, wait a minute. C'était quoi ce discours là ? Pourquoi elle lui faisait ça là, maintenant ? Il ne voulait pas entendre ça, ne pouvait pas. Non non non. Hors de question de laisser Maxine avoir cet effet là sur lui. Il ne pouvait pas la laisser l'atteindre. "Ferme la Max ! Juste ferme la ! gueula-t-il en donnant au passage, un grand coup de pied dans la caisse. Avant de faire volte face et de la regarder droit dans les yeux. Si elle ne s'arrêtait pas tout de suite, il allait vraiment péter un câble là et ça, valait mieux pas. Parce que si ça dégénérait et qu'il venait à lui faire du mal, Elias ne se le pardonnerait jamais. "Tu comprends pas que j'me fous ton insulte ? C'est pas ça... Tu sais quoi ? Laisse tomber." Ouais, valait mieux qu'ils ne mettent fin à cette conversation avant que le winthrop ne se mette à dire des trucs qu'il ne voulait pas ou qu'il n'était pas prêt à avouer. Sortir de cette cabane, c'était ça l'objectif. Fallait qu'il se concentre là-dessus. "Recule toi." lui ordonna-t-il une fois de retour près de la porte. S'ils ne trouvaient rien pour l'ouvrir et bien soit, alors il utiliserait les bonnes vieilles méthodes. C'est à dire donner des coups de pied de toutes ses forces dans cette fichue porte jusqu'à ce qu'elle ne se décide à s'ouvrir. Au moins, ça lui permettait d'évacuer sa colère. Et de ne plus parler à Maxine.
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Ça allait de plus en plus mal. Comme si elle empirait tout. Ce n'était pas l'effet recherché. S'ils étaient coincés, autant parler non ? Pourtant, même si elle s'était confiée, elle savait très bien qu'Elias était susceptible et que se faire pardonner ne se ferait pas facilement. Mais elle n'en pouvait plus. Elle ne pouvait plus être en froid avec lui, elle détestait ça. Elias lui manquait, et elle essayait de lui montrer à sa manière. Maxine était douée avec les mots mais qu'est ce qu'elle était nulle pour montrer ce qu'elle ressentait. Elle ne savait pas si elle devait se livrer ou non. À cause de ses parents. Ils lui avaient appris à être dans la retenue, à être une petite poupée silencieuse. C'était ce qu'elle avait été. Tout a été chamboulée depuis qu'elle était arrivée à Harvard. Elle était toujours dans la retenue concernant Elias, elle ne voulait pas être lourde. Mais inconsciemment, elle devait l'être. Enfin, ce n'était pas le propos. Bien sûr que c'était facile d'être en froid avec quelqu'un, c'était facile de cracher sa tristesse. Mais c'était tellement dur de mettre son ego de côté pour présenter ses excuses pour avancer. Maxine ne se voyait pas avancer sans Elias. Alors, oui, elle pouvait mettre son ego de côté pour s'excuser. Pour Elias, oui. Il était devenu indispensable à sa vie, d'une certaine manière. Rien qu'à l'appartement, sa présence lui était devenue indispensable. Elle ne pouvait pas lui dire, ses chevilles gonfleraient tellement. Théoriquement, elle devrait vouloir l'égorger, parce qu'il lui parlait mal quand même. Mais elle ne lui en tenait pas rigueur. Non. Il avait le droit d'être énervé et de le lui montrer. Elle essuierait ses piques, une par une. Jusqu'à ce qu'il lui pardonne. Jusqu'à ce qu'il revienne. "Je n'ai pas demandé à Agathe d'aller te voir. Je ne lui ai pas demandé de te parler. Et votre relation ne me concerne pas." Elle n'ajouta rien pour l'instant, bien qu'elle ait mal pris sa remarque. Peut être qu'il n'allait pas pleurer chez Philip ou Eliot après qu'ils se soient disputés. Et alors ? Elle était bien plus sensible que lui, alors, si elle voulait pleurer chez Agathe, elle le ferait. Elle faisait ce qu'elle voulait, aux dernières nouvelles. Il enchaina rapidement en lui disant qu'il n'avait rien trouvé. Elle sursauta en entendant un bruit, c'était juste Elias qui avait jeté un objet par terre. Elle inspira pour calmer son coeur qui battait à cent à l'heure. À cause de son sursaut. Puis, elle finit par dire ce qu'elle avait sur le coeur. C'était plus facile lorsqu'Elias était de dos. Elle ne pourrait sûrement pas supporter son regard. Elle parlait, elle parlait. Mais la voix d'Elias l'interrompit en si bon chemin. Il frappa un grand coup dans une caisse. Elle eut un mouvement de recul, c'était rare qu'il haussait le ton, contre elle. Il retourna vers elle, il la regardait. C'était comme si le temps s'était arrêté. Elle n'avait pas peur d'Elias, non. Elle n'avait pas peur qu'il la frappe, il ne le ferait pas. Mais elle avait l'impression que son regard était perçant, comme s'il lui ordonnait de se taire, aussi via le regard. C'était perturbant. Maxine était perdue. Elle avait ouvert la bouche pour répliquer mais aucun son n'en sortit. Il enchaina et Maxine était encore plus perdue. Elle ne comprenait pas pourquoi il était énervé. Si ce n'était pas l'insulte, qu'était-ce ? Elle voulait lui demander, mais encore une fois, elle n'arrivait pas à parler. Mais elle ne voulait pas laisser tomber. Elle voulait savoir. Il ne pouvait pas la laisser en suspens comme ça. Elle avait besoin de savoir. Maxine bougea lorsqu'il lui demanda, mais elle était en pleine réflexion. Elle l'observait, elle observait chacun de ses mouvements. Il donnait des coups de pieds dans la porte. Mais Maxine était dans un autre monde, elle réfléchissait aux paroles d'Elias. "Non, je ne me tairais pas." Bien qu'il ne la regardait pas, elle l'observait. Elle était sûre. Et s'ils devaient se disputer encore une fois pour qu'il lui parle, ils se disputeraient. Il devait lui parler. "Qu'est ce qu'il y a alors ? Parle moi Elias ! Je veux savoir ! Je ne veux pas laisser tomber, et je ne laisserais pas tomber ! S'il faut qu'on s'engueule pour que tu me parles, on s'engueulera !" Elle inspirait, haussant le ton elle-aussi. "Regarde moi ! Déteste moi mais parle moi pour l'amour du ciel !" Il ne pouvait pas l'impasse sur elle, elle ne pourrait pas le supporter. Elle ne le lâcherait pas, et Elias pouvait savoir à quel point Maxine était têtue. Elle l'était tout autant que lui.
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Comme toujours, Maxine ne bougeait pas d'un poil, si calme qu'il aurait été difficile de deviner pour quelqu'un de l'extérieur que la demoiselle venait de s'engueuler, une fois de plus, avec son colocataire-ami proche proche proche -(et plus si affinités)- trop canon. Et pourtant, c'était bel et bien le cas. Chose qu'Elias ne comprendrait jamais. Le mec avait beau être le plus odieux du monde avec elle, lui crier dessus, se moquer d'elle, il ne décelait pas la moindre once de haine dans son regard. Était-ce ce qu'il recherchait d'ailleurs, de la haine ? Peut-être que oui... allez savoir. Ce serait tellement simple, si la jeune femme pouvait se mettre à le détester mais... non. Madame se contentait de lui répondre poliment et de se justifier. Ce qui évidemment, agaçait encore plus le brésilien qui avait pourtant, le sang déjà bien assez chaud. "Peu importe que tu lui aies demandé ou pas, elle l'a fait. C'est ta pote, pas la mienne, alors dis-lui d'se calmer. Ou de trouver quelqu'un d'autre à emmerder." Tant qu'elle lui foutait la paix, ça lui allait, le reste n'était que détails. Même si maintenant qu'il y repensait, Elias se demandait bien ce qui lui était passé par l'esprit pour coucher avec une fille pareille. Fallait vraiment qu'il pense à mieux choisir ses conquêtes parce que c'est clair que le physique, ça ne faisait pas tout, au contraire... Il lui avait certes, fallu du temps pour s'en rendre compte mais maintenant que c'était le cas, croyez bien qu'il n'était pas prêt de l'oublier. Soit, il était préférable de changer de sujet ou plutôt, de ne plus du tout parler et de se concentrer sur cette fichue porte parce que là, le Caldeira avait juste envie de péter un câble. C'est ce qu'il était en train de faire d'ailleurs, mettant toute son énergie dans les coups de pied qu'il envoyait contre la porte. Maxine venait de s'excuser alors ouaip', on pouvait dire que monsieur avait eu ce qu'il voulait non ? Des excuses, que la brune avoue avoir merdé et surtout, qu'elle lui montre qu'elle n'en avait pas rien à foutre. Oui, c'est exactement ce qu'elle venait de lui donner et qu'elle continuait à lui donner en affirmant qu'elle ne laisserait pas tomber.  Elle était prête à le confronter, là, tout de suite. Le problème ? Elias. Avec son caractère de merde, cette fierté et cet ego surdimensionné qui rendaient les choses toujours beaucoup plus compliquées. Parce qu'Elias, il n'avait pas envie de parler. D'accord, jouer le beau-parleur il savait le faire mais lorsqu'il s'agissait de s'ouvrir, de se confier, le jeune homme était la dernière personne à qui il fallait penser. Maxine lui en demandait beaucoup et ça, elle le savait plus que n'importe qui. Il avait certes, arrêté de frapper, sa tête tournée vers la Thomspers. Il l'observait, sans rien dire, silencieux, son regard parlait pour lui. Une minute. Ou peut-être deux. Le temps s'était comme figé. L'espace d'un instant, on aurait pu croire qu'il allait céder. Au charme de la brune, à sa douceur surtout, à cette façon qu'elle avait de le regarder... Mais non. Ça aurait été trop beau, beaucoup trop beau. Elle avait peut-être réussi à diminuer sa colère, mais pour ce qui était du reste, elle allait devoir encore se montrer patiente. "Et moi j'te dis de laisser tomber." Nouveau coup de pied dans la porte et cette fois ça y est, celle-ci s'ouvrait enfin. Putain, ils étaient libres. La lumière du jour était là pour les éblouir mais en cet instant précis, Elias n'en avait rien à foutre. Même pas il ne prenait sa pagaie ni le reste, parce que là, tout ce qu'il désirait, c'était de se barrer. Se casser de là et maintenant. Alors c'est ce qu'il fit. Sans s'arrêter, sans adresser un seul autre regard à Maxine. Ils étaient en vacances ici, non ? Alors merde, qu'on lui foute la paix.

FIN.
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