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what else? (isra)

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Le temps passe. Ouais tu t'amuses, tu te régales visuellement, mais faut toujours que ça soit plus rapide. Pourtant, à chaque fois qu'elle entre de nouveau dans la cabine, t'as l'impression que le temps d'attente augmente un peu plus. Jusqu'à sa prochaine sortie, tu t'occupes comme tu peux. Tu comptes tes doigts, les carreaux de carrelage au sol, tapotes quelques fois sur l'écran de ton téléphone, le verrouille, le déverrouille, checke l'heure et le schéma se répète. « T'aimes te faire désirer hein? » déduis-tu assez fort pour qu'elle puisse entendre de l'endroit où elle est. T'as trop hâte de la voir, qui peut te le reprocher? Elle t'assure avoir entre guillemets fini, ce qui fait renaître un sourire naissant aux creux de tes joues. Tantôt avachi, tu te redresses sur le dossier de ton fauteuil, t'attendant à la voir sortir dans les instants qui suivent. Le temps passe. Encore. Plusieurs minutes séparent sa promesse de l'instant présent. Qu'est-ce qu'elle fout? Tu soupires, ne sachant pas si t'es plus agacé par le fait qu'elle ne soit toujours pas sortie ou par le fait de devoir te lever. Pourtant, c'est ce que tu fais, tu te lèves, et tu t'approches de la cabine, ouvrant brusquement le rideau pour le refermer derrière toi sans même encore avoir regardé Asra.
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Toujours entrain de te batailler avec ce fichu short qui ne veut pas se détacher de son portant, tel une moule qui ne voudrait pas se séparer de son rocher, tandis que l'heure tourne en fait. Merde merde merde, ne cesses-tu de te répéter tandis que cet essayage tourne en véritable course contre la montre puisque clairement, ça fait déjà quelques minutes que tu fais patienter ton accompagnateur du jour lui ayant assuré que t'étais prête, tandis que tu ne l'étais pas du tout. Sans que tu ne puisses rien faire, tu déglutis lorsque tu sens le rideau qui sépare ta cabine de la vue du reste de la boutique bouger, avant qu'il ne vienne s'ouvrir complètement. Putain, t'as eu la trouille de ta vie. Ouais, parce que t'expires dans un premier temps lorsque tu te rends compte que c'est juste Idris, encore heureux - parce que bon si c'était un vieux laotien qui parle même pas ta langue, tu te serais sentie au fond du gouffre. Mais merde quoi, te voilà à moitié à oilp devant lui et ça t'intimide plus qu'autre chose. Bon, ok, t'es pas si pudique que ça surtout que t'es bien taillée mais tu te sens sacrément conne pour le coup. Ne sachant plus trop où te mettre, tu jettes des coups d'œil nerveusement par-ci par-là même si ne pas croiser le regard de l'italien t'es impossible. « J'étais pas prête .. » Ah bon, tu crois ? Putain, belle déduction Osborne. Malgré que ce moment soit drôlement embarassant, tu ne sais pas pourquoi mais t'as l'impression que la température grimpe d'un cran, cloîtrés à deux dans cette étroite cabine. Ce qui t'empêche pas de maudir un million de fois ce pauvre short en jean.
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T'es entré dans la cabine, sans demander l'avis de personne et encore moins celui d'Asra. Et c'est en déposant ton regard sur elle après avoir refermé le rideau que tu comprends mieux pourquoi elle est pas sortie. Elle est en galère, pratiquement nue, se bataillant avec un short en jean toujours accroché sur le portant qui mêle déjà une large palette de couleur tant les vêtements choisis sont diversifiés. Vous voilà, deux dans une cabine d'essayage pas plus grande qu'une cabine de douche. Elle est nerveuse, alors que toi, nan, tu la regarde fixement, sans rien dire, l'atmosphère parlant d'elle-même, avec simplement une fièvre montante, avec une température grimpante. Alors dans un élan d'impulsivité, avec cette passion emportant sur la raison, tu déposes tes lèvres sur les siennes, plaçant ses joues aux creux de tes paumes de main. Tu l'embrasses, enfin. Tu ne la dévores plus que des yeux seulement. Vos souffles qui s'entremêlent, s'accélèrent, réaction physique face à ce que tu voulais faire depuis bien trop longtemps.
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Vos corps quasiment collés l'un contre l'autre, la température est ambiante. Vos regards se transpercent, tu n'as plus la force pour réagir, tes yeux ne voulant plus quitter son regard qui ne cesse de te dévorer. Tu cèdes à la tentation, et ce immédiatement lorsque Idris dépose ses lèvres contre les tiennes et que ton visage est soumis aux creux de ses mains. Tu te laisses faire, mais en profites également pour répondre avidement à ce baiser si tendre, si simple mais pourtant passionné. Vos souffles ainsi que vos langues finissent par s'entremêler dans une salsa endiablée, tu emmêles tes mains sur la nuque du brun pour mieux t'y prendre. Tu en demandes plus. Tu en désires plus. Tu te rends compte que tu attendais ce moment depuis bien trop longtemps. Idris te fascine plus que tout, l'attraction que tu éprouves pour lui te rend folle et il suffisait d'un baiser pour t'en rendre compte. Entre chaque échange, tu peux pas t'empêcher de sourire comme une débile tellement t'es heureuse, satisfaite. Bordel, t'aimerais ressentir ce que tu ressens en ce moment même pour l'éternité.
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Tu ne veux plus qu'elle, plus que ça, plus que vos deux corps qui se mêlent, plus que des baisers, plus que ce moment. T'as pris les rennes et elle est réceptive, elle répond et en redemande, tout comme toi, elle place ses mains chaudes sur ta nuque et t'en frissonne. Il n'y a plus que vous à cet instant précis, le monde extérieur n'existe même plus, le monde extérieur est en arrêt sur image pour ne laisser place qu'à ce moment. Tu ne penses qu'à elle, qu'à vous, qu'à ses caresses et les tiennes dans cette cabine dont l'espace n'importe plus. Tu la plaques doucement contre l'une des quatre parois formant l'espace essayage, t'appuyant d'une main contre celle-ci, tandis que ton autre main, elle, se hisse lentement le long de la cuisse d'Asra. Ta bouche n'en a pas assez de celle de la brune, nan, toujours plus. Tu ne peux résister à l'appel de son cou dégagé et t'y attaques, y parsemant baisers et baisers chauds sur sa peau brûlante, mélangeant douceur et passion, partant du haut de son cou pour arriver progressivement jusqu'à la naissance de son thorax. Et le bout de tes doigts qui ne cessent de glisser, ta main qui se colle pour monter, descendre, monter et descendre de nouveau. Elle est la chose que tu désires le plus, et enfin, tu l'as eue.
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Tu profites de chaque instant que vous passez dans cette cabine d'essayage tant tu es aux anges à ses côtés. Tu es même plus qu'à ses côtés, son torse collé au tien le tissu de vos vêtements ne formant qu'une frontière entre vos corps. Idris te plaque d'une douceur inconcevable contre l'un des quatre murs dans lesquels vous êtes cloîtrés et t'attrapes par la cuisse, avant de venir te parsemer de baisers dans le cou, ce qui ne te laisse pas indifférente. Sa bouche quitte la tienne, tu en profites pour entremêler vos nuques, tout en laissant tes mains se balader de son cou jusqu'à ses épaules. Passion et intense sont les deux adjectifs qui définissent le mieux ces instants. Pour plus de confort, tu décides d'entremêler tes jambes dans le bas de son dos et donc réhausser ton visage à la hauteur du sien. Tu joues avec le regard d'Idris et cherche à plonger ce dernier dans le tien et une fois chose faite, vous vous embrassez langoureusement une nouvelle fois laissant vos langues s'entremêler. Tu places tes mains dans son dos et lâches prise intérieurement, t'es sur un petit nuage.
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Vous voilà enflammés, cloîtrés entre quatre parois étroites, mais l'espace n'a plus d'importance étant donnée votre proximité devenue presque union. Vos corps se complètement, tout comme vos bouches qui ne cessent de se chercher, jusqu'à vous embrasser passionnément, si bien que plus rien d'autre n'importe. Vos corps, comme deux flammes dansantes d'un feu, aussi chauds, aussi brûlants, aussi endiablés dans une danse sensuelle. Elle s'accroche de ses jambes à toi, répond à tes avances, elle en redemande, tu le sens, tu le sais sans même une parole. Elle a le regard de braise qui te transperce, et le tien qui la désire plus que tout. Tes mains qui parcourent sa cuisse, bientôt l'aube de ses fesses, tes mains qui caressent sa joue, sa chevelure obsidienne et son échine. Quand soudain, le rythme de vos souffles entremêlés brisé par le rideau de la cabine qui s'ouvre, vous laissant exposés à la vue de tous, mais plus particulièrement celle d'une vendeuse de la boutique laotienne : elle qui hurle dans un langage totalement incompréhensible, mais il ne vous suffit pas de comprendre le sens de ses cris pour comprendre votre tort dans cette cabine d'essayage. Vous vous rhabillez en vitesse, vous tordant de rire face à cette situation tantôt plus excitante qu'embarrassante, et partez en courant d'ici.
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