Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityWHAT I'M DOING HERE. ◊ ZANE
-50%
Le deal à ne pas rater :
Friteuse sans huile – PHILIPS – Airfryer HD9200/90 Série 3000
54.99 € 109.99 €
Voir le deal


WHAT I'M DOING HERE. ◊ ZANE

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
WHAT I'M DOING HERE.
— with Zane Al-Zahar.

Il y avait très longtemps que je n’avais pas mis les pieds dans un hôtel, surtout avec la luxueuse villa que mon paternel avait acheté avant de mourir d’une mort subite. Sauf que j’avais vraiment besoin de me ressourcer un peu, tentant d’oublier la querelle que j’ai eue avec Colin. Ça avait sortis malgré moi, je ne pouvais sans doute pas garder un tel secret pour moi, puis plusieurs de la Eliot House allaient sans doute rendre ma vie impossible, surtout avec le fait que je vais intégrer la Mather à la nouvelle année. Ça m’avait empêché de dormir, surtout avec le fait que mon meilleur ami allait coucher avec ma pire ennemie, Hippolyte. Rien qu’à cette idée, j’avais presque envie de vomir sauf que c’est son choix, je n’ai pas à me plaindre de rien. Après avoir passé une bonne partie de la journée dans ma chambre, à manger quelques boules de chocolat pour me réconforter, il fallait que je puisse profiter de ce magnifique coucher de soleil. Il ne restait pas beaucoup de jours avant notre retour à Boston et surtout avec cette soirée que je voulais faire dans ma villa. Parlant de cela, il fallait se préparer afin que mes invités ne puissent pas s’ennuyer. Jetant un coup d’œil vers mon portable qui se trouvait non loin de là, je l’empoigne avant de me redresser de mon lit et me refaire une petite beauté, histoire de sortir convenablement sans être jugée. Une fois prête, je pose mon sac à main contre mon épaule et ouvre la porte jusqu’à refermer la porte derrière moi. Beaucoup de choses s’étaient produits pendant le Summer Camp sauf que ce soir, j’ai besoin de penser à moi avant toute chose. C’est pour cela que je voulais prendre une marche, histoire d’avoir les idées beaucoup plus claires qu’avant mais aussi, j’ignore pourquoi mais je voulais voir une personne en particulier. Poussant la porte de l’hôtel, je dépose mes lunettes contre le bout de mon nez avant de marcher pendant un long moment vers la destination désirée. Une fois arrivée en face de la vieille maison, je me mordille la lèvre inférieure avant de marcher vers la porte que j’ouvris avec une certaine difficulté. Avec mes talons hauts, ce n’était certainement pas la meilleure idée que j’ai eue à prendre sauf que je devais être prudente. Arrêtant mes gestes, je regarde l’immense pièce, cherchant Zane du regard sauf que je suis sûre à 100% qu’il se trouvait sur ce toit, comme la toute première fois où nous avions fait connaissance. Posant mes mains contre le mur, je me guidais grâce à cela pour monter les marches qui étaient particulièrement vieilles avant d’arriver au deuxième étage. « Zane ? » Aucune réponse. Me pensant donc seule, je marche d’un pas décidé vers l’une des chambres avant de voir une silhouette non loin de là. Posant mon sac à main contre le sol, je fis quelques petits pas avant de m’approcher du jeune homme qui se trouvait assis sur le toit, l’air quelque peu mélancolique. Venant à passer ma tête sous la fenêtre ouverte, je pose mon regard vers le jeune homme. « Tu passes ta vie ici maintenant ? »

© LOYALS.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
WHAT I'M DOING HERE
feat zane & willow
Vide. Tout ce que tu veux, toi. Faire le vide. Ton esprit, pensées sauvages, pensées à effacer. Tu veux être seul, loi de tout, loin de tous. Le solitaire, Zane. Toujours seul, dans ton coin, reculé, c’est comme ça. Que t’es, comme ça que tu seras toujours. Tu as besoin de ce sentiment, de ce son de rien qui résonne dans tes oreilles, juste le son des oiseaux, de la nature qui vie, à côté de toi. Paysage différent de ce à quoi t’es habitué. Loin de tout, des repères, ton chez toi. Petit cocon où tu t’enfermes. Où tu t’enterres. Ça fait longtemps qu t’as abandonné, après tout. Être comme tout le monde, comme ils disent, un mec social, ouais. Te mêler aux autres, à la foule t’amuser, comme un benêt. C’est donc ça, être normal. Non merci, tu refuses, tu rejettes l’offre, tu te préfères solitaire. Les jambes qui pendouillent dans le vide, brassent de l’air. L’air chaud, étouffant. Tes prunelles ébène qui caressent l’horizon. Apaisement, moment simple, comme tu les aimes. Moment unique, comme il te manque, souvent. Sur le haut de ton toit. Tu les entends. Ces talons. Les siens, peut-être, t’en sais rien. Des talons, en plein milieu du Laos, verdure exigeante, ses paysages encombrés. Des talons qui claquent contre le sol, se rapprochent dangereusement de toi, de ton toit. Zane ? Tes yeux qui virevoltent en l’air, un long soupir insatisfait qui plombe l’ambiance. Elle, ses talons, sa voix. Elle, qui t’énerve, elle te fait chier. Pourquoi elle, maintenant, pourquoi pas jamais, c’est trop rêvé. Tu ne lui réponds pas, bouche fermée, les mans qui commencent à se crisper. Tu devrais souffler, peut-être, te calmer. Tu passes ta vie ici maintenant ? Tu ne veux pas la voir, tu voudrais lui dire de dégager, tu dis rien. Silencieux, beaucoup trop. Peut-être trop. Tu devrais parler, évoluer, cette situation, tu plombes. T’es plombé. Elle t’énerve. Sans lui jeter un regard, tes lèvres bougent sur un ton très sarcastique, bien trop lassé. Pour être seul oui. Tu insistes sur le seul, tu le marques, tu l’écris dans cette conversation dérangeante, d’un feutre marker. Tu ne veux pas la voir, son visage fin, ses traits féminins. Tu te souviens d’elle, cette bouille que tu trouves bien trop ravissante, si proche d’un visage masculin, l’autre soir. Tu ne devrais pas être énervé, pourquoi pour elle. C’est seulement, elle. Pourquoi t’es là ?
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
WHAT I'M DOING HERE.
— with Zane Al-Zahar.

Qu’est-ce que je faisais dans ce genre d’endroit ou même, pourquoi j’étais en train de penser à Zane ? Depuis cette soirée au bar, ce regard m’obsédait, le seul homme que je n’avais pas réussi à approcher ou même à toucher. J’étais surtout incapable de lire dans sa tête, comme s’il était un vulgaire bouquin fermé, qui nécessitait une clé afin de lire le contenu. Nous étions deux êtres totalement différents, l’un qui aimait rester seul dans son coin et l’autre extravertie qui avait besoin de l’attention des autres sur sa propre personne. Prenant soin en montant les escaliers de bois presque pourri, je pose ma main contre le mur puisqu’il n’y avait rien que ça pour me tenir en équilibre et ne pas tomber sur le côté. Arrivant au deuxième étage, je tourne la tête à gauche et à droite afin de voir un signe de vie, quelque chose qui allait m’affirmer que je n’étais pas seule sauf que je devenais de moins en moins certaine. Nommant son prénom, ma voix résonnait partout dans la maison, montrant qu’il n’y avait aucun meuble de valeur car certains voleurs avaient dû faire le ménage de la maison eux-mêmes. Continuant de me frayer un chemin parmi les débris, c’est à ce moment même que je reconnu cette silhouette masculine. M’arrêtant de marcher, mon cœur faisait quelques bonds de plus dans ma poitrine, pensant que ce dernier allait céder sous la pression. Le ton de sa voix voulait tout dire, ma tête m’avertissait de retourner de là où j’étais venue sauf que j’étais curieuse de ce qu’il faisait là, seul. Peut-être qu’un tueur en série peut entrer dans cette même maison, s’en prendre à Zane comme on le voit souvent dans ces films d’horreur. Avalant difficilement ma salive, j’aimais mieux ne pas trop penser à un scénario qui pouvait devenir réalité. Posant mes mains contre le cadre de la fenêtre, la seule chose que je sortis c’était ma tête, mes yeux se tournèrent donc vers lui et sa réponse me fit grimacer. « T’as pas peur qu’une personne mal attentionné vienne s’en prendre à toi ? Tu sais que c’est ce genre d’endroit qu’ils raffolent. » Sans trop lui demander s’il voulait de ma compagnie, je passe l’une de mes jambes de l’autre côté et la deuxième vint à suivre la première. M’asseyant à ses côtés, je tourne la tête vers lui, sauf qu’il ne prend même pas la peine de me regarder. Une chose qui me fit soupirer sauf que je ne suis pas prête à lâcher le bout, je suis quelqu’un qui adore les défis et j’en avais un de taille assis à mes côtés. « Parce que, j’avais envie de te voir et… Disons que c’est un endroit particulièrement calme, pour oublier nos pensées sombres. » Voyant que Zane ne voulait pas me regarder, je repose mon regard vers l’avant, observant ce magnifique coucher de soleil du Laos. Dommage que le Summer Camp terminait dans quelques semaines mais je voulais en profiter au maximum avant de reprendre l’avion afin de m’envoler jusqu’à Boston. « Pourquoi tu m’évites ? J’ai fait quelque chose de mal qui ne t’as pas plu… »  

© LOYALS.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
WHAT I'M DOING HERE
feat zane & willow
Pas d’humeur, étonnant. Zane, toujours le sourire aux lèvres, sociable. Foutaises. T’es pas méchant, non, mesquin, peut être. Tu ne veux juste pas qu’on rentre, sans toquer, intrusion dans ta vie privée, ta bulle, la tienne. Qu’on te fasse chier, tu peux être sans pitié. Puis elle, sa voix, sa voix si douce, celle qui t’envoûte, qui résonne dans tes pensées depuis déjà quelques jours, trop. Beaucoup trop de temps. Ca ne devrais pas, pourquoi, elle. Qu’est ce qu’elle a d’important, d’intéressant. Qu’une eliot, parmi les autres. Ses talons, qui tambourinent dans tes oreilles, les poings serrés. Comme une musique folle, agaçante. T’as pas peur qu’une personne mal attentionnée vienne s’en prendre à toi ? Tu sais que c’est ce genre d’endroit qu’ils raffolent. Tu pouffes de rire, bruit sourd. Comme une taquinerie qu’elle te balance en espérant que tu l’attrapes, peut-être. Naïve. Ouais, j’te crois. Sous-entendu, dissimulé, à peine. Accusations. Peut-être trop sarcastique, pas assez. Le ton ironique. Elle te fait rire, jaune. Tu pourrais l’être, cette personne. Zane, mal intentionné. T’aimerais partie, te casser, te barrer. Jambes à ton cou, ne plus l’entendre se rapprocher de toi. Trop près, trop proche. Elle pose ses yeux brûlants sur toi, tu le sens. Comme une trace qu’elle dépose le long de ta peau. Ta jambe, frénétiquement se met à gigoter dans le vide, sans t’en rendre compte. Stress, à évacuer. Ça t’énerve. Elle t’énerve. Parce que, j’avais envie de te voir et… disons que c’est un endroit particulièrement calme, pour oublier nos pensées sombres. T’imagines. T’imagines bien le genre de pensées noires que sa vie de princesse peut avoir. Sombre, obscure. Une vie terrible au point de se morfondre dans les bras d’un autre, peut être. Tu penses, comme si, ça devrait être toi. Tu te crispes, ta jambe continue de bouger, tu tournes le regard à l’inverse du sien, de l’autre côté, fuir. Retenir, la réponse que t’aimerais lui balancer à la gueule si gracieusement. Tu ne réponds pas, trop de peine, si peu. Pourquoi, elle voudrait te voir. Après tout. Seulement quelques jours que vous vous connaissez, non ? Par hasard, sous un malentendu Le fruit du hasard, ils pourraient dire. T’en as rien à foutre, du hasard. Juste une connerie qui t’empêche de pouvoir faire le vide de tes pensées, seul, sur ton toit. Seul. Pourquoi tu m’évites ? J’ai fait quelque chose de mal qui ne t’as pas plu… Tu te relèves finalement, rapidement. Ça t’agace, tu perds patience. Quelques pas sur le haut de cette vieille baraque abandonnée, depuis des années. Regard plongé sur tes pieds contre le bois troué, par endroit. Tu devrais aller oublier tes pensées sombres dans un bar avec je ne sais qui, ça à l'air cool. Je ne sais qui proche, très proche de son visage que tu n’as toujours pas regardé depuis qu’elle est arrivée. Tu devrais partir là. Tu ricanes nerveusement. J’vais partir. Tu le sais, qu’elle ne va pas te lâcher, chercher des explications. Mais tu t’en fous, p’tain T’es à des années-lumière de bien vouloir lui expliquer gentiment pourquoi elle te court sur le haricot. Tu t’avances vers la sortie, pour te barrer. Te casser d’ici, la planter seule.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
WHAT I'M DOING HERE.
— with Zane Al-Zahar.

De voir Zane dans un endroit pareil et seul, c'est quelque chose de vraiment étrange. Est-ce qu'il était suicidaire ou simplement con de devoir rester dans cette maison abandonnée, à la merci de tous les squatteurs du Laos. Disons que dans cette région du pays, c'est ici que se fait l'échange de drogue alors pourquoi pas ici ? C'est lorsque je lui demandais s'il n'avait pas peur qu'une personne armée ne lui saute dessus pour lui faire du mal, sa réponse ne me plaisait en aucun cas, son attitude non plus. Fronçant le regard, j'avais cet air très sérieux. Le beau brun ne me connaissait pas vraiment faut croire puisque j'ai une tête de mule. « Depuis quand t'es devenu un super-héros. » Dis-je d'un ton particulièrement sarcastique. S'il voulait se la jouer comme ça, alors j'allais quand même entrer dans son jeu, voir jusqu'où il était capable d'aller. Ça se voyait comme le nez au milieu de la figure qu'il ne voulait pas me voir en ces lieux sacrés, comme si j'étais en train de le déranger dans ce qu'il faisait. Au juste, peut-être attendait-il l'une de ses conquêtes ? Je doute. Tentant de rester gentille avec lui, j'affirmais que je voulais le voir quand ce dernier me demandait ce que je faisais en ces lieux. Pourtant cette maison ne lui appartenait pas, quel droit avait-il de me chasser. Sauf qu'il semblait m'ignorer, ne voulant même pas me regarder une seule fois, comme si j'avais une grave maladie... Moi qui était en train de l'observer et lui qui n'osait même pas poser ses yeux vers moi, ça allait me rendre malade. « Pourquoi tu me chasses comme ça. À ce que je sache, je ne t'ai rien fait. » Non, rien. Rien ne me venait en tête et j'essayais d'éclaircir ce mystère qui entourait Zane. Sauf que je n'eu pas le droit à ses belles paroles, il se redresse en m'affirmant qu'il allait partir. « Pourquoi. » Était le seul mot qui sortait de ma bouche que voilà, le beau brun venait à passer la fenêtre pour s'approcher des escaliers. Serrant les dents, je me redresse d'un coup, faisant le même chemin que lui sauf que je restais en haut des escaliers, perdant patience. « Bordel mais c'est quoi ton problème, t'es barjo ou quoi !. » Hurlais-je presque. Je déteste quand une personne m'ignore et fait comme si je n'existais pas. En temps normal, tous les hommes étaient dans mes bras mais celui-là, c'étais l'exception à la règle. Posant mes deux mains contre la rampe de l'escalier, je gardais cet air sérieux. « Moi qui était gentille avec toi, t'as qu'à te barrer si c'est ce que tu veux. » Ronchonnais-je

© LOYALS.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
WHAT I'M DOING HERE
feat zane & willow
Pourquoi tu me chasses comme ça. À ce que je sache, je ne t'ai rien fait. Elle ne t’a rien fait non, elle ne le sait pas, sûrement. Elle ne t’a rien dit de méchant, elle ne t’a même pas touché, physiquement parlant. Juste ses mots, sa voix, son être, à côté de toi. Assez pour de rendre fou, te rendre dingue. Elle te fait ces choses que tu ne contrôles pas, que tu n’aimes pas ressentir. Subir. Comme une force que tu voudrais repousser, dégager. Sentiment de la vouloir, elle. De la détester. Tu ne sais pas sur quels pieds danser. Est-ce que tu devrais danser, d’abord, est-ce que tu devrais jouer sur ce terrain-là ? Peut-être pas. Tu voudrais juste fuir, te sortir de là. Tu ne lui réponds pas, tu t’en vas. Vers ses escaliers, à moitié pétés. Elle ne sait pas pourquoi, pourquoi t’es comme ça. Tu devrais lui dire ? Sûrement pas. Te dévoiler, cœur ouvert, t’es pensée sur un plateau d’argent, non. Un livre fermé, Zane. Personne ne peut et ne veut lire en toi. Tu crois. T’as ces lignes floues, raturées dans tes chapitres qui ne se suivent pas. Certaines écrites à l’encre transparente, comme pour dissimuler ces lettres rédigées à la va-vite. Les phrases se succèdent formant ses récits de ta vie, ton livre, ton âme, dans le désordre, un alignement bien précis que toi seul peux comprendre. Bordel mais c'est quoi ton problème t'es barjo ou quoi ! Si elle savait. Tu lâches un ricanement en continuant de descendre ses escaliers du danger. Tu choisis les endroits où poser tes pieds qui prennent la fuite, aussi lâche que toi. Barjo, c’est pas péjoratif, simple reflet de personnalité forgée depuis des années. Merde, elle essaye de te faire réagir, ouais tu crois. Elle essaye de te sonner, que tu lui répondes, que tu restes peut-être. Tu ne comprends pas, qu’elle veuille rester avec toi. Zane, le solitaire, le mystérieux. Tu t’en fous de tout, des autres, des choses. C’est ce que tu veux faire croire, non. Si elle savait, s’ils savaient. Toutes ces merdes qui embaument ton cerveau, permanent. Tout le temps entrain de cogiter, de penser. Tu te donnes cette image, qui te vas si bien, qui repousse les autres, qui l’intrigue, elle. Moi qui était gentille avec toi, t'as qu'à te barrer si c'est ce que tu veux. Comme un souffle d’abandonné, glissé entres ses deux lèvres remplies d’arrogance et de caprices. Tu te retournes soudainement, tes yeux que tu plantes enfin dans les siens. Comme un électrochoc, comme un coup dans ton âme. Ses prunelles ébène que tu dévores presque méchamment. Intimidant. Pincement au cœur, émotions affolées. Tu t’avances d’une petite marche vers elle, insistant. Quelle chance, j’ai le droit à un petit caprice de la princesse. T’es trop habituée à ce qu’on ne te refuse rien, hein. Tu le sais, tu le penses trop fort. C’est ce genre de filles à qui on s’intéresse, parce qu’elle est belle, envoûtante. Tu résistes toi, c’est loin de ses habitudes. Tu continues de t’avancer, le regard pointé dans le sien, sans le lâcher, d’une seconde, d’un millimètre. Je le sens, la connerie, celle que tu ne devrais pas dire, t’es énervé, les poings serrés contre la rambarde mitée. Ça te change de ces pauvres mecs qui tombent dans tes filets, non ? Tu sais ceux qui te payent des petits verres au bar. Ceux que t’acceptes bien sûr, t’aimes trop qu’on te regarde, qu’on s’intéresse à toi, à ta petite personne superficielle. T’es proche, tout proche d’elle, une marche en dessous de la sienne, pourtant tes yeux à sa hauteur. Le regard qui défie, qui juge, pas dans ton habitude de surenchérir. De chercher la merde, titiller, ce qui t’emmerde. De pointer cette jalousie que tu n’aimes pas montrer, celle de faiblesse.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
WHAT I'M DOING HERE.
— with Zane Al-Zahar.

Pourquoi agissait-il en parfait connard en ma compagnie ? Est-ce que j'avais fait un truc qui lui avait déplu, raison de plus pour m'en vouloir encore et encore. Je ne pouvais tout de même pas le laisser partir, surtout pas comme ça. Le suivant du regard, je venais donc à me redresser du toit avant de passer mon corps dans l'ouverture de la fenêtre et marcher dans la pièce lugubre. Toute cette poussière allait me rendre folle sauf qu'en l'espace de quelques secondes, je tente d'oublier tout ça afin de me concentrer sur Zane qui prenait les jambes à son cou afin de s'enfuir. Non, il n'y a pas de ça avec moi et dès que j'étais dans les premières marches, je ne pouvais m'empêcher de l'envoyer promener en le traitant de barjo. Sauf que la seule chose que j'ai eue droit c'est un simple ricanement de sa part, aucun regard ni rien. Serrant donc la rampe d'escalier contre ma main gauche, les bouts de bois entrèrent dans ma peau mais ça m'était bien égal. Une rage venait à montrer le bout de son nez, comme si je pouvais très bien l'envoyer promener comme une vulgaire chose er ce fut cette dernière phrase qui le fit s'arrêter dans ses faits et gestes. « Tu sais c'que la princesse te dit ? Elle te dit va te faire foutre. » Le ton que j'avais employé lorsque j'étais arrivée dans cette maison abandonnée était déjà très loin. Si Zane voulait jouer à ce petit jeu, c'est avec moi qu'il allait devoir le faire car je suis loin d'être la fille qui se laisse faire. Il continuait d'avancer, me défiant presque du regard sauf que je restais de marbre, bien juchée sur la deuxième marche du haut tandis que le ténébreux brun s'approche continuellement de moi. Voilà qu'il continuait sur cette lancée, ouvrant la bouche pour me décrire de cette façon. Le coup partait sans que je ne puisse rien faire, une gifle bien placée contre sa joue. Non, je ne m'en voulais pas pour le coup que j'avais fais, au contraire. Ça me faisait un bien fou. « C'est mal me connaître, avant de dire n'importe quoi renseigne toi sur la personne avant. Puis au moins ces pauvres mecs comme tu dis ne me traite pas comme toi tu le fais. . » Je pose mon doigt contre mon menton, continuant de parler, étant déchaînée. « De toute manière, j'comprend pourquoi aucune femme ne te plait, j'suis sûre que t'es encore puceau... Pauvre chou. » Le contournant, je fis exprès de le bousculer sur mon passage et de descendre les marches. Avec des talons hauts sur ces planches de bois pourries, n'était pas l'idéal sauf que j'aime mieux quitter cet endroit que de rester en mauvaise compagnie.

© LOYALS.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
WHAT I'M DOING HERE
feat zane & willow
Tu sais c'que la princesse te dit ? Elle te dit va te faire foutre. Elle te tend, elle aspire ton air, ton calme, tout, elle aspire tout ce qui pourrit te garder calme et serein à ce moment précis.  En temps normal tu t’en foutrais, putain t’en rigolerais même. Une simple feuille qui te dit d’aller te faire foutre, à ce stade c’est même juste le quotidien. Aux yeux de la gente féminine t’es qu’un pauvre connard, tu ne sais même pas pourquoi. Parce que tu ne réponds pas à leurs avances, que tu t’intéresses pas à elle ? Mais toi t’en as rien à foutre de ce genre de fille, les princesses qui ont tout, qui veulent tout. Elle à ce truc en plus, tu ne sais pas bien pourquoi. Pourquoi elle, Willow, avec ses yeux de braise qui enflamme ton sang d’essence prêt à s’embraser. C'est mal me connaître, avant de dire n'importe quoi renseigne-toi sur la personne avant. Puis au moins ces pauvres mecs comme tu dis ne me traitent pas comme toi tu le fais. Ouais, c’est pas ton genre de juger, de loin, de près, de même t’intéresser à la petite personne des autres autour de toi. Tu t’es approché d’elle, près, bien trop près, suffisamment pour sentir sa main se coller à ton visage violemment. Une putain de gifle qui s’écrase contre ta joue, tu l’as cherchée, tu le sais. Tu continues de la regarder fixement, tes dents qui pincent ta lèvre inférieure, cours instant pour réaliser que t’es peut-être allé trop loin. Mais, finalement, t’en as rien à foutre. Tu veux pas être méchant, peut-être que si. Tu te protèges, tu repousses ce que tu penses sans qu’elle comprenne elle-même ce qui ce passe entre vous. de toute manière, j'comprends pourquoi aucune femme ne te plaît, j'suis sûre que t'es encore puceau... Pauvre chou. Tu ricanes une nouvelle fois, le rire jaune. Nervosité. Tu la suis en descendant les escaliers, des mouvements de bras qui balayent le vide, l’air. Tu ne sais pas quoi faire de tes muscles contractés par l’énervement. Ho mais avant de dire n’importe quoi, renseigne-toi un minimum non ? D’un ton sarcastique. Putain de merde. Tu l’attrapes par le bras, ton emprise qui se resserre sur son poignet fin, féminin. Ton corps qui s’arrête à sa hauteur, entre ses deux marches dans ses escaliers délabrés. Et ce mec-là, tu sais l’autre soir, celui qui a sûrement dû te dire que t’étais merveilleuse, sublime, géniale et je ne sais quelles autres conneries, il était puceau lui ? T’aurais pas dû, hein. Tu regrettes déjà, ça pu la merde, ça sent la grosse merde qui va te tomber dessus. Tu sais quoi ? J’suis bien content de plaire à personne, d’avoir personne qui plaît. Au moins j’ai pas à sortir un tas de conneries pour avoir une fille dans mon lit. Comme une haine que t'as sur ce mec que tu connais même pas, que t'as vu qu'une fois. Qu'il l'a faisait rire en lui tendant un verre. Ton poing est toujours serré autour de son bras frêle, comme si tu ne pouvais pas le lâcher. Ton regard est toujours planté dans les siens. Ses yeux qui pourraient te buter s’ils le pouvaient.

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
WHAT I'M DOING HERE.
— with Zane Al-Zahar.

Je l'avais envoyé promener, comme une vulgaire chose. Pourtant c'est la chose qu'il voulait non ? Je ne connaissais pas vraiment Zane sauf que maintenant, j'en découvrais de plus en plus. Serrant les dents, je ne pouvais détacher mon regard du sien, comme pour lui montrer que je ne reculerai devant rien pour avoir ce que je voulais. Comprendre pourquoi il agissait comme une vulgaire merde en ma compagnie, pourquoi faisait-il comme si je n'existait pas. Sauf qu'avec les paroles qui sortaient de sa bouche, ma main venait à s'épouser contre sa joue, venant à le gifler sur place. En temps normal, je suis contre la force physique sauf qu'il l'avait cherché. Hors de question que je puisse le laisser avoir le dessus sur moi. Celui-ci me demandait de vérifier mes sources sauf que je ne voulais même pas perdre mon temps avec lui, ni même gaspiller ma salive puisque ça serait une énorme perte pour moi. Je descend donc les quelques marches afin de sentir que Zane me suivait sauf que sa main s'agrippait contre mon poignet, m'empêchant d'aller plus loin et m'obligeant même à le regarder droit dans les yeux comme tout à l'heure. « Lâches-moi bordel. » Que je soufflais sous l'impulsion. Au tout début de notre conversation quand j'étais arrivée sur le toit, ce dernier n'osait même pas me regarder ni même me parler mais voilà qu'il m'empêchait de partir. C'était quoi son foutu problème. Tandis qu'il ouvrait la bouche pour parler, voilà que le chat sortit de son sac. « Attend, t'es sérieux là ?. » J'avais compris pourquoi il me faisait tout ça, parce qu'il était jaloux. « T'agis en parfait connard avec moi parce que t'es jaloux ? Pourquoi tu fais un truc pareil, on se doit rien tous les deux. » C'est bien la première fois qu'un homme me faisais une scène pareille alors que nous n'étions pas en couple ou même que nous nous connaissions depuis un certain temps sauf que ce n'était pas le cas. Mon regard encré dans le sien, j'étais toujours en face de lui, sans bouger comme si mes jambes refusaient d'avancer ou de partir. Cette attraction qui se faisait sentir entre nous deux, je ne pouvais pas la décrire. Sans me demander pourquoi, j'approche mon visage du sien avant de poser mes lèvres aux siennes. Zane allait certainement me repousser sauf que j'avais besoin de savoir pourquoi, pourquoi il agissait de la sorte.

© LOYALS.
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)