Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityI got issues, and one of them is how bad I need you (Denleigh) - Page 3
-20%
Le deal à ne pas rater :
Drone Dji DJI Mini 4K (EU)
239 € 299 €
Voir le deal


I got issues, and one of them is how bad I need you (Denleigh)

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Elle était sublime… Là, sous moi, essoufflée , les joues rosies, un peu décoiffée, parfaite… Et j’étais complètement fou de cette fille. Mes lèvres capturaient les siennes avec douceur, avant de m’écarter, de me redresser, sous les semi menaces de la demoiselle… « Avoue que ça te rend dingue quand tu contrôles pas tout… » la taquinai-je avec un petit sourire. Dingue ou en fait pas tant que ça, puisque mademoiselle reconnaissait adorer quand je la mettais ainsi face à mes choix. Sourire qui s’élargit d’autant plus, alors que je me hissais hors du véhicule, partant à la pêche aux vêtements. Lançant les siens à Ash, j’enfilais mon boxer non sans avoir retiré le latex usagé, commentant le double baptême qu’on venait de réaliser. Elle ne perdait pas le nord, rappelant que son audo restait encore sur la liste. « Et mon break alors… Sinon il va être jaloux. » ajoutai-je, lueur malicieuse dans les yeux. Parce que bon, clairement mon break avait rien d’un lieu pourvoyeur de fantasme, c’était juste histoire d’être tatillon. Puis aussi parce que : « On aura carrément plus de place en plus. On pourrait même le faire dans le coffre. » C’était le propre d’un break, un grand coffre, voiture familiale quoi, prêt à accueillir les cinq mini Zacharias. Me retournant vers elle un instant alors que je me rapprochais de la poubelle, me débarrassant de la fameuse capote qui avait failli nous faire défaut et nous faire passer à côté de ce superbe moment, je remarquais qu’Ash avait déjà enfilé tous ses habits, mais qu’elle soupirait déjà de devoir s’en aller sans avoir l’occasion de remettre ça. « On reviendra… Je compte pas me faire virer d’ici et peut être que j’aurais d’autres petits trésors du genre en charge dont tu pourras m’aider à tester le confort. » rigolai-je, remettant sur le tapis le prétexte initial trouvé pour l’inviter ici : test du confort de la banquette de l’aston. « D’ailleurs, t’en penses quoi ? Confortable ou pas ? » Question pas sérieuse, suivie d’une autre qui l’était surement plus. Sous la même forme que notre jeu habituel, je la questionnais sur ses expériences passées, mais pas sur le lieu cette fois, sur la présence ou non de préservatif, le notre finissant sa vie dans le fond de la poubelle je me rapprochais ensuite d’Ash pour écouter sa réponse. Elle l’avait déjà fait… Sauf que, moi, je savais aussi qu’elle n’avait quasiment jamais été sérieusement en couple, et avec sa mine honteuse, je compris qu’elle ne s’était pas passé du petit bout de latex dans les règles de l’art. Alors aussitôt, en la voyant se perdre en justifications confuses, je saisis doucement sa main pour la rassurer : « Hey, je disais pas ça pour te juger ou quoi… Je me demandais juste, vu tu sais… qu’on a failli oublier à l’instant. » Voix douce, posée, pas de sermon aucun. « Non, je l’ai jamais fait sans… » avouai-je à mon tour en repensant aux fois avec Veïa ou Meleya où l’on s’était retrouvés à deux doigts de le faire mais que sans capote sous la main on avait du remettre nos projets à plus tard.  Je lui aurais bien demandé ce qu’elle avait pensé de sa fois sans, sauf qu’elle reprit la parole et m’intrigua avec cette phrase laissé en suspend : « Peut être que quoi ? » repris-je alors pour l’inviter à poursuivre.  
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Ce délicieux moment terminé, tu lui faisais part de ce petit jeu auquel il avait joué, faisant celle qui n'avait pas aimé du tout. Mais tout te trahissait, ton sourire, ton regard. Et si t'avais pas aimé t'aurais pas attendu la fin pour lui faire la remarque. Tu l'aurais reprit en plein dans l'action, ou pire, tu aurais mit terme à votre union. Mais au fond, t'avais aimé. T'étais une dominatrice, mais y avait cet part en toi qui aimé aussi être dominé. Ne pas avoir le choix, subir les frais de l'autre, ça t'excitait, tout comme quand tu gérais la situation. Il le savait, vu qu'il le commentait, que ça te rendait folle de pas avoir le pouvoir, le contrôle. Mais il savait aussi que tu aimais ça qu'il soit plus sauvage, qu'il se lâche plus, qu'il ose plus. Alors qu'il remettait son caleçon, il commentait le deux en un que vous venez de faire, toi rajoutant ta voiture sur la liste, lui faisant de même. Les bons arguments en bouche. Dans le coffre, je prends note. Ca te tentait carrément. Et t'allais pas oublier aussi vite. Te levant à ton tour pour enfiler tes sous vêtements et habits, tu commentais la rapidité à laquelle tu devais partir puisque vous étiez quand même sur son lieu de travail. Un autre lieu public ça changeait rien, car vous partirez ensemble. Là, t'allais devoir partir en le laissant derrière toi. Et le grec il avait les bons mots, pour te rassurer. Qu'il aurait peut être d'autres voitures du genre à essayer. Sourire immédiat, encore plus quand il s'intéressa à ton avis. Confortable, très confortable. Le faire dans une Aston Martin c'était pas rien quand même. C'était encore mieux que ta propre audi ou une BMW. C'était un peu le summum du truc. La limousine peut être encore mieux au vu de l'espace disponible. Si jusque là rien a dire, à sa question, tu te raidis un peu. Est ce qu'il allait mal le prendre, te penser inconsciente, croire que tu pouvais lui refiler une connerie ? Tant pis, t'allais pas lui mentir, pas aujourd'hui, pas demain. T'avoua, expliquant quand même que tu sais que c'était une erreur et que t'avais rien, que t'avais fait le nécessaire suite à cette bêtise. Ton malaise, ta gêne, devaient se lire sur ton visage, à ton ton de voix, vu qu'il s'approcha, venant te rassurer qu'il voulait juste savoir, suite à l'oubli qui avait faillit avoir. Il jugeait pas, juste par curiosité. Soulagée, tu te détendis, alors qu'il avouait n'avoir jamais oublié, ni fait sans. Tu aurais tout arrêté si on avait rien ? Question qui brûle tes lèvres, est ce qu'il était vraiment très à cheval sur ce gros détail ? Tu en venais alors à dire quelque chose, enfin le début, emporté par l'instant, par la discussion. Ton inconscient qui prit le dessus car en réalisant, tu t'étais arrêtée mais t'en avais trop dit pour ne pas attirer sa curiosité. Inspirant, tu repris : comme j'ai que toi, que t'as que moi, enfin je crois, je sais pas, peut être que... ça serait plus simple si... y avait plus besoin de se protéger... Du moins avec un préservatif. Comme tu prenais la pilule, et s'il couchait bien qu'avec toi, ça pourrait être plus simple d'en finir avec les capotes, pour ne pas être coupé, ne pas avoir à oublier, ne pas rester frustré ?
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
 Une liste sans fin d’autres lieux à baptiser en tête, je me rhabillais et la demoiselle faisait de même. J’envisageais déjà d’essayer les banquettes de d’autres bolides et voitures de luxe passant ici pour réparation avec la jeune femme, une idée pour la rassurer alors que je lui rappelais que le but premier, et le prétexte surtout, de nos ébats en Aston c’était censé être pour évaluer le confort du véhicule. « Faudra qu’on compare avec les autres voitures moi je dis… » Excuse toute trouvée pour réitérer la chose. Et si l’échange était d’abord bon enfant et détendu, c’est lorsque je jetais la capote usagée et que s’échappa de mes lèvres cette question sur le fait de l’avoir déjà fait ou non sans préservatif, que l’ambiance vrilla un peu. Plus sérieuse, plus dans la confidence. Je m’approchais doucement d’elle en la voyant m’avouer qu’elle l’avait déjà oublié une fois, que c’était une erreur, elle semblait gênée et se perdant en justifications qu’elle ne me devait pas, je n’avais pas demandé pour la sermonner ou la mettre mal à l’aise. J’expliquais avoir juste voulu savoir par curiosité, et vu l’oubli qu’on avait failli faire. Et clairement, j’étais pas le seul à être curieux sur la question. Ash me demanda alors ce qu’il se serait passé si on n’avait rien eu sur nous, aurais-je tout stoppé ? Haussement d’épaule et réponse immédiate de ma part : « J’ai toujours ce qu’il faut. » En gros la question se posait pas… Enfin bien sûr, il y avait eu cette fois avec Mel, ou encore avec Veïa, l’été dernier, mais j’avais effectivement tout stoppé, et depuis j’avais retenu la leçon : toujours être paré et avoir ce qu’il fallait sur soit, au cas où… Son ‘peut être que…’ m’intrigua ensuite, je le repris à l’interrogative, l’observant, attendant la suite de sa phrase qu’elle lâcha après avoir pris une grande inspiration. Son ‘j’ai que toi’ provoqua immanquablement et inconsciemment un large sourire sur mes lèvres, alors qu’ensuite son ‘t’as que moi’ dont elle émit aussitôt un bémol me fit protester : « J’ai que toi Ash. » assurai-je, n’ajoutant rien pour ne pas la couper d’avantage et écouter la fin de sa phrase, la fin de sa suggestion… Surprenante. Surtout de la part d’une nana aussi trouillarde de l’engagement. « Genre, tu voudrais qu’on passe les tests et tout ça ? » Parce que pour la partie dépistage et s’assurer qu’on était sains tous les deux avant d’arrêter de se protéger, ça, ça m’effrayait pas. J’avais véritablement envie d’une relation exclusive avec Ash. Non, mais moi, le truc qui me faisait flipper c’était autre chose… « Mais tu prends la pilule ou un truc comme ça ? C’est fiable ça ? » Un neveu. Une nièce. Et aucun de mes frangins n’avaient souhaité devenir papa pendant leurs études. Alors même si je rêvais d’une grande famille, que je voulais cinq enfants, je ne comptais pas me mettre au boulot dès maintenant.   
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Super partie de sexe, voilà qu'il comptait bien que vous remettez ça dans d'autres voitures pour comparer. Toi ça t'allais complètement. T'avais beaucoup aimé et t'étais volontaire pour recommencer, que ça soit dans ton audi, ta nissan, ou bien juste son break. Okay y aurait moins de place mais qu'importe, si tu pouvais y laisser ta trace, tes souvenirs. Et puis d'un coup la discussion tourna plus sérieuse, évoquant l'oubli que vous avez failli avoir, et si ça t'étais déjà arrivée, de faire sans. Une fois, pour ta part. Une erreur, stupide. Quant à lui non, il était sérieux, tu le savais, et il affirmait avoir toujours ce qu'il faut sur lui pour ne pas se retrouver dans cette situation, à devoir tout stopper, mettre un gros frein en pleine excitation. Dieu merci, ça serait terrible de devoir renoncer à lui, à son corps, à votre plaisir, à cause d'un bout de latex que vous n'avez pas. Une chance que toi aussi tu es toujours équipée désormais. Ce sujet, cette discussion, te mène ainsi à aborder un autre sujet... Celui de ne plus se protéger, ne plus dépendre de ce latex, puisque maintenant tu ne couches qu'avec lui, et que tu l'espères qu'il couche qu'avec toi. Ce qu'il confirme, exprimant alors plus clairement ce que tu lui demandes. Si tu n'y vois aucun inconvénient. Parce que faire ça, ça voulait dire ne pas aller ailleurs. C'était pas question de ne plus se protéger pour prendre le risque de ramener une merde à l'autre. Alors t'insistais indirectement pour lui signaler que c'était sérieux et pas à prendre à la légère. Il devait le savoir puisqu'il s'inquiétait plutôt d'autre chose. Le préservatif il servait à éviter les maladies et les grossesses mais si y en avait plus fallait éviter quand même les grossesses. Sa question était légitime mais t'offensa un peu. Tu me penses inconsciente ? Bien sûre que je prends la pilule. Tu comptais pas tomber enceinte, ni avoir un enfant demain, non merci. T'es trop jeune, trop instable, sans boulot. T'es pas prête pour être mère. Rien que ce mot te fait flipper. Tu te vois pas comme une baleine, à donner vie à un autre humain. Non, non, non. Quant à la fiabilité oui. Okay ça pouvait arriver de tomber enceinte avec la pilule, mais ça restait rare, la médecine évoluait plutôt pas mal à ce niveau là. Je te proposerais pas ça si y avait un risque. En gros ne flippe pas, je compte pas te faire un enfant dans le dos et tu te retrouveras pas père à vingt quatre ans.
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)