Je t'emmène courir après des filles, après des garçons, après des rêves › carter

T’avais remarqué des trucs chez Carter, des regards intéresser, des sourires, du flirte gentille avec des caissières ou des filles un peu canon qui passe à côté d’elle. Ce n’était pas flagrant, mais ton gayradare te disait quelque chose. Pourtant elle n’avait jamais énoncer être gay, ni même en parler, tu la connaissait fan de mec sexy et possédant surement la calendrier des pompier quelque part dans son appartement, avec le mois de mai qui sauve un chaton torse nu mais avec un casque de protection sur la tête. Quoi qu’il en soit, c’était assez vague pour toi et tu voulais lui en parler de manière sérieuse, parce que la LGBT girl qui sommeiller en toi voulait absolument savoir le comment du pourquoi. Pourquoi est-ce qu’elle te le cacher ? est-ce qu’elle a peur que tu la juge ? tu ne le fera pas au contraire, mais le fait même qu’elle est des doutes c’est que tu n’es pas une bonne amie et tu veux être une bonne amie, pourquoi avoir des amies si ce n’est pas pour compter sur eux ? ta tête aller exploser, tant de question sans réponse. Tu avais donc proposé à Carter de venir diner avec toi en centre ville, ça lui ferait du bien de quitter un peu l’effet de groupe du SC et ça vous permettez de voir un peu l’extérieur de la ville. T’avais choisi un petit restaurant isoler de tous, en face d’un bubble tea et d’un vendeur d’attrape rêve et autre souvenir que tout le monde va acheter avant de rentrée. C’était sobre et calme, parfait pour discuter.

@Carter E. Reed

Le rendez-vous était pris pour toi, tu avais accepté la demande de Julia de te retrouver dans un petit restaurant sauf que tu ne savais pas pourquoi. C’était sûrement juste pour passer du temps ensemble ou alors c’était pour autre chose, tu ne savais pas du tout et tu te posais énormément de questions. Mais tu n’aurais pas de réponse avant d’être en face de la jeune brune alors tu t’habillas rapidement, ne te prenant pas la tête. La seule personne à qui tu voulais plaire n’était pas encore de retour et même si tu passais tes yeux un peu partout, même si tu regardais ailleurs pour toi ça ne voulait rien dire, tu finirais toujours avec la même personne à la fin de ses vacances c’était ta parole et tu n’allais pas changer d’avis. Tu passas ta langue sur tes lèvres encore une fois avant de descendre du taxi après avoir payé et tu entras rapidement dans le restaurant pour chercher du regarder la brune qui était une bonne amie à toi. Enfin tu n’en savais pas trop, tu étais assez naïve sur les bords parce qu’en plus, cela ne faisait pas super longtemps que vous vous connaissiez mais, bon tu avais envie de croire que Julia faisait maintenant partie de ta vie pour un moment. La cherchant du regard, tu finis par la trouver et tu te rapprochas très vite d’elle, tu posas ta bouche sur sa joue tendrement avant de prendre place devant elle puis tu finis rapidement par rentrer dans le vif du sujet, préférant avoir une réponse à tes questions. « Tu voulais me parler de quelque chose de précis ou pas du tout ? »

Dieu seul sait à quel point tes amis été précieux pour toi, c'était comme une seconde famille et autant que membre de la même famille on se doit de se proteger. Tu aurait donner ton cœur et ton âme pour proteger ceux que tu aimes et quand tu voit la pauvre Carter se faire bully par des gamines trop stupide pour comprendre la vie, tu voulais juste retourner des tables et les bruler aux lance flammes. À peine sa petite tête arriver, tu te lance sur elle pour la prendre dans tes bras, votre différence te taille été à peine remarquable, tu faisait peut être un peu moins d'une tête de plus qu'elle, alors sa tête venait se blottir contre ton menton, et tu en profite pour embrasser son front. « Je suis contente de te revoir. » dit-tu dans un sourire avant de la lacher, tu t'installe en face d'elle et la serveuse vient prendre votre commande. Oui tu avais quelque chose à lui dire et comme julia redmayne ne sait pas passer par quatre chemin et ne sait pas prendre son temps, alors tu essaie de calmer tes ardeurs. Tu prend une profonde inspiration et lache un : « Je sais que tu es bisexuelle. » d'accord, c'est déjà un bon début, tu t'avances et prend tes mains dans les siennes. « et je suis à 100% derrière toi, tu n'as aucune raison d'avoir honte. » c'est normale, enfin pas d'après la bible mais en 2017 et dans note société c'est normale. « Alors si tu entends ou voit des filles qui ose te faire une remarque ou un reflexion, dit le moi. Parce que tu n'as aucune raison de te cacher sos prétexte que machin et bidule trouve ça bizarre. La société qu'on a aujourd'hui te permet d'être qui tu veux quand tu veux, alors ne te retiens jamais d'être celle que tu es ! » tu secoue positivement la tête comme pour validée tes propres paroles. « parce que te cacher ce serait du gachis et avoir peur d'être toi même ce serait du gâchis aussi, parce que tu es si précieuse et si importante que le monde doit le voir. » inspire, expire, et un jolie sourie pour validée tout ça.

Tu ne comprenais pas pourquoi elle t’avait donné rendez-vous mais, soit. Tu n’étais pas du genre à refuser de toute manière même si tu ne connaissais pas les raisons de ce rendez-vous, tu savais que tu aurais la réponse rapidement alors tu ne te prenais clairement pas la tête. Tu laissais tes bras entourer sa taille doucement avant de sourire comme une gamine quand elle posait sa bouche sur ton front, comme une gamine. Ce que tu étais par moment, tu ne pouvais pas le nier. Tu agissais souvent comme une petite fille, tu assumais parfaitement ce côté-là de ta personnalité. « Je suis contente aussi. » Et stressée aussi mais, bon ça tu le gardais pour toi. Tu t’installais à ta table avant de passer commande, avant de faire savoir ce que tu avais envie de manger tout en laissant tes doigts frapper sur la table, attendant que la jeune femme prenne la parole et elle le fit rapidement. Pour ça, vous étiez pareilles et ça te faisais sourire avant que tes sourcils se froncent en entendant ce qu’elle était en train de te dire. Tu la laissais s’enfoncer en quelque sorte parce qu’autant dire que tu n’étais pas du tout à ne pas assumer ta bisexualité, tu l’assumais parfaitement et puis tu n’avais pas été frappé pour rien durant ton adolescence. « Julia… » Tu secouas ta tête tout en souriant en coin, tu étais totalement dépassé pour le coup parce que tu ne savais pas du tout comment elle avait pu croire une telle chose mais, bon soit hein. « Tu sais j’assume totalement ma bisexualité et ça depuis des années maintenant. J’ai même été agressé durant mon adolescence à cause de ça, parce que je refusais de me cacher alors.. » Alors, tu ne savais pas du tout quoi lui dire maintenant, ce n’était pas comment régler la chose et tu riais gêner dans le fond. « T’en fais pas pour moi, j’ai pas besoin qu’on me pousse à assumer même si c’est vraiment chou de ta part. »

Julia l'éponge émotionnelle avait pris un tournant à 200 à l'heure sans avoir regarder les signes que la vie lui faisait. Eh oui julia tu peut te tromper, quand tu t'emporte tu peux laisser les choses devenir trop gros dans ta tête. Tu restes bouche béat quand carter petit bébé de ta vie, fini par te faire comprendre qu'il n'y avait rien de tout ce que tu avais imaginer, elle t'avoir avoir été agresser durant son adolescence et tes yeux et ta bouche font des « O » à la fois choquer et intriguer. « Je les auraient tabasser moi même si j'étais là ! » dit-tu de manière assez forte pour attirer l’attention du couple derrière toi. Elle te rassure avec ses petits doigts sur la paume de ta main, et t’adresse un sourire qui te fait chaud au cœur. Elle va bien, tout vas bien, rien n'est grave, tout le monde est heureux. Tu te redresse pour venir la reprendre dans tes bras. « Oh mon dieu... je ne pensait pas être aussi heureuse qu'à ce moment précis. Je suis si contente que tu assumes ce que tu es, que tu te sent assez libre et en sécurité pour être qui tu es. » tu l'éttouffer presque dans tes bras, mais ce calin été plein d'amour et de tendresse. « Je suis si fière d'être ton amie. » et c'était vrai, tant de gens n'aimais pas qu'on leurs colle d’étiquette, tant de gens se cacher derrière de faux visage, tu été si heureuse d'avoir une vrai amie qui n'avais pas à se cacher, qui assumer totalement d'être elle même ; « Désolée pour se gros quiproquo, c'est juste que.. je veux que tu soit heureuse, peut importe le prix que ça doit avoir. » parce que tu le mérite.

Tu finis par lui dire que tout allait bien de ce côté-là chez toi, que tu n’avais aucune honte à être bisexuelle. Depuis ton adolescence tu l’avais assumé, tu en avais peut-être payé le prix, un peu trop fort mais, pour rien au monde tu te cacherais, tu cacherais cette partie là de ta personnalité. Tu aimais les femmes et les hommes, tout simplement même si en ce moment tu n’avais qu’un homme dans ta vie, ça ne changeais rien. « J’imagine bien mais, c’est du passé maintenant. » De ce côté-là du moins, tu n’avais pas à te plaindre à Boston. Le reste était plus que compliqué et tu souriais encore une fois en sentant ses bras autour de toi, tu ne pouvais pas faire autrement que de la serrer à ton tour, tellement heureuse de l’avoir dans ta vie et de la voir en quelque sorte soulager parce qu’elle connaissait la vérité maintenant. « Il le faut, se cacher rimerait à pas grand-chose. Je préfère être celle que je suis et me faire critiquer, que de me cacher pour qu’ils aient gagnés. Je refuse de cacher cette partie-là de ma vie, j’aime les femmes et tant pis, ça ne plait pas à certaines personnes. » Un grand sourire sur tes lèvres, tu profitais clairement de ce qu’il se passait en ce moment, ça faisait du bien de profiter autant de la brune. « T’es adorable tu sais ? Je suis contente d’avoir une femme comme toi dans ma vie. » Ce n’était que la vérité, elle était comme un ange tomber du ciel dans ta vie. T’étais juste heureuse de l’avoir dans ta vie et tu n’avais clairement pas envie de la perdre. « T’en fais pas Ju. C’est pas très grave, je préfère que tu m’aies dis ça et que je te dise toute la vérité, que cela soit entre nous. Et tu sais tout ce que je te souhaite c’est que tu sois heureuse aussi et je ferais tout pour que ce soit le cas. »