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Murray
Murray
feat Robert Downey Jr.
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AVEZ-VOUS ÉTUDIÉ A HARVARD ?
« J'ai en effet intégré Harvard plus jeune, en 1986 plus précisément. Le campus n'était pas si différent qu'aujourd'hui. Les confréries, les rivalités, les filles... J'ai le souvenir de m'y être sentis chez moi, dès mon entrée. J'étais pourtant très jeune, à peine 18 ans. Je n'avais certainement pas le meilleur des dossiers scolaire pour intégrer une telle université, mais j'avais un nom, et mon père savait déjà s'en servir. Comme vous vous en doutez surement, c'est la fraternité Eliot House qui m'a accueillie. L'empire Murray commençait à se faire connaître, déjà à cette époque, et j'étais prédestiné à en reprendre les rennes, un jour ou l'autre. Le plus tôt serait le mieux, aux yeux de mon père. Il était malade, atteint d'un cancer, quand j'entamais ma deuxième année. Il fallait que je sois prêt, et suffisamment coaché. Ce n'était pas le cas selon ma mère, et je crois qu'elle avait raison. A la fin des années quatre-vingt, je voulais vivre, m'amuser, sortir, et j'étais loin de m'imaginer à la tête d'un tel empire qu'était celui des Murray. C'est pour ça que je n'ai passé que deux petites années ici, avant d'être envoyé en Suisse, à Zurich. Il fallait me couper de mon monde, de mes habitudes, de mes amis, et me forcer à devenir celui que j'étais destiné à devenir : Le dirigeant de Murray Communication, le pantin de mon père. Je n'y aspirais pas. Je voulais pouvoir devenir quelqu'un d'autre que le sosie de Murray Senior. Il était tellement stricte, sérieux, il ne prenait jamais le temps de s'amuser. Aussi loin que je me souvienne, Harvard m'a manqué. Vraiment manqué. L'ambiance qui y régnait, je n'ai pas retrouvé ça en Europe. »
« J'ai en effet intégré Harvard plus jeune, en 1986 plus précisément. Le campus n'était pas si différent qu'aujourd'hui. Les confréries, les rivalités, les filles... J'ai le souvenir de m'y être sentis chez moi, dès mon entrée. J'étais pourtant très jeune, à peine 18 ans. Je n'avais certainement pas le meilleur des dossiers scolaire pour intégrer une telle université, mais j'avais un nom, et mon père savait déjà s'en servir. Comme vous vous en doutez surement, c'est la fraternité Eliot House qui m'a accueillie. L'empire Murray commençait à se faire connaître, déjà à cette époque, et j'étais prédestiné à en reprendre les rennes, un jour ou l'autre. Le plus tôt serait le mieux, aux yeux de mon père. Il était malade, atteint d'un cancer, quand j'entamais ma deuxième année. Il fallait que je sois prêt, et suffisamment coaché. Ce n'était pas le cas selon ma mère, et je crois qu'elle avait raison. A la fin des années quatre-vingt, je voulais vivre, m'amuser, sortir, et j'étais loin de m'imaginer à la tête d'un tel empire qu'était celui des Murray. C'est pour ça que je n'ai passé que deux petites années ici, avant d'être envoyé en Suisse, à Zurich. Il fallait me couper de mon monde, de mes habitudes, de mes amis, et me forcer à devenir celui que j'étais destiné à devenir : Le dirigeant de Murray Communication, le pantin de mon père. Je n'y aspirais pas. Je voulais pouvoir devenir quelqu'un d'autre que le sosie de Murray Senior. Il était tellement stricte, sérieux, il ne prenait jamais le temps de s'amuser. Aussi loin que je me souvienne, Harvard m'a manqué. Vraiment manqué. L'ambiance qui y régnait, je n'ai pas retrouvé ça en Europe. »
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
« Je n'étais pas là, j'étais encore en Suisse, à diriger mes petites affaires. C'était au moment ou mon mariage battait de l'aile. J'avais cette mauvaise impression qu'au moment ou l'on croit avoir tout acquis, tout gagné, que la malédiction te frappe toujours à un moment ou un autre. Je perdais ma femme - certes par ma faute, les regrets me rongent encore - et voilà qu'en tentant de me changer les idées, j'allume le poste de télévision, et apprend ces agressions sur le campus. J'aurais put ne pas y prêter attention. Après tout, si cela ne touche pas ma petite personne, en quoi devrais-je m'en inquiéter ? Pourtant, je tenais à Harvard. Mes meilleurs souvenirs étaient là bas. Mes yeux ne quittaient pas mon écran, et j'ai commencé à me mettre dans la peau de tous ces parents, qui à travers le poste de télévision, ou derrière ces barrières les empêchant d'approcher, se demandaient encore si leurs gosses étaient vivants. Si Tate ou Leslie avaient été de ceux là ? L'angoisse me prenant, je réalisais pour la première fois, que sans mes enfants, je ne serait probablement plus le même. Que je tiens bien plus à eux qu'ils ne peuvent l'imaginer. C'est devant ces images, à la télévision, que j'ai commencé à envisager mon retour aux Etats-unis, afin de regagner le cœur de Tate. »
« Je n'étais pas là, j'étais encore en Suisse, à diriger mes petites affaires. C'était au moment ou mon mariage battait de l'aile. J'avais cette mauvaise impression qu'au moment ou l'on croit avoir tout acquis, tout gagné, que la malédiction te frappe toujours à un moment ou un autre. Je perdais ma femme - certes par ma faute, les regrets me rongent encore - et voilà qu'en tentant de me changer les idées, j'allume le poste de télévision, et apprend ces agressions sur le campus. J'aurais put ne pas y prêter attention. Après tout, si cela ne touche pas ma petite personne, en quoi devrais-je m'en inquiéter ? Pourtant, je tenais à Harvard. Mes meilleurs souvenirs étaient là bas. Mes yeux ne quittaient pas mon écran, et j'ai commencé à me mettre dans la peau de tous ces parents, qui à travers le poste de télévision, ou derrière ces barrières les empêchant d'approcher, se demandaient encore si leurs gosses étaient vivants. Si Tate ou Leslie avaient été de ceux là ? L'angoisse me prenant, je réalisais pour la première fois, que sans mes enfants, je ne serait probablement plus le même. Que je tiens bien plus à eux qu'ils ne peuvent l'imaginer. C'est devant ces images, à la télévision, que j'ai commencé à envisager mon retour aux Etats-unis, afin de regagner le cœur de Tate. »
APRÈS LE TREMBLEMENT DE TERRE AU CHILI.
« C'est devenu une habitude pour Tate, de me faire mourir d'inquiétude. Ou peut-être est-ce seulement notre nom qui attire les emmerdes. Je me souviens parfaitement de cette journée. Je venais d'arriver à New-York, après que mon divorce ai été prononcé. C'était un peu compliqué avec Tate et Leslie en plus, accepter le divorce de ses parents n'est jamais chose facile. J'avais des rdv ce jour là, de nombreux. Et puis un dîner à 21h30, que j'avais d'ailleurs accepté en affirmant que je n'y serais pas avant 22h. Levant le bras pour vérifier l'heure sur ma montre, alors que je me dirigeais vers mon avion personnel, mon bras droit m'arrêtait dans ma lancé, pour m'annoncer que le Chili était touché par un violent tremblement de terre. Que pouvais-je en avoir à faire ? Je n'ai encore rien implanté là bas. Sa réponse avait simplement arrêté tout signe de vie en moi. Tate était là bas. La valisette que je tenais en main avait fini au sol, tendis que j'accourais à l'intérieur de l'aéroport, cherchant à avoir des nouvelles du pays. Mais les conditions empêchaient les communications. J'ai passé plus de 48h à l'ambassade, sans dormir, presque sans manger, faisant les cents pas dans une salle ou attendaient bon nombre de familles. On ne demandait pas grand chose, si ce n'est un signe de vie de nos proches. J'avais bien tenté de faire préparer mon jet pour m'y rendre moi même, mais on m'avait fortement déconseiller mon option. Parce que Tate pouvait être n'importe ou, et que je pourrais empêcher le bon fonctionnement des secours. Le temps s'était arrêté, plus rien ne tournait. Si on n'avait plus de nouvelle, alors peut-être était-il mort ? Et puis tel un miracle, mon téléphone s'était mit à sonner, affichant le numéro de Tate. Comme lors de la prise d'otage, mes mains tremblaient tellement, que j'ai bien cru ne jamais réussir à répondre. C'était sa voix à l'autre bout du fil. Il allait bien. Il était vivant. Je ne voulais pas qu'il l'entende à l'autre bout, mais les larmes roulaient le long de mon visage. J'avais cru mourir.»
« C'est devenu une habitude pour Tate, de me faire mourir d'inquiétude. Ou peut-être est-ce seulement notre nom qui attire les emmerdes. Je me souviens parfaitement de cette journée. Je venais d'arriver à New-York, après que mon divorce ai été prononcé. C'était un peu compliqué avec Tate et Leslie en plus, accepter le divorce de ses parents n'est jamais chose facile. J'avais des rdv ce jour là, de nombreux. Et puis un dîner à 21h30, que j'avais d'ailleurs accepté en affirmant que je n'y serais pas avant 22h. Levant le bras pour vérifier l'heure sur ma montre, alors que je me dirigeais vers mon avion personnel, mon bras droit m'arrêtait dans ma lancé, pour m'annoncer que le Chili était touché par un violent tremblement de terre. Que pouvais-je en avoir à faire ? Je n'ai encore rien implanté là bas. Sa réponse avait simplement arrêté tout signe de vie en moi. Tate était là bas. La valisette que je tenais en main avait fini au sol, tendis que j'accourais à l'intérieur de l'aéroport, cherchant à avoir des nouvelles du pays. Mais les conditions empêchaient les communications. J'ai passé plus de 48h à l'ambassade, sans dormir, presque sans manger, faisant les cents pas dans une salle ou attendaient bon nombre de familles. On ne demandait pas grand chose, si ce n'est un signe de vie de nos proches. J'avais bien tenté de faire préparer mon jet pour m'y rendre moi même, mais on m'avait fortement déconseiller mon option. Parce que Tate pouvait être n'importe ou, et que je pourrais empêcher le bon fonctionnement des secours. Le temps s'était arrêté, plus rien ne tournait. Si on n'avait plus de nouvelle, alors peut-être était-il mort ? Et puis tel un miracle, mon téléphone s'était mit à sonner, affichant le numéro de Tate. Comme lors de la prise d'otage, mes mains tremblaient tellement, que j'ai bien cru ne jamais réussir à répondre. C'était sa voix à l'autre bout du fil. Il allait bien. Il était vivant. Je ne voulais pas qu'il l'entende à l'autre bout, mais les larmes roulaient le long de mon visage. J'avais cru mourir.»
ITEM FACULTATIF
Paternel de Tate Murray ● Bien qu'il ne soit pas le père biologique de Tate, il a une fille légitime, Leslie âgée de 23 ans ● Il dirige l'un des plus grands empires de Télécommunication, Murray Communication ● Il collectionne les vielles voitures et les sportives ● Il sait bien gérer son argent, mais peu facilement le jeter par les fenêtres quand il sort ● Petit il ne voulait pas reprendre l'affaire Murray, du coup il admire Tate qui a su lui dire non ● Son ex Femme, Abby, a demandé le divorce parce qu'il l'a trompé après une soirée trop (Ou pas ?) arrosée. Il a du mal à digéré la pension qu'il a été contraint de lui verser. ● Il fume peu, mais dès qu'il est stressé, il enchaîne les paquets ● Légèrement hautain, il prend facilement les gens de haut ● Il est très attaché à ses enfants, malgré l'image qu'il peu donner.
Paternel de Tate Murray ● Bien qu'il ne soit pas le père biologique de Tate, il a une fille légitime, Leslie âgée de 23 ans ● Il dirige l'un des plus grands empires de Télécommunication, Murray Communication ● Il collectionne les vielles voitures et les sportives ● Il sait bien gérer son argent, mais peu facilement le jeter par les fenêtres quand il sort ● Petit il ne voulait pas reprendre l'affaire Murray, du coup il admire Tate qui a su lui dire non ● Son ex Femme, Abby, a demandé le divorce parce qu'il l'a trompé après une soirée trop (Ou pas ?) arrosée. Il a du mal à digéré la pension qu'il a été contraint de lui verser. ● Il fume peu, mais dès qu'il est stressé, il enchaîne les paquets ● Légèrement hautain, il prend facilement les gens de haut ● Il est très attaché à ses enfants, malgré l'image qu'il peu donner.
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Rup' et j'ai 29 ans déjà . Je suis Française et j'ai connu le forum grâce à forumactif et son annuaire . J'ai très vite accrochés au design, à l'activité, et surtout à l'investissement de l'équipe administrative à première vue, alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Robert Downey Jr comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Shiya et Blondie . Je fais environ 600/700 mots par rp et mon personnage est un personnage inventé
Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
adhérer un flood d'intégration (?)
je veux être parrainé.
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