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Grant Murray ► Robert Downey Jr

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Grant
Murray
feat Robert Downey Jr.
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Nom ; Murray. Prénom(s) ; Grant. âge ; 49 ans. orientation sexuelle ; Hétérosexuel statut social ; Aisé. date et lieu de naissance ; 14.06.1968, New-York (us). nationalité ; Américain. statut amoureux ; Divorcé depuis deux ans. job ; Propriétaire et dirigeant de la Murray Communication. depuis combien de temps ? ; Depuis 1989, et la dirige depuis 1995.  choix de groupe ; citizens crédits ; Shiya et Blondie (Bazzart)

 

 
AVEZ-VOUS ÉTUDIÉ A HARVARD ?
« J'ai en effet intégré Harvard plus jeune, en 1986 plus précisément. Le campus n'était pas si différent qu'aujourd'hui. Les confréries, les rivalités, les filles... J'ai le souvenir de m'y être sentis chez moi, dès mon entrée. J'étais pourtant très jeune, à peine 18 ans. Je n'avais certainement pas le meilleur des dossiers scolaire pour intégrer une telle université, mais j'avais un nom, et mon père savait déjà s'en servir. Comme vous vous en doutez surement, c'est la fraternité Eliot House qui m'a accueillie.  L'empire Murray commençait à se faire connaître, déjà à cette époque, et j'étais prédestiné à en reprendre les rennes, un jour ou l'autre. Le plus tôt serait le mieux, aux yeux de mon père. Il était malade, atteint d'un cancer, quand j'entamais ma deuxième année. Il fallait que je sois prêt, et suffisamment coaché. Ce n'était pas le cas selon ma mère, et je crois qu'elle avait raison. A la fin des années quatre-vingt,  je voulais vivre, m'amuser, sortir, et j'étais loin de m'imaginer à la tête d'un tel empire qu'était celui des Murray. C'est pour ça que je n'ai passé que deux petites années ici, avant d'être envoyé en Suisse, à Zurich. Il fallait me couper de mon monde, de mes habitudes, de mes amis, et me forcer à devenir celui que j'étais destiné à devenir : Le dirigeant de Murray Communication, le pantin de mon père. Je n'y aspirais pas. Je voulais pouvoir devenir quelqu'un d'autre que le sosie de Murray Senior. Il était tellement stricte, sérieux, il ne prenait jamais le temps de s'amuser. Aussi loin que je me souvienne, Harvard m'a manqué. Vraiment manqué. L'ambiance qui y régnait, je n'ai pas retrouvé ça en Europe.  »
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
« Je n'étais pas là, j'étais encore en Suisse, à diriger mes petites affaires. C'était au moment ou mon mariage battait de l'aile. J'avais cette mauvaise impression qu'au moment ou l'on croit avoir tout acquis, tout gagné, que la malédiction te frappe toujours à un moment ou un autre. Je perdais ma femme - certes par ma faute, les regrets me rongent encore - et voilà qu'en tentant de me changer les idées, j'allume le poste de télévision, et apprend ces agressions sur le campus. J'aurais put ne pas y prêter attention. Après tout, si cela ne touche pas ma petite personne, en quoi devrais-je m'en inquiéter ? Pourtant, je tenais à Harvard. Mes meilleurs souvenirs étaient là bas. Mes yeux ne quittaient pas mon écran, et j'ai commencé à me mettre dans la peau de tous ces parents, qui à travers le poste de télévision, ou derrière ces barrières les empêchant d'approcher, se demandaient encore si leurs gosses étaient vivants. Si Tate ou Leslie avaient été de ceux là ? L'angoisse me prenant, je réalisais pour la première fois, que sans mes enfants, je ne serait probablement plus le même. Que je tiens bien plus à eux qu'ils ne peuvent l'imaginer. C'est devant ces images, à la télévision, que j'ai commencé à envisager mon retour aux Etats-unis, afin de regagner le cœur de Tate. »
APRÈS LE TREMBLEMENT DE TERRE AU CHILI.
« C'est devenu une habitude pour Tate, de me faire mourir d'inquiétude. Ou peut-être est-ce seulement notre nom qui attire les emmerdes. Je me souviens parfaitement de cette journée. Je venais d'arriver à New-York, après que mon divorce ai été prononcé. C'était un peu compliqué avec Tate et Leslie en plus, accepter le divorce de ses parents n'est jamais chose facile. J'avais des rdv ce jour là, de nombreux. Et puis un dîner à 21h30, que j'avais d'ailleurs accepté en affirmant que je n'y serais pas avant 22h. Levant le bras pour vérifier l'heure sur ma montre, alors que je me dirigeais vers mon avion personnel, mon bras droit m'arrêtait dans ma lancé, pour m'annoncer que le Chili était touché par un violent tremblement de terre. Que pouvais-je en avoir à faire ? Je n'ai encore rien implanté là bas. Sa réponse avait simplement arrêté tout signe de vie en moi. Tate était là bas. La valisette que je tenais en main avait fini au sol, tendis que j'accourais à l'intérieur de l'aéroport, cherchant à avoir des nouvelles du pays. Mais les conditions empêchaient les communications. J'ai passé plus de 48h à l'ambassade, sans dormir, presque sans manger, faisant les cents pas dans une salle ou attendaient bon nombre de familles. On ne demandait pas grand chose, si ce n'est un signe de vie de nos proches. J'avais bien tenté de faire préparer mon jet pour m'y rendre moi même, mais on m'avait fortement déconseiller mon option. Parce que Tate pouvait être n'importe ou, et que je pourrais empêcher le bon fonctionnement des secours. Le temps s'était arrêté, plus rien ne tournait. Si on n'avait plus de nouvelle, alors peut-être était-il mort ? Et puis tel un miracle, mon téléphone s'était mit à sonner, affichant le numéro de Tate. Comme lors de la prise d'otage, mes mains tremblaient tellement, que j'ai bien cru ne jamais réussir à répondre. C'était sa voix à l'autre bout du fil. Il allait bien. Il était vivant. Je ne voulais pas qu'il l'entende à l'autre bout, mais les larmes roulaient le long de mon visage. J'avais cru mourir.»
ITEM FACULTATIF
Paternel de Tate Murray ● Bien qu'il ne soit pas le père biologique de Tate, il a une fille légitime, Leslie âgée de 23 ans ● Il dirige l'un des plus grands empires de Télécommunication, Murray Communication ● Il collectionne les vielles voitures et les sportives ● Il sait bien gérer son argent, mais peu facilement le jeter par les fenêtres quand il sort ● Petit il ne voulait pas reprendre l'affaire Murray, du coup il admire Tate qui a su lui dire non ● Son ex Femme, Abby, a demandé le divorce parce qu'il l'a trompé après une soirée trop (Ou pas ?) arrosée. Il a du mal à digéré la pension qu'il a été contraint de lui verser. ● Il fume peu, mais dès qu'il est stressé, il enchaîne les paquets ● Légèrement hautain, il prend facilement les gens de haut ● Il est très attaché à ses enfants, malgré l'image qu'il peu donner.

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Rup' et j'ai 29 ans déjà. Je suis Française et j'ai connu le forum grâce à forumactif et son annuaire.  J'ai très vite accrochés au design, à l'activité, et surtout à l'investissement de l'équipe administrative à première vue,  alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Robert Downey Jr comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Shiya et Blondie. Je fais environ 600/700 mots par rp et mon personnage est un personnage inventé

   
Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
adhérer un flood d'intégration (?)
je veux être parrainé.
je participe au summer camp

  Je recense mon avatar
  si personnage inventé:  
 
Code:
[size=10][url=lienversvotreprofil]►[/url] ► <span class="pris">ROBERT DOWNEY JR</span> ♦ “ Grant Murray ”[/size]
 

   
 
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CHAPTER ONE
«14 Juin 1968. Ma mère, Cameron Harvey, mettait au monde son premier et unique enfant. Grant, Archibald, Murray. Mon père, Harry Murray Jr, commençait tout juste son ascension dans le monde des affaires. Avec l'expansion et le développement de tout ce qui nous entoure, il a su bouger le meilleur pion. Il n'est pas parti de grand chose, mais il a fait de sa boite, Murray Communication, l'une des affaires les plus rentables des années soixante-dix et quatre-vingt. Son empire s'est étendu jusqu'à aujourd'hui, et entre mes main à présent, je l'agrandis dans divers domaines.
Etre le fils d'un grand homme d'affaires n'a pas toujours été aussi bon qu'on l'imagine. J'avais l'argent, et tout ce que je pouvais désirer. Un manoir pour maison, dans la banlieue reculée de New-York. Trois chambres rien que pour moi, des jouets à en pleuvoir, et des sucreries à en écœurer la plupart des gosses. Pourtant je n'étais jamais content. J'en demandais toujours plus. Il y avait toujours un vide. C'est ce même vide qui hante tous les gamins ayant grandi dans mon milieu : L'absence de parents. Pour avoir l'argent, il faut travailler, jour et nuit. C'était le discourt préféré de mon père. Il se levait le matin bien avant l'aube, et revenait le soir alors que j'étais déjà couché. Je ne le voyais jamais. Ma mère ne travaillait plus depuis qu'elle avait épousé Harry, mais elle enchaînait les sorties mondaines. Tout était prétexte à se montrer. Elle était jolie ma mère, et mon père savait s'en servir pour avoir les signatures de contrats qu'il désirait. Il était comme ça Harry. Il profitait de la moindre opportunité pour parvenir à ses fins. Il pouvait se servir de ses parents, de sa femme, de son fils, ça l'importait peu que nous ne soyons que des pions à ses yeux. Il ne voyait en chaque chose, chaque personne, chaque instant, que des billets verts.

Quand on a l'argent, on le montre. Jusqu'à mes trois ans, j'étais sous la responsabilité des gouvernantes. Mais il a fallut que j'entre à l'école. A trois ans tout juste, on me jetais dans un pensionnat, une école maternelle de renommée, huppée, et très prisée. Je n'en n'ai pas de très grands souvenirs, et le peu que j'ai, je préférerais les oublier. C'était froid, lugubre, stricte. D'après mon père, il fallait ça pour forger un homme. N'a t-il jamais eu conscience qu'à trois ans, on n'est certainement pas un homme ?
A six ans, j'entrais dans un nouveau pensionnat. Tout aussi stricte, mais celui ci ne m'a laissé que de bons souvenirs. Des copains, des escapades dans les bois. J'ai gagné en caractère là bas. J'apprenais à avoir du répondant, un peu trop aux yeux des professeurs. J'étais rapidement devenue le clown de la classe, celui qu'on adore avoir comme camarade, mais qu'on déteste comme élève. De mon temps, on ne faisait que de petites blagues mignonnes aux professeurs, et c'était vraiment ça, la bonne époque. J'ai grandi dans ce même état d'esprit. Le collège a suivit la primaire, toujours dans le même établissement. J'ai commencé à faire le mur, discrètement, ou moins discrètement parfois. J'agaçais par mon comportement, et pourtant, mes résultats scolaires étaient loin d'être déplaisants. Alors il était difficile de me faire de bonnes reproches fondées. Si ce n'est que je pouvais décevoir. Mais décevoir qui ? Des parents qui se fichent de savoir ou je suis ?

Au lycée, enfin, j'ai quitté le pensionnat. Mon père m'avait fait intégrer une grande école de la ville, afin d'avoir un œil sur moi. En fait, c'était surtout pour me forcer la main envers Murray Communication. Dès que j'avais un jour de libre, il me faisait découvrir son empire, son travail, parce qu'un jour, je serais à sa place. Je dois bien avouer que la première année, j'ai adoré ça. Je passais enfin du temps avec mon père. J'avais des étincelles dans les yeux, je le voyais sous un autre jour. Je ne le connaissais pas avant, il n'était là que pour mon anniversaire, et Noël. Mais là, il me semblait être si important. J'étais admiratif. L'idée même de devenir comme lui m'excitait, il avait tant de monde à sa botte. Tout était dirigé par lui, et seulement lui. C'était comme être Président des Etats-Unis. J'ai très vite déchanté la seconde année, quand j'ai aussi compris que pour en arriver là, il n'avait pas été le meilleur des hommes. Manipulations, mensonges, traîtrises, déloyautés. Il n'avait rien d'un héro. S'il avait été dans un comic, il aurait plutôt eu le rôle du Bouffon Vert. Je commençais à comprendre... Et à me jurer de ne jamais devenir comme lui.

Mis à part les affaires, le lycée c'est aussi pour moi la découverte de bien des choses de la vie. Je ne suis pas vraiment passé par cette passade de rébellion que beaucoup connaissent. Mes parents n'étaient pas assez présents dans ma vie pour que je les emmerde. Je n'en n'avais pas l'occasion, ni le temps. Puis j'avais déjà tout, que grogner de plus ? Je dirais plutôt que j'ai grandi un peu trop vite à cette époque. J'enchaînais les soirées mondaines dans l'upper east side, parce que mon père voulait que je connaisse le plus de monde possible, pour l'avenir. Qui dit grande soirée, dit alcool, drogue, et j'en passe. J'avais bien du mal à me concentrer sur le travail, je voyais toutes ces sorties comme un bon moyen de rencontrer de jolies filles et de pavaner autour d'elles. Je n'avais que seize ans quand j'ai passé le pas avec l'une d'entre elles. Profitant de mon statut et de mon influence, elle fut certes la première, mais sûrement pas la dernière. Mon père n'était pas très rassuré de me voir jouer autant, il voulait faire de moi, le bon parti, mais je crois qu'il savait qu'à mon âge, j'avais besoin de vivre, d'avoir de l'expérience, de me forger. Et quand mes résultats scolaires étaient là, il ne grognait en rien. Alors je faisais ce qu'on attendait de moi, et en retour, j'étais plutôt libres de mes actes.

En 1986, j'entrais à l'université d'Harvard. Cette fois ci, je n'étais plus le petit Murray, joueur et farceur de la cour de récré. Le lycée avait fait de moi un homme, ayant ses propres convictions, ses propres ambitions. Je voulais devenir quelqu'un, sans être attaché au nom des Murray. Toute ma vie, je savais que j'allais devoir reprendre la Murray Communication, mais en cette fin quatre-vingt, je commençais à douter. Ce n'était pas ce que je voulais vraiment. Etre le démon qu'était mon père. Je voulais être autre chose. Les affaires, oui, mais pas celles de mon père. Je regrette parfois, qu'à cette époque, je n'ai pas eu encore assez de courage pour lui tenir tête. Il faut dire qu'à mon entrée à l'université, Harry était déjà malade, atteint d'un cancer. J'avais peut-être peur qu'à l'énerver, je le tuerais. Alors j'ai suivi sa voix, sans grande conviction, si ce n''est celle de ne pas le décevoir. J'en oubliais qui j'étais vraiment, ce que j'aspirais vraiment. En 1988, la maladie l'emportait plus rapidement que prévu. J'avais tout à Harvard, mes potes, mon train de vie, mes amis, et c'était ce trop de stabilité qui inquiétait mon père sur son lit de mort. Il fallait que je sois plus sérieux, plus concentré, que je ne vive que pour l'affaire familiale. Alors j'ai été contraint de quitter Harvard, pour terminer mes études en Suisse, à Zurich. Rien à quoi me raccrocher, si ce n'est les noms importants qu'on m'avait souffler à l'oreille.

Parmi eux il y avait le nom de Abby Diaz. Fille de diplomate, et bon partie. Quelque part, nos entourages avaient déjà arrangé notre rencontre, espérant certainement que tout débouche sur un mariage. Abby, quand je l'ai vu pour la première fois, j'ai été frappé par quelque chose que je n'avais jamais connu. Je ne croyais pas au grand amour, mais en un simple regard, j'ai tout remis en question. Elle avait tout, la douceur, la gentillesse, la générosité, la beauté, l'élégance. De longs cheveux bruns qui lui retombaient sur les épaules, et de magnifiques yeux noisettes bien mystérieux. Elle était amusante, elle avait de la conversation. Elle n'était pas dupe, elle aussi avait compris le manège de sa famille. Alors on s'est amusé, on a jouer au chat et à la souris, on les a fait miroité, mais finalement, on est tombé dans notre propre piège. J'étais tombé sous son charme, et elle aussi. Nous êtions pourtant rapidement séparés par ses études, qui la forçaient à se rendre à Monaco pour un échange universitaire. Première déchirure, mais aussi quelque part, premier test. Étions nous réellement fait l'un pour l'autre ?

Le jour ou Harry s'est éteint, j'ai su que tout changerait. Je me reposais beaucoup sur lui, repoussant mes responsabilités temps qu'il était là. Mais du jour ou il est parti, tout devenait bien plus compliqué. Tout reposait sur mes épaules. Mon oncle Bill a reprit la tête de la Murray Communication, comme "régent", parce que tous savaient que du jour ou je serais diplômé, cette boite serait la mienne. Je ne passais dans les couloirs de l'entreprise, que pour apprendre, pour découvrir, mais déjà tous me voyaient comme le grand patron. Bien plus que Bill, ce qu'il avait parfois du mal à digérer. A peine vingt-ans, et j'étais déjà en haut de l'échelle sociale. Nul temps de m'apitoyer sur la perte de mon père, Bill prenait le relais. Il faut dire qu'Harry n'avait laissé aucun vide derrière lui, il n'avait jamais été là pour moi... Et Bill le savait. S'amusant à se donner l'image du parfait père que j'aurais voulu avoir. Je n'étais pas dupe, il essayait de me manipuler, et je l'avais bien compris.

Quelques mois plus tard, Abby revenait de Monaco. Elle me semblait différente. Je l'avais attendu, sagement. Je crois que la simple vue des autres femmes me répugnait. Il n'y avait plus qu'elle qui comptait. Je la voyais quand je fermais les yeux, chaque soir. Je ne pensais qu'à elle en les ouvrant, chaque matin. Mais quand nous nous sommes retrouvé, elle me semblait plus distante, tremblante, et angoissée. A force de mes questions, elle finit par se confier. Les larmes roulant le long de ses joues. Elle n'a pas su m'attendre là bas. Elle a rencontré un homme, et pas n'importe le quel. Descendant de la famille Royal, Prince héritier. Qui aurait pu lui résister ? J'ai beau être un des plus grands noms de mon continent, les Princes restent bien au dessus de moi. Elle aurait pu garder ça pour elle, si elle n'avait pas réalisé que sa furtive histoire avec le Prince, allait donner naissance à un enfant. Elle était enceinte. Et je pouvais aisément imaginer le scandale qui éclaterait, si elle donnait naissance, sans mariage. Peut-être un peu trop aveuglé par l'amour que j'avais envers elle, malgré sa déloyauté, je n'ai pas réfléchi. J'avais mal, j'étais trahi, mais je l'aimais à en mourir. J'ai épousé Abby quelques semaines plus tard, avant que son ventre rond ne soit visible. Et quelques mois après, nous étions d'heureux parents. Je n'ai jamais remis en question ma paternité envers notre enfant. Tate est mon fils. J'ai probablement enfoui en moi, une certaine amertume et rancœur envers Abby. Mais jamais envers Tate. J'étais là lors de la grossesse, lors de sa naissance, c'est moi qui est assuré son éducation, Tate est un Murray, pas un Grimaldi.

Quand Tate a passé, dans les bras de Abby, le parvis de la maison familiale, je me suis juré de ne pas être comme mon père. Absent. Pourtant, on a beau accuser nos pères, on refait toujours leurs erreurs. J'étais encore étudiant à seulement 22 ans, alors ma présence pour lui était limitée. Pourtant, je m'en inquiétais. J'avais rencontré un tas de gouvernantes avant d'embaucher Ingrid. Elle avait un fort accent, mais elle avait vite gagné toute ma confiance. Ingrid a été une vraie mère de substitution pour Tate, et bien que j'ai été parfois dur avec elle, je ne peux que reconnaître que son travail fut exemplaire. Quatre ans après Tate, Abby m'était au monde notre second enfant, bien que biologiquement parlant, mon premier : Leslie. Je crois que nous avons été beaucoup moins durs et strictes avec Leslie, sachant que ce serait à Tate de reprendre la tête de notre héritage. Mais elle a comme lui, reçu une éducation de valeur et de travail.

Outre mon rôle de Père, il fallait reprendre les rennes de la Murray Com. J'étais diplômé à l'aube de mes 27 ans, et recevait les clés de l'entreprise. Bill a eu du mal à l'accepter, et m'a fait quelques coups bas, pour tenter de rester à la tête de l'affaire. Mais j'ai tenu bon, j'ai su jouer à son jeu, comme il le fallait. Et en 1996, il était jugé et emprisonné pour avoir manigancé et tenté d'extorqués des fond à l'entreprise. Il a été libéré en 2006, mais n'a jamais remis un pied à New-York. Moi, j'ai commencé à faire de l'entreprise, quelque chose de bien plus grand. Je m'étais promis de ne pas devenir comme Harry, mais l'argent nous change. Tu en as un peu, tu en veux toujours plus. Mon père maniait l'art de la manipulation, j'en ai les gênes et j'ai été à bonne école. Aujourd'hui, l'entreprise s'étend, dans le milieux hôtelier, la restauration, et le tourisme. Je crois que mon père rêvait de gouverner son monde, moi je veux plus. Je voudrais voir le nom de Murray sur toutes les façades. Je voudrais que mes enfants soient fiers de reprendre un jour, une telle affaire, et de se dire que c'est leur père qui a forgé tout ça. Tout du moins, telles étaient mes aspirations. Parce que Tate n'a pas la même vision des choses. Ou seulement pas le même caractère. Il est comme moi à son âge, rêveur. Et lui a su me dire non. J'ai voulu lui tenir tête, comme mon père face à moi. Tate a gagné. Il a tout claqué, quitté la maison et s'est réfugié à Harvard, pour suivre la voix que lui seul avait choisi. Je lui en ai voulut, oui. Mais d'un autre côté, j'étais fier. Fier de ce qu'il était. Parce qu'il était ce que moi, j'aurais voulu être. Je ne suis pas des plus présents pour lui, parce que j'ai ma dignité qui me pèse. Je ne veux pas qu'il sache que j'admire ses choix. Mais je prends de ses nouvelles le plus souvent possible.

Et puis il y a deux ans, de nombreux événements ont changé mon petit train de vie. Abby pour commencer. Entre elle et moi, les choses commençaient à se gâter ces dernières années. Il n'y avait plus l'étincelle des premiers jours. Mariés trop vite, parents trop vite, on n'échangeait plus rien. Elle qui avait tant de conversation, devenait muette à table, se réfugiant dans de nombreuses lectures, ou soirées féminines. Moi j'avais mes sorties, toujours trop arrosées, toujours trop festives, fréquentées par des jeunes femmes mettant en avant leurs plastiques presque parfaites - mais pas toujours naturelles. Depuis quelques temps, Abby ne voulait plus que je la touche, et bien que j'approche la cinquantaine, je n'en reste pas moins un homme. Ce soir là, il avait Debby. Grande, élancés, blonde aux yeux clairs. Elle est bien plus jeune, mais ça ne semblait pas vraiment lui déplaire. Vous imaginez facilement la suite. Abby ne m'a jamais surprit, mais elle a vite compris. Je me demande parfois si elle n'attendait pas que cela arrive, pour pouvoir repartir avec une petite avance. Parce qu'Abby est douce, mais aussi rusée. Le jour même ou était prononcé le divorce, il y avait un tremblement de terre au Chili, ou était Tate. Je me souviens encore à quel point, plus rien d'autre ne comptait, que d'entendre la voix de mon fils. Je l'ai eu au téléphone après tout ça, mais je n'ai même pas pensé à lui expliquer la situation entre sa mère et moi. la seule chose qui m'inquiétait, c'était qu'il aille bien. J'ai prit conscience ce jour là, que je ne pouvais plus me permettre d'être absent pour mes enfants.

J'ai quitté Zurich pour New-York, ou j'implantait un nouveau siège social pour l'entreprise. Et le prochain, je savais déjà ou il serait. Boston. Ma raison première ? Le rachat d'un hôtel qui va rejoindre l'empire Murray. La vraie raison, officieuse, c'est Tate. Abby s'inquiète, parce qu'elle m'a avouer savoir qu'il a apprit ses origines. Honnêtement, je n'avais jamais songé qu'un jour il saurait. Pourtant, il devait le savoir, un jour ou l'autre. Il a le droit de savoir. j'espérais  juste ne jamais avoir cette discussion avec lui. Qui plus est, le secret devait être gardé, jusqu'à ce que le prochain enfant de Monaco siège sur le trône. Histoire que personne ne s'intéresse jamais à Tate. Mais Tate est le seul en âge d'être Prince, et je vois déjà le scandale éclater si il venait à trop parler de toute cette histoire. Je plis donc bagage pour Boston, espérant que Tate comprenne...   »
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bienvenue Grant Murray ► Robert Downey Jr 3850463188 
bonne chance pour ta fiche et hâte de rp avec toi Grant Murray ► Robert Downey Jr 4205929361 
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ROBERT DOWNEY JR hanwii Grant Murray ► Robert Downey Jr 1001568715 Grant Murray ► Robert Downey Jr 73120010 Grant Murray ► Robert Downey Jr 4205929361 Grant Murray ► Robert Downey Jr 4205929361 Grant Murray ► Robert Downey Jr 4205929361 Grant Murray ► Robert Downey Jr 4205929361
Excellent choix d'avatar évidemment :sex1:
Murray comme Tate, pas bien Grant Murray ► Robert Downey Jr 927261665 C'est le Maxime en moi qui parle, ils se détestent Grant Murray ► Robert Downey Jr 1881463262

Mais Bienvenue à toi en tout cas Grant Murray ► Robert Downey Jr 3850463188
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Merci Willow, j'ai hâte aussi hanwii
Et encore merci pour le lien de base!

Merci Dimitri! :rvmp:
Ha il va falloir que je rencontre ce(tte) Maxime :devilish:
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Rouuuur Robert Grant Murray ► Robert Downey Jr 73120010
+ papa de Tate oh Grant Murray ► Robert Downey Jr 3850463188

Bienvenuuue en tout cas et bon courage pour ta fiche Grant Murray ► Robert Downey Jr 2511619667 Grant Murray ► Robert Downey Jr 3850463188
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Bienvenue sur ILH :run:
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Bienvenue et bon courage pour ta fiche Grant Murray ► Robert Downey Jr 3850463188
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Oh ce choix d'avatar, je valide, je valide! hanwii
Excellent choix évidement Grant Murray ► Robert Downey Jr 1508216586 Bienvenue par ici :excited:
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Robert Grant Murray ► Robert Downey Jr 4205929361
Bienvenue chez toiiii !! Grant Murray ► Robert Downey Jr 1946740601 Grant Murray ► Robert Downey Jr 1230098378 Grant Murray ► Robert Downey Jr 3026748879
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