Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityLa guerre est déclarée (Lucky)
-50%
Le deal à ne pas rater :
[Adhérents Fnac] -50% Casque Pro Gaming HyperX Cloud Alpha Noire et ...
49.99 € 99.99 €
Voir le deal


La guerre est déclarée (Lucky)

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Où était-elle ? Voilà la question qui me hantait, que je me posais des dizaines de fois par jour. Depuis le lancement de la croisière, la découverte de Lucky au bras d’Alix, MON Albert, je me devais d’être sur le quai vive. Les textos de la brune ne laissaient guère de place au doute. Elle comptait bien profiter de son petit avantage sur moi. Elle connaissait mon plan, elle savait tout, qu’Albert n’était pas Albert, qu’il n’avait rien d’un français snobinard, qu’on n’était absolument pas amis, et surtout que je le payais pour jouer ce rôle et elle n’était pas idiote, elle avait deviné qu’au cœur de tout ce cirque, c’était Abé que je visais. Abé que je voulais reconquérir. Et mes menaces par messages n’avaient eu aucun effet, sinon celui de la faire marrer. Je gardais en tête mes plans de vengeance et je la gardais à l’œil. Qu’elle faute et qu’elle révèle le pot aux roses à mon Belge préféré n’était pas ans mon intérêt, mais si d’aventure elle le faisait, ha ça, j’avais déjà en tête la façon dont je lui rendrais la monnaie de sa pièce. Et en attendant, en attendant je la zieutais. Quand je partais m’amuser avec mes cousins, je payais grassement mes employés pour qu’ils me tiennent informer des faits et gestes de mon exs. Lucky sous haute surveillance. Et là, cette après midi, je la repérais avançant dans un couloir, celui qui menait au spa… Et celui qui menait à la chambre d’Abé. Forcément c’était sur la deuxième destination de cet étroit couloir que je bloquais. Alors me plantant devant elle, lui barrant le chemin, je l’interpellais : « Tu crois sérieusement que je vais te laisser passer. Je sais très bien ce que tu t’apprêtes à faire Lucky. » En pleine crise de paranoïa, bonjour.  

Hj : je te pique ton gif il se prête bien à la situation La guerre est déclarée (Lucky) 3997999705 @Lucky E. Burberry
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
La guerre est déclarée

Cole & Lucky

Tout porte à croire que cette croisière n'enchantait plus autant notre belle anglaise. Alix passait presque tout son temps en compagnie de Cole tout ça pour du fric à la con. Lucky regrettait pour la première fois de sa vie, sa fâcheuse manie à ne pas savoir dire non à un défi. Elle passait presque le clair de son temps en solo et elle s'ennuyait. Tous ces gens sur ce bateau l'ennuyaient de fou. À part Nina avec qui elle passait du temps et quelques rares personnes, le reste, elle s'en battait l'œil. Elle avait besoin de vibrer, de sentir l'adrénaline, de profiter pleinement de cet été et ce n'est maintenant, que la belle se rendait compte de son erreur à être sur ce merdier de bateau. Si bien que, Lucky avait décidé d'écourter ce voyage quand elle aura enfin eu l'occasion de parler à son "petit ami". Mouais, contre lui aussi elle était vénère. Anyway, ayant grand besoin de se détendre, brunette décida de dédier cette journée au spa. Relaxation était son mot d'ordre d'aujourd'hui. Ainsi donc vêtue d'un bikini noir, d'une serviette autour de son épaule, elle arpente le couloir qui mène au spa. Malheureusement, elle fut stoppée dans sa course par monsieur... Wildingham. Finalement, elle s'étira un peu, laissant s'entrouvrir à moitié sa bouche avant de lâcher un petit bâillement, presque muet. Ses prunelles vertes regardaient par-dessus l'épaule de son ex. Elle avait instinctivement revêtu le masque de l'ignorance. « Tu m'fatigues Wild ! » lança-t-elle vibrante de colère, à l'attention du jeune homme. Toi et tes menaces. Toi et tes magouilles. Toi et ta paranoïa. Toi tout court. « Puisque tu sais tout, m'fait pas perdre du temps et laisse-moi faire ce que j'ai à faire. » Elle observait celui-ci de haut en bas, un oeil méprisant, un sourire narquois faisait exprès de laisser planer le doute et nourrissait encore plus sa paranoïa. De toute façon, elle en avait marre de se justifier. Alors lui jetant un regard indifférent, les crocs sortis, c'était l'heure de passer à l'action. Elle tente donc de passer ce mur corporel.




HJ: Fais-toi plaiiiiiz La guerre est déclarée (Lucky) 3997999705
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Insolente et provocante. À cet instant précis, je la maudissais. Mon ex. Et ce petit côté désinvolte et nonchalant qui m'avait fait tomber, qui m'avait charmé tant de fois, là, tout de suite, maintenant, il m'horripilait. Parce que ce détachement affiché et cette indifférence devant mon air menaçant et mon regard noir, ça me prouvait bien que ça ne marcherait pas. Que rien ne la ferait dévier de son plan. Scénario sorti tout droit de mon imaginaire et dans lequel je visualisais Lucky fonçant dans la chambre d'Abé pour tout lui révéler de mes plans. Le fait qu'elle soit en bikini, une serviette sur l'épaule, ça,  mon esprit semblait l'avoir  complètement occulté. Je ne voyais que Lucky,  ce couloir, la chambre de mon meilleur ami non loin de là. Puis c'était pas comme si mes exs ne m'avaient pas habitué à ça. C'était Agathe qui m'avait chanter dans un premier temps, quant à ma coucherie avec Aym'.  Alors que maintenant, Lucky s'aventure au chantage vis à vis de mes magouilles avec Alix/Albert c'était presque logique au final. Elles vous crient toutes être attachées, parfois même elles vous disent qu'elles vous aiment et bam, à la première occasion, elles se retournent contre vous pour vous faire chanter... Et ses paroles ne faisaient que confirmer mes craintes. Je restais planté obstinément devant elle, l'empêchant de passer. "Arrête ça tout de suite Lucky.  Je te laisserais pas faire." Mes mains se posaient finalement sur ses épaules fermement pour venir la plaquer contre le mur derrière elle. Ça aurait presque pu me rendre nostalgique de nos étreintes sauvages d'autrefois, si je n'avais pas été obnubilé par l'idée de regagner l'amitié d'Abé. "Qu'est-ce que tu cherches à faire ?  Faire perdre son job d'été à ton nouveau mec ?" Parce que clairement si elle parle à Abé, la première chose que je ferais serait de renvoyer Alix... 
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
La guerre est déclarée

Cole & Lucky

Jusqu'à présent, la belle n'avait encore rien fait. Elle se tenait à carreau dans son coin profitant de ce maudit voyage comme elle pouvait. Alors évidemment, elle n'avait pas envie qu'on la fasse chier. Surtout si cette personne est son ex. Il récolte ce qu'il sème. Tant de fois elle avait été de son côté malgré le calvaire qu'il lui avait fait endurer. Tant de fois elle n'avait cessé de lui répéter qu'elle était là. Qu'elle était sincère. Tant de justifications qui n'ont servi à rien. Au contraire, c'est d'un Cole encore plus menaçant qu'elle avait hérité. Alors brunette ne voyait plus aucune utilité de continuer. Elle avait finalement coupé le cordon et elle ne regrettait rien, car elle avait tout essayé. Maintenant, elle n'était plus dans l'optique de se laisser faire, voilà tout. À commencer par le renvoyer d'où il vient. Mais visiblement, ce dernier ne l'entendait pas de cette oreille puisqu'il s'énerva et la plaqua presque sauvagement contre le mur. Ouais, il fut un temps où ce geste l'aurait fait vibrer, où elle se serait mordue la lèvre appréciant cette sauvagerie de sa part. Mais là, là elle en était plus qu'exaspérée. Nonchalante et détachée. Elle ancra ses yeux dans les siens, soutenant presque sombrement son regard. « Et tu te crois capable de m'arrêter ? Tu me connais n'est-ce pas ? Tu sais alors que si j'ai une chose en tête, je le ferai. » Lucky n'en démordait jamais et il le savait. En fait, l'anglaise s'amusait bien de cette situation, lui qui semblait en crise de panique pensant sûrement qu'elle se rendait dans la chambre d'Abelard pour tout balancer et elle, qui désirait simplement passer un moment de relaxation dans le spa. Elle laisse même échapper un rire. C'était plus fort qu'elle. « Peut-être bien que c'est ce que je veux, comme ça, il acceptera de m'accompagner au summer camp. » Fit-elle encore plus insolante. Elle arqua un sourcil, bomba la poitrine et d'une voix supérieure, elle osa se risquer une nouvelle fois à la provocation. « Tu veux peut-être m'y aider ? » Jouant avec une mèche de ses cheveux. « Où peut-être devrais-je te remercier d'avance d'aller voir ailleurs si j'y suis ? » Elle ne mâchait pas ses mots. En fait, elle se foutait royalement de lui. Elle était droite et fière, elle n'allait pas se soumettre devant ce mâle qui puait l'égoïsme, la prétention. D'ailleurs, elle pose soudainement son index sur les lèvres de l'eliot, l'empêchant ainsi d'ouvrir sa bouche. « Tu sais quoi, je viens de décider que tu allais participer à ce que je m'apprête à faire. » Sourire de diablesse, elle glisse ses mains sur les poignets de Cole afin de les retirer de ses épaules, elle en garde un qu'elle agrippe fermement le poussant à la suivre dans ce couloir, vers la porte d'Abelard... qu'elle dépasse pour atteindre l'autre porte. Celle du spa. Pénétrant la pièce, elle regarde autour d'elle avant de se retourner vers l'anglais et s'étirer à nouveau. « J'ai grand besoin d'un massage et puisque tu es là, j'pourrais profiter de tes talents en échange de mon silence. » La belle pose ses fesses sur un des petits lits, balançant ses jambes dans le vide. « À moins que tu préfères que j'rende une petite visite à Abelard ? Sa chambre n'est pas très loin en plus. » Allez, inversons les rôles pour une fois, c'était elle qui avait les cartes en mains alors profitons de ce moment de gloire.

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Tout le monde vous trahit un jour. Voilà la leçon que j’avais retenu de toutes mes précédentes relations, celle avec Lucky incluse. Si j’étais au summum de la méfiance et de la paranoïa, ça n’avait plus rien à voir désormais avec une quelconque pathologie cérébrale, c’était une acquisition de la vie, de mes expériences passées qui m’avaient poussé dans mes retranchements plus que jamais, qui justifiait probablement ce lâcher prise que je n’arrivais pas à avoir, même avec Cléolya. Lucky, elle se tenait là devant moi, et j’avais la certitude de savoir ce qu’elle avait en tête, m’ayant déjà fait tout un scénario où mon ex se vengeait de ma personne en racontant tout mon plan à Abé. Ses paroles, son petit air assuré et insolent, son ton hautain, tout me faisait penser que j’avais vu juste. Son regard planté dans le mien alors qu’elle affirmait qu’elle ferait ce qu’elle avait en tête, voilà ce qui confirma mes soupçons. Un vent de panique s’alluma en moi, trahit surement par une lueur particulière dans mes yeux qui dut la faire jubiler puisqu’un rire s’échappa de ses lèvres et qu’à mon argument / menace de virer Alix, elle répliqua qu’elle avait peut être ce but également en tête, pour ainsi pouvoir partir au SC. A mon tour de rire. « C’est sûr qu’un voyage dans un pays du tiers monde, ça vend du rêve. » Soyons honnêtes, le Laos ? C’était les quincys qui avaient organisé le SC cette année ou comment ça se passe ? Parce que déjà l’an dernier, ça avait été un peu naz. Le Canada, un hôtel aux prestations plus que médiocres, une compet ridicule… Mais là le Laos, on tombait dans le bas de gamme, c’était de pire en pire. Et l’an prochain ça serait quoi ? Camping au milieu d’un refuge de sans abris ? Là, toujours plaquée contre ce mur, puisque les paroles semblaient vaines pour lui faire entendre raison, j’avais opté pour la force, mais même ça, ça ne semblait pas la calmer puisque son regard continuait de provoquer le mien. Et lorsqu’elle me demanda si je voulais l’aider ou si je comptais aller voir ailleurs, elle ne me laissa pas le temps de répondre, me faisant taire de son index sur mes lèvres. Fière de son petit pouvoir, miss Burberry décidait pour moi : elle voulait que je participe à son numéro. « Hors de ques… » Mais aucune protestation n’était recevable et déjà la brune avait ses doigts autour de mon poignet et me tirait vers la porte de mon meilleur ami. « Je vais tout nier, je vais dire que tu fabules, je te prév… » Panique à bord, jusqu’à cette seconde où elle passa devant la porte sans l’ouvrir, se dirigeant vers la suivante, celle du spa. Petit air abasourdi, ayant eu le temps de me jouer un scénario tout autre dans ma tête, m’imaginant devoir tout révéler à mon BFF, je la suivais muet, à l’intérieur de l’institut.  Lucky annonça alors la couleur : un massage versus mon silence. « Et tu veux pas que je te lèche les pieds non plus ? » répliquai-je avec un air mauvais, commençant à faire volte face, prêt à me tirer de là avec mauvaise humeur. Sauf que… La demoiselle ajouta à cet instant l’autre solution qu’elle avait pour occuper son temps, prononçant le prénom d’Abé qui me fit me figer sur place. Bordel. Elle avait les cartes en main et je détestais ça. Je détestais être le pantin qu’on manipule, celui qu’on fait chanter. Lucky allait me le payer, assurément. Je me retournai de nouveau vers elle, lentement, air contrarié, mâchoire serrée. « Allonge toi vas-y. » fis-je en désignant une table de massage, résolu donc à être son petit joujou pour les prochaines heures à venir…
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
La guerre est déclarée

Cole & Lucky

« Je suis certaine que ça resterai moins affligeant qu'être sur ce bateau. Je n'ai pas ma place ici. » Qu'elle claque en roulant des yeux. Faut pas se mentir, brunette n'était pas la bienvenue ici et elle en avait marre de croiser des têtes qu'elle n'aimait pas. Comme Hippolyte par exemple. Elle lui rappelait trop de douleurs, ce qu'elle avait perdu de plus précieux, alors elle prenait vraiment sur elle pour ne rien laisser paraître. Égale à elle-même, elle cache bien ses émotions. À cet instant et face au jeune homme, Lucky était mauvaise, ses mots étaient piquants, elle faisait tout pour provoquer la colère, la haine et toutes les émotions négatives chez lui parce que c'était son tour d'avoir le dessus. Elle voulait lui faire goûter un peu ce qu'elle avait goûté, le manipuler comme il l'avait si bien fait à plusieurs reprises. Alors, elle utilise ses cartes et l'oblige à la suivre dans la salle de spa. L'ancienne mather lui ordonnait de lui faire un massage, lui faisant clairement comprendre que si elle n'avait pas ce qu'elle désirait, il verra tous ses plans tomber à l'eau. Et comme elle s'y attendait, il ronchonnait, refusant presque de lui obéir. Presque, puisque sûrement après mur réflexion de sa part, il fait demi-tour et l'ordonne de s'allonger. Les lèvres de l'anglaise s'étirent soudainement dans un large sourire. Satisfaite. Elle retire ses tongues et tend ses pieds vers le jeune homme, les plaquant sur son torse et bougeant ses orteils. « À vrai dire, j'aime bien ta proposition qui consiste à me lècher les pieds. » Elle continue de jouer avec ses orteils et son air provocant. Elle voulait le rendre fou. Fou de rage. Et à voir sa tronche, c'était gagné. Allez Cole, viens chatouiller mon ego ! Le but n'étant pas de crever sur ce bateau ici et maintenant, elle stoppe son délire et retire ses jambes pour finalement s'allonger sur le ventre comme demandé. « J'vais me contenter d'un massage du dos. T'as l'air super tendu dit donc. J'me demande si ce n'est pas toi qui aurais bien besoin d'un massage du coup. » Reprend-elle en passant ses cheveux sur un côté et posant une joue sur ses bras. « Cole... Ça fait quoi d'être à la place du manipulé ? » Sa voix passa de provocant à une voix grave résonnant à la manière d'un coup de tonnerre. Ses traits se crispèrent, car même si elle jubilait d'avoir ce pouvoir, elle ne pouvait oublier la souffrance qu'elle avait vécue, le mal qui la rongeait encore et encore. Brunette était marquée simplement à vie. Elle cligne des yeux et finit par fermer les paupières, cherchant à se détendre.

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Elle n'avait pas sa place ici. "On est donc d'accord sur un point au moins." Elle n'était clairement pas dans son univers. Ici c'était le luxe, le clinquant, l'élitisme à la Eliot, comme nous savions le faire. Et elle, en tant qu'ancienne mather, elle ne se fondait pas dans la masse ici. Rien que pour ça d'emblée, j'approuvais ses mots. Et ensuite il y avait tout plein de raisons : elle était mon ex. Notre relation oscillait entre éclats et confidences, et j'avais souvent d'être sur des montagnes russes avec elle. Et puis y'avait la présence de tous ses grands ennemis à bord, mes proches, mes meilleurs amis. Les vrais pas ce tocard d'Alix embauché pour jouer un rôle.  Donc oui, tous plein de bonnes raisons pour qu'elle ne soit pas à bord. "Qu'est-ce qui te retient ?  Barre toi. Je dirais qu'Albert t'a larguée ou l'inverse si tu préfères." Ou l'on trouverait une autre excuse pour justifier son départ. Mais le fait qu'elle soit toujours là,  à bord ça questionnait. Ça voulait dire quoi ? "Tu l'aimes vraiment bien ton Alix ?" Si elle était prête à supporter tout ce cirque. Et l'instant d'après,  elle m'entraînait dans ce couloir, et je sentis un vent de panique me gagner en passant devant la porte de mon meilleur ami, qu'elle n'ouvrit pas, s'emparant de la poignée de la porte suivante, celle du spa. Nous engouffrant alors dans la pièce elle annonça la couleur : moi à son service pour un petit massage. Et si d'abord je refusais avec mauvaise humeur, ses menaces suivantes me ramenèrent à la raison. Je n'avais pas vraiment le choix. Qu'elle s'allonge donc... Et cet air amusé, le fait qu'elle jubilait ainsi, ça me mettait encore plus hors de moi. Elle ôta ses tongs venant plaquer sur mon torse ses pieds, provoquante, reprenant ma réplique sarcastique contre moi. "Non mais t'es complètement barge..." m'insurgeai-je, les yeux sombres, le visage plus crispé que jamais. Elle dut lire dans mon regard qu'elle n'obtiendrait pas ça de moi puisqu'elle s'allongea finalement, soulignant avec une ironie narquoise combien j'étais tendu. "Jubile. Profite. Tout se paie un jour Lucky..." Et regardez moi, même en position de faiblesse fallait que je menace encore. Plus fort que moi.  Chassez le naturel, il revient au galop. Mais malgré mes mots, mon air furieux, mes mains venaient quand même se poser sur son dos. Ses cervicales d'abord, massant sa nuque. Mes doigts glisserent ensuite, entre appuis marqués et effleurement plus légers alors que miss Burberry me questionnait avec plus de sérieux sur mon ressenti. Pas question de me morfondre, de lui donner une raison de jubiler plus. Je choisis une autre option. "Tu crois que tu me manipules là? Non mais Lucky peut être qu'en fait c'était ce que je voulais." Je me penchais sur elle alors, ma bouche venant jusqu'à son oreille lui souffler sur un ton volontairement chargé d'ambiguïté : "Peut-être que je rêvais de poser à nouveau mes mains sur ton corps... Peut être que de nous deux, c'est toi la manipulée..." Et mes doigts continuaient leur descente vertigineuse dans son dos, le long de sa colone, arrivant au niveau de la cambrure de ses reins. Allez sois gênée, sois mal à l'aise devant mon ton vicelard, demande moi d'arrêter que je gagne un peu quand même dans mon naufrage.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
La guerre est déclarée

Cole & Lucky

Elle ne porta aucune attention aux paroles éludées à son encontre, même s'il lui semblait entendre vaguement de nouveaux reproches. Et elle était plus qu'heureuse de ne pas faire partie de cet univers. Ça puait l'égoïsme, de gens qui ne pensaient qu'à leurs culs, qui servaient sur un plateau, de la méchanceté gratuite. Et alors vous vous demandez comment elle avait pu sortir avec Cole ? Comment elle avait supporté l'insupportable  ? Simplement parce qu'elle avait creusé. Elle avait vu ses faiblesses, des choses qu'au grand jamais, il ne laisserait voir. Mais comme tout le monde, il avait des défauts, insupportables certes, mais pas indomptables. Il fallait juste savoir où toucher et il baissait les armes. Ceci dit, jusqu'à aujourd'hui, elle n'avait pas ressenti le besoin de lui faire la guerre ou quoi que ce soit du genre, mais elle serait totalement folle de ne pas profiter de cette belle occasion pour lui donner une bonne leçon. Ou du moins, lui faire prendre conscience d'à quel point, il pouvait blesser quelqu'un et y laisser une profonde cicatrice. Allongée donc sur la table de massage, la discussion tournait rapidement sur son soi-disant petit ami. « Je m'en irais quand je réussirais à avoir une discussion avec lui. Faut dire que tu te l'accapares plus que sa petite amie elle-même... » Souffle-t-elle en haussant les épaules. Elle fut néanmoins surprise par sa question. Ce n'était clairement pas le genre de question qu'on posait à son ex. Vraiment pas. Et elle n'avait encore moins envie de lui parler de son lien avec Alix. Elle ne se voyait pas vanter leurs prouesses au lit. Faut pas abuser non plus. « Pourquoi tu veux savoir ? Ça t'intéresse ? » Fais pas semblant Wild, je sais que t'en as rien à foutre. « A-t-on besoin essentiellement d'aimer pour sortir avec un mec ? Je ne fais plus dans les sentiments... » Brunette préférait maintenant ne plus mettre de mots sur un quelconque attachement. Ses précédentes relations l'avaient servi de leçon. Elle préfère foncer la tête baissée, peu importe où cela lui mène. Juste foncer. « On n’est pas là pour parler d'Alix alors si tu veux bien clore ce sujet... » Qu'elle lâche sèchement. « Et je n'ai pas peur Cole, fais-moi payer autant de fois que tu voudras, mais rappelle-toi juste que ce qui ne me tue pas, me rend plus forte. Rappelle-toi que tu m'as habitué à tout ça. » Qu'elle se relèvera peu importe le nombre de fois qu'il la fera tomber. La preuve, aujourd'hui c'était elle qui jubilait, elle qui avait l'avantage et elle qui allait profiter de tout ça. Ouais. Profiter, fin là, elle ne comprenait pas trop ce qui se passait. Elle le sent trop proche de son corps, ses lèvres à quelques centimètres de son oreille lui soufflant une phrase chargée d'ambiguïté. Alarmée, elle ouvre grandement les paupières et frémit malgré elle, au contact de ses doigts le long de son dos. Il abuse clairement. Quand on sait à quel point elle a aimé cet homme, on sait alors qu'il est impossible de rester impassible à ce genre de contact. Elle le déteste à cet instant, mais si elle montre ne serait-ce qu'un signe de faiblesse, elle est foutue. Il aura gagné. Et non, elle refuse de lui donner satisfaction. Du coup, Burberry se redresse assise face à lui en laissant échapper, un rire moqueur. Ses doigts agrippent son col afin de l'attirer vers elle tandis que ses jambes se resserrent fermement autour de sa taille. Son regard lui, perce le sien pour s'y ancrer comme jamais. « Vraiment ? Si t'en rêves autant, alors touche-moi encore. Vas-y donc Wild, redessine les courbes de mon corps. Redécouvre-le. » Lâcha-t-elle les yeux brillants d'une lueur qu'elle ne savait interpréter, car perdre un "adversaire" de vue, même juste quelques secondes était une énorme erreur tactique à ne pas commettre. Il voulait aller dans ce sens ? Très bien, qu'il se rappelle alors comment elle avait réussi à le conquérir, qu'il se rappelle qu'elle ne recule devant rien pour atteindre son objectif. Voyons qui des deux, est le manipulé. Le pire, c'est qu'il avait oublié qu'elle le connaissait que trop bien et que lorsqu'il était contrarié, il faisait ce truc avec sa mâchoire, grinçant les dents sans pour autant ouvrir la bouche.

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

 Forcément que j'étais d'accord sur le fait qu'elle n'avait pas sa place ici. Forcément aussi que le fait qu'elle soit consciente de ça et qu'elle soit malgré tout, toujours présente,  ça m'interpellait. Qu'est-ce qu'elle attendait ?  Une discussion avec Alix selon elle.  Alix... Moi naturellement je concluais plutôt qu'elle devait y être drôlement attachée pour supporter l'enfer de cette croisière : tous ses pires ennemis et son ex réunis sur un même bateau. Mais ma question ça la surprenait. "Peut être que je m'intéresse. Al est mon nouveau meilleur ami." Fallait que je m'entraîne à avoir l'air proche de ce guignol hein. Puis justifier mon interrogation ainsi c'était mieux que d'avouer garder un oeil sur les fréquentations de son ex non ? "Tu ne fais plus dans les sentiments ?  Ouais à d'autres Lucky..." C'était aussi le refrain qu'elle m'avait chanté quand on s'était connus au tout début. Et l'issue on la connaissait tous les deux... Cette fille là sous mes doigts, elle avait volé mon coeur et elle me l'avait rendu brisé, alors même que j'ignorais que j'en possédais un. Les sentiments, elle les maitrisait très bien et elle savait très bien en jouer. "Clôture le sujet puisque t'assumes pas." Elle avait peur de quoi ? Que j'aille raconter ses confidences, ses sentiments pour ce cher Alix  au principal intéressé ? Le massage était ensuite l'occasion de contre menaces de ma part. Dans le vent. Ça ne prenait pas sur Lucky qui assurait qu'elle n'avait pas peur. "Tu devrais." Oui elle devrait parce que peut être qu'elle ne me manipulait pas, peut-être que c'était elle la manipulée, peut être que ce massage, mes mains sur son corps,  c'était ce que j'avais cherché. Paroles et doutes institués au creux de son oreille dans un souffle chaud alors que mes doigts voyageaient, descendant lentement jusqu'à la cambrure de ses reins. Son frémissement ne m'échappa pas et un petit sourire satisfait ourla mes lèvres. Persuadé d'avoir gagné,  que gênée elle allait s'éloigner de moi et me demander d'arrêter,  mais j'avais sous estimé la jeune femme. Lucky se redressait, en effet, mais assise face à moi, c’est nullement gênée qu’elle se mit à rire plutôt. Mon sourire se fana aussi sec. Et ses doigts m'agrippaient par le col, ses jambes encerclaient ma taille et elle me provoquait. De ses yeux. De ses mots. Me poussant à réaliser ce fantasme que j'avais évoqué dans l'espoir de l'embarrasser. Mes prunelles plongées dans les siennes, mes mains s’exécutaient donc, voyageant d’abord dans son dos, jusqu’au fermoir de son bikini, dénouant ce dernier, mes mains voyagèrent ensuite dans sa nuque pour en défaire l’autre attache, libérant ainsi complètement sa plantureuse poitrine. « Ca me gênait… pour le massage. » Sourire revenu, cherchant à la déstabiliser, autant qu’elle, elle cherchait à me troubler, mes phallanges reprirent leur balade dangereuse sur son corps, comme elle m’y invitait. Glissant le long de ses épaules, descendant contre son buste, venant effleurer sa poitrine et m’amusant du durcissement réactionnel de ses seins, son vente, sa taille de guêpe, et retournant se perdre dans son dos, caressant le rebondi de son parfait petit derrière, c’était moi qui allais finir par durcir là… « T’as pris des fesses non ? »  lançai-je alors, comme pour essayer de calmer l’espèce de tension sexuel que j’avais moi même instillé.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
La guerre est déclarée

Cole & Lucky

La belle laissa échapper un rire non contrôlé suite à sa remarque totalement absurde. « Ton meilleur ami ? Je ne savais pas que tu payais tes meilleurs amis. À d'autres Cole. » C'est clairement à cause de lui qu'elle se retrouvait sur ce bateau en présence de tous ses ennemis. Car s'il n'avait pas proposé du fric à Alix, ce dernier ne lui aurait pas lancé ce défi. Et peut-être qu'elle n'aurait pas eu à subir toute cette tension tous les jours à croiser Hippolyte et le reste de sa clique. Visiblement, ce dernier ne semblait pas croire qu'elle ne faisait plus dans les sentiments. Tant pis, elle n'allait pas se justifier non plus. Elle ne lui devait plus rien. « Libre à toi de croire ou ne pas croire. J'vais pas essayer de me justifier, car de toute façon, ça ne regarde que moi. » Cole était bien placé pour savoir à quel point elle avait été rétissante depuis sa première rupture et qu'il lui avait fallu vraiment du courage pour s'ouvrir de nouveau à un mec. À lui donc. Il savait qu'elle redoutait toujours l'échec et là, cet échec s'en était trop parce que vous savez quoi ? Cet échec était plus douloureux que la première. Alors oui, elle ne faisait plus dans les sentiments a proprement dit. « Y'a rien à assumer. Je me casse plus la tête point. » Qu'elle lâche accompagnée d'un rire servant à affirmer ses dires. Et puis pourquoi il insistait ? Que voulait-il réellement savoir ? Brunette chassa toutes ces questions de son cerveau, secouant la tête et se redressant pour à son tour, le provoquer. Jouer son petit jeu. Sauf que... Elle ne pensait pas qu'il irait aussi loin. Jusqu'à lui retirer son haut de maillot. Jusqu'à caresser sa poitrine qui se dressait magnétiquement sous ses doigts. Ses seins qui la trahissaient préférant plutôt réagir aux douces caresses de son ex. Elle serre un peu plus le col de son interlocuteur, se répétant plusieurs fois dans la tête qu'il fallait garder les pieds sur terre. Qu'il ne fallait pas flancher, qu'il ne fallait pas lui donner ce qu'il désirait, la victoire. Pourtant, elle se mord instinctivement la lèvre, mais ne quitte pas pour autant, ses yeux. Ne flanche pas Lucky. Continue. Continue. « Il paraît que les hommes kiffent ça... Quand il y a juste ce qu'il faut et qu'ils sont bien rebondies. » Elle laissa échapper un soupir et haussa les épaules, mais elle finit par en sourire. Et elle ne devrait pas laisser cette situation lui échapper, elle ne devrait pas sourire. Elle ne devrait même pas être là. Ses yeux verts quittent finalement ses prunelles, elle lâche son col, desserre ses jambes et descend lentement de la table. Non elle ne fuyait pas. Elle inversait juste les positions, plaquant les fesses de l'eliot sur le bord de la table. Elle fait glisser sa veste le long de ses épaules tandis que ses lèvres s'aventurent dans son cou sans pour autant embrasser sa peau. Elles remontent vers son lobe d'oreille que le bout de son nez se permet d'effleurer. « Avoue que tu es le manipulé. » Soufflant chaudement à son tour. Non parce que bien décidé à ne pas le laisser gagner, ce n'est certainement pas elle qui stoppera la première. Pendant ce temps, ses doigts s'attardaient sur les boutons de son chemisier qu'elle faisait sauter un par un pour enfin retirer le tissu, s'attaquant ensuite à sa ceinture, puis son pantalon qu'elle laisse glisser le long de ses jambes afin qu'il s'en débarrasse tout seul. L'anglaise glisse l'une de ses fines et longues jambes entre son entre-jambe visant à durcir la partie la plus intime de son anatomie. Ses paumes remontent lentement et sensuellement du bas de son ventre jusqu'à son torse, puis sa nuque qu'elle agrippe fermement avant d'approcher dangereusement son visage du sien, ses lèvres des siennes. Elle ne les épouse pas, visant simplement à laisser son souffle se mêler au sien et murmurant simplement au passage. « Ce massage ne sera que plus exquis, dans l'eau... » En réalité, elle voulait prendre ce bain pour retirer toute cette tension sexuelle qui l'habitait à cet instant. Tension que monsieur avait provoquée en passant. Elle recule, tire sur son boxer à l'aide de ses doigts, l'obligeant à la suivre dans la petite piscine du spa. Elle marche à reculons sans pour autant le quitter du regard, car le déstabiliser est aussi sa priorité. Une fois près du bord, elle relâche son boxer et s'installe confortablement dans l'eau pressant sa poitrine dénudée contre le bord et attendant qu'il reprenne son massage, là où il l'avait laissé.

(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)