Invité
est en ligne
Invité
Nous somme le 5 juillet, et je suis dans le jet que mon cher grand-père m’as prêté. Je quitte le Laos, pas définitivement, mais voilà, je voulais voir Abélard, et puis je voulais aussi et surtout rendre visite en douce à Dimitri, avec la présence de Cole. Dimitri étant dans le coma, et étant un ami à moi, je voulais me présenter à son chevet, lui montrer que je suis là, que je ne l’abandonne pas. Seulement voilà, je ne suis pas rentrée seule du Laos, fermement décidé à ne pas me laisser devenir un monstre sans cœur, Elyas m’as suivit, il voulait être présent pour moi, me protéger et m’aider à redevenir cette femme forte et douce que je suis habituellement, et non pas le monstre sans cœur que je devenais à force que mon cœur ce noircisse de colère. J’étais pensive, et bien entendue je voulais faire bonne impression à mon futur époux dès mon arrivée, j’avais donc échangé des sms avec Hadès, et finalement, j’avais abandonné l’idée de communiquer avec lui au moment où il a voulu que je montre mon caractère … J’avais du coup opté pour une robe Dior. Dans le jet, j’avais été principalement sur mon téléphone, tout en lançant des regards à Elyas. J’adorais ce garçon. Le pilote annonce qu’on va atterrir d’ici dix minutes.
« Elyas, je dois te demander un service … ne parle pas de tout ce que je t’ai dit dans la chambre de l’hôtel, ne dit pas non plus que tu à vus un homme partir en courant, ni que j’ai couché avec mon chef d’équipe. Il va falloir que je voie Cole pour la suite du plan. Je te jure que j’en peu plus de toute ses histoires. Je crois que si ça continue je ne vais jamais revenir du Laos, je vais rester vivre là-bas. La vie y serait tellement plus simple. » Je soupire, je ne savais plus réellement quoi faire. Finalement j’avais appris peu à peu à m’attacher à Abélard, je n’irais pas dire que je l’aime, mais je tenais à lui c’était certain. Et ça, ça me détruisais, car Ayma aimais Abélard. Je ne savais plus quoi penser de cette situation, et je ne pouvais plus. Les roue de l’appareil touché enfin le sol. Et j’avais peur, je ne savais pas comment aller être Abélard vis-à-vis de moi, comment devais-je me comportais avec lui en publique, devais-je l’embrasser ? Lui faire une accolade ? La bise ? Non sincèrement je ne savais pas. C’est donc avec une boule au ventre que je laisse le pilote ouvrir la porte et que je décent les marche du jet, laissant Elyas sortir après moi.
(Invité)