Tu étais occupé peut être ? [/w Danneel]

Depuis mon arrivé au Laos, je dois avouer que je n'avais pas encore trouver le moyen de m'amuser comme je l'aurais souhaiter quand Elijah m'a poussé à venir en me vendant ça comme « les vacances du siècle » Je souhaitais m'abandonner à moi même, être là grâce à lui et je voulais qu'on arrête pas de faire la fête, que ce soit pour oublié les cours qui sont durs, les gens avec qui tout ne s'est pas passer comme prévus, bref la vie de tout les jours. Je penses ne pas être le seul à être venu en partis pour ça. Elijah n'avais pas fais les choses à moitié, non, il nous as loué une villa aussi grande d'un hôtel et c'est peu dire. Piscine et jacuzzi à l'appel. Deux grandes chambres bien éclairé plein sud, un grande salle d'eau, une grand salon et cuisine équipé. Comme dis, il à vraiment fait les choses en grands, et je m'en sens déjà redevable de pouvoir logé dans un tel endroit mais il dis que nous sommes potes et que c'est normal qu'il me fasse profité de ses petits plaisir. Il faut dire qu'il est assez riche pour ça. Elijah est une bonne personne qui ne m'a jamais jugés à ma fortune et qui n'a jamais râlé quand je voulais faire honneur à mes petits salaires accumulé pour l'invité là ou là, c'est donnant donnant tout les deux et c'est très bien comme ça. Je penses que je vais m'essayé aux fêtes très prochainement mais pour l'heure la personne qui hante mes pensées c'est Danneel. La dernière fois que je l'ai vu nous étions sur une plage abandonner a nous même, enlacé l'un l'autre dans les bras de l'autre. nos bouches faisait le ballet de Milan et nos respirations étaient rapide. C'était un souvenir des plus étrange mais en même temps des plus agréables.

Quand je parle d'étrangeté, c'est tout simplement parce qu'il se trouve qu'elle et moi ça date de plus loin encore et que chacun des moments passé dans les bras de l'autre nous rappelais petit à petit la première nuit que nous avions passé ensemble bourré. Là n'est pas le sujet ce soir. Après, qu'elle ce soit faite enlevé tout s'est bousculer dans ma tête, c'est mon amie, et plus puisqu'elle est aussi ma première fois, je suis son amis et je n'ai pas su qu'elle s'était faite enlever, je voulais être un bon ami, je voulais me rendre compte de ça et je n'ai pas été à la hauteur. Depuis qu'elle m'a envoyer un message pour me dire que tout allais bien, je ne pensais qu'à une choses la revoir et puis nous avions beaucoup de choses à nous dire. Je me dirigeais alors vers son hôtel, je devais la voir pour m'assuré que tout allais bien pour elle. j'allais à l'accueil et je demandais sa chambre un fois l'information reçus je fais un clin d'œil à la demoiselle de l'accueil et je monte à son étages.

Plus tard une fois devant sa porte, je soupire un bon gros coup et je fais quelques pas pour me détendre, ce qui n'a clairement aucune effet. Je frappe trois petits coups contre sa porte et j'attends en grattant ma nuque doucement impatient de la revoir entière et en bonne santé. Mais alors qu'elle ouvre la porte je suis un peu plus surprit. Non seulement elle va bien mais elle semblais occupé ?

Alors que je profitais d’un charmant jeune homme en l’absence d’Abel, une personne frappa à la porte, j’étais seins nue et avec juste une culotte en dentelle très sexy. Un léger soupire, je me relève, le jeune homme est assez paniquer, il est persuadé que c’est mon fiancé qui viens me chercher, car oui il sait que je suis fiancé au prince de Belgique, mais il n’y as pas de sentiments entre nous, donc j’en profite de ce Summer Camp comme si j’étais célibataire. Je me dirige vers la porte, persuadé que c’était Abel qui revenait de sa journée détente. Je devais partir dans trois heures avec le jet privé de mon grand-père pour passer du 5 juillet au 7 juillet à Boston. Je voulais aller voir Dimitri qui était dans le coma, je voulais lui dire que moi son amie, j’étais là pour lui. Et puis mon équipe arrivera à tourner sans moi pendant trois petits jours. Lorsque j’ouvre la porte, le jeune homme présent dans ma chambre, bouscule à moitié Elyas pour partir en courant dès les couloirs de l’hôtel, ses affaires à la main. Je soupire, et laisse Elyas entrer. Je n’étais absolument pas gênée de ma nudité devant lui. J’avais loué une suite dans un hôtel quatre étoiles, donc une chambre, un salon, un bar, une partie cuisine, et bien entendue une salle de bain et des toilettes séparé. Je referme ma porte derrière lui et souris à mon ami.

Je ne l’avais pas revue depuis notre relation sur la plage, et j’avais pendant un moment cherché à le voir en trouvant tout en même temps des excuses pour ne pas le voir. Nous nous étions suffisamment fuit lors de l’avant départ, inutile de ce fuir au Laos. Je lui désigne le canapé pour qu’il puisse s’installer, et je pars fouiné dans le bar, essayant de trouver un alcool que l’on connaisse, pas une localité étrange. Je tombe soudainement sur une bonne bouteille de Bourbon ; parfait ; je sors deux verre et lui sers un fond, je fais de même pour moi. Avant de lui servir son verre, je pars enfiler un peignoir en soie, de couleur blanc, et légèrement transparent. Je reviens avec nos verres en main. Je lui en donne un, puis je prends place en face de lui sur la méridienne. « Sa faisait un moment qu’on n’avait pas réussi à ce voir, entre la fin de l’année, mes fiançailles avec Abélard, et divers problèmes que nous avons eu l’un et l’autre. Comment tu vas depuis ? » Je ne savais même pas par où commencer, déjà il ne savait pas que j’étais fiancée, sauf si il lisais les torchon médiatique, Closer, et j’en passe, des magazine où les paparazzis mettent leur coop et leur scandale. Je lance un regard amicale à Elyas.

Danneel, définition d'une demoiselle, qui passe de problème en problème, qui passe de situation en situation, que ce soit amoureux ou dans sa vie. Quand on s'était retrouvée dans ce bar, je n'aurais tout d'abord pas pensé qu'elle puisse être ma première fois alors que j'était bourré, mais une chose m'avais frappé ce soir-là... Elle était l'une des femmes les plus étonnante que j'ai jamais eu à connaître. Elle savais exactement comme rebondir d'une situation, elle savais très bien comment s'en sortir sans qu'on touche à son pelage de colombe libre et davantage belle. J'aurais dû paraître surpris quand elle à ouvert cette porte seins nues avant que ce type ne s'en aille en vitesse s'excusant en passant à côté de moi pour fuir.

J'aurais dû l'être mais Danneel, j'avais su la cerné, enfin un tout petit peu quand même. Et je savais aussi qu'elle n'allais pas être gênée du tout de me laissée entrer dans sa chambre alors qu'elle ne portais sur elle qu'une fine petite culotte en dentelles. J'entrais alors suite à son invitation et j'allais m'installé là ou elle me guider avant de sortir de l'alcool et aller mettre un petit peignoir transparent. Je déglutie un coup, ben quoi elle reste quand même super canon la Danneel, et je lui sourire tout aussi tendrement qu'elle le faisait mais alors que j'écoutais ce qu'elle me disait, je bloquais. Elle s'était fiancé avec un de mes ennemies. Abelard, le type que je déteste, sans vraiment de raison mais pour qui je pouvais tout faire péter. Lui et moi sa passais pas et je suis sûre qu'il ne m'aimais pas plus que ça non plus. Je tiens son regard pour savoir si elle me faisait une blague mais apparemment pas le moins du monde.

« Tu es fiancé, Dann ? Avec lui ? Tu... Tu l'aime, tu aime Abelard ? »

Je passe une mains dans mes cheveux comme si je devais encaissé la nouvelle, après tout Danneel, avais clairement gagné sa place dans mon cœur, elle avais un lien spécial pour moi. Elle était non seulement ma première fois, mais aussi mon amie celle que j'ai sauvé dans un bar parce qu'elle allais se faire droguée, celle qui avais perdu un bébé et qui avais assumé cette perte avec tant de courage, celle avec qui j'avais été à la mer et celle avec qui j'avais remis le couvert encore récemment. Quand je disais qu'elle avais tout pour me surprendre, bien sûr que c'était le cas et c'était pas peu dire. Je soupirais, comment j'allais pouvoir lui dire que je supportais pas son futur maris ?

« Dann, tu es sûre de toi sur ce coups ? Je veux dire il t'aime aussi ? merde, mais tu était avec ce gars avant que j'arrive il est au courant ? Rho tu m'épatera toujours toi ! Abelard et moi on ne se supporte pas... »

Je soupirais une nouvelle fois avant de gratter ma nuque reflex que j'avais quand je ne sentais pas un truc quand j'était trop stressé, je pris le verre qu'elle me tendais et je le bu d'un seul coup. Très bon ce bourbon d'ailleurs.

Je voyais bien que mon petit Elyas était en panique suite à mon annonce, ha mince, il ne savait donc rien. Je me mordille la lèvre inférieure, comme si j’avais fait une boulette. Et puis soudain, il me demande si je suis certaine que Abélard m’aime, et là c’est le drame, je me mets à rire comme une gamine. Je fini par réussir à calmer mon fou rire et chasse d’un revers de la main une larme que j’avais versé tellement je riais juste avant. Voyant qu’il avait déjà terminé son verre, je me lève pour aller prendre la bouteille et je la pose sur la table basse face à nous. Je devais tout lui expliquer, n’avoir aucun secret pour lui, car il était un ami, ma première fois, il avait sus prendre une place si importante dans mon cœur. Je lui souris tendrement, avant de reprendre place à côté de lui, je laisse mon dos s’appuyais sur son torse, déposant le haut de ma tête juste en dessous de son menton, un câlin ? Oui j’en veux bien un merci ! J’étais très tactile avec Elyas, mais cela ne me déranger pas. Et je ne pensais pas que le jeune homme en soit déranger. Après ce court instant de tendresse, je me retire pour me mettre face à lui, je lâche un petit soupire, lui servant un second verre, et à moi aussi puisque je bois le mien d’une traite afin de nous resservir. En fait non pour lui parler de tout cela, je dois boire le deuxième aussi, cul sec une nouvelle fois. Mes joues commencent à rosir.

« Bon accroche toi, reste bien assis et met une ceinture de sécurité limite si tu en trouve une. » Petite touche d’humour avant de finalement reprendre. « Bon voilà, j’ai découvert depuis peu que mon grand-père est le roi de Suède, et bien entendu, dans ce milieu les mariage arrangé c’est courant. Donc non je n’aime pas Abélard, et je pense que lui non plus ne m’aime pas, même si je dois avouer qu’il me traite comme une reine. Le problème c’est que tout ça, ça me tombe sur le coin de la gueule. J’aime un homme plus que tout, Roman. Mais avec ces fiançailles, je sais plus trop si je dois lui avouer ou pas. » Je me sers un troisième verre que je fini tout aussi cul sec que les deux autres, c’est pour dire si cette histoire me rendais mal. « Et puis Abélard c’est l’ancien meilleur ami de Cole, ils sont en froid, du coup avec Cole, on fait semblant de ce faire la gueule. Cole va faire croire à Abélard qu’il à un mauvais pressentiment sur Franklin, le nouveau BFF d’Abélard. Et moi pendant la croisière, car oui je vais les rejoindre sur les jours libre, la par exemple je pars dans deux heure, et je reviens pour le 7 juillet. On est le 5, sa me laisse deux jours et demis la bas, bref donc pendant la croisière, je vais faire en sorte de coucher avec Franklin, sauf que Cole sera au courant et va dire à Abélard de venir me rejoindre car il sent mal la situation, et quand ils vont entrer dans la pièce, je ferais les femmes en danger. » Je dégluti et reprend. « Cole passera pour le gentil qui avait raison, et sa devrais suffire pour qu’il se réconcilie avec Abélard. Et quand je reviendrais au Laos, un paparazzi est payer pour prendre une photo de moi en train d’embrasser Roman, comme sa la mère d’Abélard annulera le mariage. »

Je me sers un quatrième verre, sauf que cette fois je plonge mon regard sur le liquide ambré, Je me dégoutée moi-même en réalité. Moi qui étais une jeune femme forte, endurcie, drôle, attachante, chiante, une drôle de plaie joviale, là en ce moment je tombais bien bas dans la fourberie et les coup bas. L’alcool allait rapidement faire ressentir son effet. Je bois le quatrième et certainement dernier verre qu’Elyas me laisserais boire en cul sec une nouvelle fois. Je mordille ma lèvre inférieur avant de lever le regard embuée de larme sur le bord de mes yeux, prête à perlais sur mes joue, il suffisait d’un battement de cils. Je laisse un rire nerveux s’échapper de ma bouche avant de finalement faire une moue triste. « Je suis en train de devenir un monstre, je ne me reconnait plus. Elyas, j’ai changé tant que ça ? » Mon regard ce plonge dans le sien, cherchant l’appuis d’un ami, espérant seulement qu’Elyas n’enverrais pas un sms à Abélard pour lui dire que j’avais changé à cause de lui et qu’il était en colère. Je soupirais avant de finalement laisser mes larmes couler le long de mes joues, une larmes sur chaque joues, signe de ma faiblesse sous ma carapace de force.

Elle savais bien faire une chose Dann, c'était lire en moi malgré mes effort pour rester un type mystérieux aux yeux des gens. Ouais je ne voulais pas qu'on arrive à lire en moi et elle, elle arrive et elle bouscule tout. Elle voit bien que je fais une petite crise de panique me disant qu'elle peut avoir une relation avec le très cher Abélard, et ça pouvais me foutre la trouille parce que si elle l'aime, et qu'il l'aime aussi. Déjà il pourrais lui demander de ne plus venir me voir parce qu'il ne m'aime pas autant que je ne l'aime pas. Il pourrais aussi, venir me voir et me chercher la merde pour qu'on cassé notre amitié à Dann et moi, mais il faudrait clairement qu'il me foute en coma pour y arrivé... C'est bien sombre comme idée et pourtant quand elle me dis de bien rester assis, que la nouvelles histoire de Dann va commencer je n'en suis pas rassuré du tout et quand elle boit je me décide la suivre et de boire en même temps qu'elle. Je Suis davantage choquer à chacune de ces paroles, vraiment. Dann ne pouvais pas mieux faire, si elle voulais me faire un blague a ce moment là je n'aurais pas ri. Vraiment qu'est-ce que c'est que cette histoire de mariage arrangé, de sentiments non avouer a celui qu'elle aime et qu'elle veux. Je pose mes coudes sur mes genoux face à elle et je la regarde dans les yeux.

« Dann, je savais pour ton grand-père, et tout cette histoire de richesse etc... mais vraiment ? Un mariage arrangé ? On est d'accord que sa ne te ressemble pas du tout ? même si l'idée ne viens pas de toi n'est-ce-pas ? »

Je ne voulais pas paraitre vexant devant Danneel, elle ne m'avais jamais vu comme ça et j'espère qu'elle ne tiendra pas rigueur à mon visage qui se rallonge a chaque fois de centimètre en centimètre tant je suis perdu et je ne sait pas vraiment quoi lui dire.

« Écoute Dann, je veux pas être vexant ou quoi que ce soit d'autre mais franchement tout cette histoire me parais folle, c'est de la pure folie. Bon après tout je n'ai peut-être pas à juger et j'avoue même qu'en y réfléchissant l'histoire du paparazzi pourrait tenir la route si vraiment vous ne voulais pas tenir votre engagement forcé, ce qui est même normal. Mais tu n'a pas peur de t'attiré les foudre de ton grand-père si récemment retrouvé ? Tu n'a pas peur de tout gâcher avec Roman en l'embrassant sans même te confié sur t'es sentiments pour lui ? »

Je soupire et je l'enlace un instant alors qu'elle viens un moment contre moi avant de soupiré doucement. Je voudrais tellement plus lui dire. Je voudrais qu'elle se reprenne, mais elle me surprend encore quand elle me dis qu'elle ressemble à un monstre, qu'elle ne se reconnais plus. Je passe ma main dans mes cheveux cherchant comme lui dire que oui elle à changer mais pas forcement en mal.

« Dann, tu as changé, tout le monde change. Oui, ce soir j'ai vu une nouvelle Danneel, celle qui a retrouver des personnes de sa famille, celle qui fais ces choix envers et contre tout mais excuse-moi de te demander. Elle est où la Danneel qui m'a clairement draguée deux fois en une soirée avant qu'on ne couche ensemble sur cette plage avec pour seul témoins la lune ? Elle est où cette nana dans ce bar triste mais qui pourtant était pleine de vie, prête a se reprendre alors qu'elle venais d'apprendre la perte d'un bébé ? Celle qui est tellement forte et pourtant tellement douce. »

Je ne voulais pas la rendre plus mal qu'elle ne semblais l'être mais je voulais qu'elle sache que cette Danneel, là plus celle de la plage, ma préféré restais celle de la plage. Mais j'étais déterminé et j'allais tout faire pour qu'elle se retrouve. Qu'on retrouve la Danneel qu'elle doit être.

J’avais visiblement trouvé une compensation à toutes ces histoires, l’alcool, la drogue et le sexe. En effet depuis que j’étais arrivé au Laos, j’avais déjà couché avec mon chef d’équipe, Abel, avait vue passé deux autres garçons dans mon lit, mais aussi avec mon équipe, on faisait la fête tout le temps. Alors autant qu’on se le dise, devoir être prête dans moins de deux heures pour rentrer à Boston voir Dimitri, le cousin de Cole, et bien c’est presque insurmontable pour moi, mais j’avais promis à Cole que je viendrais voir Dimitri car il est un bon ami à moi. Je fini par regarder la bouteille avec dégout, et je me blotti contre Elyas, écoutant ce qu’il disait avec beaucoup d’attention. Visiblement celons lui, oui j’avais changé, était-ce en bon ou en mal ? Je pense en mal pour le point de vus d’Elyas.

« Mon grand-père ne me ferais pas la gueule, enfin je ne pense pas … Pour ce qui est de Roman, il est au courant, il est d’accord pour le baiser, après je ne sais pas comment m’y prendre pour lui avouer mes sentiments. Et puis tu me vois lui dire Salut Roman, je suis fiancé à Abélard, qui ne te supporte pas, mais je t’aime. Non franchement, je ne sais pas si lui dire serais le bon choix. Et puis il mérite tellement mieux que moi. Je ne sais pas où elle est cette Danneel que tu as connus, je crois qu’elle se meurt jour après jours, qu’elle en à marre et qu’elle va très certainement décider de fuir pour toujours le pays. Plus sérieusement Elyas, je ne sais plus quoi faire. »

Je lui lance un regard avant de finalement me lever et fouiller dans les poche des vêtements d’Abel, il avait toujours un joint de secours caché, déjà rouler, plus que à fumer. Et là clairement, j’aurais bien bus encore, mais j’étais presque certaine qu’Elyas ne me laisserais pas boire un cinquième verre. Je pense que pour le coup je toucher le fond, sans grand conviction pour une rédemption. Mais la voulais-je vraiment cette rédemption ? Voulais-je être pardonnais de choses que je n’avais même pas commises ? Une fois que j’avais fini par trouver le petit trésor, je l’allume. Le chanvre brûlé m’apaise je m'évade loin des autres. Loin de cette humanité qui fait qu'on en oublie d'être humains. Notre bipédie nous a rendus prétentieux et pourris à l'intérieur. Je vendrais au diable tout le matérialisme humain, tout ce qui fait qu'on est des terroristes de nature, tous les liens qui nous unissent juste pour qu'on en ai plus rien à foutre. L'Homme est dégueulasse. J'veux courir à poil dans les près et m'abreuver de l'eau qui nous tombe du ciel. J'veux me laver dans une rivière glaciale et bouffer de l'herbe comme une chèvre. Mais j'suis coincé dans cette décharge de connerie humaine où on ne me fout jamais la paix. Je suis tout simplement une âme torturais. L’odeur envahis la pièce et bientôt mon crime s’avouerais par sa propre odeur. Elyas n’allais pas tarder à sentir très rapidement la puanteur de cette substance, alors que je tirais uniquement ma seconde latte.

« Je crois que je suis en train de tomber bien bas … »

Lâchais-je avant de tirer une fois de plus sur ce petit tube aux merveilles, avant de finalement plonger mon regard dans celui d’Elyas, si il venais à me retirer le joint des mains pour le jetter par le balcon, et me jeter moi avec, je ne pourrais que comprendre … Je commencer à être si noircie par la vie, par la pourriture des gens qui me prenne pour un pion, que j’en oublier ma santé, ce qui pour Elyas, est important car cela représente le centre de sa scolarité. Et je le regarde, le regard vide de toute expression, simplement dévasté par les évènements récent. Et je ne suis plus que l’ombre d’un démon en phase de sommeil, prête à imploser à tout moment, et emportant avec moi tout ce que je pourrais détruire. Ma chute allais être diaboliquement dévastatrice, il me suffisait d’un petit rien pour que je pête définitivement un plomb.

« Je crois qu’en fait … Je devrais juste disparaître … Au final, la plus belle note de notre vie, c’est quand même la mort, après tout qui échoue sa mort ? C’est le moment qu’on réussit tous avec brio. Je devrais peut-être juste la réussir avec beaucoup d’avance. » ma tête se remplissait à mesure que je tirais sur ce joint, de sombre idées.

Je voyais combien elle semblais détruite et sans sentiment, du moins je voyais bien qu'elle commençais à laisser tomber son côté sentimental, pour celui de la vengeance et des conflits sans pensé aux conséquences, sans pensé aux gens qu'elle peut blesser ou laisser de côté puisqu'elle pense que tout le monde pourrais ce servir d'elle. Je m'en sentais davantage triste parce que je voulais être celui qui pouvais l'aider et faire en sorte qu'elle redevienne celle que j'ai connue mais est-ce qu'elle a envie de redevenir cette fille là ? J'en sait strictement rien, je n'arrive pas à entrée dans ses pensées alors je la serre contre moi quand elle viens se blottir contre mon torse et je l'observe longuement en écoutant ce qu'elle me dis. Elle penses que ça ne sert à rien de dévoilé ses sentiments au garçon qui lui plais parce qu'elle se pense perdu et sans rémission possible. Pourtant je suis persuader qu'elle n'a rien fais de mal, qu'elle ne porte pas que tout ses tords, elle prends aussi le fardeau des autres, pour les fautes qu'elle n'a pas causer. Quand elle se lève pour prendre une clope, ce que je pensais être au début je suis légèrement surprit et j'en finit mon verre d'un seul coup le reposant avant de sentir l'odeur de la chose. Un joint. Je soupire et je l'observe un moment avant de prendre une décision que je pourrais regretter plus tard mais à ce moment-là, je m'en tape. Je me lève et je m'approche d'elle en souriant légèrement je lui prends le joint des mains la regardant dans les yeux doucement et je place le joint entre mes lèvres j'en tire une staffe lentement, laissant la fumer entrée dans mes poumons et m'inondé de la douce chaleur qui est sensé te détendre et te faire aller bien pour un temps.

« Pour commencer, tu devrais stopper de porter les tords des autres et être légèrement plus égoïste, pense à toi et a ton bonheur. A force de vouloir contenté les autres tu t'écroulera sous le poids de leurs fautes. Puis je pense quand même que tu devrais lui dire que tu l'aime, que ton cœur lui appartient, parce que c'est le cas n'est-ce pas Dann ? »

Je souris sachant que j'ai toucher la corde sensible et je tire une nouvelle staffe du joint que je tenais en main avant de le lui rendre, retournant sur le canapé ou nous étions installé un peu plus tôt. Quand enfin elle me dis qu'elle veux disparaitre en finir avec elle, je ne peut pas empêcher de faire naître une grimace sur mon visage, je fronce ensuite les sourcils et je tiens son regarde.

« Est-ce que tu pense à ce que tu dis des fois ? Dann, tourne sept fois ta langue dans ta bouche avant de dire des bêtises comme ça, s'il te plais. Franchement... Et puis, je ferais comment moi sans toi ? Tu sais bien que j'ai besoin de toi dans ma vie, si tu disparaît, je le fais aussi voilà. »

Je la regarde très sérieusement dans les yeux pour qu'elle comprenne que je ne rigole pas, je ne pourrais pas survivre si elle venais a disparaître. Elle est mon amie, très proche et je passe quasiment tout mon temps avec elle, ce n'est pas possible qu'elle penses a ce genre de choses, je vais tomber aussi bas qu'elle pense l'être pour qu'elle se reprenne je veux qu'elle me revienne, comme je l'ai connu.

J’étais debout là é déblatérer mes conneries, une fois de plus je ne savais plus où j’en étais et ma vie semblais devenir un simple puzzle de souvenir plus sombres les uns que les autres et parfois de très don souvenir comme mes retrouvailles sur la plage avec Elyas. Par moment je pouvais faire de très belles choses spontanément, comme sur cette plage et à l’époque durant cette soirée. Oui je pense fortement qu’Elyas et Sloan, ainsi que Amaël sont les seuls vrais amis que j’ai. Mais bref. Je le voyais soudainement terminée son verre et s’approcher de moi pour finalement prendre le joint et tirer une taffe dessus, je fronce les sourcils, non c’était impossible, pas lui, pas Elyas. Il ne pouvait pas si simplement faire les mêmes conneries que moi. Je fini par soupirer. Et voilà qu’il me dit que je devrais être plus égoïste. Je soupire une nouvelle fois. Il avait raison sur tous les points, j’aimais Roman, et je devrai penser plus à moi. Mais à quoi bon. Je reprends le joint quand il me le rend et je le vois reprendre place sur le canapé. Je fini le joint avant de le lancer par la fenêtre. Je m’installe à côté de lui.

«Oui je l’aime, mais tu crois que je devrais le lui dire ? Après tout quand on regarde bien la situation, n’importe quel homme saint d’esprit à sa place prendrait la fuite, je suis fiancé avec un homme qu’il ne supporte pas, et vice versa, et je suis là à essayer de fuir. Je sais plus enfaite. Je ressens des choses, mais je ne trouve pas les mots, dois-je m’en aller, dois-je oublier ? Partir et tout recommencer ailleurs ? Tu crois que le temps arrangera les choses ? J’ai l’impression que les problèmes me collent par moment. »

Je le vois alors grimacer lorsque je lance le sujet d’en finir avec ma vie, de ne plus être obliger de vivre toute cette vie de merde. Dure à comprendre, mais par moment de sombre idée peuvent traverser la tête des gens qui vive des choses pas simple. Dans tous les domaines par ailleurs. Mais d’un côté je pouvais comprendre sa réaction, il tenait à moi tout comme je tenais à lui, je crois quand dans la situation inverses j’aurais fait la même chose que lui, je me serais braquer sur la réflexion et je lui aurais fait une leçon moralisatrice. Je voulais lui demander pardon, mais j’étais prise au piège par ma fierté. Lorsque soudain il dit que si jamais je disparais, alors lui aussi, mon regard se pose sur lui. Alors sa hors de question ! Je m’assois sur lui à califourchon. Je pose mon index sous son menton et je lève son regard dans le mien.

« Hors de question, tu m’as bien comprise ? J’ai besoin de toi aussi dans ma vie bébé. Mais tu comprends, en ce moment c’est dure. Je ne sais plus trop ce que je veux, et puis regarde-moi, je couche avec mon chef d’équipe, et avec des tas de garçon pour essayer de fuir l’évidence, que je suis amoureuse de Roman. Je fais tout pour être certaine de ce que je ressens. »

Mes lèvres se pose sur c’elle de mon ami. Par moment je pouvais être très paradoxale comme fille. Spontanément, et certainement à cause de l’emprise de la drogue, de l’alcool, la chaleur risquait de monter une nouvelle fois entre moi et Elyas, mais la simple idée qu’il est évoqué de lui aussi disparaître m’avais fait comprendre que à n’importe quel moment je pouvais le perdre, et sa je refusé. Je le voulais une fois de plus. Egoïstement, je voulais qu’il ne soit qu’à moi. Je n’avais pas d’amour envers Elyas, mais une très forte amitié un peu améliorée. Je décolle mes lèvres de sienne, toujours assise sur lui, je plonge mon regard dans le sien, attendant de voir si il aller partager mon envie ou non.

Je sentais bien qu'elle étais perdu quant à ces histoire de cœur, de sentiment et tout le reste elle avais besoin de quelqu'un pour lui remonté le moral et elle avais besoin de moi pour l'aider à remonté la pente sinon jamais elle ne nm'aurais poser tout ces question comme elle venais de le faire. Avoir mon avis comptais beaucoup pour elle et j'en était pas des moindre content parce que sa prouvais qu'elle prenant en compte mon avis. Puisque j'était son amis avant tout et que je me devais de rester le plus franc et direct comme le signale mon caractère. Je regarde et je voit bien dans son regard qu'elle est déçu que je fume aussi comme elle son joint avant de retourné sur mon canapé pou elle finit bien vite par me rejoindre je la fait tournée vers moi et je la regarde dans les yeux grandement intéressé par ce que je vais dire. « Écoute Dann, tu sais que je t'aime vraiment beaucoup, tu est mon coup de cœur et aussi une personne importante pour moi, je sais bien que parfois je peut être chiant et que tu doit en avoir marre que je vienne avec mes super discourt moralisateur, mais sache que si j'était à ta place, je serais une femme déjà ! » Je ris de ma blague pour la détendre une peu avant de glisser mes doigts sur sa joue. Ce geste se voulant tendre quant à la suite de mes paroles. « Mais ma belle, si tu veux vraiment cet homme là, ce Roman, il va falloir lui en parler lui dire, parce qu'imagine maintenant une femme viens avant toi et lui montre son intérêt, tu sera sans doute arrivée trop tard et là tu t'en voudra parce que tu te dira que tu avais la possibilité de changer les choses et tu ne l'auras pas fait. Tu t'en voudra et tu plongera encore dans cette personne que tu n'aime pas être ma belle. » Je me voulais des plus sérieux dans ce discours je voulais qu'elle ouvre les yeux, elle aime ce gars c'est pas possible de voir ça autrement. Hors de question qu'elle passe au travers d'une histoire d'amour qui peut être l'une des plus belle qu'elle n'aura l'occasion d'en voir dans sa vie. Ce genre d'histoire ce sont des histoires qui n'arrive qu'une seule fois dans une vie et elle ne voudrais certainement pas passer à côté de ça. Elle s'installe a califourchon sur moi et me vole un baiser tout en m'engueulant presque d'avoir ce genre d'idée dans finir avec ma vie si elle n'en fais plus partie. Elle me dis qu'elle couche à droite et à gauche parce qu'elle ne sait plus ou s'y retrouvé dans toutes ces histoires de cœur. Elle dis aussi qu'elle a besoin de moi dans sa vie et je souris davantage posant mes mains sur ses hanches. « Ma belle, j'ai aussi besoin de toi dans ma vie, alors tu va vite arrêter t'es bêtise tu va te reprendre, tu va voir ce gars tu va lui dire que tu l'aime et que ton cœur lui appartiens envers et contre tout. Tu verre si tu commence comme ça ta vie ne peut que s'améliorée d'accord ! » Je m'approche d'elle et je pose mes lèvre sur les siennes pour l'embrasser tendrement, pour lui donné du courage pour la suite mais clairement c'est aussi parce que j'en ai envie et besoin en cet instant.

J’écoutais ses paroles avec attention. Je ne voulais pas louper une seule parole d’Elyas. Et lorsqu’il eut terminée, je ris de sa blague. Il était réellement mon plus gros coup de cœur, et l’un des meilleurs amis que je pouvais avoir. Je lui souris. Je plonge mon regard azure dans le sien, avant de finalement prendre la parole. Je devais lui faire savoir à quel point lui aussi été important pour moi. « Elyas, tu le sais, tu comptes tellement pour moi aussi, tu es un coup de cœur, et le garçon le plus important de ma vie, et crois-moi tu n’es ni chiant, ni moralisateur, tu es juste et sincère, et c’est ce qui fait que tu es toi et que je t’aime. » Oui je l’aime, c’est le plus important des amis que j’ai avec Sloan, et l’un comme l’autre je refuse de les perdre. Mon regard est toujours plonger dans le sien lorsqu’il parle de Roman et qu’il pose sa main sur ma joue. J’apprécie ce geste de tendresse juste quand il est suivis d’un discourt que j’aime moins et qui est pourtant tout aussi vrais que le précédent. Je soupir légèrement, le simple fait de pouvoir passé à côté de ma chance avec Roman me faisait peur. « Tu as certainement raison, je vais lui en parler, mais pour le moment je suis avec toi, et j’ai envie de rester là. Et puis Roman est avec son équipe en plus, et je crois qu’ils sont en sortie actuellement. » Une fois installer sur lui et lui avoir volé un baiser, je me suis mise à l’engueuler à moitié sur l’idée qu’il avait eu. Lorsqu’il pose ses mains sur mes hanches, je me sens comme en sécurité. Je me ressers un peu plus à lui, ne laissant presque plus de place libre entre nos deux corps. Je le laisse parler. Soudain il me rend mon baiser. Un sourire ce dessine sur mes lèvres, et je rougie, comme une fillette toute intimidée. J’avais besoin de lui de ces moment entre nous, et puis tant que nous étions célibataires, autant en profité, nous avions besoin l’un de l’autre et sa personne ne pourrais le changer. « Elyas, tu sais même si j’avoue tout à Roman et que lui est moi on termine en couple, tu seras toujours l’homme le plus important pour moi. Et tu passeras toujours avant tous les autres, tu le sais. » Oui je serais toujours présente pour Elyas, que je sois en couple ou non.