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Théo Alec Blackburn ► Colton Haynes

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Theodore
Blackburn
feat Colton Haynes
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Nom ; Blackburn un nom de famille précédemment réputé pour l'honneur, la fierté et la bravoure à Détroit. Aujourd'hui, c'est juste le nom de familleau déstin tragique de cette même ville Prénoms ;Deux magnifiques prénoms que ta mère t’a choisi. Théodore même si le monde entier t’appelle Théo, sauf ton géniteur, heureux de te briser les cheveux, jusqu'à tes dix-huit ans et Alec plutôt  colombien américain. Un prénom que tu aimes bien, même si tu préfères de loin Théo. âge ; Tu as 24 ans pour le plaisir du monde, l’âge légal pour réaliser toutes les conneries que tu faisais déjà depuis tes dix-huit ans.  Même si le quart de siècle arrive lentement mais surementorientation sexuelle ; Aux dernières nouvelles, tu aimes les femmes, donc hétérosexuel semble être ton orientation.  statut social ; T'as déjà galéré à avoir de l'argent pour rentrer à Harvard, alors sérieusement, niveau argent, tu galères pas mal pour rejoindre les deux bouts, même si le travail de voleur passe légèrement moins bien dans un CV. A ce qu'il parait. date et lieu de naissance ; Tu as la chance d’être né à le 18 mars. Une date de merde, faut le dire, faut carrément bien le dire, mais à Détroit, à ce qu’il parait, c’est une bonne date. nationalité ; Un  américain grâce à ton lieu de naissance, même si quelque chose, le sang colombien que tu portes refait souvent surface études majeures ;Tu es en Mécanique, c'est ce que tu as toujours fais, bien que le vol ne soit pas une dicipline. études mineures ; Et finalement, tu as décidé de garder le Sport un domaine qui te va tout à faire face à ton tempérament.groupe #1 ; Students crédits ; BALACLAVA (avatar) tumblr (gif)


STUDENTS
  T'as rien à faire dans une maison. T'es libre de tes choix, de tes fréquentations et encore plus de casser les genoux à qui tu veux. Ton côté rebelle et indifférement laisse souvent planer ce désir de non contrôle et de non respect des règles. Ton problème c'est que tu penses qu'à les enfreindre.

De plus, tu n'as pas la carrure de rentrer chez les Eliots. Même si la fête et les soirées t'adorent, tu ne te sens pas l'âme d'un Mather. Niveau Quincy, tu serais capable de voler dans les caisses de la maison pour pouvoir aider ta famille. Les Cabot, tu n'es pas du même sexe qu'eux. Même si les rouges sont des grands sportifs et tout ce qu'il va avec, tu préfères de loin ta liberté et ta vision des choses. Quant aux Lowell, tu serais capable de faire retourner la maison en deux jours, si tu vivais avec eux ...
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
 Tu n'y étais pas, faut dire que tu n'étais pas encore rentré dans cette université. Et pourtant Ailis n'avait pas non plu été touché, une chance pour vous deux. Tu as donc eu des écos des choses qui se sont faites mais personne de ta famille n'a été touché donc disons que tu n'en fous un peu de tout ça. Et heureusement pour toi. Etre pour être honnête. Chacun sa merde, toi t'étais pas là donc tu t'en fous royalement ...
APRÈS LE TREMBLEMENT DE TERRE AU CHILI.
Le Chili, une ville totalement superbe et impossible à savoir si le tremblement avait réellement tout détruit. Tu y étais, tu avais fais le voyage pour t'amuser, tu avais fais le voyage pour t'éclater et contrairement à ce que tu pensais, tu étais plutôt inquiet pour tes frères que pour toi même.
Tu étais parti en forêt avec tes amis pour passer la journée entière en terre inconnue. Manque de bol, le tremblement arriva au mauvais moment. Il avait tout détruit sur son passage et toute la couverture réseau était mort. Et surtout, impossible à joindre quiconque. Tu avais donc passé la nuit entière dans la forêt, prenant le temps de rentrer lentement mais surement, en faisant attention à tout ce qui vous entourait. Et vous voilà, après des jours de voyage en forêt dans la villa que vous habitiez. Bon, tu avais eu le droit à quelques égratignures et quelques bleus avec une cheville dans le sac, donc merci le SB au Chili.
TON ADMISSION A HARVARD
Tu as pas mal galéré pour rentrer à Harvard. Ton frère y était déjà, ta soeur depuis le début de sa scolarité et toi, tu as bien sur attendu un an avant de pointer le bout de ton nez et faire chier le monde. Tu devais avoir l'argent, réunir un bon dossier et finalement, tu as bien galéré.

Niveau argent, tu as simplement décidé d'en trouver rapidement. Donc, bien sur, à ce niveau là, le vol n'était pas raisonnable, donc tu as trouvé ce job, comme payer tes études. Tu couchais avec des femmes, qui bien sur était très généreuse pour pouvoir rapidement te payer une bonne année d'études à Harvard. En ce qui concerne le dossier sans casier judiciaire, bah ta soeur t'a bien aidé. Ailis a légèrement sous doute enlever tous les petits délits de ton casier. Juse légèrement, ce qui t'a un peu aidé, un peu beaucoup. Et puis, le doyen est cool, la preuve, il t'a accepté ..

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Nightbird et j'ai 20 ans. Je suis Française et j'ai connu le forum grâce à je sais plus, j’ai dormi depuis :mdr :.   Le forum est magique, sublime, avec une vraie uniformité dans l’intégration je  suis déjà présent sur le forum sous les traits de K. Hayden Bushnell (Richard Baker) > MH et Andréa L. Grimaldi (Sonny Henty) > EH J'utilise Colton Haynes comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par tumblr. Je fais environ nombre que vous voulez et mon personnage est un personnage semi inventé

Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
adhérer un flood d'intégration (?)
je veux être parrainé si oui, par pseudo du parrain (voir la liste des parrains)
je participe au summer camp

Je recense mon avatar
si personnage inventé:  
Code:
[size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/u7535]►[/url] ► <span class="pris">COLTON HAYNES</span> ♦ “ Théo A. Blackburn ”[/size]


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"Quand est-ce que tu vas réellement grandir dans ta tête papa, maman est morte, elle ne reviendrait jamais, tu as merdé en essayant de la sauver. T'es qu'une merde, rien d'autre .." Théo à son père
NAISSANCE
  « Charlie ? » Elle souffle, elle souffle une nouvelle fois alors qu’elle caresse son ventre déjà bien rond. Les enfants que portait cette femme était un vraie miracle pour la famille, bien que ce soit compliqué quand même. Mais, ils étaient là et maintenant il va falloir l’assumer. La future mère, encore une nouvelle fois, regarde son mari pour ajouter un nouveau prénom « Martin ? » Elle souffle une nouvelle fois et voilà en train de bouger en elle, sachant pertinemment que les dernières heures vont être compliqués. Elle est allongée dans son lit d’hôpital à encore choisir ce prénom. Ce prénom qui sera à jamais le tien. Qui aurait cru que cela arrive aussi rapidement. Voilà voilà les derniers, du moins tu l’espères d’une grande famille. Il y a tes deux frères seront bientôt très heureux de te voir. A croire que c’était obligé que tu naisses, tu devais terminer cette famille en beauté. Ta venue n’était pas réellement prévue. Elle ne devait pas tomber enceinte mais elle a décidé de le garder d’un commun accord avec son mari, ton futur père. Et ce fut finalement un choix facile de t’aimer dès qu’elle t’a senti dans son ventre. « Maxime … » Elle sent que vous commenciez à trop bouger et finalement, elle hurle. La contraction est trop forte et elle a mal, trop mal, tellement mal que ton père se dépêche de l’embrasser pour lui sourire grandement « Le prénom que tu veux mon amour, quoi qu’il arrive, il sera magnifique » Elle rigole doucement, oui, parce qu'elle a déjà celui de la petite fille sauf qu' il ne manque que le tien, mais elle a mal, trop mal. Tu vas arriver, tu vas finir par sortir de là, et lui faire mal. Et c’est ce qui se passe. Tu mets du temps à sortir à cause d’une complication mais ce troisième accouchement est aussi beau que celui de ton ainé. Te voilà, enfin. Tu cris, tu hurles, tu essayes de te calmer mais impossible, tu as du mal à le faire. Te voilà contre la peau de ta mère, un silence se fait entendre, tu es plus calme, bien plus heureux, bien plus propice à être un bébé en bonne santé et moins pleurnichard. « Théodore.. Il s’appellera Théodore » Elle t’embrasse lentement le front avant de sourire grandement à ton père. Te voilà enfin libre de son corps. Tu te prénommes ainsi Théodore Alec Blackburn pour le bonheur de ta famille et le malheur de ta vie.

FIVE YEARS
Tu es encore qu'un gamin quand tu comprends que le monde autour de toi n'est que mensonge. Tes parents ne sont pas si riches que ça, ils t'offrent le meilleur. Ta mère est une enseignante modèle et cela est tout le contraire de ce que tu pensais. Ton père est flic et malgré les journées à l'intérieur du poste de police, tu as peur d'eux. Et finalement, tes frères et ta soeur sont tout le temps là pour toi. Tu ne comprends pas tout, c'est vrai, tu ne comprends pas tout ce qu'ils disent mais tu as cinq ans. Cinq ans de conneries, de rire, d'absurdité, et pourtant, tout le monde a laissé le Théodore gamin, pour Théo le petit homme. Parce que Théo, c'est plus cool, plus simple, plus intéressant et surtout parce que tu préfères. Et puis c'est plus simple pour écrire et prononcer. Cela dit, tu as peur de tout perdre, tu as peur de tout casser, parce que tu es comme ça depuis ton plus jeune âge. Allongé sur ton lit, tu regardes ton plafond alors que tu regardes ta mère t'asseoir à côté de toi, tu souris doucement. Elle s'allonge à côté de toi, silencieusement et tu parles en premier. « Tu aimes papa hein ? Tu partiras pas ? » Tu tournes la tête vers ta mère qui te regarde en fronçant les sourcils. « Bien sur que j'aime ton père, plus que tout au monde, comme toi mon fils. Tu es mon petit crapaud, tu es ma petite fierté, tu es mon petit ange aussi. Enfin quand tu le veux. » Elle te chatouille, tu rigoles alors, et aussitôt, tu te mets sur elle pour la prendre dans tes bras. Tu sais que cette paix est fragile, tu te connais, tu penses même que tout pourrait être destructeur, tu sais que rien est beau, rien est formidable. Dans tous les dessins animés c'est comme ça, il faut cette part de tragique dans ce monde de bisounours alors ici aussi. Tu le sens venir ce danger..

TEN YEARS
Assis dans les escaliers, tu écoutes la conversation entre ton père et ta mère. Tu sais que tu devrais être au lit, tu sais que tu devrais être en train de dormir et tu sais aussi que tu ne devrais jamais écouter aux portes mais ils s'engueulent depuis tellement longtemps. « Tu sais très bien que personne n'est en sécurité, ce sont des fous dangereux. Ils ont déjà tué tellement de monde chéri, fais en sorte qu'il n'y est pas d'autre victime .. » Tu entends un soupir mais tu ne vois rien, tu ne sais pas ce que fais ton père. « J'espère, mais à chaque fois, on arrive pas à les coincer. Ils sont trop fort. Ce sont des trafiquants, ils ont des ressources, des engins et sans doute des taupes dans le service. Qu'est que tu veux faire avec ces gens là ? Ils ont tués des enfants, des mères de familles et sans doute plus qu'on n'a pas découvert ... » Tu entends ta mère marcher, tu commences à remonter mais finalement, elle s'arrête alors que tu distingues un bruit de bisou. Ou ça ? Peut importe finalement. « Alors ne les emmènent pas au tribunal. Ce genre de personne doivent être tués sur le champ. Tu n'en peux plus de cette affaire, ça se voit, tu ne dors plus, tu ne manges plus et tu ne prends plus de temps pour les enfants.. Tout le monde s'inquiète. Tu rentres tard et quand tu rentres, tu as encore du travail. Si ces fous furieux doivent détruire des vies, ça ne sera jamais la notre, non. Fais en sorte de l'arrêter .. Surtout pour les enfants .. » Tu entends d'autres pars alors que tu vois ta mère sortir de la cuisine, tu la regardes, elle a l'air d'avoir pleurer. Tu descends lentement les marches de l'escalier, alors qu'elle rentre dans sa chambre et toi, tu passes la porte de la cuisine pour regarder ton père avec une tonne de photos sur la table. Tu pinces tes lèvres, puis tu baisses la tête légèrement. « Pourquoi est-ce que maman est triste comme ça ? » Il ne t'a pas vu et finalement, il range rapidement les photos pour se lever et venir à ta hauteur. Il se baisse, ébourrifant tes cheveux pour te gronder mais il soupire. « C'est rien Théo, tu devrais aller au lit, tu as école demain je te rappelle. Allez, va, je m'occupe de maman et tu t'occupes de dormir d'accord. » Il te fait un câlin, cela te fait du bien et il quitte la pièce pour partir dans la chambre. Tu éteins la lumière pour marcher jusqu'à l'escalier, et ils discutent encore ou s'engueulent à voir. Tu ne sais pas, et tu n'as pas envie de savoir. Cette affaire, encore et toujours cette affaire stupide..

"Est-ce que ça te plairait que je te dise que tu es toute ma vie Monroe ? Tu es ma vie, tu as mon coeur et jamais je ne te ferais du mal .. T'es la femme de ma vie chéri" Théo à Monroe
THIRTEEN YEARS
Le silence dans cette salle, tu es posé sur ce banc froid alors que le monde entier te présentait tes condoléances. Tu ne sais pas quoi dire, ton frère reste calme, simplement fort comme tout le monde, ta sœur est en pleure, mais toi, tu es sans émotions, sans âme, sans rien du tout. Tu as tes mains dans les poches, la veste que tu portes, noir bien sur, est ouverte et tu avances en quittant le lieu. Tu marches, tête baissée, en entendant des Oh le pauvre ou les petits il pleure tellement qu’il est obligé de partir.. mais finalement, ce n’est pas pour ça. Tu arrives dehors, alors que le monde te regarde, tu ne sais pas quoi dire, ni quoi faire. L’extérieur de l’architecture est simplement orné de fleurs et toi, tu ne penses qu’à quitter ce lieu. Alors tu te poses sur le banc à côtés de ça. Silencieux, jouant avec tes pieds qui ne touchent pas le sol. Un gamin de treize ans vient de perdre sa mère, il vient de perdre sa vie, il vient de perdre son repère dans ce monde. Tu souffres de l’intérieur alors qu’une personne te sourit et vint t’asseoir difficilement. Ton regard est posé sur la route, silencieux, tu penches ensuite la tête vers le sol. Exprimer ses sentiments, tu n’as jamais fais, mais la main de cette personne se pose rassurante sur ton épaule. Tu souris faiblement, lever les yeux pour voir le visage de ton père. « Tu sais mon fils, c’est normal de réagir comme ça. Vous réagissez tous différents, et c’est souvent par le silence que tu as l’habitude de réagir Théo .. C’est normal .. » Tu restes silencieux, tu pinces légèrement tes lèvres pour finalement souffler un coup, une première fois, puis une seconde avant de hocher la tête. « Je lui ai même pas dit au revoir. Elle est partie au travail, sans que je lui dise au revoir, et je lui dirais jamais au revoir .. » Il embrasse ton crâne, tu ne dis rien d’autres alors que tu le prends dans tes bras lentement. « Ce n’est pas ta faute … Ca ne sera jamais de ta faute, non jamais » Il t’embrasse le crâne une nouvelle fois, caressant ton dos avant de te reculer légèrement. « C’est de la faute de qui alors ? C’est de la tienne ? Celle d’Hugo ? Celle d’Ailis ? Si c’est pas la mienne, c’est forcément la faute de quelqu’un .. Si tu avais arrêté le meurtrier avant, il aurait pas tiré sur maman et elle serait encore là ! En fait, c’est de ta faute, rien que de ta faute et ça sera toujours de la tienne.. T’es le responsable de sa mort ! Tu peux t’en prendre qu’à toi ! » Tu le poussas pour te lever alors que tu enchainas aussitôt « Tu es nul, tu as tué maman, c’est ta faute et tu peux t’en prendre qu’à toi ! A cause de toi, on va devoir vivre avec ça et tu pourrais jamais la ramener, t’es vraiment nul » Tu sentis le vent s’abattre alors que la main de ton père se posa sur ta joue, tu avais la tête penchée par le cou et tu regardas le vide. Puis un silence. Tout semblait si flou, les larmes sur dans tes yeux qui défilèrent lentement sur tes joues, tu reculas. « T’es un connard ! Un gros connard ! Va te faire foutre ! Connard ! » Et tu commenças à courir, plus vite, moins vite, tu courrais. Tu ne savais pas où, tu ne savais pas combien de temps, tu courrais sans but, sans rien, tu avais besoin d’extérioriser la mort de ta mère et ça ton père ne comprendrait sans doute jamais malheureusement.

FOURTEEN YEARS
Tu n’avais rien à faire ici. Ton père était du genre à toujours voir le mal partout, et pourtant, cette fois-ci dans le bureau de la directrice de l’école, tu te sentais un peu, beaucoup, même trop enfermé. T’es presque claustrophobe à force de te retrouver seul dans une pièce à attendre que les deux heures de colle. Tu as les droits croisés, le regard vide, tu penses à ta mère qui doit surement être dans sa tombe en train de se retourner d’entendre son mari péter un câble sur son dernier fils. Mais bon, c’est toujours comme ça. Tu entends alors le « Tu crois que ta mère serait heureuse de te voir comme ça ? Aussi .. Délinquant que ça ! Elle t'a pas élevé pour que tu deviennes un connard de première, un gamin qui ressemble un taulard » Tu fronces les sourcils alors que tu tournes les yeux vers lui, la directrice passe du teint beige à blanc. Tu ne sais pas quoi dire, mais tu serres les dents, pour ensuite le regarder dans les yeux. La guerre est déclarée, la guerre est lancée entre ton père et toi. « Aux dernières nouvelles, c'est toi qui te met minable avec l'alcool » De là, tu vois ton père changer lui aussi de couleur, passant de la colère à l’énervement, à la tuerie. Tu sais que t’as peut-être abuser, tu sais aussi que peut-être tes paroles étaient trop crus, mais tu es fier de toi d’un côté. Tu pinces tes lèvres alors que tu te lèves à ton tour pour faire face à ton père. Quoi ? Bien sur que tu pouvais le frapper mais pas devant cette femme qui est aussi terrorisé derrière son bureau. Mais bon, tu t’en occupes pas et ton père commence à parler sans que tu t’en aperçoives. « Ne change pas de sujet Théodore bordel ! On parle de toi là, des flics et du bordel que tu fais en ville » Ses paroles sont encore en mémoire, et le souvenir de ta mère te reste encore en mémoire.. Tu souffles un coup pour ajouter tellement naturellement, que tu prends ton sac pour quitter la pièce « Mais au moins, je fais quelque chose moi, j'ai pas la forme de son corps sur le canapé » Tu décides de te tourner vers la directrice qui assiste à la chose impuissante pour prendre une voix bien plus douce et bien plus simple que tout à l’heure « Je connais la sortie, bonne journée madame » Bon niveau respect c’était compliqué d’en avoir avec lui. Mais ton père était en colère, toi aussi et cela risquait d’être compliqué de se parler. Tu quittas la pièce, main dans la poche alors que l’autre tenait ton sac, tu ruminais ses paroles et les tiennes alors que tu entendis simplement ton prénom, tu tournas la tête pour découvrir ton père. Au milieu de la cour de l’école, le silence régna ensuite, vous étiez comme deux idiots, mais tu humectes tes lèvres pour ajouter « Pas besoin de faire semblant d’être la figure paternelle que l’on veut ! T’es nul dans ce rôle avec moi point barre. Essaye juste d’être un bon père pour Ailis, elle en a besoin elle. Comme tu l’as dit, je suis un tolar, un délinquant, je suis irrécupérable. » Rancunier, tu te recules pour ensuite reprendre ta marche. Manque de bol, il prononce de nouveau ton prénom mais cette fois-ci en entier. « Théodore » Tu passes ta main dans tes cheveux pour souffler et te tourner vers lui. « Quoi ? Qu’est que tu as encore ? Tu veux t’accabler ? Tu veux te faire pardonner ? T’as foiré, point barre. T’es qu’une merde point barre. T’es rien et tu ne saurais jamais quelqu’un de bien. Retourne te noyer dans l’alcool et dire que tout est de ta faute, parce que oui. Si elle est morte, c’est ton problème, t’étais incapable de la protéger ! T’avais qu’une chose à faire, une seule et t’as pas le faire ! Alors oui, elle est morte par ta faute ! » Tu es énervé, en colère, et malgré tout, tes yeux sont légèrement humides, tu ne baisses pas le regard, tu fixes ton père qui baisse la tête et tu recules cette fois-ci, déterminé à quitter le collège pour te rendre chez toi, à pieds, pour être sur de le croiser le plus part possible.

FIFTEEN YEARS
Assis sur le canapé, bras croisés, tu regardes la dame en face de toi. Elle est habillée en tailleur très chic, talons très chic, bref, une encore qui a de l'argent et qui n'a pas besoin de travailler. Mais voilà. Tu es en face de toi, seul, dans ce silence parce que dans ton père pense que tu as besoin d'aide. D'ailleurs, elle aussi elle le pense, tu souffles qund tu l'entends Qu'est qu'il vous arrive Théodore, dites moi tout .. Tu te lèves pour observer ses fameux diplomes accrochés au mur, tu croises les bras sur ton torse pour froncer les sourcils Et vous couchez avec mon père depuis combien de temps ? Elle se sent bête, tu le sais, tu connais tes questions, et tu connais souvent la gêne que cela entraine. Alors tu enchaines Non pas que j'ai du respect pour vous, parce que ça serait vous mentir, vous êtes juste psychologue. Donc bon, ça fait pas de vous un flic. Et puis en plus, comme par hasard, y'a des centaines de flics qui passent dans votre bureau et sans doute sous votre bureau, donc mon père est forcément venu ici plus d'une fois en deux ans non ? Tu tournes la tête vers elle, elle fronce les sourcils Je ne vois pas de quoi vous parlez. Oui votre père vient mais ce n'est qu'un patient .. Et voilà tout ce qu'il ne fallait pas entendre. Tu souffles pour te rassoir finalement face à elle, tu en profites pour l'observer, tu penches même la tête sur le côté Alors expliquez moi pourquoi en deux ans de visites chez vous son état a empiré sérieux ? Il vous dit quoi ? Qu'il va bien ? Qu'il ne touche plus à l'alcool ? Qu'il ne frappe pas son fils ? Qu'il est l'homme parfait ? Mais en fait, vous êtes pas psychologue, vous êtes conne sérieux Dis-tu en riant avant de reprendre ton sérieux légèrement Donc mon père m'envoie ici pour parler de mes problèmes, mes gros problèmes bien sur, parce que sinon ça ne serait pas drôle, mais c'est lui a le plus de problèmes dans la vie .. Vous savez qu'il a été suspendu pour possession d'alcool au bureau. Bravo la figure paternelle. Oh et le pire c'est l'aide des devoirs  !Vraiment nul sérieux ! Mais elle te coupe rapidement la parole Nous sommes ici pour vous Théodore, pas pour parler de votre père vous savez, je suis ici pour vous aider et surtout pour que vous alliez mieux .. Mais finalement tu te lèves lentement Moi, je vais très bien. Parfaitement bien. J'ai juste grandi sans mère, sans père et avec seulement deux grands frères pour père et une grande soeur pour mère. Mon problème n'est pas d'ordre psychologique mais naturel. Mon père est une merde dans son rôle. Ma mère est morte parce que ce connard n'a pas compris qu'il était qu'un minable incapable de réellement protéger sa famille. Mais c'est moi qui est un problème. Tu te diriges vers la porte avant de l'entendre t'appeller par ton prénom. Apprenez à connaitre vos patients par contre, j'ai horreur qu'on m'appelle Théodore et qu'on me vouvouie. Et la séance est terminée ! dis-tu en quittant la pièce, en claquant la porte.


SIXTEEN YEARS PART 1
Un petit mouvement de tête, te voilà à regarder tout le monde dans cette cour. Tu souffles bien que Nick, fait encore le con à tes côtés. Tu tournes la tête vers lui, puis baisse cette dernière vers le sol. « Arrête de faire ça, mec t'es vraiment chiant ! » Tu souffles doucement en rigolant. Bah quoi ? Tu as le droit de faire ce que tu veux avec lui non ? Et puis, c'est pas comme si ton meilleur ami n'allait pas rire de la chose non ? Tu reprends ton regard sur la cour, une cour remplie de personnes si détestables et personnelles. A moins que ce soit toi qui soit comme ça. « Jane a changé de groupe de potes ? » lances-tu finalement à Nick. Tu le vois s'arrêter de faire le con pour regarder dans la même direction que toi. Mais il commence à rire. Y'a rien de drôle là-dedans mais comment toujours, il trouve toujours le moyen de rire. « Non, c'est juste qu'elle a accepté une nouvelle, Monroe, je crois.. Pourquoi ? Et puis, tu t'intéresses jamais à ce que fait Jane, pourquoi .. » Pas besoin de terminer sa phrase, tu es déjà debout, sac en main, tu avances vers les jeunes femmes. « C'est parce que Jane est coincée et ne s'intéresse à rien qu'à ses bouquins ! » Dis-tu en retournant vers ton meilleur ami. Mais te voilà déjà presque aux filles. « Et je vais juste leur dire bonjour  » Il souffle, tu souffles. T'es impossible. En fait, tu as juste envie de rire un peu et c'est ce qui se passe quand tu arrives face à elles. Un sourire sur le visage. Tes bras se déposent sur les deux jeunes femmes dont les prénoms t'ont encore échappés et tu regardes les deux autres dans les yeux. Jane, puis cette fameuse Monroe, un sourire en coin des lèvres. « Tu nous présente pas Jane ? » Elle souffle légèrement, croisant ses bras, bien que Nick arrive à votre hauteur, tu sens qu'elle est tendue, tu souris en coin. « Très bien, je vais les faire moi même alors... » « Monroe, je te présente Nick, mon petit ami et Théo son meilleur ami. Tu n'es pas obligé de lui parler, ni de lui adresser un seul sourire. C'est un connard fini ! » Tu souris en coin. Elle t'a coupé la parole, mais tu souris. « Connard fini peut-être pas. Juste, je sais ce que je veux. Et arrête de bien vouloir dénigrer le mot connard Jane ! Enchanté du coup Monroe. Tu viens d'où ? » Elle croise les bras sous sa poitrine avant de te sortir un ... Tu souffles. Ca commence les problèmes. Mais quand tu t'apprêtes à répondre, cette dernière s'en va, tu souffles un grand coup. « Sympa la politesse celle là ! Je l'aime bien. » Tu souffles, tout le monde te regarde violemment, tu lèves les bras pour commencer à marcher vers la jeune femme qui s'en va « Okay je vais la chercher ! Mais j'ai rien dis ! » Tu passes ta main dans tes cheveux. Elle a déjà rejoint le couloir et tu arrives à la rattraper. Ta main prend le sienne doucement, tu la retournes, mais tu t'attends à tout avec elle maintenant. « Je connais les gars comme toi. Là, tu vas t'excuser alors que tu ne le penses pas. Ne cherche pas, je ne suis ni intéressée par toi, ni par tes excuses, ton jugement, ta vie ou tout ce qui touche à toi d'ailleurs ! » Au moins c'est direct. Tu fronces les sourcils pour rigoler néanmoins doucement. « MAIS ! Je suis sur que tu peux m'apprécier. Laisse moi te le prouver. Okay, je suis peut-être un connard, mais un gentil connard d'accord.. Et donc, je peux être cool quand je veux. En plus, tu viens d'arriver, on est en janvier, donc tu as besoin de potes. Et je peux être gentil, je te jure.  » Elle te regarde, elle est froide comme la glace mais elle souffle aussitôt. « D'accord, Pari tenu ! Tu as jusqu'à la fin de l'année scolaire, pour me prouver que tu n'es pas un connard fini et que je peux t'apprécier à ta juste valeur. Mais fais attention, je suis difficile. » Pari tenu ! Tu vas t'amuser.


" Je sais pas ce qui est le pire Ailis, le fait de la laisser tomber à Détroit, de l'aimer aussi fort que possible et de vivre avec l'envie de faire le voyage ou le fait de passer pour un connard sans coeur mais de lui laisser une chance de rencontrer le vrai grand amour" Théo à Ailis
SIXTEEN YEARS PART 2
Nick t’avait donné rendez-vous ce jour-là, chez lui bien que ce soit totalement dingue, il te faisait la gueule pour une chose complètement impossible mais tellement vrai. Tu avais couché avec sa copine. En même temps, vous étiez dans la même soirée et elle t’a trop chauffé. Dingue n’est pas impossible, tu es jeune et la jeunesse doit s’amuser, surtout depuis la mort de ta mère. Mais ça, c’est autre chose, toujours autre chose bien sur. Tu souffles alors que tu frappes à sa porte lentement, tu l’entends arriver et il t’ouvre la porte, le voilà énerver. Tu fronces les sourcils avant de rentrer dans son habitation que tu connais par cœur. En même temps, tu vis presque ici, six jours sur sept depuis des années. Tu t’avances dans son salon, légèrement en retrait alors que tu croises automatiquement tes bras sur ton torse, pliant ainsi ton t-shirt. Tu souffles un peu quand il commence à parler.   « Tu as réellement fait ça ? T’as couché avec Jane.. » Tu t’adosses au mur, pour froncer les sourcils alors que tu humectes tes lèvres une première fois. « Oui » Pourquoi nier ? Tu n’as jamais menti à ton meilleur ami et c’était pas aujourd’hui que cela allait commencer. Sauf que manque de bol, ta franchise te perdra un jour, tu fronces les sourcils quand il commence à s’énerver. « Quoi ? Je t’avais dit qu’elle te tromperait à la première occasion. » Tu le regardes dans les yeux, tu es comme dire, sans gêne, direct et encore, tu n’as pas encore sortit la phrase qui fait mal. Et là, ça commence, tu vois ton meilleur ami devenir rouge de colère, poing serré, tu penches la tête sur le côté, pour la poser contre le mur alors que t’humectes tes lèvres. « Nick .. » Sauf qu’il te coupe aussitôt   « Non Théo ! T’abuse putain, tu sais quoi […] » Il commence son monologue. Insultes certes, mais aussi pleurs, il commence à pleurer. Non ? Mais non ? C’est pas pour cette pauvre trainée qu’il commence à parler quand même. Il abuse lui aussi, quelle idée d'avoir une fille facile à ses côtés, mais tu ne bouges pas, regardant le plafond, le sol. Tu as beaucoup de respect pour lui, peut-être pas assez finalement. Puis le silence se fait sentir dans la pièce, tu ajoutes presque naturellement « Par contre, tu as baisé avec elle pendant quoi quatre mois, t'as jamais remarqué qu'elle faisait l'étoile de mer ? » Et merde, Théo, t’abuse doublement, c'est reparti, il t'insulte, t'engueule, tu es un véritable monstre en fait. Mais tes yeux se posent sur lui en train de s’énerver alors que tu es parfaitement calme et la phrase sort. « Ta mère devrait avoir honte de toi ! » Tu serres les dents, serrant les poings, jusqu’à ce qu’une légèrement fissure blanche se forme sur tes mains. Tu desserres tes bras pour le regarder. Tu t’approches de lui, très sérieux, alors que tu le pousses légèrement. « Retire immédiatement ce que tu viens de dire Nick, je suis sérieux. Ta copine est une pute, pas mon problème si elle baise avec n’importe qui, y compris moi ok ! C’est ton taff de la satisfaire, pas à moi. Pas ma faute si elle était totalement déchiré et qu’elle m’a embrassé moi ok. Maintenant, retire immédiatement ce que tu viens de dire, sinon je vais te faire manger la moquette. » Malheureusement, il sait exactement de quoi tu es capable. Il t’a vu presque le tuer l’autre gars, il t’a vu qu’une fois lancer, tes poings ne s’arrêtent pas. Sauf qu’il reste devant toi, fier comme un crétin, et toi, tu vises et tu ne le loupes pas. Tu t’arrêtes aussitôt, le voyant, le nez en sang alors que tu serres encore plus les dents et tu siffles.  « La prochaine fois tu m’écouteras, elle était pas pour toi. Croit moi la prochaine fois. Si y’a une prochaine fois. » Enervé, tu recules légèrement, alors que tu passes tes mains dans tes cheveux pour passer l’encadrer du salon et quitter directement la maison. Tu claques la porte, regrettant le fait de ne pas l’avoir mis K.O. Mais tu te souffles une première fois, puis une seconde fois. Et te voilà dans la rue, mains dans les poches, marchant vers chez toi, enfin ce qu’il en reste..


SEVENTEEN YEARS
Une petite soirée, une simple soirée, tu as passé la journée à être avec Monroe et finalement, tu te rends compte que tu t'accroches, trop, beaucoup trop à elle. Il te reste quatre mois et tu sais que tu as gagné le pari mais tu ne le fais plus pour le pari, tu le fais pour elle. Tu souris, verre en main alors que Nick te parle de ses problèmes avec Jane, tu souffles un coup « Largue là ! Elle est dégueulasse, nulle au lit et méga chiante ! » Mais tu entends un raclement de gorge, ta tête se tourne vers Jane qui est derrière toi. « Ah Jane ! Bonne soirée » dis-tu en t'éclipsant comme si de rien était. Encore une bourde, t'es vraiment nulle. Tu souffles un coup, terminant ton verre pour marcher dans cette maison qui est rempli d'adolescents qui s'amuse. Ta soeur ne doit pas être loin et tu te rends compte que ton regard est attiré par Monroe au milieu de la pièce en train de danser. Tu lui souris doucement. Votre relation est passée du stade "ennemi", "ami", "meilleur ami" en deux mois seulement, et il faut dire que ça te plait ce genre de relation. Tu te retrouves finalement face à elle, pour qu'elle s'approche de toi, tu lui souris, elle t'embrasse la joue. « Tu viens danser ou tu veux rester là à m'observer me faire draguer ? » Tu rigoles, elle prend ta main t'emmenant sur cette piste de danse, bien déterminée à ce que tu pouvais voir, à s'amuser. Une chose est sure tu allais le faire. Tu n'avais jamais été grand fan tes pistes de danse mais avec elle tout allait tellement mieux. Un sourire, elle caressa ta joue pour commencer à danser, se collant à toi, se détachant, jouant avec ses cheveux et toi, tu avais ses mains sur les hanches, tu ne la quittas pas des yeux. Les minutes passèrent, tu finis coller à elle, son dos contre ton torse, elle avait les mains posées sur les tiennes qui entouraient ses hanches. Elle souriait, mais tu ne savais pas réellement quoi faire à ses paroles. « Je crois que j'ai perdu.. » Tu n'avais pas envie que tout s'arrête maintenant, parce que le pari avait été perdu par l'une des deux personnes, tu pinças tes lèvres avant d'embrasser sa joue « On a perdu tous les deux alors princesse.. » La musique noya tes paroles, vous êtes restés ainsi, toute la soirée, sans jamais vous lâcher..

EIGHTEEN YEARS PART 1
Tu regardes cette fille dans ton lit, tu lui souris doucement, tu es bien là, vous êtes bien, enfin trop bien pour que le monde vous demande de vous éloigner, mais tu dois le faire, tu dois lui dire que tu t’en vas, tu dois lui dire que t’es un connard, sauf que t’y arrives pas. Tu lui caresses la joue, elle a les yeux fermés, elle dort, mais cela ne te dérange pas. La couverture chaude cache son corps nue et pourtant, tu as envie de lui enlever. Tu t’approches d’elle, collant ton nez au sien, elle rigole légèrement.  « Théo, arrête de me regarder dormir.. » Tu souris un peu plus pour enlever ton nez du sien, elle ouvre enfin les yeux, tu caresses sa joue. « Laurie, je t’aime .. » Elle sourit un peu, passant sa main dans tes cheveux en bataille, mais cela ne te dérange. Il faut lui dire, maintenant. Tu pars demain, tu le sais depuis des mois mais tu ne lui as pas encore dit, tu n’oses pas lui, tu as peur de lui dire. Tu respires lentement, avant de lui sourire une nouvelle fois, faiblement. Lui mentir ou lui dire la vérité, tu n’en sais rien finalement, alors tu attends, mais impossible de lui dire, elle te regarde, ce sourire sur les lèvres. Tu l’embrasses une première fois, elle t’embrasse une nouvelle fois, tu souris en reculant ton visage. « Arrête d’être adorable même au réveil » Elle te sourit alors qu’elle se poste au dessus de toi, bien en califourchon sur toi. Elle t’embrasse une première fois, puis une deuxième fois avant que la porte ne s’ouvre. Elle se cache rapidement, tombant sur le matelas alors que tu redresses, et tu vois Hugo, la porte grande ouverte, heureux de son coup. « La porte mec ! Putain t’es pas chez toi là ! Frappe avant » Tu le regardes alors que tu vois ta sœur, souriante, à côté de lui. « Non mais c’est une grosse blague ou quoi ? » Tu les regardes, tour à tour alors qu’Hugo parle le premier. « T’as fais trop de bruit hier ! » Tu lèves les yeux au ciel pour souffler un coup mais ta sœur enchaine sur un  « Le petit déjeuné est prêt si vous voulez » Mais bien sur que c’est une grosse blague. Tu as juste envie de les tuer. Surtout que la femme à tes côtés est manque de honte. Tu te décides de les balancer un oreiller sur le visage, manque de bol, ton frère avait déjà fermé la porte, heureux bien sur de leur coup. Tu souffles un énorme coup avant de tourner la tête vers Laurie qui est toute rouge, tu la regardes, et elle rigole. Tu commences lui embrasser le crane alors qu’elle te tourne vers toi.  « Désolé, je crois qu’ils voulaient te dire bonjour. » Elle rigole encore plus, alors qu’elle passe sa main dans ta nuque, tu humectes tes lèvres presque par instinct et elle t’embrasse une première fois.   « Il faut dire qu’en même temps, ils ne pouvaient pas mieux tomber je pense. Surtout que je suis très bien habillée comme ça. » Tu commences à rire, observant la couverture sur la jeune femme alors que tu passes ta main sur sa hanche, faisant ta petite mine en réflexion. « Il faut dire que tu es plus que très bien habillé comme ça oui. » Elle te sourit encore plus, elle est belle quand elle sourit et cela te fait mal de devoir lui briser son cœur fragile. Mais elle ne peut pas venir avec toi, tu le sais. Tu l’embrasses, profitant de ce dernier réveil avec elle. Dernier avant de quitter cette ville pourrie. Dernier avant de vivre enfin ta vie.

EIGHTEEN YEARS PART 2
T’es ou ? Ton père m’a dit que tu ne vivais plus chez lui ? Je m’inquiète .. Laurie  Tu regardes ton téléphone avant de l’éteindre aussitôt alors que tu souffles un coup. Tu marches en ville, tu as que ça à faire, tu n’as pas envie de rester à la maison à rien faire. Seul souci, t’es seul. Totalement seul et tu as horreur de ça, totalement horreur de ça. Peut-être pour ça que tu t’inquiètes toujours pour les autres. Tu passes ta main dans tes cheveux alors que tu sens encore ton téléphone vibrer. Théodore Alec Blackburn, si t’as pas les couilles de me larguer, dis le moi, je le ferais pour toi ! Ca fait une semaine, réponds s’il te plait .. Laurie Tu es mal, tu te sens vide de l’intérieur mais tu as fais le bon choix. Ton problème c’est l’attachement. Tu détruis tout sur ton passage, y compris tes relations, tu n’es pas le genre de mec à être heureux, pourquoi faut-il que ça tombe sur toi. Que cette fille géniale, intelligente, spontanée et parfaite t’a lancé un pari de tomber amoureux d’elle. Erreur fatale. Mais maintenant tu comprends pourquoi ton père était mal à la mort de ta mère. Tu comprends très bien. Tu lèves la tête vers l’établissement où tu te trouves, un café, une librairie, un truc qui ressemble vaguement à ce dont elle avait l’habitude d’aller. Tu baisses une nouvelle fois la tête, tu prends ton téléphone, arrivant enfin à chez toi, alors que tu humectes tes lèvres. Laurie .. Ta Laurie à toi. Tu attends une seconde avant d’entendre sa voix.  « Théo ?! Bordel t’es où là ! T’es pas chez toi ! Ni au lycée ! T’es où ? T’as fais une connerie ? T’es chez les flics ? Réponds moi s’il te plait. » Tu renifles légèrement avant de passer ta main dans tes cheveux, tu passes finalement la porte de l’immeuble où tu habites. Un petit truc, un truc très bien pour trois, même si tu connais plus le canapé que ton lit depuis ton arrivé, mais bon. C’est autre chose ça. Elle continue de parler, encore et encore et quand tu passes la porte de l’appartement que tu possèdes avec ton frère et ta sœur, tu souffles un peu. Tu as les yeux remplis de larmes chaudes et finalement tu déballes..  « Laurie, on peut pas être ensemble, c’est pas possible. Toi et moi, on est pas compatible et on le sera jamais. T’es trop différente. T’es pas mon genre de femmes. Tu n’as rien fait de mal, c’est moi le problème. Je suis qu’un connard. Je ne veux pas que tu t’apitoies sur ton sort t’es parfaite. T’es la fille que je voudrais épouser, t’es la fille que je voudrais avoir pour mère de mes enfants. Mais je suis à Boston, j’ai pas envie de te voir, de t’expliquer ou même de te mentir. Je ne t’aime pas et je n’ai aucune envie de faire des efforts pour toi. Laurie.. Laisse moi tranquille, arrête de me harceler et passe à autre chose. » Une fois finie, tu raccroches, tu ne lui laisses pas le temps de répondre, tu poses ton téléphone sur la table alors que tu te poses, assis, sur la table, te laissant aller sous le couloir de la tristesse, de la colère. Tu viens de rompre avec la seule fille qui pouvait être positive pour toi. La seule. Cette petite riche avec ses manières de petite fragile et forte femme. Mais tu viens de la briser. Ta main sur ton frère, tu entends la serrure puis la poignée, tu tournes la tête vers la personne qui vient de rentrer avant de te lever pour aller directement dans ta chambre. Pas besoin que les autres te voient ainsi, tu es le plus fort de la bande normalement, celui qui fait rire avec ces phrases débiles, celui qui dédramatise toujours tout. Bref, tu ne peux pas être faible face à ta sœur ou ton frère..

TWENTY FOUR YEARS
Te voilà devant sa tombe, tu as pris l'habitude d'y retourner tous les ans à son anniversaire, c'est devenu un rituel, ton moment, ta faiblesse. Ton père n'est pas au courant, ta famille n'ont plus, personne ne sait que tu es là sauf finalement ton billet de train. Détroit, cette ville de tous les malheurs pour toi. Cette ville de souffrance, cette ville de destruction et d'abandon. Tu regardes alors la chose devant toi, déposant un magnifique bouquet de roses sur la pelouse, tu t'accroupis lentement. Ta main passe sur cette pierre froide pour enlever l'herbe qui est monté dessus ou les toiles légèrement arrosées par les tuyaux d'arrosage. Tu souris faiblement, pinçant tes lèvres les unes contre les autres pour soupirer. Tu admires la chose lisant à voix basses les mots écrits sur cet édifice A cette femme partit trop vite. Tu enchainas sur une autre écriture. A notre mère, ma femme et notre fille. Les larmes montèrent lentement, tu souffles pour reprendre ta dignité, aucune faiblesse en toi, impossible.. Tu t'assois finalement sur l'herbe pour jouer avec tes doigts. Tu es en face de cette pierre, tu souris doucement en arrachant quelques brindilles d'herbe. Joyeux anniversaire maman Tu passes ta main dans tes cheveux, levant les yeux au ciel avant de reposer ton regard sur la pierre. Un an et j'ai pas changé, enfin si je crois. J'ai juste l'impression que je viens plus souvent ici qu'à l'université.. J'espère que papa est venu te voir cette année.. Il a intérêt.. Tu rigoles légèrement, même si tu as mal au coeur, rien qu'en y pensant. Tout va bien à la maison. Gauthier casse encore les couilles au monde en entier. Hugo a un poste dans le cabinet de la ville en tant que vétérinaire. Il s'occupe des animaux bien mieux que moi je m'occupe d'Ailis. Elle va bien aussi, ta princesse est toujours aussi forte en informatique. Un jour, on va finir par tout claquer et braquer des banques .. Tu rigoles légèrement de nouveau Enfin pas maintenant promis. Et puis moi .. Ca va aussi .. C'est un peu la galère niveau thune, mais que veux-tu, c'est compliqué d'avoir un job quand on a volé les 3/4 de sa vie.. Mais les études ça va, j'ai trouvé un stage dans un garage pour mon année, et normalement ça pourrait le faire.. Si je foire pas tout, enfin si j'arrive à accepter l'autorité de quelqu'un .. Tu fis un silence, avant de souffler doucement Tu me manques maman, beaucoup.. J'ai l'impression que l'appartement est vide à chaque fois qu'on est tous dedans.. J'ai l'impression que tout est vide en fait.. J'ai aussi l'impression de te faire culpabiliser.. Je te dis ça tous les ans mais tu t'en fiches peut-être, t'es même pas là si ça se trouve, et le mec qui vient de passer me prendre pour un taré. Ouais, le vieux, grande barbe blanche en mode père noël mais avec un côté flippant. Un peu comme le jardinier du cimetière quoi .. Tu souris faiblement avant d'humecter tes lèvres et de te lever. Tu embrasses alors tes doigts avec tes lèvres pour déposer ensuite ta main sur la tombe Je t'aime maman .. Bon anniversaire Mains dans les poches, tu commences à quitter alors le cimetière, silencieux, yeux rouges, comme si ton monde venait encore de s’effondrer, comme tous les ans ..
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Baby Théo Alec Blackburn ► Colton Haynes 73120010
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Tu me fait un beau cadeau d'anniversaire là :heaart:
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REEE Théo Alec Blackburn ► Colton Haynes 152426858
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colton Théo Alec Blackburn ► Colton Haynes 4205929361 la rebienvenuuuue
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@Aaron W.-Buckley Non je coucherais pas à Aaron Théo Alec Blackburn ► Colton Haynes 152426858 Mais Nina je dis pas non Théo Alec Blackburn ► Colton Haynes 152426858 Théo Alec Blackburn ► Colton Haynes 152426858 Théo Alec Blackburn ► Colton Haynes 166564858

@Louve V. Perol Merci Théo Alec Blackburn ► Colton Haynes 1001568715
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@Théo A. Blackburn tu rates quelque chose, je t'aurai déglingué Théo Alec Blackburn ► Colton Haynes 152426858
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@Aaron W.-Buckley Dis ça comme ça, vasy déglingue moi Théo Alec Blackburn ► Colton Haynes 152426858 je sais que tu kiff ça (emo)
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