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Toi. (Marcus & Lucius)

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Lucius releva la tête un moment. Les martini qu'il avait engloutis avait dut lui monter à la tête un peu trop rapidement. Suite au simple SMS qu'il avait reçu; un tas de sentiments refont surface le long de son échine. Se retournant vers la foule d'étudiants et d'habitant de Boston, il les scruta tour à tour. Il avait dut se tromper, il relut alors quelques fois l'écran lumineux de son portable; C'était impossible que Marcus soit présent à une soirée qui était strictement réservé aux participants du Summer Camp... à moins que...

***

En suspension, c'est comme si toutes les horloges du monde avaient décider de suspendre le temps, accrochant au passage le coeur de glace de Lucius. 4 ans les séparaient de la dernière fois. Une dernière fois si douloureuse qu'elle rouvrit une plaie qu'il croyait bel et bien guérie. Son coeur, qu'il avait forcer à fonctionner selon une certaine mécanique pendant près de 4 ans sembla alors se casser lorsqu'il croisa le regard bleu de Marcus...

Marcus...

Dans ces moments là, le premier réflexe de l'être humain aurait été de se jeter dans les bras de ceux qui leurs avaient tant manquer. Seulement, cette fois là, ce fut différent. Son cœur faisait trop mal, menaçant d'exploser sur les gens autour de lui. se relevant comme un automate, il passa en coup de vent à côté du garçon, en répandant son parfum Lacoste autour d'eux, en agrippant sa main au passage, l'emmenant sur le balcon du restaurant; Le détaillant du regard, il s'aperçut comment il avait changer, toutefois, il gardait sa bouille enfantine. Il posa alors son front contre le sien, appréciant sa chaleur qui lui avait tant manquer. Il ne savait tout simplement pas quoi dire, ni quoi faire, alors il apprécia tout simplement le moment présent. Puis un vieux souvenir, comme gravé au fer chaud s'infiltra dans sa mémoire et il le repoussa avec violence.

« Marki! Mais qu'est ce que tu fais la?? Et la France? »

Tant de question, si peu de réponses. Mais il ne savait plus pas où commencer. Il ferma les yeux un moment, essayant de se ressaisir, il se maudit de toujours perdre ses moyens en présence de Marcus. Puis un autre visage, encore plus familier vint se poser derrière ses paupières. Un juron en Polonais s'échappa d,entre ses lèvres; Mark... Il l'avait complètement oublier. Surtout d'en glisser un mot à Marcus...Mais en même temps... Se souvenait-il qu'il lui avait jurer éternité à son Marki...

Il se maudit. Il ne pouvait pas empêcher son regard de briller. Il aurait pu blâmer les feux d'artifices qui marquait le début des festivité devant lui, mais il savait que Marcus ne le croirait pas, après tout, mis à part Liv, il était le seul à réellement le connaitre sous toutes ses coutures... C'était à la fois surréel et réel, à un point tel qu'il ne voudrait jamais se réveillé. Sauf qu'il n'était pas dans un rêve, Marcus ne disparaîtrait pas en fumée, il ne se transformerait pas non plus en millier de serpents. C'était bel et bien Marcus Maréchal qui se tenait devant lui, le vrai en cher et en os. Il déglutit difficilement, ne résistant plus à la tentation; l'enlaçant tendrement, il enfouie son nez dans son cou. Son odeur, parfum envoûtant vint lui chatouiller les narines. Il aurait dut résister, il aurait dut lui demander des pourquoi et des comment, sauf que cette fois, Jarreth n'était pas dans leurs sillage, il ne pourrait pas les en interdire. Lucius était délivrer de ses menottes en or qui l'empêchait d'être qui il était vraiment.
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And I need you in my life and I want you in my life Lucius & Marcus




Assis au bar, un verre à la main, tu es là. Souriant et plus resplendissant que jamais, tu te tiens à quelques mètres de moi. Je meurs d'envie de venir te parler. De venir te voir, de te dire que... Mais, non je ne peux pas. Pas ce soir. Alors, je bois. Un verre. Puis, un second. Je les enchaîne. Cherchant un substitut de courage dans ce liquide aux effets psychotropes. Mes doigts qui pianotent sur le clavier numérique, j'hésite un instant avant de finalement trouver le courage de t'envoyer ce fichu message. Pris d'une sorte de gêne, je pars me mêler aux autres vacanciers qui dansent au rythme d'une musique populaire

J'ai souvent fantasmer nos retrouvailles. Dessinant ton visage encore et encore. Dans mon imaginaire, nous aurions été loin de tout. Loin de tout le monde. Il n'y aurait eu que toi et moi. Et pas de stupide message. Dans mes rêves les plus fous, nous n'aurions même pas eu besoin de se parler. Tout aurait été réglé. Et là, je me sens nerveux comme un gosse qui aurait fait une connerie et que l'on aurait pris sur le fait.

Alors, je me perds un peu plus parmi les convives tout en restant suffisamment près de toi pour que je puisse garder un œil sur toi. Je sais que cela ne se fait pas . Que je n'ai pas le droit, que tout ceci n'est pas un jeu. Et pourtant, je le fais. Peut-être parce que j'ai peur d'un refus de ta part. Tu me cherches, je le sais. Non, je le sens. Je sens ton regard qui se perd sur la foule.

Je lève la tête... L'espace de ce court instant tout le monde se met à graviter autour de nous. Mes yeux se perdant un peu plus dans tes iris azur et mon cœur qui manque de battre, je voudrais bien courir vers toi. Mais non, je reste interdit face à toi. Me sentant minuscule. Un peu comme lorsque tu m'as laissé. Un peu comme il y a quatre ans...

Tu te lèves et passes en coup de vent à ma gauche. «Luci... » Je n'ai pas le temps de souffler ton prénom que ta main s'accroche à la mienne et m'entraîne jusqu'au balcon du restaurant. Enfin face à face, je me sens étrangement gêné. J'entre-ouvre les lèvres, mais aucun son ne sort, tellement la scène me semble irréaliste. Je ne peux m'empêcher de te dévisager tu es exactement le même que dans mes souvenirs. Non, tu es encore plus merveilleux qu'avant. Alors, je continue de te sourire. De regarder chaque recoin de ton visage qui a pris en maturité et en beauté. D'inspecter tes muscles bien plus développés qu'à l'époque. Dieu que j'ai envie de te prendre dans mes bras. Mais, je ne peux pas céder. Ce n'est pas à moi de faire ce pas. Tu es celui qui est parti... Pas moi. Puis, tu t'approches et poses ton front contre le mien. Comme lorsque nous étions ensemble. Tu ne comprends pas ce que je fais là, que je ne suis pas en France. Tout en m'éloignant un peu de ton corps, je laisse échapper un petit rire nerveux. Je me vois mal te dire que j'ai abandonné Paris pour toi. Que durant ces quatre années, je n'ai pas arrêté de penser à toi.

«J'en avais marre de la France. J'en avais marre d'être un Le Pen... et puis, je voulais être auprès de ce mec qui a toujours su me faire sentir différent...»

Je marque une pause. Mes yeux jouent au ping-pong entre tes lèvres et tes yeux si profonds. D'ailleurs, ces derniers brillent certainement du même éclat que les miens. J'ai tellement de choses à te dire. Que là, pour l'heure, il faut mieux ne rien dire et ne pas trop réfléchir. Tu avances peu à peu vers moi. A ma grande surprise, tu as craqué en m'attirant tout contre toi. Fermant les yeux, je laisse ton parfum me rappelle à nos jours heureux. Resserrant l'étreinte autour de ton corps, je prends une profonde inspiration avant de m'éloigner de toi...

« Lucius... je... euh... tu m'as manqué ! »


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Alors qu'il faisait chaud quelques instants plus tôt, quelques chose vint chatouiller son échine, du bas de ses reins à sa nuque, une sensation qu'il n'avait que quand Marcus était là. Une envie brûlante s'y était mélangée alors qu'il désirait plus que tout au monde l'embrasser. Mais c'était lui le cruel, c'était lui qui avait mit fin à leurs relation. C'était aussi à cause de lui que ses possibles retrouvailles avec le brun était devenu une source anxiogène constante et qu'il n'avait pu refaire confiance autant émotionnellement que physiquement à quelqu'un d'autres que lui...

Ses iris bleus avaient fait place à un spectacle époustouflant digne de n'importe laquelle aurore boréale lorsqu'il avait de nouveau croiser son regard et ses lèvres ne purent s'empêcher d'aller effleurer sa tempe, puis le bord de ses yeux, ou éventuellement des pattes d'oies feraient leurs apparition tellement il était heureux, puis tout naturellement, il vint effleurer ses lèvres doucement. Elles qui n'avaient pas perdues leurs douceurs d'antan.

Son coeur cognant contre sa poitrine lui criait d'aller plus loin, de l'embrasser comme si le lendemain était impossible, mais la blessure du temps et la sensation amer qui remontait le long de son œsophage, le lui en empêcha. Effleurant son nez avec le sien, il ne put que rajouter « Tu m'a aussi manquer Marcus... Mais on ne peu pas... » il maudit les mots qu'il venait de vomir à son ancien amant. Il les maudit et il se serait frapper en plein visage. Cela se ressentit tout autour d'eux alors que la haine de sa propre personne refaisait surface. Il n'avait pas le droit de faire ça à Marcus...Pas le droit de lui redonner de faux espoirs, ni même de rallumer la flamme qu'il avait délibérément éteint. Surtout qu'un certain bruns, qui lui aussi avait été blessé par le passé, l'attendait patiemment chez lui.

Se reculant de l'emprise envoûtante de Marcus, il lui tourna le dos alors qu'une simple larme menaçait de tremper sa joue. Lucius n'était pas du type émotionnel, mais l'anxiété le trahissait un peu trop à son goût. Posant son regard sur les feux d'artifices qui éclataient au loin, il prit une grande inspiration. « J'ai mal. »
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