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MATHER HOUSE.
Lola est à demie Italienne, à demie Espagnole, ce serait un euphémisme de dire qu'elle a le sang chaud. Elle est brûlante. De ses talons jusqu'à son mascara, son corps, son âme toute entière n'est qu'un feu incontrôlable et silencieux. Elle est envoûtante, désarmante, insolente, effrontée, espiègle, intelligente, éprouvée et parfois éprouvante. Il faut la connaître pour le comprendre. Lola Luisa-Mia Andréani. Ce nom résonnait sur tant de lèvres, il est prononcé avec bienveillance, avec désir, jalousie, haine, amour, tendresse ou parfois aussi avec terreur. Mais il est toujours prononcé. Lola n'est pas de ses femmes qu'on ne voit pas, tout le monde la voit, même quand elle n'est pas là. Et c'est là que réside toute sa magie.
Lola ne rentre dans aucune case et ne veut surtout pas qu'on essaie de la changer. Mais si une seule confrérie pouvait lui convenir, c'est indéniablement celle des Mather. Et puisque elle est dotée d'un avis tranché et tranchant, ce sera chez les Mather ou ce sera nul part ailleurs. Enchantée.
STUDENTS.
Pour Lola, les seconds choix n'existent pas, pas plus que les demies-mesures. Elle a toujours vécu comme ça, dans l'urgence, tête baissée, on fonce droit vers le mur, on ne cherche pas à l'éviter. Qui vivra, verra. Elle emmerde les règles et déteste faire ce qu'on aimerait qu'elle fasse. Si elle n'est pas chez les Mather, elle ne sera dans aucune autre confrérie. Elle ne sait pas faire semblant et l'idée même d'attérir dans une autre maison par défaut pourrait lui provoquer l'envie furieuse de vomir sur vos nouvelles Gucci.
Lola est à demie Italienne, à demie Espagnole, ce serait un euphémisme de dire qu'elle a le sang chaud. Elle est brûlante. De ses talons jusqu'à son mascara, son corps, son âme toute entière n'est qu'un feu incontrôlable et silencieux. Elle est envoûtante, désarmante, insolente, effrontée, espiègle, intelligente, éprouvée et parfois éprouvante. Il faut la connaître pour le comprendre. Lola Luisa-Mia Andréani. Ce nom résonnait sur tant de lèvres, il est prononcé avec bienveillance, avec désir, jalousie, haine, amour, tendresse ou parfois aussi avec terreur. Mais il est toujours prononcé. Lola n'est pas de ses femmes qu'on ne voit pas, tout le monde la voit, même quand elle n'est pas là. Et c'est là que réside toute sa magie.
Lola ne rentre dans aucune case et ne veut surtout pas qu'on essaie de la changer. Mais si une seule confrérie pouvait lui convenir, c'est indéniablement celle des Mather. Et puisque elle est dotée d'un avis tranché et tranchant, ce sera chez les Mather ou ce sera nul part ailleurs. Enchantée.
STUDENTS.
Pour Lola, les seconds choix n'existent pas, pas plus que les demies-mesures. Elle a toujours vécu comme ça, dans l'urgence, tête baissée, on fonce droit vers le mur, on ne cherche pas à l'éviter. Qui vivra, verra. Elle emmerde les règles et déteste faire ce qu'on aimerait qu'elle fasse. Si elle n'est pas chez les Mather, elle ne sera dans aucune autre confrérie. Elle ne sait pas faire semblant et l'idée même d'attérir dans une autre maison par défaut pourrait lui provoquer l'envie furieuse de vomir sur vos nouvelles Gucci.
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
Lola entamait sa deuxième année lorsque les agressions ont commencées sur le campus. La tension était palpable au sein de l'université, entre la fermeture des maisons, les manifestations, les rumeurs, ceux qui n'y croyaient pas, ceux qui avaient peur d'aller en cours et ceux qui prônaient haut et fort que ces filles le méritaient.. On ne parlait plus que de ça. Et puis, le coup de grâce. Les prises d'otages. L'amphi, la cafét', le fast-food, la librairie.. Tous ces endroits, tous les étudiants les connaissaient par cœur. Ils y avaient partagé des tonnes de souvenirs, c'était leur univers. C'était leur univers qui était en train d'être prit en otage, c'était leurs amis, leurs connaissances, leur monde. Et comme toutes les situations traumatisantes, elles rapprochent les gens. Lola ne s'est j jamais sentie aussi dévouée à son université qu'à ce moment-là. Elle, qui pourtant porte la réputation d'être froide, dénuée d'émotions ne pouvait plus en fermer l'œil la nuit. Elle ne pensait qu'à ces pauvres filles, qu'à ces pauvres gens, qu'à cette vie qui est bien trop courte, qu'à ces gens qui sont bien trop cons.
PS : t'as plus d'infos à cet endroit !
Lola entamait sa deuxième année lorsque les agressions ont commencées sur le campus. La tension était palpable au sein de l'université, entre la fermeture des maisons, les manifestations, les rumeurs, ceux qui n'y croyaient pas, ceux qui avaient peur d'aller en cours et ceux qui prônaient haut et fort que ces filles le méritaient.. On ne parlait plus que de ça. Et puis, le coup de grâce. Les prises d'otages. L'amphi, la cafét', le fast-food, la librairie.. Tous ces endroits, tous les étudiants les connaissaient par cœur. Ils y avaient partagé des tonnes de souvenirs, c'était leur univers. C'était leur univers qui était en train d'être prit en otage, c'était leurs amis, leurs connaissances, leur monde. Et comme toutes les situations traumatisantes, elles rapprochent les gens. Lola ne s'est j jamais sentie aussi dévouée à son université qu'à ce moment-là. Elle, qui pourtant porte la réputation d'être froide, dénuée d'émotions ne pouvait plus en fermer l'œil la nuit. Elle ne pensait qu'à ces pauvres filles, qu'à ces pauvres gens, qu'à cette vie qui est bien trop courte, qu'à ces gens qui sont bien trop cons.
PS : t'as plus d'infos à cet endroit !
APRÈS LE TREMBLEMENT DE TERRE AU CHILI.
Lola n'était pas sur le sol Américain lors du spring break. Elle avait profité des vacances pour aller se ressourcer quelques semaines chez elle, en Italie. Bien contente d'avoir échappé à cette catastrophe, elle a prit soin de prendre des nouvelles des rares personnes qu'elle affectionne et qui étaient présentes au Chili. Pour les autres ? Elle espérait qu'ils finissent au fond d'une crevasse. Elle suivait les informations d'un oeil, tout en gardant la distance qu'on lui connaît. Elle avait été moins touchée par ce drame que par les agressions et les prises d'otages, peut-être parce que cette fois on ne touchait pas à ses repères.
PS : t'as plus d'infos à cet endroit !
Lola n'était pas sur le sol Américain lors du spring break. Elle avait profité des vacances pour aller se ressourcer quelques semaines chez elle, en Italie. Bien contente d'avoir échappé à cette catastrophe, elle a prit soin de prendre des nouvelles des rares personnes qu'elle affectionne et qui étaient présentes au Chili. Pour les autres ? Elle espérait qu'ils finissent au fond d'une crevasse. Elle suivait les informations d'un oeil, tout en gardant la distance qu'on lui connaît. Elle avait été moins touchée par ce drame que par les agressions et les prises d'otages, peut-être parce que cette fois on ne touchait pas à ses repères.
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TON ADMISSION A HARVARD
Lola est née à Milan, dans les bras de sa mère. Dans les bras de juste sa mère, parce que son géniteur avait prit la fuite quelques mois plus tôt en apprenant la grossesse de Luisa Andréani. Elles se sont donc construites ensemble, dans leur petite bulle, leur bolla d'amore comme elles l'appelait. Jusqu'à ses seize ans, elles faisaient tout ensemble, elles partageaient tout. Elles étaient pour l'une et pour l'autre, l'unique sens à leurs vies. La mère de Lola était une danseuse brillante, mais elle avait dû endosser le rôle de maman très jeune et dans la foulée, avait dû arrêter de pratiquer sa passion pour se consacrer pleinement à l'éducation de sa petite fille. Un sacrifice qu'elle n'a pourtant jamais regretté. Régulièrement, elle improvisait au milieu de leur minuscule deux pièces, des ballets improvisés pour Lola qui, petite, s'en amusait et qui, en grandissant, mémorisait avec admiration chacun de ses pas. Lola l'avait promit à sa mère, un jour elle serait danseuse pour de vrai, elle marcherait sur les pas de sa mère et jamais elle ne s'arrêterait. Quoi qu'il arrive. Elles avaient déjà évoquées ensemble le projet très lointain d'aller étudier à Harvard. C'était ce que Luisa envisageait pour son avenir avant de mettre sa fille au monde. C'était donc un rêve commun.
Quand sa mère s'est endormie pour la dernière fois, Lola a dansé. Elle a dansé durant des heures, seule dans leur appartement, dans leur bolla d'amore. Elle a dansé jusqu'à en tomber sur le sol, épuisée, éprouvée, vide de tout sauf de haine. Deux ans plus tard, elle recevait sa lettre d'acceptation à Harvard. Elle avait gagné, elle marchait sur ses pas sans s'arrêter. Elle avait travaillé dur, de jour comme de nuit, elle s'était réfugié dans la danse comme si c'était la seule chose qui pouvait bien lui rester. Ambitieuse et talentueuse. Lola était sur le point de réaliser leur rêve.
Lola est née à Milan, dans les bras de sa mère. Dans les bras de juste sa mère, parce que son géniteur avait prit la fuite quelques mois plus tôt en apprenant la grossesse de Luisa Andréani. Elles se sont donc construites ensemble, dans leur petite bulle, leur bolla d'amore comme elles l'appelait. Jusqu'à ses seize ans, elles faisaient tout ensemble, elles partageaient tout. Elles étaient pour l'une et pour l'autre, l'unique sens à leurs vies. La mère de Lola était une danseuse brillante, mais elle avait dû endosser le rôle de maman très jeune et dans la foulée, avait dû arrêter de pratiquer sa passion pour se consacrer pleinement à l'éducation de sa petite fille. Un sacrifice qu'elle n'a pourtant jamais regretté. Régulièrement, elle improvisait au milieu de leur minuscule deux pièces, des ballets improvisés pour Lola qui, petite, s'en amusait et qui, en grandissant, mémorisait avec admiration chacun de ses pas. Lola l'avait promit à sa mère, un jour elle serait danseuse pour de vrai, elle marcherait sur les pas de sa mère et jamais elle ne s'arrêterait. Quoi qu'il arrive. Elles avaient déjà évoquées ensemble le projet très lointain d'aller étudier à Harvard. C'était ce que Luisa envisageait pour son avenir avant de mettre sa fille au monde. C'était donc un rêve commun.
Quand sa mère s'est endormie pour la dernière fois, Lola a dansé. Elle a dansé durant des heures, seule dans leur appartement, dans leur bolla d'amore. Elle a dansé jusqu'à en tomber sur le sol, épuisée, éprouvée, vide de tout sauf de haine. Deux ans plus tard, elle recevait sa lettre d'acceptation à Harvard. Elle avait gagné, elle marchait sur ses pas sans s'arrêter. Elle avait travaillé dur, de jour comme de nuit, elle s'était réfugié dans la danse comme si c'était la seule chose qui pouvait bien lui rester. Ambitieuse et talentueuse. Lola était sur le point de réaliser leur rêve.
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle azaleia et j'ai 24 ans . Je suis française et j'ai connu le forum grâce à qui ne connaît pas ILH ? . Vos impressions sur le forum alors j'ai décidé de m'inscrire après presque 2 ans sans RP, j'avais besoin d'écrire et de replonger. L'eau d'Harvard avait l'air bonne . J'utilise madison beer comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par yellowsubmarine . Je fais environ 1000/2500 mots selon l'inspiration et/ou mes partenaires et mon personnage est un personnage inventé .
Je souhaite ▲
adhérer un flood d'intégration (?)
je veux être parrainé
je participe au summer camp si oui, vacancier. (voir l'explicatif du summer camp)
Je recense mon avatar ▲
si personnage inventé:
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si personnage inventé:
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