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I know you're dying to meet me (willow)

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Jour 18, déjà plusieurs jours à présent que j'avais atterrit sur le summer camp rejoignant dans un même temps tous mes amis ce qui avait le don de me fendre un sourire que je ne connaissais plus tellement depuis quelques temps. Si j'avais pas mal profiter depuis le début de mon arrivé avec Elias en ce qui concernait les blagues pas drôle et les petites crasses sur les autres vacanciers, je n'avais pas encore pris le temps de me reposer, de me remettre doucement des cuites que je prenais de nouveau chaque soir par amusement mais aussi pour oublier. La tête complètement marqué par les shooters de la veille, je quittais ma chambre luxueuse pour me rendre dans le hall, plus précisément derrière, là où une piscine et des transats sont mis à dispositions pour nos envies. Je m'y installe, lunette de soleil sur le nez et bouteille d'eau à ma droite pour ne rien louper. Le soleil devenue rare sur Boston me réchauffait assidûment la peau, créant un bonheur sans précédent. Une caresse de chaleur appréciable en vu de mon état. Buvant un peu d'eau de temps en temps j'arrivais presque à somnoler par moment à cause de la fatigue dont je ne récupérais pas pour le moment. Scrutant les personnes aller et venir, je voyais finalement Willow débarquer dans un bikini qui lui allait à merveille. Me rinçant l'oeil, et me passant devant sans m'avoir véritablement aperçu, je lui lançais ma bouteille à présent vide dans le dos. « Surtout ne dis pas bonjour. » répondis-je, le sourire en grand sur mon visage. Depuis sa petite crise de jalousie, sans parler de sa coucherie avec Royce, j'avais bien du mal à la capter.

@Willow Prada
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Voilà quelques jours que je suis au sol du Laos et pourtant, beaucoup de choses se sont produites avant que je puisse mettre les pieds dans un endroit pareil. Comme la mort d’Ashleigh qui en avait touchés plus d’uns. Je ne la connaissais pas particulièrement, sauf que j’avais adoré magouiller contre la Eliot House et contre ma pire ennemie. D’ailleurs, j’ai l’impression que lorsque le Summer Camp allait être terminé, nous n’allions plus être pareils pour cette nouvelle rentrée. Étant en train de faire la fête en compagnie de d’autres personnes de mon équipe, je gardais mon verre dans ma main, me laissant allée sous la musique. L’alcool coulait à flot dans mes veines et je pense que c’est la bonne chose pour me changer les idées. « Je reviens, mais partez pas. » Dis-je aux hommes qui se trouvaient près du bar, leur adressant un clin d’œil avant de partir sous leurs protestations. Tentant de marcher droit le plus possible, je passais devant Marin sans trop m’arrêter aux visages que je connaissais. Recevant une bouteille de plein fouet dans mon dos, je ronchonnais légèrement. Par chance, je n’ai pas envoyé la personne concernée puisque je la connaissais quand même assez bien. Lorsque sa voix me venait aux oreilles, je m’arrêtai net. Depuis notre dernière conversation en message, je m’en voulais de lui avoir révéler avoir couché avec Royce… Ça avait sorti malgré moi et même si c’était le cas je ne crois pas que ça l’avait affecté. Petit sourire sur les lèvres, je me retournais pour le regarder. « Tu sais Perol, t’es pas le centre du monde. » Je pense que Marin était la seule personne que j’aimais mieux ne pas croiser en ce Summer Camp, surtout depuis le retour de Sage, dont je suis au courant qu’ils étaient très proches l’un de l’autre. Aujourd’hui, j’ignore encore s’il y avait quelque chose entre eux. Poussant un léger soupir, je m’approche donc du brun afin de croiser mes bras contre ma poitrine. « Alors, tu vas bien ? Ton chien de garde n’est pas là ? » En temps normal, l’homme qui est marié se doit d’être près de sa femme pour ne pas que cette dernière ne puisse pas faire une scène de jalousie mais qu’importe. J’étais vraiment en train de me moquer de lui, avec ce sourire mesquin sur les lèvres. Nous avions pas mal de trucs à nous dire tous les deux, surtout pourquoi j’avais réagi de la sorte par message. « J’crois qu’on a pas mal de trucs à nous dire. »
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Mon lancé avait été franc et parfaitement ciblé puisque la jolie blonde se retournait finalement vers moi, les yeux légèrement vitreux et un verre à la main. A ce que je pouvais en constater, je décuvais peut être mais d'autre s'emplissait toujours plus. L'odeur d'alcool me prenait même à la gorge, me donnant sérieusement de temps à autre la nausée, signe que j'avais surement forcé hier avec les shooters. Le diable avait du créer ces choses la, pas possible que ce soit autrement. L'espace d'un instant vous pensez tenir le coup et l'autre vous vomissez tout ce que vous pouvez. Pourtant, je recommençais, encore et encore parce que c'était amusant de ne plus se préoccuper de rien, de suivre juste son instinct, de ressentir bien plus qu'une fois sobre. Mais forcément toute bonne chose possède une fin et celle-ci est l'une des plus terribles qui soit. Elle se tourne donc, et me lance une réplique cinglante que j'accueille avec l'un de mes plus merveilleux sourires. « J'adoooore quand tu es de bonne humeur. » répliquais-je, rien ne pouvait troubler cette journée si radieuse, si ensoleillé, si paisible, et même pas ses railleries. « Mon chien de garde ? Si tu parles de la personne qui me sert de femme, j'en sais rien et je m'en fou. » Je n'allais pas par quatre chemins, son importance n'était qu'inexistante à mes yeux et ce même si elle m'avait vu dans un état des plus pitoyables soit-il. « Ah tu crois ? Je croyais qu'on devait plus se voir ? Que c'était même mon défi ? » dis-je d'un calme profond même si j'avais été gonflé par ses décisions qu'elle prenait toute seule. J'en arrivais même à lâcher prise et me dire, bastaaa, si elle ne veut pas m'écouter, pas me voir, ce sont ses dires mais elle risque de louper le meilleur.
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Recevant cette fameuse bouteille dans le dos, mon premier réflexe avait été de me retourner pour voir la personne concernée dans ce geste. Découvrant donc Marin, j’étais un peu surprise de le voir me faire signe d’acte de présence. Ça m’avait un peu surprise puisque je lui avais donné comme défi de ne pas m’approcher, puisque je suis amie avec Sage et en plus je suis en faux couple avec Abélard. Hors de question que ma fausse couverture soit montrée du doigt… Gardant ce petit sourire amusé sur les lèvres, j’hausse les épaules tout en levant le regard vers le ciel. « Quand est-ce que je suis de mauvaise humeur ? Tu devrais le savoir avec le temps. » C’est vannes par-dessus vannes, c’est bien pour ça que j’aimais la relation que nous avions tous les deux. Sauf que ce petit voyage en Italie ne s’était pas déroulé comme je l’avais espéré et j’ignore encore sur quel pied danser. Venant à décrire sa femme, le beau brun ne semblait pas vouloir l’avoir dans ses pattes et c’est compensable. Je faisais semblant d’être en couple avec mon ami, dans l’unique but de faire chier Cole sauf que je n’allais plus tenir, surtout pas en plein Summer Camp. Les hommes en torse nus comme Marin, allaient toujours me faire fantasmer… Croisant mes bras contre ma poitrine, j’hausse les épaules. « Tu t’en fou ? Il me semble que lorsqu’on est marié à quelqu’un, on se doit d’être fidèle. Ce n’est pas ça ? » Oui parce que l’union reste malgré tout sacré sauf que je suis au courant qu’ils ne sont pas mariés avec des sentiments. Sauf qu’il venait à toucher une corde sensible, je suis au courant que j’avais fait ce choix par moi-même, sauf que je ne voulais pas perdre mon amitié avec Sage que je considère comme l’une de mes bonnes amies. Me mordillant légèrement la lèvre inférieure, je détourne le regard pendant quelques instants vers la mer qui semblait vraiment belle ce soir. « Je te signale que c’est toi qui est venu m’aborder en premier, en signe de politesse je te réponds. » Parce que j’avais pas mal de choses à lui dire sauf que je trouvais que c’est beaucoup plus facile de faire comme si rien ne s’était passé et avancer seule. « Tu sais très bien que je ne fais pas ça de gaité de cœur. » Venant à soutenir son regard, je commandais un verre de rhum blanc, en me foutant du prix que celui-ci pouvait valoir. Une fois ce dernier en face de moi, je le bu d’une traite. « T’as envie de quelque chose ? »
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Même si elle m'évitait pour une raison que je trouvais ridicule, et que j'aimais respecter les défis, je ne pouvais me mettre en travers du célèbre hasard. Si Willox était en travers de mon chemin, je n'allais pas non plus me faire tout petit pour la laisser passer. Non, un Perol ne passait très rarement inaperçu, nous sommes des soleils, des caractères à part entière, rien ne nous fait peur et encore moins un caractère trempé. « Tout le temps en ce moment.. D'ailleurs ça va mieux ? Tu souris ? T'as fini ta crise de pré-pubère ? » Je la taquine, je fais passer mon agacement pour de l'humour pourtant je n'en pense pas moins. Willow avait ce don de passer pour une petite capricieuse, et tout ça pourquoi ? Pour protéger sa relation avec Sage ? Parce que la peur la hante de lui dire qu'on avait finalement passer le cap ? Même si sa venue m'avait chamboulé rien n'était joué. A croire que mon coeur était à prendre alors que je ne le donnerai jamais, que de connerie qui avait eu le don de me mettre de mauvaise humeur. La conversation tourne autour de ma femme, d'un mariage non voulu. D'une abomination. « Elle profite de moi, c'est pas de l'amour. Et franchement la fidélité ? » Encore un terme inventé par des incapables qui aime posséder, étouffer même. Je roules des yeux en repensant à ce caillou que je possédais dans ma chaussure et impossible de m'en séparer. Pire qu'un pot de colle. « Tu me réponds par politesse ? » Répétais-je ironiquement, je l'avais un peu mauvaise, je n'aimais pas qu'on décide de mes fréquentations, j'étais libre et le resterai. Elle avait soudainement envie de parler, et je reste dans ma chaise longue, un sourcil levé. Entendant ses explications. « Mais oui, c'est tellement difficile comme choix. » Je m'en fichais pas mal de cette coucherie, je trouvais ça juste pathétique d'en venir la. « Tu me proposes ? Ah parce que tu comptes rester ? » toujours légèrement cassant, envoyant des piques, la mine blasée.
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Ce défi, ça m’avait permise de ne pas croiser Marin jusqu’à ce que je puisse dire la vérité à Sage comme je sais que ces deux-là étaient particulièrement proches l’un de l’autre. Sauf que le destin me l’avait remis une seconde fois dans mon chemin puisque c’est sa bouteille que je recevais dans le dos, quand j’avais entendu sa voix la seule chose que je voulais faire c’était de m’enfuir et faire comme si rien n’était sauf que c’est loin d’être une solution délicate. Quand nous étions en train de parler de mon comportement, je fronçais le regard. Marin avait de la chance d’être l’un de mes bons amis et être mignon car je ne l’aurais pas épargné sur ce sujet. « Crise ? De quelle crise tu parles ? Ah oui, celle où j’te demande de te tenir loin de moi ? J’sais très bien que tu y tiens à ces défis alors comme je suis une grande joueuse dans le domaine, je t’ai donné quelque chose de très difficile. » Au fond de moi, je bouillonnais de rage, surtout de la façon comment il me sortait un truc pareil mais je continuais sur cette lancée, ne lui laissant pas la chance d’argumenter sur son sort. « D’ailleurs, pour que tu sois de mauvaise humeur à cause de cela, tu aurais pu très bien dire non quand je te l’ai proposée… » Au grand jamais je n’avais vu Perol refuser l’un de nos défis. C’était la même chose pour moi alors si ça avait été lui qui m’avait présenté un truc pareil, j’ignore si je lui aurais répondu positivement. Est-ce que j’aurais gardé mes sentiments de côtés pour montrer cette femme forte ou pas ? Tant de questions, tant de réponses aussi. Venant faire allusion à son chien de garde qu’était sa femme, sa douce moitié, je comprends que ça restait un sujet assez complexe quand on venait à en parler au jeune homme… D’ailleurs, les mariages étaient vraiment populaires de nos jours, il y avait celui de Marin, celui de Sage et pour finir c’était celui de Louve que nous allions devoir célébrer. Rien qu’à en parler, j’avais envie de vomir. « Alors, divorces. » Je répondais au tact, comme si je n’en avais rien à faire de notre amitié, c’est la nouvelle mather qui parlait au fond de moi. Je suis au courant que cette décision n’allait pas faire l’unanimité dans la Eliot House mais qu’est-ce que j’en avais à faire ? C’était ma vie, pas la leur et peu importe si leur vice-président allait me rendre la vie impossible… Plus sérieusement, les personnes qui ne sont pas heureux lorsqu’ils sont mariés, décident de divorcer comme tous les couples sauf que Marin n’avait pas l’air pressé d’en faire de même. Restant en face du jeune homme, je gardais mes bras croisés contre ma poitrine, ce même air dur sans aucun sourire. Je n’avais pas vraiment la tête pour être heureuse, surtout après avoir rencontré celui qui me rendait la vie impossible depuis l’Italie. « Quoi, tes parents ne t’ont pas enseigné la politesse en France ? Quand une personne nous aborde, on leur répond. » Bien que le jeune homme semblait vraiment perdu, je suis au courant qu’il attendait des réponses de ma petite personne. Le jeu était sur une corde raide et je sais que tôt ou tard cette nouvelle allait sortir de nulle part, affirmant ma relation avec Abélard alors je me devais d’être le plus franche possible… Laissant échapper un soupir, je glissais l’une de mes mains dans mes cheveux avant de le regarder à nouveau. « Tu veux entendre ce que j’ai à te dire ou pas ? Non parce que je peux très bien continuer ma route si t’en a rien à foutre. » Voilà, c’était sorti sans que je ne puisse me contrôler. Les cartes sont sur la table et Marin pouvait choisir ce qu’il voulait. Nous étions tous les deux pareils et pour éviter de ne pas lui lancer tout ce qui se trouvait dans ma main, j’aimais mieux quitter et le laisser se refroidir. « Très bien, je serai au bar si tu me cherches. » Contournant sa chaise, je venais à commander un verre de vodka, depuis un certain temps c’était l’un de mes cocktails préférés. Tournant le dos au jeune Perol, mon verre arriva en la vitesse de l’éclair et je commençais à boire sans trop penser à ce qui allait se passer par la suite.
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