(carbeth) il n'y a pas meilleur miroir qu'une véritable amie.

Carbeth

Il n'y pas meilleur miroir qu'une véritable amie.

Bien sûr qu'Elbeth avait vu derrière le sourire de son amie qu'elle n'allait pas bien qu'elle se rongeait pour l'homme qu'elle aimait et qui aurait pu la blâmer pour ça. Seulement, Elbeth pensait à Carter, elle qui avait traversé tant de chose avait droit aussi de ce détendre, de faire le point et de vivre une vie de femme. Elbeth avait vécue une relation amoureuse qui avait duré deux ans avec Colin, même si ils s'en étaient caché par apport au jeune homme, Elbeth l'avait aimé assez pour le quitté avant qu'il ne le fasse. Alors les histoires de famille, Elbeth connaissait, elle qui n'était pas accepté par les Perol autrefois, ne le serait pas plus aujourd'hui. Elle serra très fort Carter contre elle, avant de la relâcher et de lui sourire. « Je veux t'aider à aller mieux ma chérie, dis moi ce que tu voudrais faire ? » La blonde était prête à tout pour que Carter vive un vrai summer camp même le temps d'un été. Sil il le fallait, elle la sortirait de force de sa chambre et la traînerait dans une soirée pour qu'elle cesse de s'enfermer dans la culpabilité et qu'elle vive une vraie vie juste pour ce soir. L'amitié ne consistait pas toujours à accepté la peine de l'autre, il fallait aussi l'aider à voir ce qui l'entourait et ceux qui voulait vivre pleins de chose positive avec elle. « Depuis combien de temps, tu traînes dans cette chambre Carter ? » Demanda telle en regardant autours d'elle.

AVENGEDINCHAINS

(Invité)

❝ Il n'y a pas meilleur miroir qu'une véritable amie ❞
Carbeth

Ton sourire est ton arme, tu préférais sourire aux autres que de te montrer faible, bien qu’en ce moment c’était le cas. Tu avais été violée il y a quelques jours de ça, ton corps en portait encore les marques et les porterait encore un moment. Ton copain était dans le coma, tu ne savais pas quand il en sortirait, tu ne savais pas ce que tu pouvais en attendant qu’il s’en sorte, tu réfléchissais à tout ça, tu réfléchissais à tellement de choses et parfois, tu arrivais à la conclusion que votre histoire devait prendre fin. Il serait plus heureux avec une autre femme, une femme que ses proches et sa famille accepteront plus facilement que toi. Toi t’étais juste la pauvre fille qui selon eux était la cause de ce coma, était la cause de sa consommation de drogue alors que pas du tout. Mais bon, tu savais parfaitement que tu serais toujours la méchante selon eux, tu ne serais jamais assez bien à leur yeux et peut-être que tu devais juste leur montrer, leur montrer qu’ils avaient raison. « J’en sais rien, je veux juste qu’on me change les idées. » Tu ne veux pas qu’on te considère comme une petite chose, tu voulais juste t’amuser, être celle que tu avais été durant des mois, des années. Tu passas ta main sur ton visage doucement en haussant les épaules, tu n’avais plus vraiment le sens du temps écoulé, tu ne savais pas du tout depuis combien de temps tu avais pu rester ici, enfermer en quelque sorte. « Quelques jours je pense. En faite, j’en sais trop rien. » Tu laissais un petit rire sortir de sa bouche comme ci c’était drôle alors que dans le fond, c’était juste pathétique.

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