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Abraham Bethlehem
Rosenbaum
Rosenbaum
feat Jordan Barrett
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Mather House
Crocheter des serrures, soulager les bourgeois de leur porte-feuille, faire le mur et susciter un incendie avec un élastique et trois chewing-gums : telles sont les compétences fondamentales d’un gamin des bas-fonds de la Nouvelle Orléans et malgré sa spectaculaire réussite scolaire, A.B. ne s’est jamais départi d’une conception toute personnelle de la loi et de l’autorité. S’il ne compte pas faire fortune en devenant un baron du crime, le jeune homme aspire à mener sa vie comme il l’entend, ce qui n’est pas sans lui poser quelques problèmes avec le reste du monde. Il trouvait à Mather House le cadre idéal pour faire des pulls avec le mauvais coton qu’il file.
Quincy House
Quand on grandit dans la misère, on développe soit un sens aigu du darwinisme social, soit une conscience particulière des maux de la société. A.B. tombe plutôt dans la seconde catégorie et, pour lui, agir pour les autres ne se limitent pas à voter Obama — d’ailleurs, il était trop jeune. A.B. a peut-être une conception parfois bien personnelle de la charité et de la redistribution active des richesses (surtout celles des autres) mais ça ne l’empêche pas de s’impliquer dans toute sorte d’organisation, avec une nette prédilection pour les petites associations de proximité.
Crocheter des serrures, soulager les bourgeois de leur porte-feuille, faire le mur et susciter un incendie avec un élastique et trois chewing-gums : telles sont les compétences fondamentales d’un gamin des bas-fonds de la Nouvelle Orléans et malgré sa spectaculaire réussite scolaire, A.B. ne s’est jamais départi d’une conception toute personnelle de la loi et de l’autorité. S’il ne compte pas faire fortune en devenant un baron du crime, le jeune homme aspire à mener sa vie comme il l’entend, ce qui n’est pas sans lui poser quelques problèmes avec le reste du monde. Il trouvait à Mather House le cadre idéal pour faire des pulls avec le mauvais coton qu’il file.
Quincy House
Quand on grandit dans la misère, on développe soit un sens aigu du darwinisme social, soit une conscience particulière des maux de la société. A.B. tombe plutôt dans la seconde catégorie et, pour lui, agir pour les autres ne se limitent pas à voter Obama — d’ailleurs, il était trop jeune. A.B. a peut-être une conception parfois bien personnelle de la charité et de la redistribution active des richesses (surtout celles des autres) mais ça ne l’empêche pas de s’impliquer dans toute sorte d’organisation, avec une nette prédilection pour les petites associations de proximité.
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
A.B. n’était pas encore à Harvard à l’époque : trop jeune. Et il était loin de songer à intégrer un jour une université aussi prestigieuse mais, surtout, aussi coûteuse. Pour lui, les agressions faisaient alors partie du quotidien et, un peu naïvement, il se représente le monde de l’élite comme un univers civilisé, peut-être un peu coincé mais au moins préservé des maux qu’il affronte tous les jours dans les ruelles sombres et les foyers mal famés de la Nouvelle Orléans.
A.B. n’était pas encore à Harvard à l’époque : trop jeune. Et il était loin de songer à intégrer un jour une université aussi prestigieuse mais, surtout, aussi coûteuse. Pour lui, les agressions faisaient alors partie du quotidien et, un peu naïvement, il se représente le monde de l’élite comme un univers civilisé, peut-être un peu coincé mais au moins préservé des maux qu’il affronte tous les jours dans les ruelles sombres et les foyers mal famés de la Nouvelle Orléans.
APRÈS LE TREMBLEMENT DE TERRE AU CHILI.
C’était l’été avant l’arrivée d’A.B. à Harvard et il ne manquait pas de suivre les actualités concernant sa future école, tout en dévorant tous les livres au programme en un temps record. Pour lui, le tremblement de terre au Chili fut un événement observé de loin, à la télévision, puis de plus près, quand il a commencé à arrondir ses fins de mois en traduisant en hébreu quelques articles américains sur le sujet. Il a donné une partie de ses recettes de cet état-là à une ONG pour aider les enfants chiliens. C’était ça ou acheter une nouvelle paire de baskets.
C’était l’été avant l’arrivée d’A.B. à Harvard et il ne manquait pas de suivre les actualités concernant sa future école, tout en dévorant tous les livres au programme en un temps record. Pour lui, le tremblement de terre au Chili fut un événement observé de loin, à la télévision, puis de plus près, quand il a commencé à arrondir ses fins de mois en traduisant en hébreu quelques articles américains sur le sujet. Il a donné une partie de ses recettes de cet état-là à une ONG pour aider les enfants chiliens. C’était ça ou acheter une nouvelle paire de baskets.
TON ADMISSION A HARVARD
A.B. a toujours été un élève brillant et il le doit sans doute plus au hasard de la biologie et à la nature qui lui a donné un gros cerveau qu’à un environnement social favorable. Petit génie des mots, et à vrai dire petit génie tout court, A.B. a survolé sa scolarité secondaire malgré une tendance certaine à l’absentéisme. Il saute rapidement une classe puis, à quinze ans, une professeure plus impliquée que les autres commencent à lui parler des bourses offertes aux enfants victimes de Katrina, à la Nouvelle Orléans, par certaines ONG. A.B. commence à étoffer son dossier en travaillant dans différentes initiatives caritatives et finit par obtenir l’une de ces bourses complètes. Après un score presque parfait aux SATs — selon lui, ses erreurs indiquent que les SATs sont mal conçus —, il est admis à Harvard, où il commence à suivre des cours sur les langues étrangères.
A.B. a toujours été un élève brillant et il le doit sans doute plus au hasard de la biologie et à la nature qui lui a donné un gros cerveau qu’à un environnement social favorable. Petit génie des mots, et à vrai dire petit génie tout court, A.B. a survolé sa scolarité secondaire malgré une tendance certaine à l’absentéisme. Il saute rapidement une classe puis, à quinze ans, une professeure plus impliquée que les autres commencent à lui parler des bourses offertes aux enfants victimes de Katrina, à la Nouvelle Orléans, par certaines ONG. A.B. commence à étoffer son dossier en travaillant dans différentes initiatives caritatives et finit par obtenir l’une de ces bourses complètes. Après un score presque parfait aux SATs — selon lui, ses erreurs indiquent que les SATs sont mal conçus —, il est admis à Harvard, où il commence à suivre des cours sur les langues étrangères.
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Soy et j'ai 27 ans . Je suis Français et j'ai connu le forum grâce à un top-site . Il était beau, clair, actif et avec un background ouvert alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Jordan Barrett comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par moi-même . Je fais environ 600/800 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé .
Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
adhérer un flood d'intégration (?)
je veux être parrainé si oui, par Sloan Bushnell (ou quelqu’un d’autre, j’suis pas sectaire)
je participe au summer camp si oui, équipe
Je recense mon avatar ▲
si personnage inventé:
adhérer un flood d'intégration (?)
je veux être parrainé si oui, par Sloan Bushnell (ou quelqu’un d’autre, j’suis pas sectaire)
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si personnage inventé:
- Code:
[size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/u7517]►[/url] ► <span class="pris">JORDAN BARRETT</span> ♦ “ A.B. Rosenbaum ”[/size]
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