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GROUPE 1.
Le système de confrérie, de maison, de communauté - etc. - ne t'a jamais réellement attiré. Bien au contraire. Séparer les gens pour les trier dans des groupes sans queue ni tête, tu n'en vois pas l'intérêt. " On est les Eliot on est riche on est les meilleurs " " Non c'est nous les meilleurs on est les Quincy on est gentil ! " " Non attendez nous on se déchire la gueule tous les soirs de la semaine, on est les Mather on est plus cool ! ". Tu trouves ça surtout pathétique. Ils en oublient qu'ils sont tous à la base des étudiants, présents à Harvard pour obtenir leur diplôme.
Du moins, c'est ainsi que toi, tu vois les choses. La vie étudiante, tu t'en fiches un peu. Tu veux juste obtenir ton doctorat et te lancer dans ta carrière de vétérinaire en zoo le plus vite possible. Alors oui, les membres des confréries t'énervent le plus souvent. Tu les trouves puérils, perdus dans leur gu-guerre de quelle maison sera la meilleure, laquelle organisera les meilleures fêtes, les meilleurs événements, les meilleures sorties. Toi tu veux juste étudier tranquillement et profiter de tes années de fac à ta façon, donc hors de question de te plier à des règles ou des codes de telle ou telle maison.
Le système de confrérie, de maison, de communauté - etc. - ne t'a jamais réellement attiré. Bien au contraire. Séparer les gens pour les trier dans des groupes sans queue ni tête, tu n'en vois pas l'intérêt. " On est les Eliot on est riche on est les meilleurs " " Non c'est nous les meilleurs on est les Quincy on est gentil ! " " Non attendez nous on se déchire la gueule tous les soirs de la semaine, on est les Mather on est plus cool ! ". Tu trouves ça surtout pathétique. Ils en oublient qu'ils sont tous à la base des étudiants, présents à Harvard pour obtenir leur diplôme.
Du moins, c'est ainsi que toi, tu vois les choses. La vie étudiante, tu t'en fiches un peu. Tu veux juste obtenir ton doctorat et te lancer dans ta carrière de vétérinaire en zoo le plus vite possible. Alors oui, les membres des confréries t'énervent le plus souvent. Tu les trouves puérils, perdus dans leur gu-guerre de quelle maison sera la meilleure, laquelle organisera les meilleures fêtes, les meilleurs événements, les meilleures sorties. Toi tu veux juste étudier tranquillement et profiter de tes années de fac à ta façon, donc hors de question de te plier à des règles ou des codes de telle ou telle maison.
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
Comme tous, tu eus vent des diverses agressions qui étaient en train de se produire un peu partout sur le campus. Tu n'étais pas du tout rassurée, si bien que tu te promenais rarement seule les quelques jours où la terreur grondait. Et puis, il y a eu les prises d'otages un peu partout à l'université, et tu fus prise dans l'une d'elles, au McDonalds du campus. Coup du destin, toi qui n'y mange d'habitude jamais tu avais voulu changer un peu. Tu étais tombée le mauvais jour, à la mauvaise heure. Tu n'avais pas joué les héros, ça c'est certain. Tu t'étais faite toute discrète, mais le preneur d'otage semblait en avoir après toi. Ta tête ne devait pas lui revenir. Quand son arme te visa, tu faillis tomber dans les pommes. Il commença à crier, ce qui te fit un peu plus paniquer alors que tu n'osais pas le regarder, ni lui ni cette arme pointée sur toi. Tu criais, il criait, la situation commençait à s'envenimer jusqu'à ce que son doigt se pose sur la gâchette. Tout alla alors extrêmement vite. Alors que le preneur d'otage tira, quelqu'un eu le réflexe de te pousser. La balle te toucha malgré tout, mais n'arracha qu'un morceau de ta chair au côté droit de ton ventre. Tu hurlas, plus par peur que par douleur, avant de t'évanouir véritablement. Tu ne sais rien de ce qu'il se passa après, et ne découvrit jamais qui était la personne qui t'avait sauvé.
Comme tous, tu eus vent des diverses agressions qui étaient en train de se produire un peu partout sur le campus. Tu n'étais pas du tout rassurée, si bien que tu te promenais rarement seule les quelques jours où la terreur grondait. Et puis, il y a eu les prises d'otages un peu partout à l'université, et tu fus prise dans l'une d'elles, au McDonalds du campus. Coup du destin, toi qui n'y mange d'habitude jamais tu avais voulu changer un peu. Tu étais tombée le mauvais jour, à la mauvaise heure. Tu n'avais pas joué les héros, ça c'est certain. Tu t'étais faite toute discrète, mais le preneur d'otage semblait en avoir après toi. Ta tête ne devait pas lui revenir. Quand son arme te visa, tu faillis tomber dans les pommes. Il commença à crier, ce qui te fit un peu plus paniquer alors que tu n'osais pas le regarder, ni lui ni cette arme pointée sur toi. Tu criais, il criait, la situation commençait à s'envenimer jusqu'à ce que son doigt se pose sur la gâchette. Tout alla alors extrêmement vite. Alors que le preneur d'otage tira, quelqu'un eu le réflexe de te pousser. La balle te toucha malgré tout, mais n'arracha qu'un morceau de ta chair au côté droit de ton ventre. Tu hurlas, plus par peur que par douleur, avant de t'évanouir véritablement. Tu ne sais rien de ce qu'il se passa après, et ne découvrit jamais qui était la personne qui t'avait sauvé.
APRÈS LE TREMBLEMENT DE TERRE AU CHILI.
2016 n'est pas prêt de disparaître de ta mémoire. C'était l'une des premières fois où tu partais au Spring Break organisé par l'université, toi qui n'est pas friande des événements de ce genre d'habitude. Tu profitais pleinement du séjour de ton côté, passant la plupart de tes journées seule,
retournant en communion avec ton continent d'origine. Tout était allé si vite. Tu pataugeais dans le lac, te laissant bercer par les solides rayons de soleil. Une première secousse, rien d'inquiétant. Une seconde, une autre. Jusqu'à ce que l'eau commence à se déchaîner tout autour de toi. A peine étais-tu sortie de l'eau que déjà tu perdais tout équilibre. Tu avais tenté tant bien que mal de rejoindre l'hôtel au plus vite, quand une sorte d'éboulement fonça droit vers toi.
Tu es sortie indemne de cet accident, avec juste une foulure à la cheville.
2016 n'est pas prêt de disparaître de ta mémoire. C'était l'une des premières fois où tu partais au Spring Break organisé par l'université, toi qui n'est pas friande des événements de ce genre d'habitude. Tu profitais pleinement du séjour de ton côté, passant la plupart de tes journées seule,
retournant en communion avec ton continent d'origine. Tout était allé si vite. Tu pataugeais dans le lac, te laissant bercer par les solides rayons de soleil. Une première secousse, rien d'inquiétant. Une seconde, une autre. Jusqu'à ce que l'eau commence à se déchaîner tout autour de toi. A peine étais-tu sortie de l'eau que déjà tu perdais tout équilibre. Tu avais tenté tant bien que mal de rejoindre l'hôtel au plus vite, quand une sorte d'éboulement fonça droit vers toi.
Tu es sortie indemne de cet accident, avec juste une foulure à la cheville.
TON ADMISSION A HARVARD
Partir étudier aux Etats-Unis, c'était pas tellement dans tes projets à la base. Tes parents avaient eu d'autres projets pour toi, comme reprendre les fermes familiales. Mais ton stage dans un zoo lorsque tu étais adolescente t'a fait rêver d'une autre voie, donner un autre but : devenir vétérinaire, de parc national, de zoo ou de réserve, mais devenir une vétérinaire de renom. Tu as pris des semaines à trouver le sujet de ta dissertation. Seulement quelques jours pour l'a rédiger. Elle portait sur la cause féminine. Cause qui te tient particulièrement à coeur depuis tant d'années. Des princesses Disney à Malala, tu as parlé de l'émancipation de la femme dans une société patriarcale. Et de cet écart entre hommes et femmes qui t'écoeure encore aujourd'hui. Tu as notamment parlé de toi, énormément. Toi qui subit l'autorité de ton père et de ton grand-frère, qui pense avoir tout les droits sur toi. Toi qui a été marié de force à un ami de la famille.
Fière d'avoir atteint le score de 2248 aux sats.
Partir étudier aux Etats-Unis, c'était pas tellement dans tes projets à la base. Tes parents avaient eu d'autres projets pour toi, comme reprendre les fermes familiales. Mais ton stage dans un zoo lorsque tu étais adolescente t'a fait rêver d'une autre voie, donner un autre but : devenir vétérinaire, de parc national, de zoo ou de réserve, mais devenir une vétérinaire de renom. Tu as pris des semaines à trouver le sujet de ta dissertation. Seulement quelques jours pour l'a rédiger. Elle portait sur la cause féminine. Cause qui te tient particulièrement à coeur depuis tant d'années. Des princesses Disney à Malala, tu as parlé de l'émancipation de la femme dans une société patriarcale. Et de cet écart entre hommes et femmes qui t'écoeure encore aujourd'hui. Tu as notamment parlé de toi, énormément. Toi qui subit l'autorité de ton père et de ton grand-frère, qui pense avoir tout les droits sur toi. Toi qui a été marié de force à un ami de la famille.
Fière d'avoir atteint le score de 2248 aux sats.
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle BELLA CIAO. mais osef appelle-moi lorenza et j'ai vingt-deux depuis lundi, tristesse . Je suis ch'ti et j'ai connu le forum grâce à la poudre de perlimpinpin . Trop attachée à ce fo donc j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise hailey baldwin comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par kawainekoj + tumblr . Je fais environ j'sais pas je compte pas mais souvent court/moyen et mon personnage est un personnage inventé .
Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
adhérer un flood d'intégration (?)
je veux être parrainé si oui, par pseudo du parrain (voir la liste des parrains)
Je recense mon avatar ▲
si personnage inventé:
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si personnage inventé:
- Code:
[size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/u7451]►[/url] ► <span class="pris">HAILEY BALDWIN</span> ♦ “ Pamela Scicolone ”[/size]
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