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CABOT HOUSE.
Parce que j'aime le rose. Non, c'est une blague. Je suis en femme complète après tout. C'est vrai, je suis maman, j'ai élevé mon enfant, je suis plutôt jolie, c'est pas pour me vanter mais on me l'a dit souvent, et je défends le droit des femmes. Qu'est-ce qu'il faut de plus ? Et le premier qui ose dire que je ne suis pas une vraie femme, je lui fait élever un enfant seul, travailler pour payer les couches, la nourriture et tout ce dont un enfant à besoin, de sa naissance jusque là ou j'en suis, tout en suivant des cours à domicile. Si après ça, il ose me dire encore que je ne suis pas une femme à part entière, alors je m'inclinerais. Ou pas d'ailleurs, je ne renonce pas facilement.
MATHER HOUSE.
Pourquoi Mather ? Parce que je ne pense pas pouvoir faire partie des autres maisons. A part Students, mais j'ai trop l'esprit de compétition pour ne pas m'investir dans une confrérie. Puis chez les verts, ils acceptent tout le monde, sans juger de leur vie, de ce qu'ils font, de ce qu'ils ont fait et de leur passé. Alors si on ne m'accepte pas, il va falloir reparler de tous les drogués et alcooliques qui ne font que dormir au lieu d'aller en cours qui constituent cette confrérie. Moi, je me suis battue pour en arriver là, avec tous les problèmes qu'impliquent la vie de maman, et j'ai réussis. Je pense amplement mériter ma place dans une maison comme celle-ci, parce que je suis aussi anti-conformiste. Certes, j'ai dû faire un très sur les sorties et les conneries, mais ça veut pas dire que je suis vieille et coincée. Non je fume, j'ai jamais dit que j'étais une maman modèle, du moins que des clopes. j'ai eu fumé des substances illicites, mais la grossesse m'a empêché de continuer mes conneries d'adolescent.
Parce que j'aime le rose. Non, c'est une blague. Je suis en femme complète après tout. C'est vrai, je suis maman, j'ai élevé mon enfant, je suis plutôt jolie, c'est pas pour me vanter mais on me l'a dit souvent, et je défends le droit des femmes. Qu'est-ce qu'il faut de plus ? Et le premier qui ose dire que je ne suis pas une vraie femme, je lui fait élever un enfant seul, travailler pour payer les couches, la nourriture et tout ce dont un enfant à besoin, de sa naissance jusque là ou j'en suis, tout en suivant des cours à domicile. Si après ça, il ose me dire encore que je ne suis pas une femme à part entière, alors je m'inclinerais. Ou pas d'ailleurs, je ne renonce pas facilement.
MATHER HOUSE.
Pourquoi Mather ? Parce que je ne pense pas pouvoir faire partie des autres maisons. A part Students, mais j'ai trop l'esprit de compétition pour ne pas m'investir dans une confrérie. Puis chez les verts, ils acceptent tout le monde, sans juger de leur vie, de ce qu'ils font, de ce qu'ils ont fait et de leur passé. Alors si on ne m'accepte pas, il va falloir reparler de tous les drogués et alcooliques qui ne font que dormir au lieu d'aller en cours qui constituent cette confrérie. Moi, je me suis battue pour en arriver là, avec tous les problèmes qu'impliquent la vie de maman, et j'ai réussis. Je pense amplement mériter ma place dans une maison comme celle-ci, parce que je suis aussi anti-conformiste. Certes, j'ai dû faire un très sur les sorties et les conneries, mais ça veut pas dire que je suis vieille et coincée. Non je fume, j'ai jamais dit que j'étais une maman modèle, du moins que des clopes. j'ai eu fumé des substances illicites, mais la grossesse m'a empêché de continuer mes conneries d'adolescent.
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
Est-ce que Théo était toujours à Harvard ? Voici la question que je me posais. Je ne savais pas. A cette époque, mon frère faisait toujours ses études. On a appelé, sans cesse, tous les jours, pour avoir de ses nouvelles. On était impuissant. Moi, je ne pouvais appeler Théo. Nous avions coupé tout contact. Est-ce que c'était mieux ? Je n'en sais rien. Je vivais avec une étrange sensation dans les tripes. Est-ce que le père de mon enfant allait bien ? Est-ce qu'il avait été agressé ? Je n'en savais rien. Je ne pouvais pas savoir. Mon frère n'a rien eu. Il se portait bien. A part qu'il était devenu parano et qu'il voyait le mal partout. Mais après quelques séances chez le psy, tout allait mieux pour lui, mais Théo ?
Est-ce que Théo était toujours à Harvard ? Voici la question que je me posais. Je ne savais pas. A cette époque, mon frère faisait toujours ses études. On a appelé, sans cesse, tous les jours, pour avoir de ses nouvelles. On était impuissant. Moi, je ne pouvais appeler Théo. Nous avions coupé tout contact. Est-ce que c'était mieux ? Je n'en sais rien. Je vivais avec une étrange sensation dans les tripes. Est-ce que le père de mon enfant allait bien ? Est-ce qu'il avait été agressé ? Je n'en savais rien. Je ne pouvais pas savoir. Mon frère n'a rien eu. Il se portait bien. A part qu'il était devenu parano et qu'il voyait le mal partout. Mais après quelques séances chez le psy, tout allait mieux pour lui, mais Théo ?
APRÈS LE TREMBLEMENT DE TERRE AU CHILI.
Spring break 2016, voyage au Chili.
Ne venant que d'arriver à Harvard, je n'étais pas touchée par ce tremblement de terre. Et même si j'étais à Harvard, je n'aurais pas pu partir au Spring Break avec mon fils. Non, j'étais devenue une maman, pas parfaite, mais responsable. Mon frère avait fini ses études. On ne s'inquiétait plus pour lui. Mais de nouveau, est-ce que Théo a survécu ? Parce que même si je voulais faire croire à tout le monde que j'avais oublié Théo, il était quand même le père de mon enfant. Et ça, on ne pourra jamais lui enlevé ce titre. Je sais qu'après notre dispute, je ne voulais pas qu'il rencontre son fils. Je ne voulais pas qu'il me l'enlève, j'étais devenue un peu parano, mais je voulais après toutes ces tragédies, que mon fils puisse un jour avoir la chance de rencontrer son papa. Alors j'espérais au fond de moi qu'il était en sécurité et que surtout, qu'il survive pour un jour pouvoir voir son fils.
Spring break 2016, voyage au Chili.
Ne venant que d'arriver à Harvard, je n'étais pas touchée par ce tremblement de terre. Et même si j'étais à Harvard, je n'aurais pas pu partir au Spring Break avec mon fils. Non, j'étais devenue une maman, pas parfaite, mais responsable. Mon frère avait fini ses études. On ne s'inquiétait plus pour lui. Mais de nouveau, est-ce que Théo a survécu ? Parce que même si je voulais faire croire à tout le monde que j'avais oublié Théo, il était quand même le père de mon enfant. Et ça, on ne pourra jamais lui enlevé ce titre. Je sais qu'après notre dispute, je ne voulais pas qu'il rencontre son fils. Je ne voulais pas qu'il me l'enlève, j'étais devenue un peu parano, mais je voulais après toutes ces tragédies, que mon fils puisse un jour avoir la chance de rencontrer son papa. Alors j'espérais au fond de moi qu'il était en sécurité et que surtout, qu'il survive pour un jour pouvoir voir son fils.
TON ADMISSION A HARVARD
Harvard était pour moi un conte de fée. Mon père a fait ses études là-bas, ma mère aussi. Ils se sont rencontrés sur la campus, et de là sont nés trois enfants. L'aînée, ma grande sœur, Marylin, a fait ses études dans la même université, à trouvé son fiancé à Harvard, a pu fonder son étude de notariat pendant que son fiancé reprenait le cabinet d'avocat de son père. Mon frère a aussi étudié à Harvard, il a pu trouver le travail de ses rêves. Et moi ? Moi, je rêvais d'amour et d'eau fraiche. Je voulais rencontrer mon âme soeur sur le campus, je voulais pouvoir devenir une femme politicienne à l'influence mondiale. Je voulais, puis est arrivé le lycée. La première année, j'ai continué de fixer mon but sur Harvard. Note irréprochable, j'avais même un an d'avance sur tous les autres. Puis j'ai rencontré Théo. Il était mon conte de fée, mais aussi mon pire cauchemar. Mais on voulait tous les deux venir à Harvard, continuer nos études ensemble. Sauf que voilà. Je suis tombée enceinte. J'ai dû renoncer à mon rêve, prendre des cours à domicile pour pouvoir élever mon enfant convenablement, lui promettre un bel avenir. Ce n'est pas comme si je n'avais pas eu de mauvais résultats au SATs, ils étaient excellent, on m'accordait une petite bourse, car même si on vient d'une famille qui n'est pas dans le besoin, mes parents ne pouvaient offrir des études à encore deux enfants dans le supérieure. Puis Harvard est tombé aux oubliettes. Jusqu'à cette année. Mon fils étant devenu grand, je pouvais me permettre de reprendre mes études. Et Harvard voulait toujours de moi. Je crois que mon essaie sur la vie d'étudiante pour les jeunes mamans leur a plu. Combien ont-ils d'étudiantes maman ? Je ne pense pas qu'elles courent les couloirs. Mais moi, j'étais là, avec mon ambition, mon entêtement, mon acharnement au travail, ma précision. Et j'ai été prise pour faire ma cinquième année d'étude à Harvard.
Harvard était pour moi un conte de fée. Mon père a fait ses études là-bas, ma mère aussi. Ils se sont rencontrés sur la campus, et de là sont nés trois enfants. L'aînée, ma grande sœur, Marylin, a fait ses études dans la même université, à trouvé son fiancé à Harvard, a pu fonder son étude de notariat pendant que son fiancé reprenait le cabinet d'avocat de son père. Mon frère a aussi étudié à Harvard, il a pu trouver le travail de ses rêves. Et moi ? Moi, je rêvais d'amour et d'eau fraiche. Je voulais rencontrer mon âme soeur sur le campus, je voulais pouvoir devenir une femme politicienne à l'influence mondiale. Je voulais, puis est arrivé le lycée. La première année, j'ai continué de fixer mon but sur Harvard. Note irréprochable, j'avais même un an d'avance sur tous les autres. Puis j'ai rencontré Théo. Il était mon conte de fée, mais aussi mon pire cauchemar. Mais on voulait tous les deux venir à Harvard, continuer nos études ensemble. Sauf que voilà. Je suis tombée enceinte. J'ai dû renoncer à mon rêve, prendre des cours à domicile pour pouvoir élever mon enfant convenablement, lui promettre un bel avenir. Ce n'est pas comme si je n'avais pas eu de mauvais résultats au SATs, ils étaient excellent, on m'accordait une petite bourse, car même si on vient d'une famille qui n'est pas dans le besoin, mes parents ne pouvaient offrir des études à encore deux enfants dans le supérieure. Puis Harvard est tombé aux oubliettes. Jusqu'à cette année. Mon fils étant devenu grand, je pouvais me permettre de reprendre mes études. Et Harvard voulait toujours de moi. Je crois que mon essaie sur la vie d'étudiante pour les jeunes mamans leur a plu. Combien ont-ils d'étudiantes maman ? Je ne pense pas qu'elles courent les couloirs. Mais moi, j'étais là, avec mon ambition, mon entêtement, mon acharnement au travail, ma précision. Et j'ai été prise pour faire ma cinquième année d'étude à Harvard.
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle tit'ane et j'ai très bientôt dix huit ans . Je suis auvergnate et j'ai connu le forum grâce à google . Après une longue pause dans les RPG j'ai décidé de revenir. J'utilise Charlotte McKee comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par stolen paradise . Je fais environ le nombre de mots que mon inspiration me permet et mon personnage est un personnage inventé .
Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
adhérer un flood d'intégration (?)
je veux être parrainé
je participe au summer camp si oui, vacancier (voir l'explicatif du summer camp)
Je recense mon avatar ▲
si personnage inventé:
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je veux être parrainé
je participe au summer camp si oui, vacancier (voir l'explicatif du summer camp)
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si personnage inventé:
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- Code:
[size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/u7511]►[/url] ► <span class="pris">CHARLOTTE MCKEE</span> ♦ “ Monroe S. J. McCray ”[/size]
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