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Jekyll Tommy
Delaney
Delaney
feat Charlie Hunnam
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LOWELL.
La Lowell House est mon choix premier. J’sais qu’avec mon caractère de merde je risque de brusquer les artistes en herbe mais au moins, j’pense que je serai tranquille, j’pense que j’ai ma place dans cette maison. Mes études mineures sont à propos de l’art, de la musique. Je suis un artiste dans l’âme moi, j’fais partie d’un groupe de musique, j’en suis le chanteur et le guitariste même si je joue aussi de la batterie et du piano. A l’heure actuelle, lorsque je suis colérique, hors de moi, c’est la peinture. Lorsque j’pince un pinceau entre mes doigts et que j’le pose sur la toile, mon cerveau se déconnecte, j’chui totalement ailleurs. A mes heures perdues, pour gagner du fric, je fais du black chez le tatoueur du coin et j’me débrouille plutôt pas mal, faut l’avouer. L’art m’apaise et j’pense que j’pourrais être un bon Lowell pour ça.
MATHERS.
Mathers House. C’est n’est pas nouveau, les artistes sont tous des drogués et j’fais pas exception à la règle. J’chui un peu trop tendancieux lorsqu’il s’agit de d’alcool ou de cigarette et j’parle même pas de drogues dures. J’me suis calmé mais à un moment j’me défonçais constamment. Maintenant j’chui un peu plus sage on va dire, j’évite de toucher les drogues dures, pour ma survie on va dire. Mais l’esprit fêtard coule toujours dans mon sang, j’dis jamais non à une bonne fête ou une bonne cuite alors…
La Lowell House est mon choix premier. J’sais qu’avec mon caractère de merde je risque de brusquer les artistes en herbe mais au moins, j’pense que je serai tranquille, j’pense que j’ai ma place dans cette maison. Mes études mineures sont à propos de l’art, de la musique. Je suis un artiste dans l’âme moi, j’fais partie d’un groupe de musique, j’en suis le chanteur et le guitariste même si je joue aussi de la batterie et du piano. A l’heure actuelle, lorsque je suis colérique, hors de moi, c’est la peinture. Lorsque j’pince un pinceau entre mes doigts et que j’le pose sur la toile, mon cerveau se déconnecte, j’chui totalement ailleurs. A mes heures perdues, pour gagner du fric, je fais du black chez le tatoueur du coin et j’me débrouille plutôt pas mal, faut l’avouer. L’art m’apaise et j’pense que j’pourrais être un bon Lowell pour ça.
MATHERS.
Mathers House. C’est n’est pas nouveau, les artistes sont tous des drogués et j’fais pas exception à la règle. J’chui un peu trop tendancieux lorsqu’il s’agit de d’alcool ou de cigarette et j’parle même pas de drogues dures. J’me suis calmé mais à un moment j’me défonçais constamment. Maintenant j’chui un peu plus sage on va dire, j’évite de toucher les drogues dures, pour ma survie on va dire. Mais l’esprit fêtard coule toujours dans mon sang, j’dis jamais non à une bonne fête ou une bonne cuite alors…
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
J’étais pas directement victime des agressions, je n’étais pas une demoiselle en détresse, j’avais pas mis ma petite jupette. Tout ça pour dire que j’me foutais limite de ces conneries. C’est quelque chose de dégueulasse certes, mais l’ambiance qui régnait au sein de l’Université ne m’faisait pas froid dans le dos, bien au contraire, ça faisait fermer leur claque merde à certaines pimbèches qui se la racontaient un peu trop. En revanche, j’étais en plein milieu lors de la prise d’otages. Ils ont débarqué et ont pris des otages dont j’faisais partie. J’restais là, à attendre et à regarder ce qui se tramait sous mes yeux. J’cherchais un plan, je n’ai pas hésité à parler aux agresseurs, à chercher leurs points faibles et quand il a fallu s’interposer alors que l’un souhaitait s’amuser avec une jeune fille en fleur, je l’ai fait. J’me suis battu avec l’un des agresseurs et je l’ai mis au tapis. Quelques secondes après, les portes pétaient et les autorités ont débarqué, fin du game.
J’étais pas directement victime des agressions, je n’étais pas une demoiselle en détresse, j’avais pas mis ma petite jupette. Tout ça pour dire que j’me foutais limite de ces conneries. C’est quelque chose de dégueulasse certes, mais l’ambiance qui régnait au sein de l’Université ne m’faisait pas froid dans le dos, bien au contraire, ça faisait fermer leur claque merde à certaines pimbèches qui se la racontaient un peu trop. En revanche, j’étais en plein milieu lors de la prise d’otages. Ils ont débarqué et ont pris des otages dont j’faisais partie. J’restais là, à attendre et à regarder ce qui se tramait sous mes yeux. J’cherchais un plan, je n’ai pas hésité à parler aux agresseurs, à chercher leurs points faibles et quand il a fallu s’interposer alors que l’un souhaitait s’amuser avec une jeune fille en fleur, je l’ai fait. J’me suis battu avec l’un des agresseurs et je l’ai mis au tapis. Quelques secondes après, les portes pétaient et les autorités ont débarqué, fin du game.
APRÈS LE TREMBLEMENT DE TERRE AU CHILI.
J’y étais également. J’étais pas loin de l’hôtel. Il y avait une sortie mêlant certaines confréries mais j’avais décidé de m’isoler, de prendre du temps pour moi et surtout d’me défoncer tout en jouant de la gratte devant un paysage sympa. Je m’étais calé non loin d’une falaise, un pic rocheux qui m’abritait un peu grâce à l’ombre qu’il me procurait. J’étais totalement défoncé, j’devais être un zombie à ce moment-là mais j’pouvais sentir l’inspiration s’insinuer dans mes doigts. J’grattais mes cordes tout en fredonnant jusqu’à ce que la Terre se mette à trembler. Sourcils froncés, je m’étais arrêté une seconde afin de constater si j’étais trop défoncé pour imaginer ce genre de chose ou non. Puis la Terre a recommencé à trembler encore et encore. Alors j’ai foutu ma guitare sur le dos et j’me suis mis en route vers l’hôtel. Non loin du sentier principal, une roche s’est détachée de la paroi rocheuse est head shot. J’me suis affalé sur la terre rouge et j’me suis réveillé uniquement le lendemain à l’hôpital en compagnie d’autres élèves.
J’y étais également. J’étais pas loin de l’hôtel. Il y avait une sortie mêlant certaines confréries mais j’avais décidé de m’isoler, de prendre du temps pour moi et surtout d’me défoncer tout en jouant de la gratte devant un paysage sympa. Je m’étais calé non loin d’une falaise, un pic rocheux qui m’abritait un peu grâce à l’ombre qu’il me procurait. J’étais totalement défoncé, j’devais être un zombie à ce moment-là mais j’pouvais sentir l’inspiration s’insinuer dans mes doigts. J’grattais mes cordes tout en fredonnant jusqu’à ce que la Terre se mette à trembler. Sourcils froncés, je m’étais arrêté une seconde afin de constater si j’étais trop défoncé pour imaginer ce genre de chose ou non. Puis la Terre a recommencé à trembler encore et encore. Alors j’ai foutu ma guitare sur le dos et j’me suis mis en route vers l’hôtel. Non loin du sentier principal, une roche s’est détachée de la paroi rocheuse est head shot. J’me suis affalé sur la terre rouge et j’me suis réveillé uniquement le lendemain à l’hôpital en compagnie d’autres élèves.
TON ADMISSION A HARVARD
Je n'ai pas de bourse. J'paye mes études grâce à mes petits boulots et grâce à l'argent que j'ai pu soutirer à mon père, du moins à sa mort. J’aurais pu dire que j’ai été admis grâce à mon père qui est un riche notable Français du genre pointure internationale, seulement ce n’est pas vrai. J’ai beau être une vraie tête de con, lorsque j’ai une idée en tête, je suis déterminé, je me bats chaque jour afin d’obtenir ce que je souhaite et plus jeune, je souhaitais Harvard. J’me suis servi de la réputation de mon père pour appuyer mon dossier même si celui-ci ne devait certainement pas être au courant. Pour le reste, j’ai mis en avant ma carrière militaire, aussi brève soit-elle et même si j’me suis fait virer pour insubordination après m’être échappé du camp sur lequel j’étais rattaché, j’ai bien mis en avant la discipline que ça m’a inculquée. Pour le reste… J’ai tout défoncé aux tests. J’ai eu d’excellents résultats, pour une tête brûlée comme moi ce n’était pas franchement gagné mais j’ai tout déchiré. J’ai ma place à Harvard, ça fait des années que j’y étudie et j’chui pas loin de terminer mon doctorat, finalement, ils ne se sont pas trompés en pariant sur un type comme moi-même s’ils avaient peur de le regretter.
Je n'ai pas de bourse. J'paye mes études grâce à mes petits boulots et grâce à l'argent que j'ai pu soutirer à mon père, du moins à sa mort. J’aurais pu dire que j’ai été admis grâce à mon père qui est un riche notable Français du genre pointure internationale, seulement ce n’est pas vrai. J’ai beau être une vraie tête de con, lorsque j’ai une idée en tête, je suis déterminé, je me bats chaque jour afin d’obtenir ce que je souhaite et plus jeune, je souhaitais Harvard. J’me suis servi de la réputation de mon père pour appuyer mon dossier même si celui-ci ne devait certainement pas être au courant. Pour le reste, j’ai mis en avant ma carrière militaire, aussi brève soit-elle et même si j’me suis fait virer pour insubordination après m’être échappé du camp sur lequel j’étais rattaché, j’ai bien mis en avant la discipline que ça m’a inculquée. Pour le reste… J’ai tout défoncé aux tests. J’ai eu d’excellents résultats, pour une tête brûlée comme moi ce n’était pas franchement gagné mais j’ai tout déchiré. J’ai ma place à Harvard, ça fait des années que j’y étudie et j’chui pas loin de terminer mon doctorat, finalement, ils ne se sont pas trompés en pariant sur un type comme moi-même s’ils avaient peur de le regretter.
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle DMC et j'ai 158 ans . Je suis Français et j'ai connu le forum grâce à moi haha . Je l’aime toujours autant j'ai décidé de m'inscrire OU Je suis déjà présent sur le forum sous les traits de Jarod N. Sullivan (Quincy) J'utilise Charlie Hunnam comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par MonkeyHoney . Je fais environ 150 à 500 mots voir plus et mon personnage est un personnage scénario crée par Erin H. Duncan du scénario si ç'en ai un.
Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
adhérer un flood d'intégration (?)
je veux être parrainé si oui, par pseudo du parrain (voir la liste des parrains)
Je recense mon avatar ▲
si scénario:
adhérer un flood d'intégration (?)
je veux être parrainé si oui, par pseudo du parrain (voir la liste des parrains)
Je recense mon avatar ▲
si scénario:
- Code:
[size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/u2179]►[/url] [url=http://www.i-love-harvard.com/t75240-m-le-demi-frere-inconnu]►[/url] <span class="pris">CHARLIE HUNNAM</span> ♦ “ Jekyll T. Delaney ”[/size]
(Invité)
« Il est mort Jekyll. » J’étais à deux doigts de briser mon portable. Mais j’pensais que j’devais arrêter mes conneries, j’avais déjà changé 4 fois l’écran cette année. Mâchoires serrées, j’relisais le texte encore et encore. Le texto provenait de ma mère. Depuis combien de temps je l’avais pas vu… j’pourrais même plus le dire. Depuis mes premières années d’Harvard sûrement. J’venais d’apprendre que mon père était mort, d’on ne sait quoi, à vrai dire je m’en foutais. Fallait que j’me calme. J’pensais pas que ça allait m’affecter autant. Mon père était un connard, un genre de dictateur qui voulait que j’finisse avocat, juge ou autre médecin alors que moi j’étais manuel, j’avais la vague à l’âme et surtout j’étais bi-polaire, du genre artiste quoi. Le côté instable, j’le tenais de ma mère. Ils s’étaient mariés jeunes, avant que mon père hérite de sa grande fortune. Elle, grande blonde aux yeux bleus avait su charmer le petit français et quelques années j’avais pointé le bout de mon nez. Elle était belle, innocente, amoureuse et mon père était innocent lui aussi à l’époque. Bien avant qu’il se transforme en hypocrite. Ça faisait des années que ma mère n’était plus avec lui, comment avait-elle appris cette nouvelle ? J’étais con, j’devais être sur le testament et elle aussi, ils nous devaient bien ça après le bordel qu’il avait foutu. J’prenais mon souffle tout en passant mes doigts dans ma barbe. J’le sentais mal cette histoire. « Il t’a laissé une lettre. » Bordel et puis quoi encore ? Mon père n’était pas du genre larmoyant alors une lettre pour s’excuser, plutôt crever, bien qu’il soit déjà mort. Une lettre pour m’en foutre plein la gueule ? Sans doute. Ma mère me spécifiait qu’elle ne l’avait pas ouverte, qu’elle me l’envoyait et que j’allais être contacté par le notaire afin de finaliser les dernières modalités du testament. Si je n’avais pas vu ma mère depuis un moment, parce qu’elle avait refait sa vie et parce que j’avais fait la mienne, j’avais pas vu mon père depuis encore plus longtemps. J’comptais même plus les années, depuis qu’il m’avait foutu à l’armée, depuis que j’avais fait une connerie d’ado en fuguant, me faisant passer pour mort. J’pensais voir dans ses yeux du regret, de la douleur, mais j’avais eu le droit qu’à du mépris. Bon débarras. J’avais pris ma vie en main en décidant de me couper de la sienne et je m’en sortais pas si mal. Pourtant, j’ressentais des émotions contradictoires à l’heure actuelle, sûrement à cause de ma mère, de mon foutu détraquement mental et de mes conneries. J’étais loin de me douter que la lettre que j’allais recevoir allait changer ma vie. Que quelqu’un allait à nouveau entrer dans la mienne. J’en oubliais presque que j’avais un frère et une sœur… Faudrait peut être que j’les appelle… Bordel je supportais pas ce genre de situation, j’étais à bout de nerfs. J’étais en colère, pour tout ce qu’il avait fait et encore… j’étais loin de m’imaginer ce qui allait me tomber sur la gueule par la suite…
tu fais mon bonheur, hâte de jouer nos bébés 
