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MATHERS
Que vous dire je ne fais rien dans la mesure, tout chez moi est démesure. Je sors trop, je déconne trop, je bois trop... Et je fume parfois trop. Je n'aime pas rentrer dans un moule, nous sommes tous fous mais, ma réalité est juste différente de la vôtre. Ma folie est ce qui me maintient en vie, boires et déboires sont mes lots quotidiens. Je serais sage quand je serais vieille, car je ne veux passer à coté de rien. Déconner c'est juste comme ça que je vois ma vie, brûler ma jeunesse par le deux bouts de chandelle. La vie est courte autant en profiter. Voilà tout simplement pourquoi je ne peux m'imaginer ailleurs qu'au sein des Mathers! Ils sont anticonformiste? Bah ça tombe bien j'aime me démarquer, surtout ils aiment faire la fête et ça c'est mon crédo. Dépasser mes limites, LES limites c'est ce qui booste mes veines d'adrénaline.
STUDENTS
A mes risques et périls alors! Pour vous dire ça tombe bien, j'aime vivre dangereusement. Bon ok, j'enchaîne les relations, j'aime faire des ravages. Je pourrais peut-être rejoindre les cabots mais, non merci non merci. Une baraque remplie de nanas? Sérieux vous n'imaginez pas le calvaire, ce serait trop dur à supporter surtout pour moi. Ce n'est pas que je n'aime pas les filles mais, disons que j'ai du mal. Si je n'arrive pas à intégrer la Mather House, je préfère encore rester un électron libre... Libre de toute vision, de toutes contraintes, libre tout simplement.
Que vous dire je ne fais rien dans la mesure, tout chez moi est démesure. Je sors trop, je déconne trop, je bois trop... Et je fume parfois trop. Je n'aime pas rentrer dans un moule, nous sommes tous fous mais, ma réalité est juste différente de la vôtre. Ma folie est ce qui me maintient en vie, boires et déboires sont mes lots quotidiens. Je serais sage quand je serais vieille, car je ne veux passer à coté de rien. Déconner c'est juste comme ça que je vois ma vie, brûler ma jeunesse par le deux bouts de chandelle. La vie est courte autant en profiter. Voilà tout simplement pourquoi je ne peux m'imaginer ailleurs qu'au sein des Mathers! Ils sont anticonformiste? Bah ça tombe bien j'aime me démarquer, surtout ils aiment faire la fête et ça c'est mon crédo. Dépasser mes limites, LES limites c'est ce qui booste mes veines d'adrénaline.
STUDENTS
A mes risques et périls alors! Pour vous dire ça tombe bien, j'aime vivre dangereusement. Bon ok, j'enchaîne les relations, j'aime faire des ravages. Je pourrais peut-être rejoindre les cabots mais, non merci non merci. Une baraque remplie de nanas? Sérieux vous n'imaginez pas le calvaire, ce serait trop dur à supporter surtout pour moi. Ce n'est pas que je n'aime pas les filles mais, disons que j'ai du mal. Si je n'arrive pas à intégrer la Mather House, je préfère encore rester un électron libre... Libre de toute vision, de toutes contraintes, libre tout simplement.
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
Je m'en souviens parfaitement, cette atmosphère lourde et pesante qui régnait. Cette ombre, cette crainte qui planait. Je ne pourrais pas vous dire que je psychotais ou que je craignais de me faire agresser aussi, non car je me refusais tout simplement de me laisser aller à ce mouvement de panique, d'être terrorisée. Lorsque l'on s'autorise à craindre quelque chose, on laisse la porte ouverte. A cette époque j'ai décidé de la fermer, prendre le taureau par les cornes. Apprendre à se défendre n'est pas une perte de temps. Et je ne regrette pas de l'avoir fait. Mais, un malheur ne vient jamais seul, le 17 janvier nous avons été encore plus marqué par le drame. La prise d'otage à secoué le campus. A secoué tout le monde mais, encore plus ceux prit en engrenage dans le centre commercial. J'en faisais partie avec un groupe d'amis.
PS : t'as plus d'infos à cet endroit !
Je m'en souviens parfaitement, cette atmosphère lourde et pesante qui régnait. Cette ombre, cette crainte qui planait. Je ne pourrais pas vous dire que je psychotais ou que je craignais de me faire agresser aussi, non car je me refusais tout simplement de me laisser aller à ce mouvement de panique, d'être terrorisée. Lorsque l'on s'autorise à craindre quelque chose, on laisse la porte ouverte. A cette époque j'ai décidé de la fermer, prendre le taureau par les cornes. Apprendre à se défendre n'est pas une perte de temps. Et je ne regrette pas de l'avoir fait. Mais, un malheur ne vient jamais seul, le 17 janvier nous avons été encore plus marqué par le drame. La prise d'otage à secoué le campus. A secoué tout le monde mais, encore plus ceux prit en engrenage dans le centre commercial. J'en faisais partie avec un groupe d'amis.
PS : t'as plus d'infos à cet endroit !
APRÈS LE TREMBLEMENT DE TERRE AU CHILI.
Spring break 2016, voyage au Chili.
Je m'en souviens encore comme si c'était hier. Je faisais partie du groupe qui visitaient les collines lorsque tout à commencé. Nous étions en train de gravir l'une d'entre elle quand nous avons ressenti les premières secousses. Bon nombre d'entre nous avons été blessés légèrement pour la plupart. Je me souviens d'un couple aidant les moins chanceux... L'un d'entre nous, ce pompier bénévole qui courageusement nous a aidé à rejoindre à redescendre et rejoindre le bus. Je n'avais jamais vécu ça auparavant, la peur s'immisce en vous en quelques secondes, vous avez l'impression que le sol se dérobe sous vos pieds. Les éboulis de roche vous arrive droit dessus et vous chercher en vain à tous les éviter. J'ai été légèrement blessée à la tête et désorientée rien de plus. Heureusement pour moi et tout le groupe nous sommes rentrés sains et saufs.
PS : t'as plus d'infos à cet endroit !
Spring break 2016, voyage au Chili.
Je m'en souviens encore comme si c'était hier. Je faisais partie du groupe qui visitaient les collines lorsque tout à commencé. Nous étions en train de gravir l'une d'entre elle quand nous avons ressenti les premières secousses. Bon nombre d'entre nous avons été blessés légèrement pour la plupart. Je me souviens d'un couple aidant les moins chanceux... L'un d'entre nous, ce pompier bénévole qui courageusement nous a aidé à rejoindre à redescendre et rejoindre le bus. Je n'avais jamais vécu ça auparavant, la peur s'immisce en vous en quelques secondes, vous avez l'impression que le sol se dérobe sous vos pieds. Les éboulis de roche vous arrive droit dessus et vous chercher en vain à tous les éviter. J'ai été légèrement blessée à la tête et désorientée rien de plus. Heureusement pour moi et tout le groupe nous sommes rentrés sains et saufs.
PS : t'as plus d'infos à cet endroit !
TON ADMISSION A HARVARD
Bien que je sois d'origine américaine, ayant vécu toute ma vie en France, ma futur intégration a été un véritable parcours du combattant. Mais, je n'ai pas chômé ni laché prise. Il a fallu que je passe de nombreux tests dont le TOEFL test de langue par exemple, heureusement pour moi je suis parfaite bilingue avec un père américain qui m'a initié depuis mes premiers mots. J'ai obtenu un résultat de 115/120. J'ai du également passer le test de connaissance GRE dans le cadre des doubles diplômes. Réussi brillamment avec un score de nettement suffisant. Est venu ensuite l'indispensable SAT réussi avec un score de 2250/2400 et ce malgré mes parfois défauts d'attention. Je m'y suis préparée pendant presque deux ans. En plus de tout cela j'ai eu à fournir une "lettre de motivation" SOP que j'ai mis des mois à rédiger parfaitement. Mon père connaissait également un professeur d'Harvard avec qui il a fait ses études et qu'il a contacté pour lui demander la faveur de devenir on tuteur. Ce qui a été mentionné dans ma lettre et qui a du sensiblement jouer. Pour les frais, ce n'a pas été très difficile, l'héritage Clarins y a hautement contribué.
Bien que je sois d'origine américaine, ayant vécu toute ma vie en France, ma futur intégration a été un véritable parcours du combattant. Mais, je n'ai pas chômé ni laché prise. Il a fallu que je passe de nombreux tests dont le TOEFL test de langue par exemple, heureusement pour moi je suis parfaite bilingue avec un père américain qui m'a initié depuis mes premiers mots. J'ai obtenu un résultat de 115/120. J'ai du également passer le test de connaissance GRE dans le cadre des doubles diplômes. Réussi brillamment avec un score de nettement suffisant. Est venu ensuite l'indispensable SAT réussi avec un score de 2250/2400 et ce malgré mes parfois défauts d'attention. Je m'y suis préparée pendant presque deux ans. En plus de tout cela j'ai eu à fournir une "lettre de motivation" SOP que j'ai mis des mois à rédiger parfaitement. Mon père connaissait également un professeur d'Harvard avec qui il a fait ses études et qu'il a contacté pour lui demander la faveur de devenir on tuteur. Ce qui a été mentionné dans ma lettre et qui a du sensiblement jouer. Pour les frais, ce n'a pas été très difficile, l'héritage Clarins y a hautement contribué.
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle de tellement de façon qu'il serait trop long de les énumérer et j'ai la majorité bien passée . Je suis de la planète terre et j'ai connu le forum grâce à un séduisant jeune homme . Je surkiffe le forum alors je suis déjà présente ici sous les traits de Elizabeth K. Austen/ Dunsters. J'utilise Natalie Dormer comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par crédits . Je fais environ 500 mots voir plus et mon personnage est un personnage inventé
Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
adhérer un flood d'intégration (?)
je veux être parrainé si oui, par pseudo du parrain (voir la liste des parrains)
Je recense mon avatar ▲
si personnage inventé:
adhérer un flood d'intégration (?)
je veux être parrainé si oui, par pseudo du parrain (voir la liste des parrains)
Je recense mon avatar ▲
si personnage inventé:
- Code:
[size=10][url=lienversvotreprofil]►[/url] ► <span class="pris">NATALIE DORMER</span> ♦ “ Faith M. Wells ”[/size]
- Code:
[size=10][url=lienversvotreprofil]►[/url] [url=URL DU SCÉNARIO ICI]►[/url] <span class="pris">AVATAR</span> ♦ “ Pseudo ”[/size]
(Invité)
Damyan Wells et Eléanore Courtin-Clarins se sont rencontrés lors de leurs années universitaires à Harvard. Oui c'est ici à Cambridge près de Boston qu'ils se sont aimés. Combien y avait-il de chance pour qu'ils se rencontrent? L'héritière française des cosmétiques Clarins et le petit fils d'un magnat du pétrole. Très peu certainement. Lui étudiait pour devenir criminaliste et elle suivait des étude de mode et cosmétologie. A priori rien ne pouvait les réunir ou presque. Si ce n'est cet incroyable coup de foudre qui les a fait s'installer en France bien avant ma naissance une fois leur diplôme en poche. Ils se sont installés à Paris où je suis née. Ma mère travaillait dans l'entreprise familiale et mon père faisait la navette tous les jours entre Paris et Lyon. Il bossait pour l'agence INTERPOL en tant qu'agent d'encadrement de stade 3. Je suis leur fille unique et j'ai passé toute mon enfance entre la France et un pied à terre en Amérique pour les vacances. Faisant es études dans l'un des meilleurs lycée privé. Petite vie gentillette et calme, peu d'ombres au tableau, on peut dire que j'ai même une belle vie oui. Une vie un peu dorée mais, parfois trop lisse. Du moins en apparence, car dans certains milieux les apparences prévalent avant tout. C'est dans ce genre de milieu que j'ai grandi, celui où on affiche surtout pas clairement d'éventuelle tares. Comme la mienne. Dès l'adolescence et après quelques déboires, je suis diagnostiquée personnalité trouble Borderline. Expliquant mes humeurs changeante, l'anorexie dont je souffre depuis mes 13 ans, ainsi que ma fugue un an plus tard. Ce trouble de la personnalité va impacter sur ma vie à différents stade et degrés. Problèmes relationnels, hyper-émotivité, brusque changements de l'humeur, sens exacerbés et nette tendances à me mettre en danger. Irritabilité, conduite agressive et j'en passe. La moindre petite perturbation dans mon "petit monde" peut me faire basculer vers mes penchants plus sombres. Cela se vérifiera encore quelques années plus tard, lorsque mon ami d'enfance devint aussi mon premier grand amour. Une relation impulsive, intense et pourtant heureuse du moins pendant un moment. Jusqu'à ce qu'un jour ce dernier ne disparaisse et ne sois porté pour mort. Tout a basculé cette soirée-là. La nouvelle a eu l'effet d'une bombe pour moi. Proche de l'état névrotique, j'ai pris le volant et roulé sans réfléchir. A toute vitesse, à bout de nerfs, anxiété devenant peur panique. En donnant un coup de volant pour éviter une voiture venant dans l'autre sens, ma voiture a fini en contrebas dans un fossé. Blessée à l'abdomen, j'ai été emmenée d'urgence. C'est après l'intervention qu'on m'a apprit la perte de mon bébé. J'étais enceinte de trois mois et demi sans l'avoir su auparavant. Vivant cette annonce comme une seconde perte horrible, je me suis enfoncée dans l'abus d'alcool. Je n'en suis toujours pas remise même si le temps a passé. Je vis depuis avec mes addictions que j'arrive très souvent à cacher au monde qui m'entoure. De prime abord, je parais "normale" juste déconneuse et fonceuse mais, les apparences sont trompeuses. Malgré toutes ces erreurs de parcours, j'arrive à tirer mon épingle du lot dans mes études, très tôt je marque un net intérêt pour le journalisme et la photo. Je rêve de devenir journaliste d'investigation. Profitant d'une accalmie latente, je me suis épanchée sur mes dossiers d'admissions dans diverses universités prestigieuses. Parfaite bilingue depuis l'enfance et surtout désireuse de quitter la France après l'accident, il était clair pour moi que c'est en Amérique que je voulais continuer mon parcours de vie. Loin des mauvais souvenirs. L'argent de maman a aussi largement contribué à mon admission là où il y a quelques années elle a rencontré mon père. Quand la lettre d'Harvard est arrivée, mes valises ont été très rapidement bouclées. Mon arrivée à Cambridge a marqué le début de bien d'autres déboires. Affaire à suivre...
