kala pelekai ►vanessa hudgens

Elle été tout ce dont il avait besoin, tout ce dont il avait toujours rêver. Elle était son rayon de soleil, sa raison de se lever au petit matin, son courage quand l'espoir se faisait rare, sa véritable envie de réussir. Son sourire été une dose d'adrénaline, son rire un médicament. Il n'avait besoin de rien d'autre sans sa vie que d'elle, elle, et encore elle. Le monde entier pouvait disparaître, tant que sa fille chérie été à ses côtés, il n'en avait rien à faire. Ce soir encore il été occuper, ce soir encore il se devait de la protéger, mais si ce soir il venait à mourir, il protégerais sa bien aimer jusqu'à son dernier souffle.

La légende dit qu'un jour une fille serait capable de tout réparer dans ce monde, la haine, la violence, la mort, la guerre. Ce jour là, c'est ma mère qui ma murmurer que je serai l'élue, avant de sombrer elle aussi dans la mort. J'ai toujours penser que j'avais des super pouvoir ou alors une destiner à réalisé, j'me suis toujours donner à fond pour toute ses conneries. J'sais pas trop si ça fait de moi une gamine dans un corps d'adulte ou alors une adulte un peu trop naïve, mais j'suis pas sûre d'être un adulte non plus. J'y crois, c'est tout. Je crois dur comme fer qu'un jour on sera tous capable de s'aimer, comme pourra se regarder dans les yeux sans se jalouser, qu'on pourras se bousculer et réparer ça avec des pardons, que la mort de quelqu'un ne nous fera plus mal, mais une libération. Je crois dur comme fer que les choses peuvent aller mieux, même au plus bas, que la vie peut continuer, même au plus bat, que si t'en a encore dans le ventre alors la vie saura t'en féliciter. Gamine enfermer dans un corps d'adulte ou adulte trop naïve ?

Les choses commencent toujours quand on s'y attend le moins, là, maintenant, ça se passe. Des ouvrières, enrage, qui s'en prennent à leurs patrons. Des hurlements, des cris, des revendications, les choses enfuit qui finissent par avoir un sens, tout ça devant mes yeux de petites filles. Cet amour, cet passion, cette rage qui porte toute ses femmes vers le combat. Moi aussi je veux y être, moi aussi je veux crier à l'injustie, parce que merde les filles ça n'aiment pas que le rose, les princesses et les licornes. Moi aussi je veux qu'on me propose d'être pompier, astronaute, policier, cette rage intérieur qui grognait en moi voulait surgir, rugir, mais je n'étais qu'une enfant. Une gamine qui voulait changer le monde.

Mon père m'avait tout donner, du moins tout ce qui était à sa porter, il me protéger du monde qui m’entoure en étant bienveillant et gentil. Je l'aimais, il m'aimais aussi et notre petit monde se limitait à nous deux. Les mots et l'honnêteté n'étais pas son fort, c'est pour cela que j'ai pris du temps avant de comprendre le pourquoi du comment. Il est devenue du jour au lendemain blinder de thunes ; « je t'ai acheter » est devenue ses mots préférés, le local à poubelle dans lequel on a vécu c'est transforer en villa immense, et les gens louche ont commencer à défile. Plus le temps passer plus j'ai compris, mon péré était lui aussi tomber dans les ténèbres... il était dealer de drogue.