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Juliet
Adler
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feat g. wilde
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ELIOT HOUSE.
juliet c’est l’apparence de la golden girl matérialiste aux ambitions trop imposantes, la prétention indécente de celle dont les billets verts brûlent entre les doigts. c’est le calme réfléchi, la diplomatie, le sang-froid à toute épreuve, les paroles incisives et la capacité de tirer profit de toute situation. c’est être observatrice mais aussi bornée, mauvaise perdante, rancunière envers ceux qui ne sont plus dignes d’une quelconque loyauté. juliet, elle est de ceux qu’on croit trop imbu pour être suffisamment cultivée, trop matérialiste pour être humaine et faire fonctionner le palpitant sous la cage thoracique. pourtant la jeune adler a appris à finement contrôler son image, ne rien laisser transparaître autre que cette façade lisse et sans accroc, trop brillante et trop clinquante pour être véritable. carapace sur laquelle glisse l’hypocrisie d’un monde à l’opulence scandaleuse dans lequel elle a été moulée, façonnée et dont elle a longtemps abusé sans scrupule.
STUDENT
monde qu’aujourd’hui elle remet en question silencieusement, l’âme noircie par la désillusion encore prisonnière de l’avenir qu’on lui destine. juliet, elle est de ceux difficiles à cerner. de ceux qu’on prétend connaître sans jamais réussir à démêler le faux du vrai, de ceux qui troublent, nous glissent entre les doigts et dont les premières impressions laissent ce goût amer d’inachevé au creux de la langue. juliet c’est les apparences de princesse idéale, agréable, charmante et charmeuse qui manie les mots pour méprendre, manipuler les âmes innocentes et faire adhérer dans son sens. juliet, elle souffle le chaud et le froid. c’est celle qu’on apprécie autant qu’on déteste, qu’on voudrait voir exceller, réussir autant que se détruire. la vérité, c’est que juliet, elle est simplement humaine. l’humaine qui fait des erreurs, l’humaine qui regrette sous les coups d’une culpabilité assassine. l’humaine sans demi-mesure, qui déteste aussi fort que l’on peut aimer. juliet est une bombe humaine, prête à exploser dans la vie des autres. attention aux éclats.
juliet c’est l’apparence de la golden girl matérialiste aux ambitions trop imposantes, la prétention indécente de celle dont les billets verts brûlent entre les doigts. c’est le calme réfléchi, la diplomatie, le sang-froid à toute épreuve, les paroles incisives et la capacité de tirer profit de toute situation. c’est être observatrice mais aussi bornée, mauvaise perdante, rancunière envers ceux qui ne sont plus dignes d’une quelconque loyauté. juliet, elle est de ceux qu’on croit trop imbu pour être suffisamment cultivée, trop matérialiste pour être humaine et faire fonctionner le palpitant sous la cage thoracique. pourtant la jeune adler a appris à finement contrôler son image, ne rien laisser transparaître autre que cette façade lisse et sans accroc, trop brillante et trop clinquante pour être véritable. carapace sur laquelle glisse l’hypocrisie d’un monde à l’opulence scandaleuse dans lequel elle a été moulée, façonnée et dont elle a longtemps abusé sans scrupule.
STUDENT
monde qu’aujourd’hui elle remet en question silencieusement, l’âme noircie par la désillusion encore prisonnière de l’avenir qu’on lui destine. juliet, elle est de ceux difficiles à cerner. de ceux qu’on prétend connaître sans jamais réussir à démêler le faux du vrai, de ceux qui troublent, nous glissent entre les doigts et dont les premières impressions laissent ce goût amer d’inachevé au creux de la langue. juliet c’est les apparences de princesse idéale, agréable, charmante et charmeuse qui manie les mots pour méprendre, manipuler les âmes innocentes et faire adhérer dans son sens. juliet, elle souffle le chaud et le froid. c’est celle qu’on apprécie autant qu’on déteste, qu’on voudrait voir exceller, réussir autant que se détruire. la vérité, c’est que juliet, elle est simplement humaine. l’humaine qui fait des erreurs, l’humaine qui regrette sous les coups d’une culpabilité assassine. l’humaine sans demi-mesure, qui déteste aussi fort que l’on peut aimer. juliet est une bombe humaine, prête à exploser dans la vie des autres. attention aux éclats.
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
des cries. des pleurs. de la douleur. une période difficile pour les victimes de ces agressions. une pression pour tous ces étudiants. la peur engouant leur sang à l'idée qu'ils puissent être les prochains. juliet, elle était de ceux qui flippaient. celle qui ne rentrait jamais à la tombée de la nuit. toujours accompagnée. parce qu'elle paraissait faible ce bout de femme aux relents floraux. victime idéale. héritière d'un banquier/assureurs. des ingrédients réunis pour marquer le coup. et lorsque la prise d'otage eu lieu. elle fut à la fois soulagée de ne pas être parmi ceux-là. mais complètement apeurée face à l'ampleur de l'événement.
des cries. des pleurs. de la douleur. une période difficile pour les victimes de ces agressions. une pression pour tous ces étudiants. la peur engouant leur sang à l'idée qu'ils puissent être les prochains. juliet, elle était de ceux qui flippaient. celle qui ne rentrait jamais à la tombée de la nuit. toujours accompagnée. parce qu'elle paraissait faible ce bout de femme aux relents floraux. victime idéale. héritière d'un banquier/assureurs. des ingrédients réunis pour marquer le coup. et lorsque la prise d'otage eu lieu. elle fut à la fois soulagée de ne pas être parmi ceux-là. mais complètement apeurée face à l'ampleur de l'événement.
APRÈS LE TREMBLEMENT DE TERRE AU CHILI.
juliet était là. juliet elle a cru y passer. juliet elle a vu le sol bouger sous ses pieds. sous son corps, vulnérable face à autant de secousses. des choses à tomber. comme venant des cieux. imitant tous les autres elle s'est réfugiée quelques parts, esquivant ces bouts de pierres assaillants le sol. quelques égratignures. quelques chutes qui vinrent froisser ses chevilles. rien de grave. pourtant l'image de ces personnes innocentes, criant à l'aide, hurlant à gorge déployée leur souffrance, lorsque bloquées par des débris elles finirent bloquées. attendant les secours pour les délivrés d'une douleur abominable. tandis qu'elle était déjà prise en charge. soulagée certes mais elle ne cessait de se demander si la vieille du trottoir d'en face avait survécu.
juliet était là. juliet elle a cru y passer. juliet elle a vu le sol bouger sous ses pieds. sous son corps, vulnérable face à autant de secousses. des choses à tomber. comme venant des cieux. imitant tous les autres elle s'est réfugiée quelques parts, esquivant ces bouts de pierres assaillants le sol. quelques égratignures. quelques chutes qui vinrent froisser ses chevilles. rien de grave. pourtant l'image de ces personnes innocentes, criant à l'aide, hurlant à gorge déployée leur souffrance, lorsque bloquées par des débris elles finirent bloquées. attendant les secours pour les délivrés d'une douleur abominable. tandis qu'elle était déjà prise en charge. soulagée certes mais elle ne cessait de se demander si la vieille du trottoir d'en face avait survécu.
TON ADMISSION A HARVARD
juliet a été scolarisé à Seattle. loin de la côte est. loin de cette partie attractive de l'amérique. lycée côté, fille riche, dont les exigences parentales suffirent à la mettre en tête de classement. Le scholastic aptitude test fut réussi, les 2000 points étaient suffisamment dépassé pour qu'elle puisse intégrer l'université de l'ivy league. un essai sur cette ancienne passion. esquivant cette notion d'éphémère. un sujet attrayant puisqu'elle a finalement atteint l'entretien. long et ennuyeux. pour une pression tout à fait inutile pour la jeune femme qui a bénéficié d'un soutien paternel puisqu'il ne voyait sa fille allait autre part qu'à l'université où lui même avait été. questions de traditions.
juliet a été scolarisé à Seattle. loin de la côte est. loin de cette partie attractive de l'amérique. lycée côté, fille riche, dont les exigences parentales suffirent à la mettre en tête de classement. Le scholastic aptitude test fut réussi, les 2000 points étaient suffisamment dépassé pour qu'elle puisse intégrer l'université de l'ivy league. un essai sur cette ancienne passion. esquivant cette notion d'éphémère. un sujet attrayant puisqu'elle a finalement atteint l'entretien. long et ennuyeux. pour une pression tout à fait inutile pour la jeune femme qui a bénéficié d'un soutien paternel puisqu'il ne voyait sa fille allait autre part qu'à l'université où lui même avait été. questions de traditions.
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle spf et j'ai dix-neuf ans . Je suis française et j'ai connu le forum grâce à un top-site . Il est vraiment magnifique et avec un contexte vraiment chouette mais qu'est-ce qu'il y a du monde j'ai décidé de m'inscrire . J'utilise g. wilde comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par jugband blues . Je fais environ 300 à 400 mots par rp et mon personnage est un personnage scénario crée par Melchior Sachs .
Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
adhérer un flood d'intégration (?)
je veux être parrainé si oui, par Ashleigh H. Strauss ou Sloan Bushnell
Je recense mon avatar ▲
si scénario:
adhérer un flood d'intégration (?)
je veux être parrainé si oui, par Ashleigh H. Strauss ou Sloan Bushnell
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si scénario:
- Code:
[size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/u7489]►[/url] [url=http://www.i-love-harvard.com/t76521-f-i-drink-your-words-like-the-cure-when-maybe-it-is-the-poison]►[/url] <span class="pris">GABRIELLA WILDE</span> “ Juliet Adler ”[/size]
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