Sean Anders ► Herman Tommeraas

On pourrait commencer par vous racontez la magnifique histoire d’amour entre les parents du jeune Anders. Vous racontez comment son père avait séduit sa mère. Comment une héritière Londonienne était tombée amoureuse d’un milliardaire russe. Mais la vérité c’est que leur histoire d’amour passionnelle avait durée 3 ans…
Tout avait commencé entre eux lorsque la mère était partie travailler au consulat du Royaume-Unis à Saint Pétersbourg. Son père venait de cofonder une banque d’affaire, qui est maintenant l’une des plus grandes banques d’affaire de Russie. Ils étaient très vite tombés amoureux, puis avait emménagé dans un sublime appartement de Saint Pétersbourg, juste après s’être marié. Elle était tombée enceinte par accident. Et le petit garçon était arrivé le 6 aout 1994. Quelques mois après sa naissance, la mère avait reçu une proposition travailler à l’ambassade France . La jeune londonienne accepta ce nouveau poste avec plaisir, tandis que le travail du père s’intensifiait. Des tensions apparurent dans le couple, et finalement chacun continua sa vie de son côté après un divorce explosif.
Malgré leur divorce les parents ne s’étaient jamais remariés. La mère avait bien quelqu’un qui partageait sa vie et sa maison, mais elle n’avait jamais accepté une nouvelle union, et le père ne s’encombrait pas d’histoire sérieuse.
Il était le fils unique de deux Ames qui s’aimerai pour la vie mais qui ne pourrait plus jamais être ensemble à cause de leur choix de vie.
Malgré une enfance partageait entre deux parents, deux pays et deux cultures,il avait toujours cherché à être proche de chacun d’entre eux, parlant la langue maternelle de sa mère comme de son père, partageant des moments complices avec les deux, ils avaient toujours veillé sur cette enfant de l’amour. Il est devenu par la force des choses le symbole vivant d’un amour passé dont la flamme ne s’était jamais éteinte.


L’internat s’était imposé aux vus des déplacements intenses de sa mère et du travail de son père. Choix plus ou moins judicieux, le jeune homme évoluait entourer des fils et filles des plus grandes familles anglaises dont il faisait partie. Précisons que sa mère était la fille d’un noble britannique siégeant à la Chambre des Lords. Maitrisant les ficelles de la haute société depuis sa plus tendre enfance, le jeune homme se mouvait dans ce milieu avec finesse et élégance. Plus rien n’avait d’importance aux yeux de Sean à l’exception de lui et ses principes. Son charisme naturel et sa gueule d’ange lui avait toujours permit d’être au sommet de la pyramide. Un humour suavement dosé et une langue finement aiguisé, lui permettait de participé aux galas et dîners officiels les plus en vue. Qu’on ne se le cache pas son patrimoine lui ouvrait toute les portes. Et ce petit garçon autre fois sensible, qui ne cherchait à ne faire que la fierté de ses parents, levait maintenant fièrement le menton avec une flamme dans les yeux qui aurait consumé le monde.
Bellâtre il avait appris à séduire la gente féminine et en avait même fait une de ses plus grandes passions. C’est sans prétention qu’il avoue lui-même que les filles viennent vers lui au secours de cet homme mystérieux remplit des vis de l’élite. Elles rêvent toutes d’être la fille qui fera fléchir l’ambitieux apollon.



S’observant dans le miroir, Sean avait fait sa rentrée à Oxford quelque mois plutôt. Elle était loin l’époque innocente de l’enfance. Sa chambre avait été saccagé plutôt dans l’année par le club le plus select d’Oxford. Le club des sales gosses ou le plus célèbre Riot Club, avait fait une place au jeune Anders. Maintenant englouti dans les traditions les plus perverse de la société britannique, Sean prend ses aises, s’intégrant et se plaisant totalement dans ce nouveau milieu. Cependant les conflits avec sa famille apparaissent, sa mère est contre cette appartenance et tente tout pour qu’il revienne à la raison. Beuverie, saccage occupe les années universitaires de Sean Anders. C’est un Bullers loyal et fière. Gentlemen avant tout, il n’en demeure pas moins que le jeune homme a un comportement provocateur et destructeur. Dépassant toutes les limites possibles.
C’est lors du scandale des billets de banques que la mère de Sean peut agir réellement et décide d’envoyer son fils le plus loin possible de l’Angleterre, quelle idée lui était encore passé par la tête pour aller bruler des billets devant des sans-abris. Il n’avait plus aucune notion et valeur des choses, plus rien, n’avait d’importance à ses yeux. Pour Sean tout se vaut. L’argent achète tout, affection, amour, confort, et encore bien d’autre chose. Elle envoie, grâce à l’aide de son ex-mari, un dossier de candidature pour que Sean parte à Harvard.