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Shake your booty shake!
Clay & Petra
Clay & Petra
i'm not just a little angel, i'm more than that, i want to be more than that
••••C'est dur d'être soi même avec autrui. C'est dur de montrer qui ont est, au très fond de soi. Y arrives tu Petra ?
C'est vrai que ça n'a jamais été chose facile pour toi que de te montrer tel que tu étais.
Tu ne souris qu’occasionnellement. Tu ne te livre qu'exceptionnellement. Tu ne te montre que rarement. C'est trop dur de faire confiance sans être véritablement sur que tu ne seras pas trahi. Pas abandonné. Ton père t'avait abandonné. Du moins, celui que tu avais toujours concidéré comme tel jusqu'à ce que ton frère ainé ne t'avoue la triste vérité. Ton géniteur ne portait pas le même nom que tes frères et soeurs. Tu ne devrais pas porter ce nom qui fut toujours le tien. Astankov serait plus exact. Ce nom portait tant de déshonneurs, que tu avais eux du mal à te faire une raison. Tu avais voulu connaitre cet homme. Tu aurais voulu, serais plus exact. Quand tu es arrivé à Cambridge, tu ne savais même pas par où commencer. Tu étais tout autant perdu qu'en colère. Tu ne savais pas comment t'y prendre pour retrouver tes véritables origines, et même le test sanguin semblait sans grand interet puisqu'aucune comparaison n'aurait eux lieux. Finalement, c'est auprès de Clay que tu trouva réconfort. A l'époque, tu avais chercher un professeur de self defense. Au vue des tentatives de viols sur plusieurs étudiantes d'Harvard, tu t'étais convaincu qu'il serait temps pour toi d'apprendre à te défendre seule. Clay était là, à ce cour du soir sur la boxe.
Il était imposant et il dégageait ce genre de force que tu admirais tant. Alors, tu l'as observé,
plusieurs jours, plusieurs mois, sans rien dire, tracant ta propre route. Tu étais loin d'avoir le niveau, certes, mais tu avais osé lui demandé de se battre contre toi. Et alors ? La suite ?
Qui s'en préoccupe ? Que tu ais pu finir avec un coquard ? Ou qu'il ait tout simplement refusé ? Qui se soucie de la fin de l'histoire tant que le début eut bien lieu.
Toujours est - il qu'il fut là pour toi. Au début, tu voulais juste qu'il t'apprenne à te battre plus convenablement que ce qu'un professeur classique pouvait t'apporter. Finalement, tu t'étais confié à lui sur ton paternel inconnu. Il avait fait plusieurs recherches, dans ton dos, sans que tu n'eux à lui demander quoi que ce soit. Cet élan de générosité fut pour toi la seule et unique preuve dont tu eux besoin pour lui faire complètement confiance. Tu éprouvais pour lui un amour que tu ne comprenais pas. C'était bien plus fort que de l'amitié, tu aurais mis une raclé à quiconque l'aurait blessé. Mais peut etre pas aussi fort que de l'amour tel que tu l'imaginais avec un grand A. Ou du moins, tu n'y pensais pas. Tu ne connaissais pas ce sentiment. L'amour, tu n'y avais jamais goûté. Même pas celui d'un adolescent transi. Tu n'avais jamais été que la petite blonde binoclarde de la classe. Personne ne s'interessait à toi. Personne ne voulait te préter attention. Et Clay est le seul. Le seul à t'avoir regardé. A t'avoir toujours regardé.
Tes phalanges se cognent violemment contre le bois. Une fois, deux fois, trois fois. Tu attends quelques secondes avant de rajuster la petite pince qui tenait tes quelques mèches de l'avant en arrière. Tu soupires et recommencent ton opération. Une fois, deux fois, trois fois. Impatiente, tu essayes d'appuyer sur la poignet sans grand conviction, persuadé que celle ci serait fermé à clef. Et pourtant, ce ne fut pas le cas. Le cadrant se disloque et la porte s'entre ouvre. Intrigué, tu pousses le bois et passe le pas de la porte. « Clay..? » appel tu timidement sans trop d'assurance. Tu avances dans l'appartement. Tu le connais que trop bien. Clay t'y avait déjà invité pour divers occasion, mais c'était bien la premiere fois qu'il ne t'ouvrait pas. Tu eux peur, l'espace d'un instant, que quelque chose ne lui soit arrivé. Un vol qui aurait mal tourné. Quelque chose dans ce genre. Tu soupires de soulagement en voyant sa silhouette imposante dans le salon, tout près de la fenetre, un casque sur les oreilles. Quel idiot, penses tu, plutot en colère d'avoir été si inquiète pour rien.
Malicieusement, tu souris en coin. Tu pauses ton sac dans un coin, retire tes talons et soulève ta robe avant de courir. Du bout du pied, tu essaye de ne pas faire de bruit. Tu prend de l'élan et te jète sur son dos, enroulant tes bras autour de son cou et tes jambes autour de sa taille. Tu adorais l'embeter. Lui faire peur, et le faire rire. C'était un peu pour ça que tu l'aimais. Tu pouvais être toi même. Complètement, toi même. Et ce que tu t’apprêtais à lui annonçé risquait de mettre en péril le paisible équilibre de votre amitié. Allait - il encore accepter une de tes nouvelles folies ? Tu laisse glisser tes longues jambes nues sur ses hanches et pose ton front contre son dos. Un long moment de silence s'installe entre vous mais tu continue de sourire. « Avoue, tu as eux la peur de ta vie.. », murmure tu, amusé. Finalement, tu te hisse sur la pointe de tes pieds pour embrasser tendrement sa joue. « Un flic qui ne ferme pas sa porte d'entrée à clef ? J'espère que tu ne laisse pas les cellules ouvertes ! », le taquine tu gentiment.
C'est vrai que ça n'a jamais été chose facile pour toi que de te montrer tel que tu étais.
Tu ne souris qu’occasionnellement. Tu ne te livre qu'exceptionnellement. Tu ne te montre que rarement. C'est trop dur de faire confiance sans être véritablement sur que tu ne seras pas trahi. Pas abandonné. Ton père t'avait abandonné. Du moins, celui que tu avais toujours concidéré comme tel jusqu'à ce que ton frère ainé ne t'avoue la triste vérité. Ton géniteur ne portait pas le même nom que tes frères et soeurs. Tu ne devrais pas porter ce nom qui fut toujours le tien. Astankov serait plus exact. Ce nom portait tant de déshonneurs, que tu avais eux du mal à te faire une raison. Tu avais voulu connaitre cet homme. Tu aurais voulu, serais plus exact. Quand tu es arrivé à Cambridge, tu ne savais même pas par où commencer. Tu étais tout autant perdu qu'en colère. Tu ne savais pas comment t'y prendre pour retrouver tes véritables origines, et même le test sanguin semblait sans grand interet puisqu'aucune comparaison n'aurait eux lieux. Finalement, c'est auprès de Clay que tu trouva réconfort. A l'époque, tu avais chercher un professeur de self defense. Au vue des tentatives de viols sur plusieurs étudiantes d'Harvard, tu t'étais convaincu qu'il serait temps pour toi d'apprendre à te défendre seule. Clay était là, à ce cour du soir sur la boxe.
Il était imposant et il dégageait ce genre de force que tu admirais tant. Alors, tu l'as observé,
plusieurs jours, plusieurs mois, sans rien dire, tracant ta propre route. Tu étais loin d'avoir le niveau, certes, mais tu avais osé lui demandé de se battre contre toi. Et alors ? La suite ?
Qui s'en préoccupe ? Que tu ais pu finir avec un coquard ? Ou qu'il ait tout simplement refusé ? Qui se soucie de la fin de l'histoire tant que le début eut bien lieu.
Toujours est - il qu'il fut là pour toi. Au début, tu voulais juste qu'il t'apprenne à te battre plus convenablement que ce qu'un professeur classique pouvait t'apporter. Finalement, tu t'étais confié à lui sur ton paternel inconnu. Il avait fait plusieurs recherches, dans ton dos, sans que tu n'eux à lui demander quoi que ce soit. Cet élan de générosité fut pour toi la seule et unique preuve dont tu eux besoin pour lui faire complètement confiance. Tu éprouvais pour lui un amour que tu ne comprenais pas. C'était bien plus fort que de l'amitié, tu aurais mis une raclé à quiconque l'aurait blessé. Mais peut etre pas aussi fort que de l'amour tel que tu l'imaginais avec un grand A. Ou du moins, tu n'y pensais pas. Tu ne connaissais pas ce sentiment. L'amour, tu n'y avais jamais goûté. Même pas celui d'un adolescent transi. Tu n'avais jamais été que la petite blonde binoclarde de la classe. Personne ne s'interessait à toi. Personne ne voulait te préter attention. Et Clay est le seul. Le seul à t'avoir regardé. A t'avoir toujours regardé.
Tes phalanges se cognent violemment contre le bois. Une fois, deux fois, trois fois. Tu attends quelques secondes avant de rajuster la petite pince qui tenait tes quelques mèches de l'avant en arrière. Tu soupires et recommencent ton opération. Une fois, deux fois, trois fois. Impatiente, tu essayes d'appuyer sur la poignet sans grand conviction, persuadé que celle ci serait fermé à clef. Et pourtant, ce ne fut pas le cas. Le cadrant se disloque et la porte s'entre ouvre. Intrigué, tu pousses le bois et passe le pas de la porte. « Clay..? » appel tu timidement sans trop d'assurance. Tu avances dans l'appartement. Tu le connais que trop bien. Clay t'y avait déjà invité pour divers occasion, mais c'était bien la premiere fois qu'il ne t'ouvrait pas. Tu eux peur, l'espace d'un instant, que quelque chose ne lui soit arrivé. Un vol qui aurait mal tourné. Quelque chose dans ce genre. Tu soupires de soulagement en voyant sa silhouette imposante dans le salon, tout près de la fenetre, un casque sur les oreilles. Quel idiot, penses tu, plutot en colère d'avoir été si inquiète pour rien.
Malicieusement, tu souris en coin. Tu pauses ton sac dans un coin, retire tes talons et soulève ta robe avant de courir. Du bout du pied, tu essaye de ne pas faire de bruit. Tu prend de l'élan et te jète sur son dos, enroulant tes bras autour de son cou et tes jambes autour de sa taille. Tu adorais l'embeter. Lui faire peur, et le faire rire. C'était un peu pour ça que tu l'aimais. Tu pouvais être toi même. Complètement, toi même. Et ce que tu t’apprêtais à lui annonçé risquait de mettre en péril le paisible équilibre de votre amitié. Allait - il encore accepter une de tes nouvelles folies ? Tu laisse glisser tes longues jambes nues sur ses hanches et pose ton front contre son dos. Un long moment de silence s'installe entre vous mais tu continue de sourire. « Avoue, tu as eux la peur de ta vie.. », murmure tu, amusé. Finalement, tu te hisse sur la pointe de tes pieds pour embrasser tendrement sa joue. « Un flic qui ne ferme pas sa porte d'entrée à clef ? J'espère que tu ne laisse pas les cellules ouvertes ! », le taquine tu gentiment.
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by Wiise
(Invité)