Brisé par ton absence

William P. Spencer & Elisabeth M. Spencer
Hier soir je suis passé par la petite fête des Mathers histoire de marquer la fin des cours. J'avais vraiment besoin de me changer les idées et j'ai picolé. Je n'aurais pas du visiblement car ce matin je n'arrive pas a sortir de mon lit. Il faut dire que je n'ai pas passé une très bonne soirée. J'ai espéré oublier un instant mes problèmes mais non bien au contraire ils étaient bien la pour me rappeller que s'en débarrassé n'était pas aussi facile. En plus de mes mauvaise pensées, je devais faire avec la présence de la femme que j'aime et qui a décidé de m'ignorer et de me faire payer mes éreures La présence aussi de Danneel qui pour cette soirée est copine avec ma petite amie ce qui n'étonne même mais je ne cherche pas vraiment a comprendre. Anna m'a ignorée toute la soirée et s'est amusé de son coté, Danneel m'a envoyé quelque sms mais je suis resté distant car je respecte ma petite amie malgré tout.
J'ai pas envie de me lever de mon lit, j'ai mal a la tête, on appelle ça la gueule de bois il parrait. J'ai pas l'habitude de boire comme ça, je profite lors de fête et boie une bière de temps en temps mais rien de plus je ne suis pas alcoolique. J'ai mon Iphone en main et espère que Anna m'envoi un sms ou m'appelle mais non rien depuis que l'on s'est regardé hier soir. Ca m'a fait beaucoup de mal qu'elle ne fasse pas attention a moi. J'ai un mauvais présentiment ce matin et j'ai bien l'impression qu'elle s'est subitement éloigné de moi et qu'il sera très difficile pour moi de la récupérer. Rien que d'y penser je m'énerve puis balance mon smatphone contre le mur . J'entend dans l'autre pièce ma sœur me demander si tout va bien. Je me cache sous mes couverture, j'ai envie d'hurler, de pleurer, car mes érreurs on fait du mal a la personne que j'aime depuis mon enfance et l'idée de la perdre me rend malade. Je reste silencieux même si je sais que ma sœur ne lachera pas le morceau. Je pose alors ma main sur mon nouveau tatouage que j'ai fais avec Anna et ferme les yeux. J'ai mal …. elle me manque comme si elle était une seconde fois repartie et je sais que si c'est vraiment le cas je vais jamais m'en remettre.

William P. Spencer & Elisabeth M. Spencer

J’en suis à mon troisième café du matin lorsque j’entends mon frère balancer ce que je devine être son smartphone. Je me dirige vers sa porte de chambre « Tout va bien Will? » Je sais bien qu’il ne va pas du tout, il est étrange depuis quelques jours et probablement que la soirée d’hier ne l’a pas aidé. Je n’attends pas de réponse, j’entre et le vois sur le dos, le visage torturer par la douleur. Je me glisse dans son lit et viens le serrer dans mes bras « Dis-moi ce qui te torture à ce point? » Je n’aime pas quand il est dans cet état de douleur. J’ai mal quand je le vois ainsi et je sais surtout qu’il ne peut me mentir. Pas à moi. Je le berce légèrement, comme s’il n’avait plus 25 ans, mais cinq. Je lui caresse les cheveux, voyant qu’il est sur le point de craquer.

Je ne suis pas la personne la plus gentille au monde, mais quand il est question de mon frère, là je deviens une autre personne. Comme si en ayant pas de parents, j’avais décidé d’être sa mère. J’enfile plusieurs rôles avec Will, passant de la mère, à la meilleure amie, à la sœur et même parfois, à la copine. Ne vous méprenez pas, il n’est aucunement question d’inceste ici, simplement que je suis très possessive avec lui et qu’il m’arrive de lui faire une scène, comme si j’étais sa copine. Alors oui, plusieurs liens nous unis et parfois je pense que c’est un peu, trop. Mais être loin de lui est impensable et c’est toujours plus fort que moi. « Tu sais que je vais te saouler, jusqu’à ce que tu me dises ce qui torture ton esprit. Alors crache… » Et oui, il le sait que trop bien et moi je sais que, malgré tout, je n’ai pas besoin de lui briser un bras pour qu’il me le dise. Il le fera de toute façon.

William P. Spencer & Elisabeth M. Spencer
Je n'ai plus de smartphone, l'objet est en miette mais je suis comme ça je préfère m'ne prendre au matériel qu'a une personne. Je suis pas un mec violent, pas du tout même la violence physique et moral me rend fou surtout lorsque cela touche une femme. Vous allez me dire que je boxe depuis 7 ans alors la violence ça me connaît et bien non car ce sport m'aide a me canaliser il ne faut pas oublier que ce n'est qu'un sport rien d'autre.
Ma sœur comme je m'y attendais entre dans ma chambre sans en avoir l'autorisation mais c'est habituelle il est déjà arrivé que ma sœur me surprenne avec une fille et ce jour la je m'en rappellerais toute ma vie car elle a juste éjectée la meuf de ma chambre. Ce jour la je n'ai pas vraiment apprécié mais je peux pas faire la tête a ma sœur bien longtemps, deux heures plus tard on était de sortie au cinéma et mac do.
Elle vient se glisser sous la couette et me colle comme elle sait si bien le faire. Ma sœur c'est mes deux yeux rien ne pourra casser ce lien si particulier. « j'ai merdé Lizzy » Lizzy, le surnom de ma sœur, très peu l'appelle ainsi. « Après Danneel c'est Louve qui m'annonce qu'elle est enceinte de moi. Anna n'a pas supporté, tu l'aurais vue hier soir … elle réagissait comme une meuf célibataire, même pas un regard, une parole rien » C'est a ce moment la qu'une larme vient quitter mon coin de l'oeil pour glisser sur mon visage et tomber sur le drap. « Je l'aime tellement » Cela va certainement étonner ma sœur car j'ai jamais avoué un tels sentiment pour une fille depuis ma naissance. Je ne supporterais pas qu'Anna joue a ce petit jeux la très longtemp.  « je suis vraiment trop nul » j'ai tout gaché même si tout ça s'est passé bien avant que je soit en couple avec elle mais il est vrai que je suis pas très fier de moi cer mettre deux filles enceinte en si peut de temps c'est clairement la honte.

William P. Spencer & Elisabeth M. Spencer

J'arrête de le bercer. Louve. Danneel. Toutes les deux, enceintes? Non mais c'est une blague. Une énorme blague. Les putes, elles ont clairement fait exprès. "Na mais attend là, tu déconnes? Merde Will...tu m'expliques ce qu'il te prend?" je ne suis pas en colère contre lui, mais contre elles. Et comme je connais bien Anna...je peux très bien m'imaginer comment elle à réagis face à Will hier soir et comment ça les affectes, tous les deux. Ah c'est petites connasses... "Elles me cherchent ces petites *&?/$. Alors, on les balancent en bas du train et voilà quoi. Plus de soucis!" Je rigole, mais je n'en ai pas envie justement. Je ne pourrai faire du mal à ce point à quelqu'un dans la vie, étant tout de même pieuse, Dieu n'accepte pas ce genre d'actes gratuit. Alors je me tourne la langue mille fois et continue de parler à mon frangin "Et au lieu de tenter de contacter Anna, tu balance ton phone sur le mur? Ah non, mais attend, toi tu t'occupes d'Anna et de ta relation et moi, laisses-moi me charger des deux inutilités de la société." J'avais déjà dis que je n'aimais aucune femme qui tente de s'approprier mon frère? Ah ouais, c'est ce que je croyais, bon sauf Anna. Elle, je l'adore.

Je me lève, fait les cents pas dans la chambre de Will "Ok, facile c'est peut-être même pas toi le géniteur pour commencer. Qu'en sais-tu? Elle veut peut-être t'avoir pour elle?Ou alors, ou alors...elle doit subir un IVG. Elle ne peut pas avoir ce gamin, ensuite elle te demandera pension et tu seras le gros méchant dans l'histoire. Putain will...Là tente de rejoindre Anna et explique toi avec elle bordel! Vite avant qu'il ne soit trop tard..." Je cogites déjà un plan dans ma tête, pour convaincre ces pestes de mettre fin à ces grossesses indésirées. Elles n'obtiendront pas mon jumeau de cette façon, parole d'Élisabeth Mercy Spencer !

William P. Spencer & Elisabeth M. Spencer
Lizzy ne garde pas très longtemps son calme lorsque je lui explique toute la situation. Pour Danneel cela fait déjà un petit moment qu'elle est au courant mais pour Louve c'est tout frais car celle ci a préféré ne rien dire a personne sauf que CS en a décidé autrement.
« Hey gueule moi pas dessus, j'ai merdé je sais, tu sais avec Louve il n'y a jamais rien eu de sérieux » car oui Louve était ma sexfriend. Pas de sentiment rien juste que du pure plaisir. Je finis par me redresser et me met assis sur mon lit les jambes encore sous les couvertures. Fasse au insulte de ma sœur envers ces filles je ne rétorque pas. Car c'est normal que m'a sœur soit en colère mais on était deux pour le faire ce gosse ...enfin ces gosses.
Puis elle me parle d'Anna. Je soupire puis n'espère plus rien venant d'elle. C'est triste a dire mais son comportement de ce soir m'a fortement déçu. « Attend, j'en ai marre de toujours devoir faire le toutou et me rabaisser pour essayer de réparer mes erreur. Anna ce soir elle en a eu rien a foutre de ma gueule … alors qu'elle va au diable. » Lorsqu'on est en colère certaine parole dépasse notre pensée. Je lui en voulait de ne pas être venu me parler, elle ne veux pas parler, elle m'a ignorée et l'ignorance et la pire des attaques que l'on peu faire a l'être que l'on aime. « tu ne fera rien Lizzy, fait moi plaisir, cette fois ci tu ne va rien faire ….contre Danneel. » je fixe son regard d'un aire sincère. Je ne sais plus trop ou je suis et je sais pas trop quoi faire mais l'enfant de Danneel je compte bien le reconnaître. « Elle va garder le bébé et je vais être papa, c'est comme ça Lizzy, et c'est ce que je veux. Tu as toujours voulu le meilleur pour moi, tu as toujours était la pour moi même dans les pire moment de notre vie, et encore aujourd'hui je te demande pas grand chose, juste accepter mes choix ….s'il te plais. » Je lui tend la main pour qu'elle puisse venir s'assoir sur mon lit face a moi. « Je ne pourrais jamais oublier ce que Anna a fait pour nous, j'ai voulu la retrouver, l'aimer, j'espérais que mon amour pour elle renaitrait mais je pense que mes sentiment amoureux n'ont pas réussi a prendre le dessus. C'est étrange a dire mais je lui dois beaucoup mais il est trop tard malheureusement aujourd'hui. » J'aimais Anna mais pas comme je l'aurais espéré. Finalement c'est peu être mieux ainsi. « c'est trop tard … tu me connaît Lizzy, je pardonne pas et cette ignorance de ce soir et pour moi comme une trahison. » Je baisse la tête et espère sincèrement que ma sœur adorée me comprenne