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and all their words were glory (Ashleigh)

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Aucun sms. Aucun appel. Aucune réponse. Ashleigh avait véritablement décidé de me faire la gueule pour un oublie de quelques heures de son anniversaire. Blasé, même exaspéré par son comportement je n'avais pas vraiment relevé, préférant passer à autre chose. La laisser réfléchir,  se rappeler que ce n'était pas grand chose au final. Qu'elle avait fait preuve d'immaturité. Qu'elle allait finalement revenir vers moi en s'excusant mais rien. Impossible. Et ce même en lui envoyant plusieurs messages restés à ce jour sans réponse. Elle m’énerve. Ne pouvant rester sans réponse plus longtemps, je décidais de me rendre chez elle. Forcément, j'avais prévu le coup, celui qu'elle ne me laisse pas rentrer mais j'avais pensé beaucoup plus intelligemment. Tout était renfermé dans mon cerveau. Sachant où elle habitait, je m'y rendais, faisant face à un fucking étage à monter. Tout d'abord déconcerté, j'étudiais rapidement l'environnement, faisant le tour pour tomber sur une rangée de haie délimitant le petit espace de vert dur du nez de chaussée. Grimpant à l'abris des regards, je me retrouvais rapidement le cul sur les branchages solides. M’agrippant à la la gouttière, j'entamais un périple visant à sauter jusqu'à la rambarde du premier étage. N'étant absolument pas souple, je priais en mes chances d'y arriver. S'il te plaît, donne moi la force d'y arriver. Je me prépare. Me concentre. Saute. Mais n’atterrit que sur le sol boueux sur rez de chaussé. Absolument désorienté, je me relève en posant mes deux mains sur le crâne. Fait chier. Mes vêtements avaient eux aussi goûté à la terre, me rendant ronchon. Qu'est-ce qu'il ne faut pas faire franchement ? Je fronce les sourcils, cherchant un moyen de remonter quand mon regard me surprend devant une petite fille. Les yeux rivés sur moi, je me figeais. Pleure pas. Pleure pas. Pleure pas. Les mots étaient si intenses qu'ils se gravaient moi, espérant qu'ils se réalisent. Mon index sur les lèvres pour qu'elle reste muette, je remonte la palis avec une vitesse surprenante, je m'élançais une seconde fois en réussissant. Ou presque. Les mains accrochés aux barreaux du balcon, les jambes projetées dans les airs et une gamine hypnotisée. Je pousse sur mes bras mais ne parvient pas tout de suite à monter. « Maman, y'a un monsieur. » Meeeeeerde. Je panique et mes bras agissent par enchantement, je me retrouve enfin sur le balcon. Et le bon. J'en étais persuadé. D'ailleurs la baie vitrée était ouverte par chance, me permettant de faire une entrée fracassante et spectaculaire. J'avance, sûr de moi et me prends de plein fouet la vitre. Les yeux écarquillés, le nez en sang pour la seconde fois du mois, je retiens un cri de douleur. Putain, ça fait mal. Je reste bien quelques minutes les mains sur le visage en souffrant en silence. Mon dieu? Je vais mourir. Je sais ce qu'est la pls désormais. Je m'accroupis, cherchant du réconfort dans mon propre sang. Je. Veux. Mourir.

@Ashleigh H. Strauss
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Fin de journée, tu étais rentrée du shopping avec Azraël, shopping pas pour vous, plus pour les deux bébés qu'elle attendait pour octobre. Elle avait déjà Hendrix, et voilà qu'elle allait se retrouver avec des jumeaux, très bientôt. T'adores les bébés, chez les autres surtout, mais là... des jumeaux ? Tu lui envoyais beaucoup de courage. Elle était jeune encore pour être déjà maman de trois enfants, mais bon elle semblait heureuse, le principal non ? Tu avais filé sous la douche tout de suite. Parce qu'il faisait chaud désormais sur Boston. Sous l'eau, tu te détendais, ou tu essayais. Les derniers jours n'étaient pas de tout repos. Les mauvaises nouvelles tombaient de jours en jours. Vingt deux ans que tu n'avais connu que le bonheur, et voilà que depuis fin mars, tout s'enchainait. Tout partait en vrille et pas un peu. Pas des choses de rien du tout, mais plutôt des trucs importants. Kidnapping, coma, emprisonnement, voilà que tu ajoutais la disparition depuis début juin. Alors ton anniversaire tu voulais pas le fêter, pas le moral à t'amuser quand ton aînée est portée disparue et ton meilleur ami en prison. Ca t'avait quand même mis du baume au cœur de recevoir des messages de tes proches, et cet appel manquait de Denys. D'entendre sa voix, d'entendre son joyeux anniversaire, ça faisait du bien. Et ça rattrapait le fait que Marin, lui, n'avait rien envoyé. Ah si, un message, le lendemain. Un bien pourri, banal, vide. Ca c'était du meilleur pote. En vrai, tu t'en foutais, t'es pas de ceux qui prennent ce genre de choses à cœur. Surtout pas en ce moment. Tu avais plus grave à penser que des sms pour te souhaiter un joyeux anniversaire, encore plus quand tu veux pas le faire, que t'es pas du tout d'humeur. Mais t'aimais bien faire chier le winthrop, alors ça changeait pas là, et t'avais joué à la meilleure amie offensée. Tu répondais sèchement aux messages, et tu l'avais attaqué sur son formspring, jusqu'à ne plus lui répondre. Ni aux appels, ni aux sms. Tu faisais vraiment comme si tu ne voulais plus lui adresser la parole et que tu le zappais à ton tour. Tu coupes finalement l'eau de la douche, enfilant une serviette autour de ta poitrine, quand tu entends une voix de petite fille se plaindre d'un monsieur. T'y prête pas attention. Tu attrapes ta brosse à cheveux, te coiffe, quand à nouveau un bruit retentit. Cette fois, un qui vient du loft. Nate et Maxwell sont pas là, alors c'est pas eux. Intriguée, tu sors de la pièce, toujours dans ta serviette, pour chercher d'où ce bruit vient. Et en arrivant près du balcon, devant la baie vitrée, tu vois un gars, accroupis, foutant du sang sur ton sol. Tu fais un bond, surprise, remarquant au final que c'est juste Marin. Mais tu fous quoi ici bordel ? Puis tu rigoles, en voyant qu'il pisse le sang, qu'il souffre. La compassion est morte, le respect aussi. Attrape un truc, tu fous du sang de partout ! Définitivement mort le respect. Tu t'inquiètes plus pour ton sol que pour son nez. Tu choppes ainsi le rouleau de sopalin, lançant celui ci sur le rouge, dans la tronche. Oups que tu lâches. Pas bonne viseuse. Ou peut être bien que si...
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Heureusement que je n'avais pas encore réparé mon nez à coup de scalpel chez le chirurgien du coin sinon c'était de l'argent gâché. Rien que d'y penser, de sentir que mes petits billets n'avaient été brûlé me donnait de l'espoir. Malgré tout, la douleur était fulgurante, me paralysant sur place, m'obligeant à m’accroupir, les mains sur mon visage ensanglanté. Comment j'avais pu faire une telle connerie ? Me prendre une baie vitrée ? Je suis vraiment trop con. Qui en 2017 se prenait encore de pleine face une fucking vitre ? Je cri intérieurement, sentant le bonheur me quitter. Toute lumière émanant de moi s'en va doucement, tandis que ma bouche se déforme sous la douleur. J'étais persuadé que dans cette position avec le sang j'aurai fait un parfait appât pour un requin, ou encore dans une film d'horreur. Je vois d'ici la mort complètement nul que j'aurai eu. Se prendre une baie vitrée avant d'avoir le crâne fendu. D'un coup, j'entends la voix d'Ashleigh, me demandant ce que je pouvais bien foutre ici. Je n'ose même pas la regarder tellement la couleur de ma maison avait pris le dessus sur mon visage sans parler de ma mort imminente dans quelques minutes. Bien plus désagréable que le coup que j'avais reçu de l'autre mather, bien plus violent et inattendu peut être ? Je grogne, je ne peux faire que ça face aux rires de la jolie blonde complètement.. en serviette ? Mon regard suit ses longues jambes, puis ensuite monte lentement jusqu'à son visage. « T'as pas peur toi. Heureusement que je suis un ami, je regarde pas en dessous ta serviette. » dis-je tout sourire en me relevant, le nez toujours dans un piteux état. « Depuis quand les vitres ça se lave aussi bien ? » grognais-je de nouveau en plissant les yeux comme si cela allait me rendre mon nez. Consciente que je salissais son sol, la mather allait chercher rapidement un objet qui me tomba dessus. HS. Cette fois je cri de douleur. « Putain Ash je vais t'étrangler. » répondis-je frustré, prenant d'une main le sopalin pour en tirer quelques feuilles que je plaquais rapidement à l'endroit indiqué. « Je vais mourir.. » répondis-je en n'étant absolument pas dans l'exagération, juste dans un état d'esprit le plus morbide possible. N'en revenant toujours pas de ce que je venais de faire. Bon sang. Si seulement je pouvais revenir en arrière pour éviter cette souffrance inutile.
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Des enfants qui parlent en bas de l'immeuble, tu en entendais quelques uns parfois, alors tu t'inquiétais pas de cette petite fille qui parlait d'un monsieur. Tu ne cherchais pas à savoir ce qui se passait. Puis le bruit que tu entendus par la suite, là ça t'interpellais plus. Alors tu cherchais vers où ça venait, pour voir Marin accroupis, se tenant le visage. Déjà qu'est ce qu'il foutait chez toi sans que tu lui aies ouvert ? Tu compris à la baie vitrée qu'il avait essayé de passer par le balcon. Il avait plutôt bien réussi si on omet le nez pété qu'il allait gagner. Tu captais même pas que t'étais en serviette, jusqu'à qu'il t'en fasse part. Si c'était un charmant voleur, au pire je l'aurais laissé voler mon corps ou un de mes orgasmes que tu réponds, amusé, lui laissant des images bien coquines s'immiscer dans son esprit. En vrai, tu l'aurais démonté le gars si c'était pas le rouge. Et il rale finalement sur la propreté des vitres, ce qui explique pourquoi il a le nez en compote. Tu crois que les femmes de ménages sont payées pour rouler des perles ? Voyant l'état dans lequel il est, surtout l'état dans lequel il met ton sol, tu lui lance du sopalin. Le problème ? Il le réceptionne dans la tronche et il continue de faire sa fillette, te menaçant même. Je suis même pas encore quitte pour mon anniversaire oublié, laisse moi encore un peu te torturer avant de me tuer, merci. D'ailleurs tu fais quoi ici ? La porte tu connais pas ? T'as cru t'étais Tarzan ou Spiderman ? Tu te moques de lui, parce que tu veux encore lui faire croire que tu lui en veux et vous avez toujours été comme ça à vous chamailler. Tu veux des glaçons ? Tu me fais de la peine. Vas y que tu en rajoutes une couche, avec ce petit sourire narquois, tout en allant vers le frigo pour enrouler quatre glaçons dans un torchon, et lui tendre.
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Le sort s'acharnait clairement sur moi. Après un coup de point, la vitre avait aussi son droit de parole. A croire que tout le monde, même les objets voulaient ma tête. La raison ? Toujours inexistante et ne tenant pas debout. Ou bien le karma, à voir. Pourtant, je n'avais absolument rien fait de mal ses derniers jours mise à part peut être draguer une fille en couple, mise à part j'étais blanc comme neige. Innocent. Pourtant, la baie, ne m'avait pas loupé. La pls se ressentant, je regardais Ashleigh se pointer en riant de mon triste sort. Je déteste cette saloperie. « T'es pas drôle Ash. » Concentré seulement sur ma petite personne, je n'arrivais même pas à rire de la connerie de la mather. Trop mal, je prenais énormément sur moi pour ne pas fondre, et rejoindre le béton, et ne plus jamais bougé de cette place. « Et c'est enfilé des perles bon sang. » les mains toujours sur mon nez, j'essayais tant bien que de mal de stopper le filet de sang coulant de mes narines. Je souffre, et ferme les yeux la plupart du temps en espérant, priant presque pour que la douleur s'évapore. Mais rien n'y fait, la douleur me déchire le visage. L'instant d'après, elle m'envoie le sopalin dans la gueule, me rendant grognon mais me servant des feuilles. « Parce que je te connais, tu m'aurais pas laissé rentré avec ton caractère de merde. » je me lève subitement en rentrant dans l'appartement, mon but et m’assoie sur le canapé. La tête en arrière, la main sur le nez, j'attend que le temps passe. « OUI ! Files les glaçons. » répondis-je subitement en l'entendant proposer cette idée de génie, pour une fois qu'elle en avait une putain. J'avais presque envie de me marier une deuxième fois juste pour cet instant magique.
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C'est que le Marin c'était une vraie fillette, au moindre bobo il pleurait le martyr, la souffrance. T'avais beau faire une blague ça ne le faisait même pas rire. Il râlait de plus belle à la place. Il en perdait son humour le petit, enfin jusqu'à qu'il se plaigne de la propreté de la baie vitrée et que toi tu lui fasses cette remarque sur les femmes de ménage qui sont pas payées à rouler des perles. Non, enfiler des perles qu'il te reprend. Aaaaaaaah là je te retrouve. Chieur, moqueur, et non faible et désagréable. Oui tu t'amuses encore un peu de lui, mais il comprendra, plus tard, il aurait fait pareil. Par contre, le bon sang il est bien placé, si on prenait en compte que son pif était justement en sang. Et tu te stoppe pas là, tu enchaînes de plus bel, lui rappelant que les portes ça existe. Que jouer à spider man ou Tarzan c'est plus vraiment de son âge quoi. Voilà qu'il revient à la charge, te taclant, te faisant revoir le Marin que tu connais. Celui qui mâche pas ses mots, qui pique, qui cherche. Cette amitié bien à vous, à vous faire des crasses gentiment pour se moquer de l'autre. A vous tirer dans les pattes avec des mecs ou des meufs, comme à l'anniversaire de sa sœur, au sb. On a limite le même caractère de merde mon coco que tu soulignes. A quelques variantes près, je vous l'accorde. Et comme le sopalin n'a pas été efficace vu qu'il se l'ait prit dans la tronche, tu proposes des glaçons. Merveilleuse idée, il va presque faire la danse de la joie. Sauf qu'il s'installe surtout sur le canapé, la tête en arrière, la main sur le nez. Marin Nathanël Perol, si tu oses mettre du sang sur mon canapé, je te fait manger la table basse. Pas forcément matériel mais fallait pas déconner. Le sang ça part difficilement et t'avais pas que ça a faire de frotter après ses conneries. Tu replies ton index que t'a pointé sur lui et tu vas prendre les glaçons et un torchon. Tu lui tends le tout, te posant à ses côtés. En vrai, tu fais quoi ici Marin ? T'en avais presque oublié que tu lui faisais la gueule suite à la soirée mather avec Hippo et cette façon de te provoquer concernant Denys.
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La douleur toujours présente se calme, devient constante et peu à peu, à force de s'y habituer, supportable. Mais malgré tout, je reste sur mes positions et grogne parce que ça ne me plaît pas et que cela aurait pu être évité. Soyez gentil, venez chez votre meilleure amie pour la faire sourire, rire, venez vous prendre sa putain de baie vitrée trop propre. Elle me taquine mais ça n'a absolument aucun effet sur moi, trop préoccupé sur ma blessure. « Je t'emmerde. » répliquais-je à sa connexion entre mes mots et le véritable problème, je souris même parce que je me surprend à penser que c'est peut être drôle finalement ce qu'elle dit. Je râle une fois encore, lui envoie des piques pour qu'elle me laisse au moins le répit de quelques minutes. « Le même caractère ? Je suis très doux. Comme un agneaux. » Je pense un instant à cette émission en France où des agriculteurs reçoivent chez eux des personnes pour rencontrer l'amour. Ah ! L'amour est dans le pré. Encore une émission pour les déphasés ou les désespérés. Je me pose la minute suivante sur son canapé, le regard face au plafond en soufflant comme si cela pouvait faire disparaître quoique ce soit. « T'inquièèèèèèète pas. » répondis-je en étant tout de même surpris, presque un moment de recule, m'enfonçant dans le canapé à cette appellation. Seul ma mère dans les moments les plus critiques me nommait de cette façon. Finalement les glaçons arrivent, putain c'est pas trop tôt. Je les prends et abandonne le sopalin sur mes genoux pour y placer cet effet froid et revigorant. Je grimace au début à cause de la réaction et fini finalement par appuyer dessus. « Pourquoi ? Tu réponds plus à mes messages. » dis-je en fronçant les sourcils, tout ça c'était en partie à cause d'elle.
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