Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityLost les disparus
-28%
Le deal à ne pas rater :
-28% Machine à café avec broyeur à grain MELITTA Purista
229.99 € 318.99 €
Voir le deal


Lost les disparus

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
"J'arrive pas à croire que Dimi vienne pas sérieusement... Même quand je lui ai dit que je voulais qu'il soit un de mes témoins il n'a pas flanché... " ronchonnai-je en embarquant dans mon jet, Ayma à mes côtés, saluant négligeant les membres de l'équipage dérangés en dernière minute pour une lubie soudaine qui nous avait gagné miss Stauss et moi : nous marier, rien de soudain pour cette partie là, notre délire de bac à sable avait toujours existé, existerait probablement toujours, entre nous, mais cette fois, ça s'illustrait lors d'un voyage à Zanzibar, voyage qui était bien lui en train de se concrétiser. Sans me préoccuper des obligations personnelles de mes employés, je les payais suffisamment pour qu'ils se rendent disponibles au gré de mes caprices, me voilà donc en train de prendre place sur le luxueux jet privé dans lequel j'avais investi pour les besoins de l'entreprise familiale que je co gérais avec Victoria, qui désormais résidait avec monsieur crétin Silver à NYC. Donc il me fallait pouvoir rapidement la rejoindre et bien que j'avais une sainte horreur de l'avion il m'avait fallu m'y résoudre. Et comme toujours, n'assumant rien de mes peurs et phobies, j'essayais de jouer les décontractés en plaisanteries douteuses auprès de ma blondinette adorée : "Prête à monter au septième ciel avec moi Ayma ?" demandai-je en prenant place sur l'un des confortable fauteuil  de l'engin, fermant néanmoins nerveusement ma ceinture, petit geste qui trahissait bien mon malaise à l'idée d'entreprendre un nouveau voyage aérien.

HJ : comme ça on pourra ellipser et jouer quelques trucs qu'on s'était dit sur skype Lost les disparus 3997999705 je suis désolée si je rep vitesse escargot, encore quelques jours de révisions et je serais libérée délivrée Lost les disparus 1116103942
@Aymalyne K. Strauss
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Lost les disparus
— with Colyne

Avril-Mai 2017 Tanzanie. C'est ça de sortir avec une pauvre, elle est en train d'anéantir sa grandeur d'esprit. D'ailleurs, je suis surprise que tu n'aies pas encore monter un plan pour les séparés. Comme si une pauvre idiote comme Carter pouvait faire partie de notre cercle de vie encore moins faire partie de la famille Wildingham. La honte que ce serait pour lui de l'avoir pour cousine. Rien que d'y penser...un frisson de dégoût parcourt alors ma côlons vertébral. Installée confortablement dans un des sièges de luxe face à lui, je jette un dernier coup d'oeil à mon téléphone espérant avoir un message d'Abélard. Peine perdue. Rien ! Rien ne le fera donc réagir ? Lâchant un soupire, je laisse mon regard planer sur mon ami qui mine de rien a l'air un peu agité malgré sa petite plaisanterie qui me fit rire. On ne t'a jamais dit de ne jamais faire de promesse qu'on ne peut pas tenir ? le taquinais-je en lui offrant mon plus beau sourire histoire de l'aider à se détendre un peu. Après un décollage en douceur, je finis par ouvrir mon ordinateur afin de travailler sur mon mémoire. Totalement prise par mon mémoire ce n'est que lorsque l’hôtesse vint s'adresser à moi que je prends conscience que j'y avais passé plus d'une heure délaissant par la même occasion mon ami. Excuses-moi, je suis de piètre compagnie. Sur ces mots, je ferme mon ordinateur afin de me consacré à Cole pour le reste du voyage. Si tu es amoureux d'Agathe pourquoi tu fais ça ? A moins que tu ne sois amoureux de Lucky et que tout ça n'est qu'une façade pour te protéger de ce que tu ressens...? Mes deux semaines en psychiatrie ne me rendent pas service et pour cause, je n'arrête pas de faire ce genre d'analyse mais soit, là il est question du bien être de l'un de mes meilleurs amis. Moi, je n'ai rien à perdre à faire ça alors que lui, il risque de passer à côté du grand amour tout ça pour une question d'ego.



© SEAWOLF.

HJ : Il fallait absolument qu'on joue ça surtout vu ce qu'on a parlé sur skype Lost les disparus 166564858 Ne t'inquiète pas prends ton temps Lost les disparus 3850463188



(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Dans ma tête, ça aurait été une journée parfaite.  Un plan parfait. Notre belge aurait réagi. Ma petite amie aurait réagi. Et accessoirement consenti à mes caprices, pourtant pas disproportionnés, je lui demandais juste de les casser une bonne fois pour toute, ses petits jouets préférés, ses actions mans comme j’aimais les appeler. Elle n’avait plus besoin de son petit fan club, de ses petits pantins, puisqu’elle m’avait moi non ? Enfin qu’importe, l’ultimatum lancé n’avait pas fonctionné de mon côté. Abé ne réagissait pas du côté d’Ayma, guère plus chanceuse. Et cerise sur le gâteau, mon zouave de cousin refusait de venir, là où notre voyage aurait été l’opportunité parfaite pour le caser avec Cléo. Plan que j’avais pas évoqué clairement avec miss Strauss mais sa remarque me donna l’occasion de le faire. Sourire diabolique, je racontais fièrement : « J’ai un peu mis ta cousine sur le dossier. » Cléo et la plupart des filles du campus que j’estimais dignes de mon cousin. N’importe qui, mais pas Carter quoi. On prenait place et je ne remarquais pas le regard dépité que mon amie lança vers son téléphone. Non, ça y est, mes angoisses phobiques de l’avion commençaient à réapparaitre, malgré ma tentative de vanne pour feindre le contraire. Je ne réagis pas très vivement à la pique qu’elle me servit, mes doigts se crispant sur l’accoudoir. « On va s’envoyer en l’air Ayma, détends toi. » Oui, enfin ça serait plutôt à moi de me détendre. C’était juste qu’en terme d’envoi en l’air, je préférais nettement la version non littérale de la chose, si vous voyez ce que je voulais dire. Le décollage et les premières heures de vol furent une véritable torture. Je laissais Ayma travailler, gardant le silence, de toute façon en trois mots elle aurait compris la panique qui m’habitait, elle me connaissait trop pour que je réussisse à jouer le décontracté durant tout le vol alors ça m’arrangeait plutôt bien qu’elle soit concentrée sur autre chose, même si, une fois qu’elle reporta de nouveau son attention sur moi, je jouais les vexés : « De piètre compagnie oui… Je vais peut être pas me marier avec toi en fait… » Petit rire nerveux, secousse de l’engin et je rebouclais aussitôt ma ceinture d’un geste empressé. « C’est quoi le problème de ce pilote ? » m’énervai-je, essayant de ne pas céder à la panique. Et Ayma qui s’amusait à jouer les psy, ok, distraction parfaite j’avoue… « J’ai jamais dit que j’étais amoureux d’Agathe. Ni même de Lucky. » ronchonnai-je avant de planter mon regard malicieux dans le sien : « Peut être que c’est de toi dont je suis amoureux. » Ou peut être que je m’aimais trop moi même pour aimer quelqu’un. Vous avez le plus égoïste en face de vous guys, n’oubliez pas. Nouvelle secousse de l’appareil. « Mais qu’est-ce qui se passe à la fin ? »  
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Lost les disparus
— with Colyne

Avril-Mai 2017 Tanzanie.
J'aurais dû m'en douter...mais, ça tombe bien puisqu'elle a demandé mon aide pour lui mettre le grappin dessus. avouais-je dans un léger sourire. J'aime comment on en arrive à avoir les même idées sans même en parler avant. Comme les gens disent, on se ressemble énormément Cole et moi. Beaucoup auraient pris ça pour un affront moi, je prends ça comme un compliment. Il est et restera mon modèle même si parfois, il dépasse les bornes c'est pour ça que je suis devenue la meilleure Eliot. L'élève a tout simplement dépasser le maître. Voilà ce qui fait de nous des meilleurs amis fidèles et sincères même si on en vient à se faire des coups bas ce n'est jamais méchant loin de là puisque de mon côté c'est juste une façon de le remettre à sa place et de lui rappeler que je n'ai pas peur de lui, que je peux faire de sa vie un enfer si il me cherche et il le sait parfaitement. Parfois, je le soupçonne même à vouloir me mettre en colère juste parce que ça le fait délirer. Voilà déjà quelques heures qu'on est au septième ciel comme il aime le dire où j'ai pu bosser sur mon mémoire délaissant par la même occasion mon ami. Arrête de stresser c'est juste des turbulences. dis-je en levant les yeux au ciel amusée par la situation. Je reconnais qu'on est des âmes soeurs mais, tu n''as pas la carrure pour être l'homme qui aurait le devoir de prendre soin de mon coeur. Et puis entre nous, je suis beaucoup trop bien pour toi ça te donnerais des complexes d'infériorité. Nouvelle tentative pour le faire oublier les turbulences qui deviennent de plus en plus incontrôlables. Ok, là je commence sérieusement à paniquer. J'ai l'habitude de prendre l'avion et là, je sais que c'est pas normal... Instinctivement, je range mon ordinateur et attache ma ceinture regardant Cole où l'inquiétude se lit sur son visage. D'un coup, un bruit assourdissant éclate alors que l'avion pique du nez. BON SANG QU'EST-CE QUI SE PASSE ??? COLE !!! FAIT QUELQUE CHOSE MERDE ! Il est hors de question que je meurs maintenant c'est juste pas possible ! Qu'il se lève et qu'il a redressé ce putain d'avion ! Seulement, en une fraction de seconde tout devient sombre rendant la suite des événements plus qu'évidents. On va s'écrasé et mourir... Je ne peux pas mourir ! Je ne veux pas mourir ! Mon regard croise celui de Cole alors qu'on sait tout les deux que c'est la fin. Je voudrais dire quelque chose, appeler mes proches mais, je suis totalement figée sur place alors que l'avion perd de l’altitude à une vitesse hallucinante. Je... Impossible de finir ma phrase c'est la fin, le trou noir.




© SEAWOLF.

:

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
« Les grands esprits se rencontrent… » soufflai-je alors. Et si Cléolya était aussi déterminée que sa cousine, j’avais des chances de voir mon cousin à moi flancher et oublier sa guenon avec mademoiselle Strauss. Enfin, pas le temps de rêvasser là dessus, l’avion décollait et j’étais rapidement tendu comme d’habitude, malgré des feintes de vannes censées dissimuler mon malaise. Mais après plusieurs heures de vol, quand l’appareil commença à être secoué, et ce malgré la tentative de psychanalyse de mon amie qui essayait de dédramatiser, la panique me gagnait. Elle piquait, me taquinant sur mon incapacité à prendre soin de son cœur. « J’ai tout à fait la carrure qu’il faut pour… » Prendre soin de son cœur ? De sa santé ? Ouais j’étais celui qui l’avais entraîné dans ce voyage, ce trip, cet avion en train de se crasher. Elle était belle ma carrure…  Je n’eus pas le temps de terminer mes protestations d’ailleurs, parce que de nouvelles secousses finirent par avoir raison du calme olympien de la blonde. Le personnel autour de nous s’agitait. Les masques tombaient sous l’effet de la dépressurisation alors que mon interlocutrice commençait à crier. Mon regard croisa le sien quelques secondes et je la vis perdre connaissance. Merde… Une chance que je connaisse par cœur les consignes de sécurité, flippé comme je l’avais toujours été par l’avion, et je saisis un masque, le glissant sur le visage de mon amie de faire de même avec le mien, quelques secondes avant, à mon tour, de perdre connaissance.

[…]


Ca bourdonnait dans mes oreilles. Y’avait cette odeur de cramé qui me chatouillait les narine, et puis une barre au niveau du front.. Mes paupières lourdes s’ouvrirent difficilement, papillonnant sous l’effet de la lumière du jour aveuglante. Mes doigts se portèrent sur mon front pour y sentir un liquide chaud. Je regardais ma main rougie par le sang avec un air ahuri. Où j’étais ? Quel jour on était ? Qu’est-ce que je foutais là ? Et soudain, tout me revint en flash. Zanzibar island, Ayma, ses vannes, son rire, ce sourire et ses yeux, ses yeux paniqués, son regard rempli d’angoisse avant qu’elle ne ferme ses paupières et qu’elle ne se laisse emporter… Ma tête se tourna instinctivement, et un peu douloureusement vers le siège adjacent. « Ayma ? Ayma ?!? Ayma réponds moi !!! » paniquai-je en découvrant la demoiselle toujours inconsciente près de moi. Les mains tremblantes, je défis ma ceinture avant de défaire la sienne. Fallait qu’on sorte de là, qu’on s’extirpe de la carcasse de mon jet, bouffée par les flammes, et qui ne tarderait pas à exploser. Mes bras enlacèrent la jeune femme, et je rampais en l’entraînant avec moi, nous sortant de ce brasier et nous retrouvant alors allongé dans le sable. « Ayma ?!? Ayma ?!? » Et si elle était… « Ayma réveille toi !!! » ordonnai-je, refusant la simple idée d’y penser. Un monde sans Aymalyne ? Non jamais. « J’ai besoin de toi. »
 
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Lost les disparus
— with Colyne

Avril-Mai 2017 Tanzanie. Le trou noir. Même si j'essaie d'ouvrir les yeux rien n'y fait c'est comme si j'étais à des années lumières d'où se trouve la voix de Cole. Mon corps est endormi, engourdi comme si le poids du monde pesait sur moi. La question qui me taraude en ce moment est "est-ce que je vais mourir ?" Il y a tellement de chose que j'aurais voulu faire, dire avant de mourir... Peu à peu, la voix de Cole se fait plus clair, plus pressente à mes oreilles. Je lutte comme je peux pour ouvrir les yeux mais, rien n'y fait c'est comme si mon coeur refusait d'écouter mon esprit. J'ai envie de lui hurler que je suis là, que je ne suis pas partie mais, c'est juste impossible rien ne veut sortir de mes lèvres. L'odeur autour de nous me donne des hauts le coeur pour une raison que j'ignore encore. Là tout de suite, je me concentre sur la voix de mon ami totalement paniquer. A force de lutter, mes yeux finissent par s'ouvrir d'un seul coup. Prise de panique je me redresse alors qu'une violente douleur secoue mon corps au niveau de l'épaule. Qu'est-ce...qu'est-ce qui se passe ? réussis-je à articuler alors qu'une toux secoue mon corps suite à la fumée qui s'échappe à quelques mètres de nous. Tout me revient à l'esprit. L'avion, les turbulences et le crash. On vient de se crasher... La vision d'horreur s'affiche sur mon visage d'ange. Il faut qu'on parte d'ici la fumée prend trop d'importance. murmurais-je en regarde un Cole totalement paniquer. Je ne l'avais jamais vu comme ça aussi démuni. Comme pour suivre mes mots, j'essaie de me relever ignorant tant bien que mal la douleur qui déchire mon épaule. Il faut vraiment qu'on s'éloigne avant d'aggraver notre cas.



© SEAWOLF.

:

(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)