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Cet après-midi-là, je n'avais pas cours et franchement pas grand chose à faire la seule chose qui me vient en tête, c'est de faire une grosse sieste. Avec les heures d'hôpital que je me tape ce n'est pas du luxe de me poser un peu, prendre une bonne douche et me coucher dans mon lit à la confrérie et pioncé un peu. Je voudrais oublier toutes ces personnes qui sont malades et dont j'aimerais pouvoir apporter des solutions qui à l'heure actuelle semblent beaucoup trop loin pour être réaliste. Alors qu'après avoir fini ma douche et m'allonger dans mon lit, je suis fin prêt à plonger dans les bras de Morphée.
J'allais enfin atteindre le sommeil paradoxal, celui qui me permettrait enfin de me reposer quand malheureusement, on entre dans ma chambre avec un grand fracas. Un frère de confrérie vient me voir, me secoue, me remue et me tire de mon sommeil pour me proposer d'aller chez les Mather. C'est ce qu'on fait nous, quand on s'ennuie, on visite les autres confréries. Et puis avec les rumeurs qui fusent de partout que seules les Mather sont capables de faire du bon whisky. Il me motive alors que je suis encore en plein réveil pour que je vienne avec lui histoire qu'on se fasse payer un verre de leur merveilleux alcool, mais je suis trop endormi, je ne comprends que la moitié des choses et tant bien que mal, je le suis, sans grande force. Une fois arriver sur place il me fait par de son plan, alors non on va pas se faire payé un verre mais on va bien et bien le voler ce verre. Je soupire, dans quoi est-ce que je me suis encore fourrer moi ? Voler du whisky, ça va encore nous attiré des ennuies. Je le suis pourtant quand il entre dedans la pièce et une fois qu'on trouve le whisky en question on commence à ce servir. Mais qu'est-ce que je disais... Des ennuies arrivent. Un des membres de la confrérie nous trouve et vu sa tête il veux bel et bien nous en mettre plein la tête.
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