Sorry Seems to Be the Hardest Word

   Summer & Paris

   Sorry Seems to Be the Hardest Word

   



@C. Summer Maconahey

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@C. Summer Maconahey

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@C. Summer Maconahey

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   Summer & Paris

   Sorry Seems to Be the Hardest Word

   Paris avait le souffle court comme chaque fois qu’il faisait l’amour à cette femme. Summer avait le don d’exacerber sa passion au point qu’il se perdait lui-même dans leur corps à corps. Et dieu seul savait combien il aimait la sensation de ne plus rien contrôler, d’être livré à ses démons car pour une fois, il n’avait pas besoin de les craindre : Summer l’empêchait de lui faire du mal. Il y avait quelque chose en elle qui le bloquait au point de faire de lui, un véritable petit ange. Paris avait pris conscience de cela il y a quelques mois. Il pouvait être en colère, il pouvait être fatigué, il ne pouvait pas se montrer violent avec elle. C’était comme si la douceur naturelle de sa femme empêchait toute violence. Oh, elle ne calmait pas ses démons totalement, ce serait trop beau mais au moins, il pouvait se vanter de se dire que quoiqu’il arrive, qu’importe la dispute, il ne deviendrait jamais un monstre. Et il en était d’autant plus vrai lors de leur corps à corps. Summer se donnait à lui avec tellement d’amour qu’il n’avait pas besoin de chercher à la dominer ou même à la soumettre. Il pouvait simplement être lui-même, dans toute sa passion et sa sauvagerie car il savait qu’en retour, elle saurait le canaliser et l’accepter comme il était. Rien que pour cela, il savait qu’il ne pourrait jamais aimer une autre femme. Elle était parfaite. A quoi bon se priver d’un tel bonheur pour un coup de queue négligeable ? C’était complétement con. Il avait toujours pensé qu’être infidèle était simplement une marque de liberté, aujourd’hui, il savait que c’était l’arme des lâches et des faibles. Quand on aimait réellement une femme, aucune autre ne pouvait vous tenter. Elle pouvait bien avoir un cul à la Kim Kardashian, ou une poitrine à la Pamela Anderson (version jeune, faut pas déconner), rien ne ferait qu’il irait se perdre dans d’autres bras. Summer le complétait et il en était heureux.

Un sourire étira ses lèvres quand cette dernière vint lui souhaiter la bienvenue. « Cela fait du bien d’être de retour à la maison femme » dit-il avec un sourire amusé alors qu’elle riait à sa propre connerie. Ses bras vinrent naturellement s’enrouler autour d’elle pour la garder lovée contre son torse. Dieu qu’il aimait cette sensation. « Accorde moi cinq minutes et je retourne sur le champ de bataille » rigole-t-il. Oui, il avait bien l’intention de lui faire l’amour jusqu’à plus soif tellement elle lui avait manqué mais ça, c’était une autre histoire.

TOPIC CLOS.



@C. Summer Maconahey