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(marin) ✱ i had the time of my life

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J’avais droit à du Perol pur et simple. Il s’attendait vraiment à avoir une réaction jalouse de ma part, sauf que je suis une bien trop bonne actrice pour ce genre de chose. Après plusieurs années à jouer la comédie, on peut dire que je savais garder mes émotions pour moi. Puis je n’allais certainement pas lui faire ce malin plaisir de me le faire rappeler lorsque nous allions fouler le territoire Américain. Ce voyage est la seule chose que nous allions faire tous les deux, fin de la discussion. « … Ou peut-être qu’après ce voyage, je ne vais plus avoir envie de te voir et tu n’auras pas cette médaille. On ne sait jamais. » Haussant les épaules, la discussion venait à dériver sur son orientation sexuelle. C’était l’un de mes passe-temps préférés je dois l’admettre, de pouvoir l’emmerder sur un truc qui est loin d’être la vérité. Je suis au courant qu’il aimait les femmes sauf que de le voir perdre tous ses moyens, ça me faisait presque frissonner. Ayant ce même petit sourire en coin, son air beaucoup trop sûr de lui, était beaucoup trop mignon. Non sérieux, il allait vraiment me faire pleurer, tel un sans-abri qui était assis contre l’un des murs du McDonald’s. « Je n’en sais rien Perol, je n’ai pas encore essayé la marchandise, sauf que dès que je suis prête je vais te faire signe. » Ah oui, cette fameuse histoire du bal. Pauvre petit, j’avais vu en son regard que le beau brun semblait vraiment désemparé quand je me suis éclipser assez rapidement de cette salle de bain. Pour une fois que je prenais mon temps avec quelqu’un, ce n’est certainement pas ce qui s’est passé avec Royce ou Aaron. Cette Cambridge’s Secret s’était donné un malin plaisir pour essayer de me ridiculiser sauf qu’elle avait perdu son temps. Étant assise près du Winthrop, il était impressionné par le fait que je puisse dormir nue. En effet, c’est un secret que je gardais bien précieusement au fond de moi, sauf que j’en avais fait part à Marin, qui semblait vraiment subjugué. « Quoi ? Ça te surprend ? Ah ouais c’est vrai, tu n’as pas eu la chance de coucher avec moi pour le voir. T’es quand même chanceux Perol, ce n’est pas ce qui se passe avec toutes les personnes que je fréquente. » J’ai la réputation d’être une chaudasse quand on parle des hommes, sauf que je suis loin d’être une femme facile. J’aimais bien faire les choses, prendre mon temps et faire les bons choix. La seule chose que j’avais envie en ce moment, c’est de pouvoir me changer les idées, passer un bon moment avec Marin, bien qu’il soit étrange de temps en temps mais j’en ai besoin… Je pense que le jeune homme était la personne qu’il me fallait en un temps pareil, son caractère et son humeur à jouer pouvait vraiment me détendre. Sauf que de lui faire part de ce genre de renseignement, allait plus me nuire qu’autre chose. Connaissant ce dernier, il allait me sortir ce même petit sourire, narcissique pour me répéter mes dires. Ce n’était vraiment pas ce que nous voulions, au contraire, je voulais qu’il soit vraiment blasé. Prenant donc place sur l’une des chaises du restaurant, assise en face de Marin, le serveur arrivait pour prendre ce que nous allions prendre comme breuvage, sauf que le jeune homme avait mieux à faire en me lançant ce sel. Posant mes yeux vers le rouge, il pouvait voir ce regard agacé. S’ils pouvaient contenir des balles de fusil, le brun pourrait mourir deux ou trois fois. « Désolé pour mon ami, il a manqué d’air à la naissance. Voilà pourquoi il peut être con. » Adressant un clin d’œil au serveur, ce dernier s’en allait flatter presque. Je dois admettre qu’il était quand même assez mignon, si je pouvais atteindre Marin, histoire de l’emmerder, ça peut faire ma soirée. Les italiens étaient certes, beaucoup plus mignons que les Américains… Même les Français. « Allons, j’ai envie de me trouver un plan cul ce soir, cesse de détruire toutes mes chances… Encore. » Faisant allusion à ce bal.

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Ne plus avoir envie de me revoir ? Je lève un sourcil, perplexe face à sa réponse que je trouvais stupide. Comment pouvait-elle ne pas en avoir envie ? J'étais certainement le mec qui lui correspondait le plus, j'étais presque sûr qu'elle faisait des rêves érotiques où j'y étais. Aucune autre possibilité après notre tentative de copuler aux milieux des toilettes qui avait fini malgré l'excitation à l'eau. Je ne pensais pas atteindre à ce moment-là ce genre de relation, qu'un désir même de cet envergure puisse germer en moi, pourtant nous en étions la. En Italie à présent, nous promenant, servant à lui faire passer le temps afin que la mort de son père se fasse moins douloureuse. « Alors, on se fait une promesse avec le petit doigt que tu me la donneras cette médaille. » répliquais-je en y tenant particulièrement comme un gosse aux cadeaux du père-noël. C'était un moyen de la revoir et surtout de continuer sur une note d'humour. Puisqu'elle me proposait, je comptais bien en profiter. « C'est ce que tu penses, mais ton corps est à coup sûr loin d'être en accord avec ce que tu racontes. » dis-je tout sourire en ne doutant pas une seule seconde de cette information. Peut être que j'étais trop sûr de moi pour le coup mais la nuit du bal avait eu l'effet d'un électrochoc en moi étant donné qu'elle aussi, avait eu envie de moi. Je n'avais jamais caché ma possible attirance pour elle. Malgré tout, Willow, têtue ne voulait pas céder à cette possibilité. L'Eliot ne voulait pas s'admettre que si, elle aussi avait eu cette fougueuse envie parmi les bactéries de la cuvette et les murs certainement enduit à coup de pisse, de ma petite personne. Et ça n'était pas tombé dans l'oreille d'un sourd. Je pouvais à présent l'emmerder à ma convenance à ce propos, et même si je me doutais de ses excuses, rien ne me ferait changer d'avis. A présent dans sa voiture, nous discutions de notre manière de dormir. Nu ou pas nu ? Willow avait fait son choix, me donnant quelques images qui me réjouissaient particulièrement. « Ne parle pas trop vite.. » Ces longs discours pour me faire croire que cela n'arriverait jamais, avait l'effet inverse, j'y croyais à voir un jour ce spectacle que je comptais contempler. J'étais même prêt à prendre les billets en avance. Notre conversation me prend tellement à l'esprit que déjà, nous arrivions devant le restaurant, y prenant rapidement place pour déguster la meilleure pizza qu'ils avaient. Après tout, n'était-ce pas leur spécialité ? Forcément, rapidement, je me comporte comme un gamin, lui envoyant du sel, chose qui m'amuse au plus au point. Willow me fusille du regard, agrandissant le sourire que je portais déjà sur le visage. Elle ne manque pas de le faire savoir au serveur. « Elle ne sait pas s'amuser. » dis-je au serveur à mon tour, le plaçant surement dans une position bien inconfortable puisqu'il ne comprenait pas mon français. A moins qu'il l'était. La blonde allait presque jusqu'à le draguer. Retourner contre moi mes propres idées ? Plagiat ! Et surtout une impression que ma petite combine avait finalement marché pour qu'elle le reproduise. GG. « Tu le veux lui ? Franchement, tu choisis de moins en moins bien.. » Parce que ouais, malgré tout, je n'allais pas la laisser partir avec ce mec qui ne la méritait pas. J'avais d'autres projets en tête et cet homme n'en faisait pas parti.
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J'en ai voulu à Lisandro de ne pas m'avoir accompagnée lors de ce voyage en Italie, sauf qu'il avait ses raisons. La relation qu'il entretenait avec notre père n'était pas la meilleure et je ne voulais en aucun cas l'incommoder sur ses choix. Je me suis décidée à dire à Marin que peut-être, lors de notre retour aux États-Unis, que nous n'allions peut-être pas nous revoir tous les deux sauf que je suis consciente que ça n'allait pas se terminer comme ça. Surtout après que je lui ai demander de m'accompagner en Italie, sans avoir le moindre but dans la tête. Il me plaisait bien, nous adorions passer du temps ensembles et j'ignore même ce que je ressentais dans cette histoire. Je me souviens aussi de cette soirée au bal où nous avions passés près de coucher ensembles, sauf que cette femme avait décidé de faire échouer nos plans. « Bon très bien... Tu vas l'avoir cette médaille. » Dis-je en levant les yeux au ciel. Non mais quel rabat-joie... Il était vraiment en train de m'exaspérer. Marin n'avait pas totalement tord là dessus, mon corps en demandait encore, il était surtout déçu de ne pas avoir été plus loin quand nous avions été dans les toilettes. Sauf que j'allais devoir garder ce secret bien enfoui dans ma conscience... « Pourtant je vois aucun signe de ce que tu oses me dire... C'est dommage de voir que t'en est si certain. Je n'aime pas décevoir les gens. » Faisant un léger sourire sur le coin de mes lèvres, je le défiais presque du regard. Je suis loin d'être le genre de femme à dire tout haut ce qu'elle pense d'un homme, rien que pour avoir une certaine fierté de tout cela. Sauf qu'avec le temps, le jeune Perol allait découvrir qu'il ne me laissait point indifférente grâce à ce charme. Le temps passe tellement vite que nous nous retrouvions dans la voiture, en train de parler de tout et de rien... Une discussion étrange mais assez amusante. J'étais en train de faire la chose que je faisais le mieux qui est, d'embêter un peu le beau brun. Nos conversations furent assez passionnantes je dois l'admettre. J'adore dormir nue dans mon lit, ça me redonnait de l'énergie pour le lendemain matin et voilà qu'il était au courant d'une partie de ma vie. « Tu dois être au courant que je suis loin d'être une femme facile. » CS avaient dit des mensonges sur mes relations amoureuses... J'aimais montrer que je suis au dessus de mes moyens. Voilà que nous étions déjà arrivés dans le fameux restaurant que je voulais présenter à Marin. J'étais italienne et les plats italiens étaient les meilleurs au monde. C'est ce que je voulais lui faire découvrir, mes racines... Sortant de la voiture, le serveur nous montrait notre table et voilà qu'il commençait déjà à m'énerver. Serrant les dents, je donnais un léger coup de pied sur le mollet de mon invité. Faisant un merveilleux sourire, je tournais la tête vers le bel italien. « Excusez-le, il vient tout juste de sortir d'une relation douloureuse... Il n'a vraiment pas toute sa tête. » En disant ces mots, je plaçais ma main sur la sienne que je tapotais, voulant faire semblant d'être désolée. Marin était arrivé de l'aéroport en me disant que l'hôtesse de l'air lui avait fait de beaux yeux et maintenant c'est à mon tour de l'emmerder... J'étais carrément en train de charmer cet homme. Beau, grand et sous cette chemise blanche, il semblait bien musclé. De quoi faire fantasmer plus d'une femme ici... Laissant l'homme quitter, je tournais ma tête vers Marin, qui venait de me dire que je choisissais les hommes moins bien. « T'es sérieux ? Tu n'as aucune goût Perol, il est tout sauf moche... » Prenant la coupe dans mes mains, je pris quelques gorgée de mon nectare avant de reposer celle-ci contre la table. « Puis, j'ai vraiment besoin de me changer les idées ce soir. » Je fis exprès pour mater les fesses du serveur, juste devant Marin, rien que pour voir comment il allait réagir.

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Je la charriais, la taquinais au possible, l'embêtant avec cette stupide médaille qu'elle m'avait faussement promise. Et pour tant j'y tiens et ça l'a fais encore plus râler, ce que j'aime par dessus tout. « Tu sais pour certaines choses, quand je le sens, je le sais. Et la, je sais exactement ce que ton corps veut mais que ta tête refuse. » répondis-je en un sourire qui se voulait sûr de moi, après tout, on aurait jamais été aussi loin dans le cas contraire et j'étais bien le dernier à m'en plaindre. J'avais apprécié ce moment et je ne m'en cachais pas au contraire de Willow qui s’entêtait sans la moindre explication à rester sur cette position de sourde. Et à moins qu'un autre garçon lui faisait de l'effet, j'avais bien du mal à croire qu'elle avait tourné la page si facilement. Pas après un moment si excitant, d'une passion folle et enivrante, presque inspirante. La seconde d'après la voiture arrive, nous parlons de notre attitude lors que nous dormons, et apprends qu'elle dort nue, puis enfin que je ne la toucherai certainement jamais. « Je sais que tu n'es pas facile mais c'est le challenge justement qui compte. » Le sourire aux lèvres, il était vrai que dépasser sans cesse mes limites faisaient partie de ma vie quotidienne. Le restaurant à porté de vue, nous transplantons presque rapidement jusqu'à notre table, la, où je commence mes petits jeux, aimant particulièrement la mettre mal à l'aise. Je lui envoie du sel, elle m'affiche devant le serveur et je fais de même. Un peu comme un match de ping pong qui ne cesse jamais. « Je.. » Je m'arrête brusquement en sentant son pied venir me heurter d'un coup d'un seul. « Aïe. » répondis-je en fronçant les sourcils pour finalement lui tirer la langue comme un gamin de cinq ans. Quelle teigne. Finalement, le beau jeune homme fini par partir et nous laisser seul. « Si j'ai du goût et mon détecteur de gay me dit qu'il l'est. » répondis-je après une réplique cinglante, presque une engueulade de sa part. « Ce soir ? j'ai une idée mais tu vas pas vouloir. » répondis-je en levant les sourcils successivement, juste pour lui donner un avant goût de cette idée qui respirait le sexe à plein nez. « C'bon je rigole, on va bien trouver. y'a plein de chose à faire. » Des matchs, un cinéma, les idées ne manquaient pas et la mission qu'elle m'avait confié me plaisait. Et je la prenais presqu'à coeur.
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I HAD THE TIME OF MY LIFE.
— with Marin N. Perol.

Marin allait toujours m’attirer, peu importe ce qui allait se passer pendant ce court séjour en Italie. Le petit veinard avait les beaux mots pour dire la vérité, surtout quand ça concernait ce que mon corps voulait. Si je m’écoutais, je lui sauterais dessus afin de finir ce que nous avions commencés pendant le bal mais ma tête disait que ce n’était pas une bonne idée. Sauf que je faisais comme si de rien n’était, comme s’il n’avait pas raison sur ce qu’il envisageait. « Ne dit pas n’importe quoi Marin, t’es loin d’être dans ma tête ni même dans mon corps. » Le sourire qu’il me faisait en ce moment, allait me rendre folle. Venant à prendre place dans cette voiture qui nous conduisait jusqu’à la pizzeria que je voulais lui présenter, Marin ne cessait de parler durant le trajet, faut croire que j’allais sortir avec un de ces maux de crane. Les sujets qui sortaient durant la route, semblait lui faire vraiment de l’effet surtout quand je venais à lui dire que je dormais toujours nue sous les draps. Certaines personnes disaient que je suis une femme facile sauf que c’était mal me connaître. Avec Marin, je voulais seulement prendre mon temps, ne pas m’embarquer dans des embrouilles qui pouvaient me faire du mal. Peut-être était-ce trop demandé sauf que c’est bien la première fois que je réagissais de cette façon. « Alors, j’espère que t’es patient. » Dis-je en lui adressant un petit clin d’œil. Lorsque le véhicule venait à s’arrêter à cette destination finale, je sortis en la compagnie de mon ami de défis pour entrer dans le restaurant et nous asseoir sur l’une des tables libres. Lorsque le beau serveur venait à s’approcher de nous, la seule chose que je faisais c’est de lui faire du charme, juste en face de ce pauvre Marin. Malheureusement, il agissait en vrai gosse et il fallait que je puisse y mettre un terme. Lui donnant un coup de pied sous la table, je ne lui laissais même pas la chance de continuer sa phrase, qu’un petit sourire se dessine sur le coin de mes lèvres. « Pourtant, il ne semble pas l’être. » Mes yeux déviaient contre les fesses du serveur, ne perdant aucun temps pour regarder de plus près, en face de Perol. Sauf que je ne pouvais pas m’empêcher de poser à nouveau mes yeux vers le beau brun qui me disait avoir une idée. « Quoi, ton idée c’est d’abuser de mon corps ce soir ? » S’il croyait m’avoir si facilement, il rêvait en couleur. Sauf que l’idée n’est pas bête, j’aime mieux rester de marbre pendant un certain temps que de jouer aux filles faciles. Lorsque le serveur revenait avec la bouteille de champagne hors de prix, celui-ci nous servit deux coupes avant de repartir, me détaillant presque du regard. Prenant le verre dans mes mains, je le lève. « Merci de m’avoir accompagné Marin. »

© LOYALS.
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