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(marin) ✱ i had the time of my life

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J’étais finalement en sol Italien, il y a quelques mois que j’ai mis les pieds dans un tel endroit sauf que ce n’était pas pour la même chose… Aujourd’hui, mon père n’en avait vraiment pas longtemps à vivre et je m’en voulais de l’avoir quitté. C’est une chose assez cruelle de perdre son paternel, surtout dans d’affreuses circonstances, sauf que je savais que ce jour allait venir. Pas maintenant, mais lorsqu’il allait être plus vieux. J’aurais bien apprécier qu’il soit auprès de moi pour un long moment sauf que c’était impossible. Demandant à Marin de m’accompagner en Italie, ce dernier n’avait pas trop le choix puisque c’était un défi que je lui avais donné. C’était la seule chose que je pouvais lui demander sinon il allait refuser ma demande. Étant donc à l’aéroport, j’envoyais un dernier message au jeune homme pour lui confirmer mon acte de présence. Le cœur battant dans ma poitrine, je ne montrais même pas le fait que j’étais stressée. Je n’avais pas encore vue mon père dans son lit. Ça allait me crever le cœur, c’était sûr mais au moins je n’étais pas seule pour affronter ça. Jetant un coup d’œil rapide vers les personnes qui sortaient du dernier vol, c’était bel et bien celui de Boston. Tenant fermement le verre de café, je ne pouvais vraiment pas cacher mon manque d’impatience quand j’allais voir Marin apparaître dans mon champ de vision sauf qu’il n’allait vraiment pas le voir. Le reconnaissant au loin, je fis quelques pas en sa direction, petit sourire sur le coin de mes lèvres, comme pour lui montrer que je restais tout de même la personne qu’il connaissait depuis ces dernières années. « Le vol s’est bien déroulé ? » Dis-je avant de lui faire la bise sur la joue et me reculer rapidement.

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Tout était arrivé si vite. Si rapidement. En un claquement de doigt j'avais pris l'avion et me retrouvait sur le sol européen. Un air que je connaissais mieux que quiconque étant donné que j'étais français et donc le pays voisin. J'avais de toute manière en tête en rentrant de passer par Paris, histoire de rendre visite aux perols. Je devais me racheter pour ma faute. La veille, j'étais encore chez nous, dans l'appartement que nous possédions à Cambridge, en pleine réunion de famille à cause de Colin. Louve avait eu la magique idée de laisser traîner ses problèmes dans la poubelle de la salle de bain, créant alors son tribunal. Et si elle avait passé de peu à la guillotine, la mather n'était pas pour autant sorti de l'auberge. Papa Perol allait l'apprendre et enfin, grâce au ciel, j'allais être radié du problème numéro 1 de notre très cher papa. Laissant cette place tant mérité à ma soeur cadette. Descendant de l'avion par les escaliers prévu à cet effet, je me frottais rapidement les yeux ayant dormis tout le vol dans ce luxueux palace que pouvait être la classe affaire. Rentrant dans le bâtiment munit simplement de mon téléphone, je cherchais, attendant patiemment que sur le tapis roulant vienne enfin ma mini valise. La posant par terre, soulevant une barre métallique pour la faire rouler, j'avançais à travers un flot de parole incompréhensible et surtout chantant. Un peu comme les marseillais de chez nous peuchère. Willow, déjà surplace m’accueillait avec un sourire que je n'aurai pas cru voir. « Très bien. J'ai même le droit à mon hôtesse pour tout le déroulement du voyage. » répliquais-je en la regardant, la visant clairement. Que d'attention. « Sinon.. ton père ? » je n'avais pas les mots, et encore moins le comportement adéquate, ni même le tact mais je voulais savoir s'il était encore en vie. Si ce sourire de façade ne cachait pas une peine immense.
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J’avais enfin dis aux personnes qui m’étaient proches, que j’allais voyager jusqu’en Italie dans l’unique but de rendre une dernière visite à mon père. Ce dernier allait vivre ses derniers instants et je n’étais vraiment pas surprise de ne pas voir ma sœur s’approcher de son lit de mort. La blondinette devait sans doute être dans une luxueuse maison, en compagnie de son mari, beaucoup trop vieux pour elle comme d’habitude. Rien qu’à l’idée de la voir avec un homme ridé, me donnait la chair de poule. Jamais au grand jamais je n’allais tomber aussi bas qu’elle, certainement pas dans une circonstance comme celle-ci. Attendant donc Perol, je claquais mon talon haut sur le sol, légèrement impatiente ce qui avait le don d’emmerder ceux qui m’entouraient. Peu importe, j’avais le droit de faire ce que bon me semble. Malgré ce petit incident avec mon père, je restais une énorme garce. Prenant mon portable pour passer le temps, j’envoyais quelques messages à Colin, lui disant que mon vol s’était bien passé et donc, il n’avait rien à craindre pour ma sécurité. La nouvelle de Cole et Aymalyne avait fait le tour du monde, partout on en parlait et disons que je ne m’en voulais pas du tout d’avoir été bête avec lui. Le vice-président m’avait tout de même chercher. Voyant au loin Marin, je posais mon portable dans la poche derrière de mon jeans avant de m’approcher du beau brun. Est-ce qu’il était en train de m’atteindre ? Je poussais systématiquement un rire. « Pauvre elle, devoir t’endurer pendant tout le trajet. Elle doit se réjouir de ne plus te voir dans son avion. » S’il pensait que ça allait me faire quelque chose, il s’est mis un doigt dans l’œil. Le sujet de conversation me touchait, sauf que je gardais une barrière entre mes sentiments. Petit sourire sur le coin de mes lèvres, je haussais les épaules. « Il est stable pour l’instant, les médecins disent qu’il ne lui reste que 24h, on n’en sait pas plus. » J’espérais vraiment me changer les idées, surtout avec les défis que ce cher Marin m’avait concoctés, j’en étais sûre. « Bon, allez. Je te fais visiter l’Italie un peu, je suis au courant que tu n’as pas vraiment voyager dans ta vie. » Me retournant, je marchais vers la sortie en sa compagnie jusqu’à arriver à mon chauffeur qui nous attendaient. « Petite question, tu aimes mieux dormir à l’hôtel je suppose. »

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J'étais parti à la manière d'un voleur sans avertir personne. Même Ashleigh qui pourtant représentait beaucoup à mes yeux. Je ne voyais pas l’intérêt d'un tel acte, je voyageais certes jusqu'en Italie, mais ce n'était seulement pour une courte durée. De plus, je savais très bien que la jeune mather serait rapidement mise au courant de ma petite escapade étant donné que l'eliot était aussi son amie. Que le monde est petit, à croire que tout le monde semble se connaître malgré les centaines étudiants présent sur le campus. Sans trop réfléchir, j'avais sauté dans le premier avion guidé par l'excitation de ce nouveau défi mais aussi une certaine inquiétude mêlé à de la peine. Je ne restais pas moins qu'un simple humain et pouvait donc comprendre la peine immense qui devait la foudroyer. Perdre son père ? Je grimaçais rien qu'à l'idée que cela puisse arriver l'un de ses jours. Même si j'adorai embêter papa Perol, si un jour la vie devait en finir avec lui, je pense qu'une part de moi se détruirait avec lui. Bien sûr je ne pouvais mesurer la force de son malheur. Pourtant devant moi, elle semblait garder le sourire. Un impeccable sourire. « Elle a adoré mon accent français parce que oui, ça plait bien. » répondis-je tout sourire en lui affichant en pleine gueule. Un peu de jalousie ne pouvait faire de mal à personne et la titiller était mon art favoris. « 24h ? » répétais-je une fois de plus en ouvrant tout à coup un peu plus les yeux. Cela laissait que peu de temps pour profiter et lui dire adieu. « Tu y va directement ? » demandais-je en me demandant comment elle voyait le programme. Je ne me voyais mal arriver, rencontrer son père, ça n'avait pas de sens. Elle se proposa aussitôt de me faire visiter l'endroit et ça me plaisait. Je n'avais mis les pieds que très peu en Italie. La suivant, nous arrivions dehors, sa voiture en face. « Avec plaisir pour la petite visite privée. Et pour l'hôtel aussi.. J'imagine que tu m'éloigne pour éviter de te jeter sur moi. » A tout les coups, cette raison arrivait en première position. La deuxième étant la mort imminente de son père bien sûr.
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Partir en Italie allait me faire du bien, de devoir quitter un peu Boston après ce qui s’est passé avec le bal. Royce m’a presque sauté dessus pour que je lui redonne cette fameuse vidéo sauf que ce n’est plus moi qui l’avait, c’est bel et bien sa douce dulcinée. Faut croire que ma réponse ne lui avait pas paru honnête, sauf que c’était la simple vérité. Est-ce que Marin voulait vraiment me rendre jalouse sur le coup ? Il pouvait vraiment rêver en couleur. « T’en a l’air si sûr que ça me fait peur. » Pour avoir vécu quelques années en France lors de mes études, je peux dire que le beau brun n’avait pas totalement tort. L’accent des français était tout ce qu’il y a de plus séducteur, de plus tentant sauf que je n’allais certainement pas lui donner raison. « Même si je dois admettre que l’accent Français est le plus rependu chez les homosexuels. Petit clin d’œil pour rajouter mon grain de sel sur cette fameuse discussion. Sauf que le sujet pris une toute autre tournure quand je parlais de mon père. Le médecin n’avait pas vraiment été précis dans le temps maximum qu’il allait vivre sauf que vingt-quatre heures, c’est très court quand on vient tout juste de revenir en Italie. J’ignore même ce qui m’avait décidée à en parler à Marin, ce genre de sujets ne l’intéressait pas trop en temps normal. Après avoir envoyé un message à Louve, elle semblait hyper jalouse que je l’ai demandé à son frère avant elle. Enfin bref. « Non pas tout de suite, j’y ai été hier… Pour le moment, j’aime mieux m’amuser et me changer les idées. C’est bien pour ça que tu n’es ici pas vrai ? À moins que ce ne soit que pour le voyage gratuit. » Marchant en direction de la sortie, je lui demandais s’il voulait dormir dans une chambre d’hôtel. Mon père m’avait dit que je pouvais prendre place dans l’immense demeure, sauf que je n’allais quand même pas forcer Marin à me suivre dans mes démarches. Poussant la porte, le chauffeur nous attendait, tous les deux pour prendre les bagages de monsieur Perol et de les déposées dans la valise du bolide. « Je vais devoir te supporter pendant quelques jours, je n’ai pas non plus envie de devoir te voir nu tous les soirs. » Évidemment, je n’étais pas contre, mais ça serait lui donner beaucoup trop de points. Entrant dans la voiture noire, je posais mon sac à main près de moi avant de tourner la tête vers mon ami. « Bon, comme tu n’as jamais vraiment mis les pieds en Italie, je meurs de faim. Je connais la meilleure pizzeria de la ville. T’es partant ? »

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Un bol d'air frais. Un voyage en Europe me retrouvant dans un univers que je maîtrisais beaucoup plus que celui à Boston. Une langue méconnue mais agréable, j'avais vraiment l'impression de prendre du bon temps même si la raison en était autre. Et pour bien commencer la journée j'avais eu en tête de mettre en avant une hôtesse de l'air mignonne à mes petits soins complètement bison juste pour lui changer les idées et les reporter sur ma petite personne. « Je pense que récolter un numéro est une preuve suffisante. » répliquais-je tout sourire en pensant que mon jeu d'acteur pourrait presque me convaincre. Le menteur parfait, mettant à rude épreuve les consciences, la curiosité malvenue des uns et des autres. Un peu comme Cambridge Secret avec cette idée que j'avais sortie au bal d'une possible sextape avec Nienke. Un mensonge de plus qui avait surement hanté Hayden ce pauvre con. Je réfléchissais d'ailleurs au sort que j'allais lui réserver pour cet été. Olympe ou même Louve allaient être de la partie pour lui botter le cul. « Faut vraiment que tu arrêtes avec l'homosexualité, je vais finir par croire que c'est vraiment l'un de tes penchants secrets. » La jolie blonde voulait sans cesse me voir de cette orientation sexuelle comme pour montrer une frustration. Quelque chose dont je n'en captais pas encore complètement le sens. La conversation tourna rapidement autour du sujet principale, la raison de ma venue. Son père. « Je suis venu pour le défi, l'Italie et forcément, toi ? J'imagine. » Je ne serai jamais arrivé jusqu'ici sans elle, et maintenant que je l'étais autant s'amuser en attendant une mort certaine. Impitoyable ? Pas forcément. Je considérai la mort non comme une fin en soit mais en un début pour une autre vie. Une fatalité qui laissait des pleurs derrière elle. Arrivant devant la voiture de madame, les valises s'engouffrèrent dans le coffre grâce au chauffeur tandis que tous deux faisions de même sur la banquette arrière. « Tu penses que je dors nu ? Quelle dextérité. » Vu la chaleur, je n'avais pas d'autre option pour me sentir un minimum à l'aise. Faire tomber le bas. Pour vivre bien, vivons nus. « Une pizzeria ? Bien sûr que je suis pour. » A ses mots la fin se fendit en moi, salivant même d'avance. Malgré la fatigue, et les plusieurs heures de décalage, je me sentais bien, amplis d'une joie inconnue. A ma place.
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La seule chose que je voulais en ce moment, c’était quitter le campus dans l’unique but de m’enfuir de toutes les choses qui se sont produites. Nicholas avait réussi à dire la vérité au sujet de ma liaison avec lui à sa femme, Kaya. Lorsque je vais franchir le sol Américain, il est impératif que je puisse remettre pas mal de choses à jour dans ma vie. « Numéro ? Arrête un peu ton cinéma, c’était de la simple compassion. » Dis-je en roulant mes yeux. Le voir essayer de me rendre jalouse, ça en devenait presque pathétique. J’aimerais bien lui dire que je me suis tapée encore une fois de plus Royce avant de partir en Italie, mais je tiens à ce qu’il ne me fasse pas de crises de jalousie. Lui faisant une énième blague sur l’homosexualité, j’eue ce petit rictus sur le coin des lèvres. Lui faire référence auprès de l’homo, était l’un de mes passe-temps préférés. En vrai, ça me dégoûtait de voir deux personnes du même sexe être en couple. Déjà que j’avais toléré avec Jaysael, sauf qu’il me déteste alors du coup, je ne peux pas vraiment approuver le fait qu’il aime les hommes, impossible. D’ailleurs, je lui réservais une petite surprise à celui-là, vu qu’il n’avait pas apprécié que je puisse partir sans rien dire une autre fois. Après ça s’appelle ‘ami’ ? N’importe quoi. « Penchant ? J’ai plus le goût de vomir ouais. » Certains ne comprenaient vraiment pas pourquoi j’avais demandé à Marin pour m’accompagner en Italie. Même moi je me posais la question. Surtout un homme aussi con que lui. Notre relation qui se tournait autour de tous ces défis à la noix, comme d vulgaires enfants mais qui avaient la chance de me changer les idées. Lui faisant référence au fait qu’il était venu en Italie seulement pour le voyage gratuit. « C’est en grande partie à cause du défi je dois le dire. » Haussant les épaules, nous marchions donc vers la voiture où se trouvait l’un des chauffeurs de mon père. Croisant mes jambes une fois assise sur la banquette arrière en présence de charmante compagnie, je tournais la tête vers Marin. « C’est un classique. Je voulais être gentille, non je suis au courant que tu dors dans un pyjama de my little pony. » Je venais donc de demander au chauffeur en Italien de nous emporter dans la fameuse pizzeria. Une fois cet ordre demandé, je fermais la petite vitre noire pour tourner la tête vers le jeune homme, à voir sa tête il semblait mort de fatigue. « Je crois qu’après avoir mangé, il faudrait sortir, boire un peu… Comme ça, tu ne vas pas avoir l’air d’un zombie, comme à l’heure actuel. »

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Rien ne semblait dérouter la jeune femme. Même après l'évocation d'un possible numéro ce que je trouvais regrettable puisque j'avais en tête qu'elle s'en inquiète un minimum. De toute manière aussi inexistant soit-il, je ne pouvais pas l'embêter beaucoup plus avec ça. « Je sais que tu aimerais, pourtant, pas du tout. » souriais-je de toutes mes dents tel un vainqueur. Aucunes filles ne donnent son numéro par pitié, à moins que ce soit une michto, c'était impossible. Personne ne veut recevoir un message d'une tierce personne qui nous emmerde. Peut être était-ce un moyen de penser à autre chose, croire peut être que c'était complètement bidon ? Le cerveau d'une femme avait tout d'une complication dont je ne connaissais pas le code. Ni la manière de fonctionner. La conversation traîne en attendant la voiture, parlant bientôt d'homosexualité puisqu'elle semble bien souvent le ramener sur le tapis. Je comprends tout de suite qu'elle est homophobe, ce qui est bien déplorable. Mais chacun voyait à travers la petite fente de sa vie. Willow était juste étroite d'esprit. J'espérai que ce soit le seul endroit. « Vomir à ce point ? Moi qui pensait établir un plan à trois un de ses jours avec toi et une autre fille. » dis-je presque exaspéré, mimant le regret le plus immense bien que ce fantasme soit réalisable avec deux autres femmes. Peut être qu'un jour le ciel entendra ma prière et qu'il la réalisera. Nous baladant jusqu’à sa voiture du défi qui m'avait emmené ici. « On est d'accord. » répondis-je en sourire. M’engouffrant dans la voiture après la jolie blonde, je m'installais confortablement alors qu'elle me parlait de mon possible pyjama d'une marque de petite fille. « Little Pony ? Vraiment ? » répétais-je en riant ne m'attendant absolument pas  à cette réponse sortie de nul part. « T'as vraiment des fantasmes bizarre.. Et toi ? Nue ? » demandais-je en étant curieux,après tout si je devais passer aux confidences je ne voulais pas être le seul. Dis-moi tout. « Un zombie ? Je suis toujours beau. » Toujours. Même avec des heures en moins au compteur et complètement paumé.
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Voir Marin si heureux d’une femme lui donne son numéro de téléphone, j’en avais presque la larme à l’œil. Comme si c’était la toute première fois qu’un tel phénomène se produisait. Voulait-il une médaille ? Non parce que je pouvais très bien la lui fournir, rien que pour son plus grand moment de gloire. Il allait y avoir sa femme qui n’allait pas être heureuse de retrouver dans ses poches le numéro d’une parfaite inconnue, moi je m’en lavais les mains. « C’est bon, je t’offrirai une médaille quand nous allons retourner à Boston. Cela fait ton bonheur ? » Rien que pour clore la conversation. Pas que ça me dérangeait, mais il y avait beaucoup trop de trucs à discuter, que d’une vulgaire agente de bord qui donnait son numéro à un mytho. Une pointe de jalousie ? Bien que je tentais de le cacher, Marin était malin et c’est la seule chose qu’il pouvait voir à l’instant. Son petit sourire, agaçant, comme toujours, j’avais presque envie de lui faire un doigt d’honneur mais ça serait redescendre beaucoup trop bas. Je ne suis pas contre un plan à trois, mais pas avec une autre fille. J’ignore même pourquoi je suis devenue homophobe, moi qui était pourtant amie avec l’une de ces personnes sauf que ça allait contre nature. Il me semblait que les hommes étaient beaucoup plus canons qu’une simple femme, bien qu’ils ne s’habillaient pas comme nous, mais quand même. Un homme viril, un peu plus que Marin, c’est le rêve de toute bonne fille qui se respecte. « Je sais bien que tu aimerais coucher avec moi Perol, sauf que pour ma part, ça me branche un peu plus de coucher avec deux hommes. » Qu’il ne prenne pas ses rêves pour des réalités non plus. Prenant place à ses côtés dans la voiture, je ne pouvais m’empêcher de lui lancer des piques. Quoi, c’est bel et bien lui qui avait commencer. « Je croyais vraiment que tu dormais dans ce genre de pyjama. » Lui adressant un léger sourire en coin, je pouvais répondre à sa question en toute tranquillité. « Évidemment, on dit toujours que dormir nu procure un bienfait au cerveau et au corps. Je commence vraiment à comprendre pourquoi tu ne dors pas nu. » Dis-je en pointant sa tête. Le fait de se croire toujours le plus beau, me faisait particulièrement rire. Je dois admettre qu’il avait raison, Marin était beau, sauf que ça n’allait pas sortir de ma bouche. Déjà que je me suis confiée une fois, je n’allais pas recommencer. « Allons allons, cesse de te venter comme cela, tes chevilles vont exploser. » Le véhicule venait donc à se mettre en route vers la fameuse pizzeria dont je parlais au jeune homme. D’ailleurs, il ne fallut pas grand temps pour nous, d’arriver à la destination finale. Pour ce soir, j’avais vraiment envie de m’amuser, me changer les idées, j’irai voir mon père demain… J’avais eu quand même la chance de le voir hier alors. Poussant la porte en premier, nous sortions donc ensembles avant de marcher vers l’entrée. Un vrai restaurant Italien, comment ça m’avait manqué. Celui qu’il y avait à Boston était bien lui aussi, mais ça ne battait pas l’Italie. Marchant vers une table pour deux, je pris place en face de Marin, laissant donc venir le serveur qui s’approchait pour nous demander ce que nous voulions boire. « Ta meilleure bouteille de vin, s’il te plaît. »

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A croire que j'étais né pour créer les problèmes. Tel un serpent perfide, j'essayais de lui tirer les vers du nez. Allait-elle être jalouse ? Crier ? Réagir ? Émettre une quelconque humeur qui me serait une précieuse information que je garderai intelligemment dans un coin de ma tête. Pourtant, rien, pas une réaction positive. Juste de la blasitude, pur et simple. Et quelques piques lancées à droite à gauche, en outre rien de différent à ce que je connaissais d'elle. « Une médaille ? J'en attendais pas tant. Je prends en note, je la veux. » répondis-je en riant quelque temps avant de me mordiller la lèvre. Tellement immature et pourtant je prenais un malin plaisir à jouer encore et encore à ce stupide jeu que je faisais seul. Elle ne se doutait visiblement de rien. La discussion dérive sur l’homosexualité, me plaignant de ne pas pouvoir faire de plan à trois étant donné sa fermeture d'esprit. Presque déçue, une moue sur le visage, je l'entendais finalement me dire qu'il serait possible avec deux hommes. Eh. J'avais presque l'impression qu'elle m'excluait, que je n'en étais pas un. Je fronce les sourcils, légèrement perplexe. « Tu arriverais pas à fournir. Et puis si ce n'est pas moi, franchement ça ne vaut pas le coup, je t'assure. » Se vanter était une deuxième nature chez moi, et ce même si le dicton disait que ceux qui en parlait le plus en avait bien souvent le moins. Foutaises. Un rageux, c'était ça qui avait crée une parfaite phrase ne voulant absolument rien dire. Pas de quoi s'attarder dessus. Et puis je ne faisais que raconter la pur et simple vérité. Willow devait bien m'aimer, surtout depuis le bal ou nous avions presque sauté le pas. Je l'as tenais avant qu'elle ne finisse pas m'échapper. Du Willow tout crachée. Impossible à contenir. Je restais quelques instants sur ce souvenir tout en m’engageant dans la voiture, assit à côté d'elle. « Ah oui, tu dors nue ? » demandais-je une nouvelle fois captivé par cette information en faisant abstraction du reste de sa phrase. L'Eliot m'avait déjà montré un avant goût durant le bal et soudainement dormir à l’hôtel me semblait l'une de meilleurs choses à faire. Ou peut être pas. Je grimace, essayant de me dire que cette période de sa vie devait être complètement dur pour elle. Ce n'était pas réellement le moment pour s'envoyer en l'air. Même si elle devait en avoir envie. J'étais pas mal en mon genre et je ne le cachais pas. Certains prenaient ça pour de la vanité d'autre du narcissisme mais j'aimais me dire que de toute façon quoique je fasse, je serai toujours critiqué. Notre société est ainsi faite. Si vous êtes trop bien dans votre peau ? Allons le défoncé à coup de mot pour le rabaisser. J'aimais ma vie. Ce que j'étais. Et rien, ni personne ne pourrait piétiner à jamais ce sentiment. Nous étions à présent arrivé. Javais passé un vol assez agréable, et ce malgré la fatigue qui me gagnait. Pourtant j'étais toujours partant pour une seule chose au monde, celle de manger. C'est pourquoi quand Willow m'avait proposé cette invitation j'avais presque sauté sur l'occasion. Et ce même si j'adorai la nourriture de la classe business, pourtant je ne me sentais toujours pas rassasié. Nous descendions, entrions dans le restaurant nous installant à une table tandis que la jolie blonde commandait. Fidèle à moi-même, je prenais la salière sur la petite table que nous avions pour commencer à en lancer sur l'eliot. Le sourire en coin et d'humeur joueuse, je continuais, essayant de viser son récolter. Un vrai gamin.
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