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Petra Madelen
Nygård
Nygård
feat Lily Rose Depp
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GROUPE 1.
Tu n'as jamais reussi à rentrer dans une case. Ni dans ta ferme, ni à Oslo. Tu rêves de liberté et tu n'as jamais laissé tomber une idée. C'est sans doute grâce à cette détermination à toute épreuve que tu peux aujourd'hui être fier de faire partie des étudiants d'Harvard. Tu as besoin de ça, de réussir ce petit rêve. Et tu feras tout ce qui est en ton pouvoir pour y parvenir. C'est même plus fort qu'une simple idée à laquelle tu pourrais t'accrocher. C'est cette chose que tu ressens lorsque tu t'éprends de ta passion. Ça te fait littéralement vibrer. Cela dit, il n'y a pas que ça. Aussi différente que tu puisses être, tu n'es absolument pas fermé à la dissemblance. Au contraire, tu es même attiré par ces gens qui s'assument complètement et qui reflètent une certaine abolition des règles sociétales. Et malgré tout, tu n'es pas juste une gentille fille aux allures d'intello timide. Toi aussi tu es capable d'épouser une cause. À défaut de l'apparence que tu as, tu sais aussi te défendre et étant donné ton caractère, ils ont du mal à se faire, ceux ou celles qui s'en prennent à toi.
GROUPE 2.
Tu es une femme, accompagné d'un sacré caractère. Tant et si bien que tu penses, que tu certifies que la place de la femme dans la société est aussi importante que celle de l'homme. Aussi féministe que cela puisse paraître, tu t'en fiche. Tu soutiens chaque femme, chaque rêve qui les anime et les encourage du mieux que tu le peux. C'est une sorte de loyauté que tu as l'impression de leurs devoirs. Il faut se serrer les coudes face à l'adversité. Mais c'est peut-être aussi cet instinct maternel qui anime ce genre de reflex primaire. Protéger son prochain. Protéger ces femmes qui sont là pour toi lorsque même ta propre famille est incapable de montrer une once d'empathie.
Tu n'as jamais reussi à rentrer dans une case. Ni dans ta ferme, ni à Oslo. Tu rêves de liberté et tu n'as jamais laissé tomber une idée. C'est sans doute grâce à cette détermination à toute épreuve que tu peux aujourd'hui être fier de faire partie des étudiants d'Harvard. Tu as besoin de ça, de réussir ce petit rêve. Et tu feras tout ce qui est en ton pouvoir pour y parvenir. C'est même plus fort qu'une simple idée à laquelle tu pourrais t'accrocher. C'est cette chose que tu ressens lorsque tu t'éprends de ta passion. Ça te fait littéralement vibrer. Cela dit, il n'y a pas que ça. Aussi différente que tu puisses être, tu n'es absolument pas fermé à la dissemblance. Au contraire, tu es même attiré par ces gens qui s'assument complètement et qui reflètent une certaine abolition des règles sociétales. Et malgré tout, tu n'es pas juste une gentille fille aux allures d'intello timide. Toi aussi tu es capable d'épouser une cause. À défaut de l'apparence que tu as, tu sais aussi te défendre et étant donné ton caractère, ils ont du mal à se faire, ceux ou celles qui s'en prennent à toi.
GROUPE 2.
Tu es une femme, accompagné d'un sacré caractère. Tant et si bien que tu penses, que tu certifies que la place de la femme dans la société est aussi importante que celle de l'homme. Aussi féministe que cela puisse paraître, tu t'en fiche. Tu soutiens chaque femme, chaque rêve qui les anime et les encourage du mieux que tu le peux. C'est une sorte de loyauté que tu as l'impression de leurs devoirs. Il faut se serrer les coudes face à l'adversité. Mais c'est peut-être aussi cet instinct maternel qui anime ce genre de reflex primaire. Protéger son prochain. Protéger ces femmes qui sont là pour toi lorsque même ta propre famille est incapable de montrer une once d'empathie.
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
Savez-vous ce que l'on peut ressentir lorsque l'on est tétanisé de peur . Que cette émotion est si forte que plus aucun de vos membres ne réagit à vos ordres . Qu'ils tremblent si fort que ta gorge se sert . Que les larmes montent petit à petit mais refusent de sortir . Que même tout le courage du monde ne peut suffire à vous aider à supporter ce genre d’événement. Tu avais peur, oh oui, tu avais peur. À chaque bruit s'imissant derrière toi, tu sursautais. Cette année-là a été la plus éprouvante de ton existence. Tu n'avais aucun mal à te mettre à la place de tes consœurs et c'était surement ça qui te faisait la plus peur. Ça aurait pu t'arriver, à toi comme à une autre. Et ce fameux 17 janvier ? Où était tu pendant que tes camarades ressentaient cette horrible peur ? Enfermé à double tour. Tu ne sortais plus, ne voyais plus personne, ne souriais plus, ne parlait plus. Cloitrer dans ta chambre, le volet fermé, la porte close. Tu avais appris la chose que plus tard, le lendemain. Et encore une fois, tu avais eu beaucoup de mal à vivre la chose. Tu t'en voulais de ne pas avoir pu faire quelque chose pour les aider. Mais tu avais peur, tellement peur, et tu étais seule, tellement seule. Tu ne pouvais pas. Tu n'avais pas réussi, à oublier cette peur. Et tu t'en veux, encore, même plus d'un an après.
Savez-vous ce que l'on peut ressentir lorsque l'on est tétanisé de peur . Que cette émotion est si forte que plus aucun de vos membres ne réagit à vos ordres . Qu'ils tremblent si fort que ta gorge se sert . Que les larmes montent petit à petit mais refusent de sortir . Que même tout le courage du monde ne peut suffire à vous aider à supporter ce genre d’événement. Tu avais peur, oh oui, tu avais peur. À chaque bruit s'imissant derrière toi, tu sursautais. Cette année-là a été la plus éprouvante de ton existence. Tu n'avais aucun mal à te mettre à la place de tes consœurs et c'était surement ça qui te faisait la plus peur. Ça aurait pu t'arriver, à toi comme à une autre. Et ce fameux 17 janvier ? Où était tu pendant que tes camarades ressentaient cette horrible peur ? Enfermé à double tour. Tu ne sortais plus, ne voyais plus personne, ne souriais plus, ne parlait plus. Cloitrer dans ta chambre, le volet fermé, la porte close. Tu avais appris la chose que plus tard, le lendemain. Et encore une fois, tu avais eu beaucoup de mal à vivre la chose. Tu t'en voulais de ne pas avoir pu faire quelque chose pour les aider. Mais tu avais peur, tellement peur, et tu étais seule, tellement seule. Tu ne pouvais pas. Tu n'avais pas réussi, à oublier cette peur. Et tu t'en veux, encore, même plus d'un an après.
APRÈS LE TREMBLEMENT DE TERRE AU CHILI.
2016. Chili. Tu n'y étais pas. Pour une fois, tu étais tombé malade, impossible de sortir de ton lit et de joindre l'aéroport. Tes professeurs t'avaient excusé pour cette fois, et tu avais donc passé ta semaine bien au fond de ton lit. Tes cours au pied du lit, la zapette dans la main, tu cherchais ce qui pourrait bien te maintenir éveillé sans mettre tes nerfs à rude épreuve. Vers une heure du matin, tu tombes accidentellement sur la chaine d'information internationale. Ton souffle se coupe tandis que tu te redresses subitement. Tes doigts servent la télécommande tandis que tu sens comme une pression sur ta poitrine. Là devant toi, d'horribles images défilent. Des visages ensanglantés déformés par la peur et la colère. Des médecins cherchant à faire le maximum pour soigner les quelques rescapées. Et tu vois même quelques personnes familières, des professeurs, des amis même. Tu décroches ton téléphone et essayes d'appeler une bonne dizaine de fois de centre d'information au Chili. Tant pis si tu dois y payer une fortune pour ne serait-ce qu'un appel. Mais là-bas se trouvent tes amis, une famille que tu t'es choisis. Tu en as passé des nuits blanches, à attendre, à espérer. Tu as fais ton possible pour te mobiliser, les aider. Tu te sentais horriblement coupable, de ne pas avoir été près d'eux. Alors, tu as fais ce que tu pouvais. Autant que ce fut possible vu ton état et tes maigres qualifications. Tu ne peux pas t'imaginer ce qu'ils ont vécu, mais tu peux au moins essayer de les aider.
2016. Chili. Tu n'y étais pas. Pour une fois, tu étais tombé malade, impossible de sortir de ton lit et de joindre l'aéroport. Tes professeurs t'avaient excusé pour cette fois, et tu avais donc passé ta semaine bien au fond de ton lit. Tes cours au pied du lit, la zapette dans la main, tu cherchais ce qui pourrait bien te maintenir éveillé sans mettre tes nerfs à rude épreuve. Vers une heure du matin, tu tombes accidentellement sur la chaine d'information internationale. Ton souffle se coupe tandis que tu te redresses subitement. Tes doigts servent la télécommande tandis que tu sens comme une pression sur ta poitrine. Là devant toi, d'horribles images défilent. Des visages ensanglantés déformés par la peur et la colère. Des médecins cherchant à faire le maximum pour soigner les quelques rescapées. Et tu vois même quelques personnes familières, des professeurs, des amis même. Tu décroches ton téléphone et essayes d'appeler une bonne dizaine de fois de centre d'information au Chili. Tant pis si tu dois y payer une fortune pour ne serait-ce qu'un appel. Mais là-bas se trouvent tes amis, une famille que tu t'es choisis. Tu en as passé des nuits blanches, à attendre, à espérer. Tu as fais ton possible pour te mobiliser, les aider. Tu te sentais horriblement coupable, de ne pas avoir été près d'eux. Alors, tu as fais ce que tu pouvais. Autant que ce fut possible vu ton état et tes maigres qualifications. Tu ne peux pas t'imaginer ce qu'ils ont vécu, mais tu peux au moins essayer de les aider.
TON ADMISSION A HARVARD
Tu as travaillé, vraiment très dur, pour arriver là où tu en es. Comme tout le monde tu as envoyé ton dossier. Comme tout le monde tu as eu assez de points pour passer l'essai demandé. Il est toujours plus facile d'écrire ses ressentis, ses sentiments, plutôt que d'en parler à haute voix.
C'est si dur d'exprimer ses émotions, ses pensées. Tu as passé des heures à écrire sans plus t'arrêter. Tu t'es libéré, vidé. Mais lorsqu'il a fallu mettre à l'oral ce qui était sur ce petit bout de papier. Ce fut plus dur. Tu savais poser mille questions, te montrer motiver et passionner. Tu étais certaine que ça pouvait se voir. Mais pour ce qui était de te dévoiler complètement, tu éprouvais beaucoup trop de difficulté. Alors, tu avais prié, très longtemps en attendant la réponse des professeurs. Tu espérais avoir été assez convaincante.
Tu as travaillé, vraiment très dur, pour arriver là où tu en es. Comme tout le monde tu as envoyé ton dossier. Comme tout le monde tu as eu assez de points pour passer l'essai demandé. Il est toujours plus facile d'écrire ses ressentis, ses sentiments, plutôt que d'en parler à haute voix.
C'est si dur d'exprimer ses émotions, ses pensées. Tu as passé des heures à écrire sans plus t'arrêter. Tu t'es libéré, vidé. Mais lorsqu'il a fallu mettre à l'oral ce qui était sur ce petit bout de papier. Ce fut plus dur. Tu savais poser mille questions, te montrer motiver et passionner. Tu étais certaine que ça pouvait se voir. Mais pour ce qui était de te dévoiler complètement, tu éprouvais beaucoup trop de difficulté. Alors, tu avais prié, très longtemps en attendant la réponse des professeurs. Tu espérais avoir été assez convaincante.
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Lyna et j'ai 19 ans . Je suis française et j'ai connu le forum grâce à google . Vos impressions sur le forum alors j'ai décidé de m'inscrire parce que j'adore le contexte et vous etes tous trop chou J'utilise Lily Rose Depp comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Bazzart . Je fais environ 1000 mots et mon personnage est un personnage inventé
Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
adhérer un flood d'intégration (?)
je veux être parrainé si oui, par pseudo du parrain (voir la liste des parrains)
Je recense mon avatar ▲
si personnage inventé:
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si personnage inventé:
- Code:
[size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/u7416]►[/url] ► <span class="pris">LILY ROSE DEPP</span> ♦ “ Petra M. Nygård ”[/size]
- Code:
[size=10][url=lienversvotreprofil]►[/url] [url=URL DU SCÉNARIO ICI]►[/url] <span class="pris">AVATAR</span> ♦ “ Pseudo ”[/size]
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