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Luckiam ► Un secret si bien gardé

Anonymous

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veritas
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Lundi 22 mai 2017
Plus tôt dans la soirée, j'avais échangé quelques SMS avec Lucky et nous avions tous les deux convenues qu'elle passerait tard en fin de soirée. Entre temps... J'avais croisé Avalon en me rendant à l'un de mes cours de krav maga privé, celle ci ne passait plus que la moitié du temps dans la maison à Belmont, parce qu'elle s'y sentait trop seule. Et puisque j'avais été catégorique sur les visites... Mais cela m'arrangeait bien, puisque j'étais depuis quelques temps sur un assez gros dossier. Celui de Lisbeth et de cette ancienne cliente Suédoise qui la voulait morte à n'importe quel prix. Je savais que je risquais d'en avoir quelques éclaboussures, surtout après avoir choisi de ne pas respecter mon contrat, mais il s'agissait tout de même de ma hackeuse. Celle qui avait mis en plus mon site web sur le DarkNet presque dix ans plus tôt. Celle dont j'avais découvert l'identité tout juste trois mois plus tôt et heureusement ! Car autrement, elle serait morte à cette heure.
Quoiqu'il en soit, depuis onze jours maintenant, elle m'avait donné le nom de cette suédoise. Un nom qui n'avait aucune consonance nordique, nous nous étions tout de suite douté qu'il s'agissait d'un nom d'emprunt. J'avais donc envoyé quelques messages à mes contacts histoire d'avoir plus d'info à son sujet. Je devais voir l'un deux à l'aéroport de Boston ce soir. Raison pour laquelle j'avais dis à la belle brune ne pas être disponible avant tard. J'avais donné mon cours à Lisbeth d'ailleurs, que je voyais principalement le lundi et je l'avais tenu informé de cet informateur très méfiant et j'y avais découvert un des autre nom de mon ancienne cliente. Un nom que je connaissais bien. Camilla... Une de mes ex.
Autant dire que j'avais toutes les raisons du monde de rentrer perturber par cette information. Une information que je ne pouvais pas révélé à Lisbeth avant d'en savoir plus.
C'était perdu dans mes pensées que j'étais de retour devant mon domicile. Sauf que la lumière était allumé à l'intérieur. Etrange ?! J'étais sorti en marche arrière après avoir coupé le moteur éblouissant quand même légèrement la devanture de la maison pour aller me garer plus loin. A trois ou quatre maisons de la mienne, chez une voisine dont l'entrée parking ne lui servirait à rien puisqu'elle était partie en vacances chez dieu sait qui. J'étais revenu en trottinant, j'avais longé ma maison afin d'y entrer par la porte de derrière. Puis, je m'étais rendu à pas de loup jusqu'à la cuisine pièce d'où le bruit provenait. Qui était-ce et que cherchait-il ? m'étais-je demandé. La porte donnant sur le jardin que j'avais laissé ouverte pour ne pas me faire entendre claqua en se fermant. Bordel ! jurais-je intérieurement, décidant d'agir pour garder l'effet de surprise. J'avançais rapidement vers l'intrus, le tenant en joue... Ou plutôt la tenant en joue, puisqu'une fois face à elle, je réalisais qu'il s'agissait de Lucky. La boulette ! Mon visage s'adoucissait aussitôt et je levais mon arme devant le regard effrayé de la jeune femme.

@Lucky E. Burberry
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Un secret si bien gardé.
Après quelques sms échangés avec William, j'avais décidé d'enfiler mon tablier de cuisine et de lui préparer moi-même à manger. Je me suis grandement amélioré et je voulais lui faire goûter un de mes plats, puis monsieur aura aussi l'occasion de mettre la main à la patte, lui qui certainement, se nourissait à l'extérieur ou se faisait livrer. Je suis certaine qu'il était en manque de bons plats fait maison. Quoi qu'il en soit, je me prépare, il se fait tard alors je n'allais pas me mettre sur mon 31, optant plutôt pour un jogging camouflage couleur kaki, mais restant tout de même dans l'ambiance sexy, car ce ne serait pas digne de moi sinon. Mais tout en rassemblant les ingrédients dans un panier à pique-nique, je repensais à ses mots. J'avais été la meilleure partie du bal à ses yeux alors rien qu'à cette idée, rien qu'à cette pensée, mon cœur s'emballait. Et terminant mes préparatifs, je jette un coup d'œil à ma montre, jugeant le moment assez tard pour rejoindre William chez lui. Empoignant donc les clés de mon appartement, je laissais un petit mot à ma colocataire comme quoi, elle ne devait pas m'attendre ni même s'inquiéter de mon absence et quittant ensuite les lieux. Après quelques minutes sur la route, j'arrive enfin à destination, trouvant une place un peu plus loin où je gare et descends afin de me rendre devant la porte de mon amant. Ce dernier m'avait informé qu'il laisserait les clés sous le paillasson et sans plus tarder, je m'en empare pour entrer. Sauf qu'apparemment, toujours pas de William. Bizarre, mais bon, je peux déjà me familiariser avec sa cuisine en attendant son retour non ? Pénétrant ainsi l'édite pièce, je m'empresse de l'illuminer posant mon panier sur le plan de travail et commençant déjà à chercher tout ce dont j'avais besoin comme ustensile de cuisine pour préparer. Ce n'est qu'au bout de quelques minutes, couteau en main, qu'un bruit sourd parvient jusqu'à mes oreilles, sentent presqu'une présence derrière moi. Alors sous la peur et l'inquiétude, je me retourne d'un coup plaquant mon dos contre le placard derrière moi et écarquillant les yeux à la vue d'un William tenant une arme face à mon visage. Petite précision, je m'étais coupée un peu la chair de ma paume avec le couteau que je serrais un peu trop fort sans m'en rendre compte. Effrayée par ce que je voyais devant moi. Quelle idée d'avoir saisi le couteau dans le mauvais sens aussi. « Qu'est-ce... Will ? » C'était quoi ce bordel ? Qu'est-ce qu'il foutait ? Et surtout « Pourquoi t'as une... Arme ?! » Et là, j'ai comme une remontée de panique, me rendant compte que je ne le connaissais pas, pas assez. Je lâche enfin le couteau qui s'écrase au sol taché de mon sang. « Qui es-tu ? » Mais réellement qui es-tu ? Parce que ce que mes yeux voient, c'est tout sauf mon amant. C'est une toute autre personne. Et son regard ? Putain, aussi sombre que la nuit malgré sa tentative à l'adoucir. Mais qui es-tu !...
William & Lucky
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Dans ma cuisine américaine au ton gris anthracite, alors que je pensais y trouver un intrus à qui j'aurais vite fait comprendre qu'il n'était pas le bienvenue, je trouvais Lucky. J'avais analysé assez vite la scène que j'avais sous les yeux. Et il me fut assez facile de comprendre que je ne pourrais pas me sortir de cette situation aussi aisément que j'avais pour habitude de le faire. La belle brune s'était tourné vers moi, me faisant face, ou plutôt faisant face à cet homme que je m'appliquais à dissimuler à tous. Pourtant voilà, les habitudes ont la vie dure... Et j'avais levé mon arme à feu, la pointant assez rapidement vers le plafond devant les yeux écarquillés d'étonnements, de stupeurs ou de crainte ? A moins que ça ne soit un peu tout ça à la fois. Si elle ne fixait plus que cette arme, je l'avais vu être totalement décontenancée devant l'expression qui s'était lu sur mon visage. Et enfin, j'avais jeté un regard attentif sur le couteau de cuisine qu'elle avait en main, un couteau avec lequel elle s'était coupé. Car bon sang ! Oui, en effet, je l'avais invité, et oui je lui avais dis d'entrer, je lui avais aussi préciser par quel moyen elle pourrait s'y employer. Alors quoi ? Etais-je stupide ? Ou alors vraiment perturbé par l'étonnante révélation que m'avait fait mon contact.
Cela dit pour l'heure j'avais un tout autre problème ! La jeune femme balbutiait, choquée surement ! Sans aucun doute devrais-je dire ! Et je ne pouvais que la comprendre. "C'est rien..." tentais-je de la rassurer, mais trop tard... J'écartais doucement les bras et cachais l'arme par réflexe dans mon dos, la coinçant dans ma ceinture. L'objectif étant juste de l'éloigner du champ de vision. Pourquoi ? me demandait-elle ? "Je..." commençais-je. avant de soupirer tout bas? Parce que j'ai été formé pour tuer et que vivant majoritairement seul, je n'avais songer au fat qu'il puisse y avoir une présence non nocive à mon domicile. La lame tombait sur le sol dans un bruit significatif, quant à elle, elle me questionnait toujours. "Tu t'es blessée !" fis-je ensuite remarqué en me risquant à faire un pas vers elle. Certes ma remarque n'avait aucun lien avec les réponses qu'elle attendait. Je me pinçais les lèvres. Allais-je mentir ! Encore ?... Je me posais la question mais quel autre choix avais-je ?
Si je n'étais pas encore certain de ce que je lui dirais, il y avait pourtant une chose qu'il me faudrait arriver à changer... Ce regard... Juste moi. répondais-je alors tout bas me décidant finalement à agir comme si de rien était. C'était peut-être la pire idée du mon mais que pourrais-je faire d'autre ? La belle était toujours le dos collé à mes placards,  je ne la quittais pas des yeux, attrapant  son poignet délicatement tout en disant. "Je vais te soigner ça." espérant qu'elle se laisserait faire... .

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Un secret si bien gardé.
Ce n'est rien ? Il pointe une arme sur moi, me regarde comme si j'étais une proie à abattre et... Ce n'est rien ? Non ! Ce n'est pas rien, au contraire, c'est tout. Il relève l'arme vers le plafond, mais c'était trop tard, parce que la peur m'avait déjà envahi, la panique installée. Je ne le connais pas au final, je ne sais rien de lui à part son statut de professeur ou encore, qu'il savait parfaitement faire jouir une femme et lui faire prendre plus que son pied. J'étais comme anesthésié par la peur si bien que je ne ressentais même pas la douleur de la coupure sur ma paume. William m'en fait d'ailleurs la remarque et ce n'est qu'à ce moment-là, que je baisse les yeux me rendant compte de l'état un peu ensanglanté de ma main. Il se risqua un pas vers moi, tandis que mon corps bougea instinctivement sur le côté, comme si je repoussais toute envie qu'il m'approche. Pourtant, ça ne m'aurait pas dérangé qu'il le fasse quelques secondes plus tôt s'il n'avait pas brandi ce pistolet vers moi. Mes sourcils sont froncés et je me débats pour parvenir à quitter son étreinte forcée quand il se saisit de mon poignet, nos visages à un souffle de distance et la lueur d'agacement dans mes yeux lovés non loin des siens. « Juste toi ? » Mais t'es qui William ? Que sais-je de toi finalement ? Posant ma main libre à plat sur son torse, je pousse dessus pour lui faire comprendre, lui demandant silencieusement de me lâcher. « On s'occupera de cette paume que lorsque tu me diras qui tu es vraiment ! » Haussais-je froide. Je fronce le nez et plante mes yeux dans ceux du professeur. Mon regard, il en disait long sur ma ténacité et mon envie de tout savoir. « Et sans l'option "mensonge" s'il te plait. » Insistant bien sur le mot mensonge histoire qu'il ne cherche pas à le faire. Parce que le voir balbutier et chercher ses mots, prouvait bien qu'il me cachait des choses. J'en ai marre d'être manipulée, marre qu'on me mente, je veux de l'honnêteté, je veux la vérité ou sinon, je rebrousserai chemin et ce sera la dernière fois qu'il aura l'occasion de me voir ou me toucher. Et du genre coriace quand je veux quelque chose, je n'en démordais pas. Alors j'attends, j'attends sa version, mais la vraie et je n'en tolèrerai pas d'autres.
William & Lucky
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De toute évidence, les réponse que je lui servais ne lui convenais en rien. Et il y avait de quoi ! Même si je lui expliquais que j'avais mon droit de port d'arme, cela n'expliquait en rien ma démarche, mon attitude, mon regard. Elle savait que quelque chose clochait. Et je supposais qu'elle refusait simplement de se faire seule une idée sur la question. Elle avait peur, s'éloignait alors que je me rapprochais d'elle, me repoussais alors que je la touchais. Pourquoi n'avais-je pas réfléchis avant de faire irruption dans cette cuisine tel un militaire ! Pourquoi lui avais-je dis que l'on se retrouverait chez moi ? ET surtout comment avais-je pu l'oublier ? Voilà ce que j'avais voulu éviter et nous y étions pourtant. Voilà ce que j'avais sous entendu à Ashleigh deux jours plus tôt. Bien sur elle n'avait pas pu le voir dans ce sens. Personne ne le pouvait ! Je serrais la mâchoire face à des paroles qui se voulait aussi ferme que celle d'une femme qui avait déjà été blessée par le passé. Oh Lucky... La vérité est tellement difficile à entendre... Et comprendre. songeais-je en restant à distance. "Ne me demande pas de te dire ce que tu ne veux pas savoir." lui répondais-je alors en me baissant pour ramasser le couteau qu'elle avait fait tomber pour le déposer sur le comptoir. Je soupirais doucement, hésitant à un dire plus, réfléchissant sur ce que je pourrais expliquer. Je levais de nouveau les yeux vers elle sans vraiment avoir pris de décision sur ce que je lui révélerai. "Lucky..." commençais-je tout bas. "S'il te plait laisse moi soigner ta main." me dérobais-je encore.

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Un secret si bien gardé.
Mon cœur fit un bon lorsque William laissa échapper cette phrase assez... Inquiétante. Il voulait que je ne lui demande pas ce que je ne veux pas savoir ? Ce genre de phrase avait le don de me rendre folle, pire encore, de m'énerver. Pourtant, je suis loin du compte, loin de me douter que je couchais depuis peu, avec un homme qu'on embauche pour tuer. Je ne me rendais pas compte de la difficulté que prendrait cette soudaine relation et je ne m'étais pas préparé à accueillir une quelconque révélation qui limite, me blesserai. Faut croire que je ne suis faite que pour être blessée, constamment. Alors je secoue la tête, mon regard toujours aussi froid et distant. « Et bien je te le demande une seconde fois. J'veux toute la vérité William ! Qu'elle soit amère ou pas. Enfin, si tu t'appelles bien William. » Sait-on jamais s'il me mentait depuis le début. Je ne serais même plus étonnée de ma naïveté vous voyez. Le professeur ramasse le couteau afin de le poser sur le comptoir n'étant pas réceptif à mes attentes, il tourne encore autour du pot et moi, ça me prouve juste qu'il cache quelque chose de lourd et qui pourrait peut-être me faire tomber plus bas sous terre. Cela m'inquiète, parce que maintenant, je ne m'aventurerais plus à me rapprocher de lui si je ne m'en sentais pas en sécurité. Alors s'il tenait un temps soit peu à ce que nous partageons, il avait plutôt intérêt à me dire la vérité et à ne rien me cacher. « NON ! » Ma voix se voulait ferme, dur et mon regard encore plus colérique. « Si tu m'dis pas toute la vérité, je passerai cette porte et ce sera la dernière fois qu'on s'verra. » M'exclamais-je en pointant la porte d'entrée de mon index. Ce n'est pas ce que je désirais au plus profond de moi, mais il ne me laissait pas le choix. Il ne nous laissait aucun autre choix. Et oui, je suis une femme blessée, une femme encore amoureuse de son ex et c'est pour cette raison que je ne voulais plus à avoir à m'attacher autant à un garçon et me retrouver encore plus brisée. Alors oui, j'ai peur de m'attacher à William, car je n'en suis pas loin là et je ne veux plus faire d'erreur.
William & Lucky
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Je voyais son visage pâlir à ma réponse. Je n'avais pas la moindre idée du pire qu'elle s'imaginait, mais je savais que quoiqu'elle pense, elle était loin du compte. Et c'était surement pour cela qu'elle insistait, déterminée à connaitre cette vérité, qui la fera me regarder d'un tout autre oeil. Pourquoi ma vie était-elle censée restée secrète ? Parce que même si les gens savait que les gens comme moi existait. Il se complaisait dans le fait d'agir comme si ce n'était pas le cas ! Je détournais le regard lorsqu'elle demande confirmation sur le prénom que je lui avais donné. Songeant immanquablement à Milena, auprès de qui je m'étais fait passé durant près de trois ans pous Luke !"Oui je m'appelle bien William. "
Puis alors que j'essaie de... l'amadouer disons, elles'oppose farouchement à cette nouvelle tentative d'approche. Je regardais la porte qu'elle pointait d'un tout autre regard. Je ne voulais pas me montrer ni brusque ni froid. Je ne voulais pas ressembler à ce tueur que j'étais. PArce que c'était ce que j'étais. Mais là, en l'occurrence il me faudrait assez rapidement trouver une parade si je voulais que mon secret en reste un. Il était à présent trop tard pour me faire passer pour un simple citoyen armé qui protégeait sa demeure comme un américain normal. Pas après avoir prétendu qu'elle ne voudrait rien savoir. "Il vaudrait peut-être mieux dans ce cas." avais répondu après quelques secondes de réflexion. Vraiment Will ? Juste comme ça ? Je savais que je ne devrais pas en dire plus. C'est ce que mon mentor m'aurait conseillé en tout cas. Pourtant pour je ne savais trop quelle raison, je reprenais la parole alors qu'elle esquissait un geste vers la sortie. "Considère que je suis sous couverture et que tu en as déjà trop vu." ajoutais-je me maudissant intérieurement de la retenir comme je le faisais. "C'est tout ce que je peux te dire... Et si ça ne te suffit pas alors pour ta propre sécurité... Ouais... Tu ferais mieux de partir." précisais-je même sachant pertinemment ce que cela impliquerait. Je soutenais pourtant son regard comme si tout cela ne m'atteignait pas vraiment.
Tout ce que j'avais dit à Ashleigh se produisait à présent sous mes yeux. Et je m'imaginais déjà recevoir quelques reproches de la jeune femme qui avait spécifié que si je blessais sa meilleure amie, c'était à elle que j'aurais affaire. Cela étant, je n'aurais pas dû entretenir cette relation. Car quand bien même nous n'aurions posé aucun nom dessus, il s'agissait bien là d'une relation. Tout ce que j'étais censé fuir étant donné le mode de vie que je menais.

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Un secret si bien gardé.
Il s'appelait bien William, c'était déjà ça. Mais je ne voulais pas m'arrêter là, je voulais tout savoir et c'était maintenant ou jamais. Quoi qu'il préfère choisir le "jamais" visiblement avec une réponse aussi... Détachée. Je fronce les sourcils, mécontente, incertaine, peu sûr de comprendre sa phrase. Il était sous couverture ? Mais comment ça ?. Je grogne intérieurement parce qu'encore une fois, on allait me laisser dans le déni total. L'incompréhension et un goût quelque peu amère. « Non effectivement, ça ne me suffit pas. Ça ne me suffit plus. Je me suis toujours contenté de peu et ça ne m'a toujours pas réussi. Alors maintenant, j'en ai marre... Ce fut un plaisir d'avoir partagé quelques "brefs" moments avec toi. William. » Dis-je en haussant les épaules et en me rendant jusqu'au levier afin de rincer au moins ma paume. J'attrape un mouchoir que je serre fermement dans ma paume contre ma coupure, me tournant face à lui. « Tant que je ne saurais pas qui t'es, il ne sera plus question de s'voir. Alors bonne chance à toi. » Allez, vas-t’en Lucky ! « Et bonne soirée... » Le son qui sort de ma bouche est proche du murmure, à la limite du souffle, et on peut remarquer combien je suis crispée, prête à me carapater. Et puis finalement, je passe devant lui tête baissée pour récupérer mon panier. La soirée touchait une fin un peu brutale, sûrement la dernière aussi. Allez, t'es habituée maintenant chérie. Je m'avance vers la porte pour finalement l'empoigner et sortir. Après tout, il l'avait dit non ? Pour ma sécurité, c'était ce que j'avais de mieux à faire. Comme toujours, on décide toujours à ma place...
William & Lucky
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Je voyais bien à son regard cette... Déception dont je me serai bien passé mais qu'il était trop tard pour éviter. Elle en avait déjà trop vu et elle en savait déjà trop ! J'ignorais ce qu'elle pourrait en répéter à sa meilleure amie à qui je supposais qu'elle dirait tous ceux de ce qui s'était passé ce soir. Je pourrais toujours lui demander d'en garder le secret, mais après la manière dont je lui avais parlé à l'instant, je préférais ne pas m'y risquer. Après tout, contre toute attente j'en avais dit plus à elle que je n'en avais dit à aucune civil car c'est ainsi que je les considérais toutes. Des civils vulnérables et probablement incapable de comprendre tous les enjeux qu'impliquait ma profession. D'ailleurs il n'y avait rien à comprendre. C'était l'un des métier les plus vieux du monde, à l'instar de la prostitution.
Je pouvais cependant comprendre qu'au vu de son passif elle de demande plus que ce que je pouvais bien lui offrir. Je gardais les yeux posé sur elle, le visage neutre, fermé, pensif. La retenir ? Non pourquoi faire ? Je savais que je ne lui dirais rien de plus. Elle allait vers l'évier pour soigner la coupure. Enfin... Soigner ! Tout était relatif !
Je me souvenais de ce que disait Dave, mon mentor si tu n'arrives pas à cacher ton secret à une femme tu n'arriveras à le cacher à personne. Il ajoutait aussi bien souvent lorsqu'il était soul : Et si malgré tout tu arrives à le cacher à tout le monde sauf à elle alors arrange-toi pour qu'elle fasse parti du secret.
Ces conseils ne m'avaient jamais vraiment servi puisque la question ne s'était jamais posée auparavant. J'avais durant près de trois ans fait croire Milena que je m'appelais Luke, sans que jamais elle ne se doute de rien. Et je ne pouvais pas inclure Lucky dans quelques magouilles que ce soit. Je la respectais trop pour lui faire un coup de ce genre. Alors oui j'allais la regarder partir comme j'en avais laissé partir d'autres avant elle. Et je répétais en parti ce que j'avais dit à Ashleigh au bal de promo, c'était pour sa sécurité !"Au revoir Lucky" avais-je alors répondu me résiliant finalement à la laisser partir.


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